Amours Au Bureau

Je me suis donnée à un garçon un peu par hasard, quand j'avais 16 ans. Il était plus âgé que moi: je n'étais pas sa première. C'est sans doute pour ça qu'il m'a dépucelée sans mal. Le plus fort, pour moi, était la jouissance qu'il me donnait. Nous ne baisions pas souvent à cause de mes études que, je faisais passer avant tout : nous n'étions ensemble que le dimanche après midi ce qui suffisait pour qu'il me fasse aller au 7° ciel à chacune de ses pénétrations. Le reste du temps, je me branlais au moins le matin, juste avant de me lever et le soir avant de dormir. Je me branlais bien avant de l'avoir connu. Je passais avec succès tous mes examens pour me retrouver avec une maîtrise de droit (à l'époque on n'anglicisait pas tout).
Je me destinais à une carrière juridique et trouvais ne bonne place dans une entreprise. Je disposais de mon propre bureau, avec un assistant et une secrétaire. Mon salaire me permettait de vivre agréablement. Il me permettait d'acheter une foule d'objets sexuels qui me servait largement pour jouir où et quand je voulais. Comme quand j'étais jeune, dès mon lever je me masturbais: pas seulement avec mes doigts, mais en plus avec les godes que je possédais j'aimais particulièrement je faire en prenant un bain. Je pouvais me mettre un gode dans le vagin et un autre, souvent, pas toujours, dans le cul. Ensuite je me mettais les boules de geisha: me voila prête pour la journée, avec dans mon sac mon compagnon indispensable: un petit engin spécial clitoris. Je ne manquais jamais mes masturbations dans la journée, dans les toilettes quelques fois, dans mon bureau souvent. Comme je ne portais pas de dessous pour me branler facilement, il m'était facile de prendre mon pied facilement.
J'arrivais à un point où j'avais presque oublié que les autres autour de moi existaient. Fatalement un jour, j'étais entrain de me branler dans mon bureau, quand mon assistant d'une trentaine d'années venait dans mon bureau, comme souvent sans frapper.

Il me voyait les jambes posées écartées en plus sur mon bureau: il avait une vue splendide sur mon sexe et ma main qui le caressait. Je fermais les yeux en ayant un fantasme: je me faisais violée par une bande de voyous. Il s'approchait de moi, sans que je le vois, il posait une main sur la mienne. J'ouvrais les yeux brusquement dérangée dans mon plaisir montant. Il regardait en souriant. Interdite, j'allais le remettre en place: il soulevais ma main et la remplaçait par la sienne. Il me branlait lentement: je demandais d'aller plus vite sans me rendre compte une seconde que c'étais un de mes sous ordres. Il m'a faite jouir une fois. Il m'a doigtée et j'en ai joui encore une fois. Je ne sais quel envie m'a prise: j'ai eu besoin de sa bite dans la bouche: j'ai réussi à sortir sa queue de sa prison: il bandait comme un cerf. Je le prenais entièrement: ma langue s'attardait sur son gland doux comme une peau de bébé. Enfin mes lèvres se seraient pour le faire coulisser. Je le gardais un bon moment, en arrêtant souvent la fellation pour faire durer son plaisir et le faire décharger dans ma bouche. Il était étonné que j'avale son sperme, ce qui est une chose normale quand on fait une fellation, à mon avis. J'avais encore envie de jouir. Je le faisais asseoir au bord du bureau. Son pantalon baissé lui donnait une drôle d'allure. Je lui caressais les couilles, la bite en le reprenant en bouche. Enfin il bandait convenablement. Je montais sur mon fauteuil, me baissais un peu et m'embrochais sur sa bite. Il pouvait bouger un peu dans mon cul pendant que je me branlais. Nous avons jouis presque ensemble. Je le laissais comme il était, me relevais pour aller demander à la secrétaire de venir dans mon bureau. Elle arrive avec son bloc, prête à prendre une lettre sous ma dictée. En guise de lettre elle avait droit à mon assistant presque nu, et moi qui levais ma robe jusqu'à la taille en montrant mon sexe. Interdite, elle n'osait avancer. Je l'invitais à se joindre à nous. Je voyais son visage passer du pâle au rouge: elle avait réfléchi entre temps.
Après tout tirer un coup avec sa patronne pouvait être agréable. Qu'elle femme n'a jamais pensé à faire l'amour avec une autre au moins une fois dans sa vie ?
Je l'entraînais par la main vers mon bureau. Elle prenait ma place, avec la bite de l'assitant juste à sa portée. Je venais lui soulever la jupe fendue qu'elle portait: elle aussi n'avait pas de dessous. Il m'était facile de lui mettre une main entre les cuisses. Elle écartait les jambes et me facilitait l'accès à son clitoris. Je la branlais comme je me le faisais. Elle fermait les yeux pour profiter de la caresse, avant de prendre la bite de l'assistant dans sa bouche. Elle savait fort bien faire les fellations: il jouissait en elle qui avalait également le sperme. Je l'embrassais aussitôt après pour prendre sur sa langue le goût de notre amant. Elle me demandait de lui donner mon con: elle aimait sucer les filles. J'enjambais son siège et ouvrait les lèvres intimes pour lui donner ce qu'elle désirait. J'étais bien droite, les jambes écartées. Elle assise avait également les jambes ouvertes quand notre commun amant venait la lui mettre dans le con. Nous jouissions toutes les deux, moi par ses lèvres, elle par la bite dans son vagin.
La matinée se passait en une baise interminable: je ne pensais jamais que mon assistant ai une si grande faculté de baise. Ma secrétaire voulait que nous soyons en 69 pour bien profiter de nos langues sur le con de l'autre. Nous l'avons fait et avons joui plusieurs fois ainsi.
Depuis nous passons une heure tous les matins à une baise à trois. Notre travail n'en souffre pas: nous restons un peu plus tard tout simplement.
Le samedi, j'invite ma secrétaire chez moi pour simplement baiser comme deux amantes que nous sommes devenues. Nous laissons mon assistant. Chez moi, c'est une vraie débauche entre filles. Elle aussi à ses jouets dont un rabbit double qui permet de se masturber l'entier vagin, le point G avec des bille, le clitoris et surtout le cul. C'est elle qui me le met pour mon plus grand bonheur.
Pendant qu'elle me baise ainsi, je me sers des billes que je lui mets dans le cul. Quand je les sorts l'une après l'autre elle jouit à chaque fois. Chaque bille, un orgasme. Que demander de plus ? Et moi, avec se triple gode en moi: j'arrive à jouir de partout à la fois: trois plaisir en un seul: le paradis des filles. Si au début nous restions présentables, maintenant nous passons la fin de semaine entièrement nues, même pour les repas où nous nous disputons la nourriture dans la bouche ce l'autre: délicieusement dégueulasse.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!