Caroline, La Bourgeoise Abandonnée (3)

— — Tu ne vas pas rester ainsi ! me dites-vous.

Vous vous mettez à genoux, sur le carrelage humide et regardez mon sexe tendu en passant la langue sur vos lèvres avec avidité.
— Je vais te sucer et te faire jouir, dites-vous, mais préviens-moi avant de finir, je veux que tu jouisses sur mes seins.
J’acquiesce, et vous commencer à titiller le bout de mon gland de vos doigts, étalant la goutte de presperme qui s’y trouve. Puis, prenant la hampe à pleine main, vous faites des aller-retours tandis que votre laque s’approche de mon bout rosé qu’elle titille et agace avec subtilité. Vous enfournez mon gland dans votre bouche, de plus en plus profondément, et votre langue experte tourne autour avec douceur et sensualité. Alors que, poussant toujours plus loin votre fellation, vous enfournez mon sexe entier dans votre gorge, votre main gauche commence à malaxer mes bourses pleines et gonflées, sur le point d’exploser. Entreprenante, vous approchez un doigt de mon petit trou et venez titiller son entrée pour voir ma réaction. Mon sexe se cambre sous la surprise, mais je vous dit:
— - Non, pas ici, je ne suis pas encore prêt.
Votre doigt se retire et reprend le lent massage de mes couilles. Votre bouche salive abondamment mais vous léchez avec ardeur chaque goutte de salive qui s’échappe de votre bouche et coule le long de mon manche. Finalement, je vous dis que j’atteins l’extase, vous vous retirer et presser mon sexe contre vos tétons érigés d’excitation. Mes couilles se vident à grandes giclées de sperme qui viennent s’étaler sur vos seins fermes et ronds

Vous vous relevez alors, me prenez dans vos bras, et m’embrassez langoureusement. Cette étreinte dure une éternité, le temps semble s’être arrêté. Nous nous rendons compte, au fil des secondes, que nous sommes en train de devenir deux amants adultères, mais notre raison n’est pas assez forte pour dominer la passion qui nous anime. Finalement, nous nous écartons l’un de l’autre, et nous dévisageons pendant de longues minutes.

Vos mains parcourent mon corps nu, s’attardant sur chaque détail de ma peau. Vous caressez mon visage aux traits anguleux et ma barbe de trois jours qui me donne un côté décontracté sans paraître négligé. Vos mains passent dans mes cheveux châtain coupés court, relevant la mèche qui cachait habilement les deux golfes de ma calvitie débutante, puis vous parcourez avec douceur et tendresse les muscles de mon cou et de mon torse, toujours plus bas, jusqu’à venir prendre à pleine main mes poignées d’amour. Vous collez votre peau contre la mienne, vos seins viennent s’écraser contre mon torse, et vous m’étreignez afin de palper les muscles saillants de mon dos. Vous mains baladeuses atteignent finalement mes fesses rebondies et musclées que vous massez avec application. La découverte du corps de ce jeune homme vous fait mouiller de plus belle et vous passez une main sur mon sexe pour voir sa réaction. Je ne suis pas insensible a vos caresses et j’ai de nouveau une érection. Vous approchez votre bouche de mon oreille et me dites :
— J’adore tes fesses.
Cela a pour effet de me faire bander un peu plus encore, et vous sentez mon sexe se gonfler davantage sous vos doigts délicats. Vous me décalottez afin de découvrir le gland gonflé de sang qui a inondé vos seins quelques minutes plus tôt, et parcourez d’un doigt les veines turgescentes qui sillonnent ma hampe.
— J’aimerais te revoir, dites-vous. Tu as allumé en moi un feu qu’il me semble impossible d’éteindre. Je veux que tu retrouves dans mon bureau demain. Tu es en train de me transformer, et il se pourrait bien que la bourgeoise que je suis cache en réalité une personnalité bien plus… immorale.
— Je… je suis censé être à l’hôpital, le matin, mais je vais poser un jour pour vous rejoindre, dis-je.
— C’est bien, mon chéri, dites-vous. Mais arrête de me vouvoyer, maintenant, je te rappelle que tu viens de jouir sur mes seins.
Nous convenons d’un rendez-vous le lendemain à 11h, et vous me rappelez de ne pas oublier de prendre des préservatifs, cette fois-ci.
Vous m’embrassez tendrement et me faites signe de partir.
— Allez, file, je te rappelle que tu n’as rien à faire dans les vestiaires des femmes, ajoutez-vous d’un ton espiègle, en me gratifiant d’un clin d’œil malicieux.

