Leslie Re07

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Leslie RE07 – Les récits érotiques
Les moments d’égarement de Shanna - Seule, chez Serge et Carla, quand tout bascule, suite

Carla et Serge, sont revenus et après avoir posé l’anneau sur le collier, à la place du brillant, Carla a accroché une chaîne dessus, puis elle me fait enfiler un Jock Strap en simili cuir noir, puis ils m’ont attaché les mains dans le dos à l’aide menottes avec des anneaux en cuir rouge et noir reliées entre elles par une chaine d’environ douze centimètres, ainsi que les chevilles avec des chevillières assorties reliées par une chaine de vingt centimètres afin que je puisse marcher et enfin, ils m’ont fait enfilé ses escarpins plateformes noirs aux talons hauts, certainement une douzaine de centimètres.
- Voilà, me dit Carla, tu es équipée pour faire la visite de la maison, ainsi tu vas pouvoir t’habi à cette tenue, le Jock Strap permet de contenir tes érections en laissant ton œillet disponible, et tu pourras aussi t’habi à tes nouvelles chaussures, car désormais tu n’auras que ce genre de chaussures …
Puis ainsi équipée, ils m’ont emmené visiter l’aile de la maison comportant des pièces encore inconnues…

Ils m’ont conduit dans une partie de la maison méconnue et nous avons parcouru un couloir donnant sur plusieurs chambres où, dans chaque, un mobilier sommaire composait l’ameublement, un lit, une commode, un bureau et un fauteuil, rien de plus sinon que chaque chambre comportait une salle de bains attenante et un espace séparé pour les commodités, six chambres strictement identiques.
Puis Carla a ouvert une porte donnant sur une grande pièce, mais ce n’est pas une simple pièce comme on a l’habitude d’en voir, en fait c’est une salle de bondage, une pièce entièrement équipée de toutes sortes d’engins.
La porte et les murs sont capitonnés, recouverts d’un épais revêtement certainement destiné à retenir les bruits de la pièce quand celle-ci est en fonction…
Un grand lit simple constitué d’une tête et d’un pied de lit en barreaux en fer forgé, dont la fonction n’est pas exclusivement réservée pour y dormir.


Un autre superbe lit trône dans un coin de la pièce, d’inspiration moyenâgeuse, avec des poignets d’attache sur les montants et des anneaux sur les flancs, une barre de suspension équipée d’anneaux et un carcan intégré, l’effet est saisissant et personne ne peut ignorer à quoi sert ce lit.
Il y a aussi un cheval d'arçon, une table de contrainte, trois croix de Saint-André en bois, équipées d’anneaux et de points de fixation, légèrement penchées vers l’arrière, ces croix en bois massif sont scellées au sol et une sorte de balançoire en lanières servant certainement pour des positions et des pénétrations des plus acrobatiques et pour finir des armoires-vitrines renfermant toutes sortes d’objets et accessoires allant du plus connu comme le godemiché ou plus insolite comme les écartes-jambes, les barres de contraintes et tellement d’autres objets.

Puis nous sommes descendus au rez-de-chaussée pour découvrir une immense salle à manger où trône une immense table pouvant recevoir une douzaine d’invités pour diner, la particularité de cette pièce c’est qu’un des murs est composé de petites alcôves équipées d’un canapé. Puis attenant à cette salle il y a un grand salon avec des canapés et des fauteuils en cuir, salle certainement pas faite que pour prendre le café tranquillement mais pouvant servir à plein d’autres choses…
En fait je suis prisonnière, presque volontaire, dans une immense maison qui doit servir aux plaisirs sexuels particuliers et surtout à la soumission, mais pas qu’une simple demeure pour y passer des moments de détente et de repos.
- Tu vois, me dit Carla, voilà ta demeure pour les prochains jours, j’espère que tu vas apprécier, le contraire serait dommage…

Nous nous sommes rendus dans la salle à manger que je connaissais et nous avons déjeuner en silence, le service fut effectué par la jeune servante du matin, une jeune fille brune aux cheveux courts, certainement d’origine marocaine, en tenue de soubrette et complètement nue dessous.