Le lendemain, donc, je sonne à la porte cochère de l’immeuble qui fait le coin de la rue dans lequel se situe votre association.
— J’ai rendez-vous avec Mme Maline, dis-je à la secrétaire.
— Montez, elle vous attend. Deuxième étage, première porte à droite.
Je grimpe les marches quatre à quatre, pressé de vous rejoindre, mais le ventre serré d’angoisse à l’idée de passer le pas. Je toque à la porte de votre bureau, mon cœur tambourine dans ma poitrine, j’entends votre douce voix qui me dit d’entrer et je bande déjà.
J’entre, vous êtes debout, adossée devant votre bureau, et vous me faites face. Il y a dans votre regard une lueur bestiale qui achève de dresser l’érection qui pointe sous mon pantalon marron. Vous avez mis un chemisier blanc très décolleté qui laisse apparaitre le liseré de dentelle de votre soutien-gorge carmin. En bas, vous porter un tailleur noir très classique, mais fendu sur le côté, et votre jambe est tournée et légèrement pliée afin de découvrir le haut de vos bas autofixants noirs. Vous avez décidé de mettre des chaussures à talon mi-hauts, d’un noir verni, et qui habillent vos pieds avec classe et soulignent la finesse de vos chevilles. Vous portez un collier de perles blanches qui habille avec grâce votre cou d’un blanc laiteux et m’excite encore davantage.
Vous me déshabillez du regard et remarquez que je bande déjà, vous franchissez les quelques mètres qui nous séparent et sautez à mon cou, me forçant à plonger ma tête dans vos seins.
— Oh mon chéri, tu m’as manqué, me dites-vous. As-tu bien dormi ?
— Très peu, réponds-je, je n’ai pas arrêté de penser à vous… à toi. Et toi ?
— Comme un charme. Tu m’as tellement excité que j’ai sauté sur mon mari dès qu’il est rentré du travail.
Le pauvre, il n’était pas prêt. Il a joui deux fois et j’ai même avalé sa semence. Ce n’étais pas très bon. Il était épuisé et s’est endormi directement. Il est même arrivé en retard au travail, ce matin. Moi, j’ai eu un peu plus de mal à trouver le sommeil, je n’arrêtais pas de penser à toi, à tes caresses, et à ton sexe tendu. Viens.
Tu me prends par la main, me guide jusqu’à la chaise de ton bureau, et me force à m’y asseoir. Tu te mets à genou entre mes jambes, enlève la boucle de ma ceinture, et ouvre la fermeture éclair de ma braguette afin de libérer mon sexe. Tu te mordille la lèvre inférieure en remarquant qu’il est déjà prêt à l’emploi, et tu l’enfourne goulument dans ta gorge humide.
— On ne risque pas d’être vus ? dis-je.
— Non, j’ai dit à ma secrétaire que ce rendez-vous était des plus importants, et que je ne devais être dérangée sous aucun prétexte, réponds-tu entre deux aller-retours sur ma verge.
Je suis aux anges. De la main droite, tu coulisse habillement sur ma hampe, accompagnant les mouvements de ta bouche, tandis que ta main gauche malaxe avec une dextérité virtuose mes bourses pleines. Je gémis de plaisir lorsque tu fais glisser ta langue le long de mon sexe pour venir aspirer avec avidité mes couilles dans ta bouche. D’abord l’une, puis, l’autre, et enfin tu prends les deux en même temps, elles te remplissent complètement la bouche. J’att ta tête entre mes deux mains et la presse un peu plus contre mon intimité en disant :
— Vas-y…continue…salope…suçe, oui, comme ça… je vais te faire avaler mes couilles.
Rapidement, je sens que je suis sur le point de jouir. Je redresse ta tête, déblaye d’un mouvement de bras les objets qui trainent sur votre bureau, et te bascule dessus, sur le ventre, les fesses tournées vers moi, les jambes légèrement écartées. Tes seins sont comprimés entre ton corps et le bureau, de telle sorte que si quelq’un rentrait à ce moment, il aurait une vue splendide sur ton décolleté. Je fais glisser ton tailleur qui tombe sur le sol, et révèle à moi tes fesses splendides sublimées par un tanga en dentelle assorti à ton soutien-gorge.
J’embrasse tes fesses avec passion, l’une après l’autre, et les pétris entre mes larges mains calleuses. Je fais coulisser ta culotte jusqu’à tes genoux afin de mettre à nu ton intimité. Mettant mes mains sur tes hanches, je plonge directement ma langue dans la caverne trempée de ton sexe, et fouille à l’intérieur pour me délecter de ton jus savoureux. Tu es immobilisé et ne peut pas vraiment te débattre, aussi, tu pousses de petits gémissements. Je sors ma langue de ton vagin et remonte légèrement afin de titiller et de lécher avec malice ton petit trou. Cela t’arrache un cri de surprise et tu me supplies d’arrêter, même si au fond de toi, cela a allumé la flamme d’un désir nouveau, encore inexploré.

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