Carla me dit :
- Elle s’appelle Aïcha, c’est une soumise de nature, très docile, nous l’avons à notre service depuis six mois, une bonne fille bien éduquée, tu verras elle est serviable et très ouverte, une vraie perle.
Aïcha est mince, une peau ambrée, des hanches étroites et une toute petite poitrine, Aïcha est à la limite de l’anorexie, mais son corps est harmonieux, même si quelques kilos de plus lui donneraient un peu plus de volupté.
- Tu as remarqué, me dit Carla, cette petite est entièrement épilée et même si elle nous sert les repas, elle participe aussi à nos soirées…
J’acquiesce de la tête pour faire comprendre que j’avais remarqué et c’est sans un mot de plus que nous terminons le déjeuner.
- Tu verras, rajoute Carla, Aïcha est une soumise qui sait donner du plaisir comme une petite salope et qui en prend aussi, une perle…

Mais à cet instant, Slimane est entré nu, le sexe bandé et Carla m’a ordonné :
- Allez, sur la table, comme hier !
Je me suis exécutée sans un mot et comme hier le grand noir m’a enculé.
Puis nous sommes passés au salon pour prendre le café, en le prenant Carla m’a expliqué ce que me réservaient les prochains jours :
- D’abord, tu dois savoir que samedi nous organisons une soirée spéciale où plusieurs de nos plus fidèles amis sont invités, alors pour cette occasion tu dois être prête, c’est pour cela que, dès maintenant et les jours à venir, nous allons t’éduquer et te mettre à l’épreuve.…
Après un court instant, elle rajouta :
- Tout d’abord cet après-midi tu auras des visites et tu devras être docile et soumise, puis mercredi ce sera un ami qui te rendra visite et ensuite Sonia qui viendra. Ensuite, jeudi nous te prêterons à un ami, Pierre, un monsieur d’un certain âge qui apprécie les soumises, pour vendredi nous verrons, avec peut-être une soirée chez des amis, et samedi le grand jeu, voilà le programmes des prochains jours…
- As-tu une question ? Me demanda Serge.

- Quand allez-vous le libérer ?
- Tu verras bien, mais ce n’est pas prévu pour l’instant…
Partir le plus vite possible, ce n’était plus que ce qu’il me restait à faire…

Mais en attendant les promesses de Carla furent tenues, tout l’après-midi je dû subir sans un mot les assauts de trois hommes qui défilèrent à tour de rôle dans ma chambre.
Pour l’occasion, Carla m’avait entravé les chevilles maintenues à une barre de fer passée derrière ma tête et mes poignets étaient eux-aussi entravés à cette barre, si bien que sur le lit installé sur le dos, ma position faisait que mon intimité anale était complètement à la vue de tous ceux qui se positionnaient au pied du lit et de plus complètement entravée je ne pouvais que rester ainsi immobile à attendre mes vicieux visiteurs.
Le premier me sodomisa sans préambule en me conseillant de ne pas parler, il joui en moi et ce fut au tour du deuxième qui m’obligea à le sucer et joui, lui, au fond de ma gorge, puis un troisième qui après s’être fait sucer me sodomisa pendant vingt bonnes minutes.
Quand le dernier fût parti j’étais souillée de leurs jouissances, alors Aïcha est entrée et après m’avoir détachée, elle m’a une nouvelle fois préparé un bain et comme quelques heures plus tôt, elle s’est occupée de moi.
En prenant mon bain je lui ai demandé :
- Comment partir d’ici ?
- Ce n’est pas facile de s’échapper de l’emprise de Carla et Serge.
- Mais il y a-t-il une possibilité ?
- Certainement, tu vois je me suis déjà posé cette question et je pense que cela est possible je sens que tu n’es pas heureuse ici.
- Pourrais-tu m’aider ?
- Je pourrais, il faudrait que je récupère tes papiers et tes clés de voiture, tes fringues et étudier un plan d’évasion. Ecoutes nous en reparlerons demain.
- Merci Aïcha d’accepter de m’aider car tu prends de gros risques !
- Mais tu ne t’es jamais dit qu’il était possible que je parte avec toi…

A suivre…

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