La Mission 2

Après avoir accompli ma mission, je rentrais chez moi pour une bonne douche et une bonne sieste. Cet échange d’enveloppes m’avait épuisée. D’abord, j’avais du attendre plusieurs minutes sous le soleil que mon contact daigne se montrer. Et ensuite, il avait profité de sa situation pour me demander de faire des choses pendant qu’il matait au loin.
Ne sachant pas à qui j’avais à faire ni si l’homme était armé, j’avais accepté tout ce qu’il me demandais et m’étais retrouvée nue au milieu d’une aire d’autoroute me caressant le clitoris, un doigt dans la chatte et une bouteille de coca dans le cul !
Bien entendu j’avais jouis de la situation extrêmement excitante avec en plus la peur de se faire surprendre par un automobiliste qui serait passé par là.
Je rentrais chez moi, rompue, et en nage. Mon patron attendra un peu avant que je ne lui apporte sa précieuse enveloppe. Je ne savais pas ce qu’elle contenait et je m’en moquais bien d’ailleurs. Il était 18 heures maintenant, et ma journée de travail était terminée.
J’étais dans mon bain quand le téléphone sonna. J’hésitais un instant avant d’aller répondre, j’étais si bien dans l’eau chaude, puis finalement, je me dis que c’était peut être mon patron qui voulait savoir si j’avais bien récupéré son enveloppe. Alors, je courus hors de la salle de bain vers le téléphone du salon. Je décrochais in extremis et dit « allô ? » personne ne répondait. Je répétais « allô ? » toujours personne. Bon, ça devait être une erreur. Je me dirigeais de nouveau vers la salle de bain et m’installais dans mon bain. Cette fois, si le téléphone sonne, je ne réponds pas. Et pour bien montrer ma détermination, je branchais mon lecteur MP3 avec ma musique préférée dans mes oreilles.
J’étais bien… J’entendis au loin le téléphone sonner mais je me dis que je rappellerai plus tard. Je fermais les yeux et allais m’endormir quand, j’eus le sentiment bizarre d’une présence près de moi. J’ouvris les yeux et vis devant moi deux hommes en costumes sombres qui ne se gênaient pas pour regarder ma poitrine qui dépassait au dessus de la mousse du bain.

J’ouvris la bouche pour crier quand l’un d’eux me montra le revolver qu’il avait dans sa veste et me fit signe avec le doigt de me taire.
J’étais morte de trouille, je ne savais pas quoi faire, je retirais mes écouteurs et pris mon courage à deux mains pour leur demander qui ils étaient et ce qu’ils faisaient chez moi. Je rentrais dans l’eau du bain un maximum pour cacher mes seins sous la mousse.
- On vient chercher une petite enveloppe que tu as récupéré cet après midi, alors tu vas être gentille et nous la donner, hein ?
Alors là, j’étais mortifiée. J’aurais dû l’amener directement à mon patron, qu’est ce qu’il allait dire ? Et puis, après tout, tant pis. Je vais leur donner cette enveloppe et mon patron à d’autres ressources pour la récupérer. Je ne suis pas agent secret après tout.
- OK, je vais vous donner l’enveloppe, mais ne me faites pas de mal. Je n’ai rien à voir dans cette histoire, et puis, je ne sais même pas ce qu’elle contient. Laissez moi un instant pour sortir de mon bain et enfiler un peignoir.
Là, ce fût le début des ennuis pour moi, les types se regardaient avec des regards lubriques et entendus et l’un d’eux me dit :
- Mais comment on peut être sur que tu ne vas pas appeler à l’aide si on te laisse ou bien que tu n’as pas une arme cachée dans ton peignoir ? Non, tu vas sortir de ton bain et nous filer l’enveloppe à poil comme ça, on sera surs.
Je les regardais désespérée. Je me levais, tentant de prendre un air digne et voulus prendre une serviette, pour cacher un peu de mon anatomie.
- Pas besoin de serviette, on te trouve très à notre goût comme ça toute mouillée. Allez sors de là !
Je sortis du bain avec la mousse et l’eau qui coulait lentement sur mon corps. Je me dis que plus vite le leur filerais l’enveloppe plus vite ils partiraient. Je sortis de la salle de bain sentant leur regard sur mes seins, mon sexe encore plein de mousse et mes fesses mouillées.
J’allais dans ma chambre et leur dis que j’avais caché l’enveloppe sous le matelas de mon lit.
Ils me dirent de me baisser lentement et leur donner l’enveloppe. Je me baissais pour prendre l’enveloppe que j’avais cachée sous mon matelas. J’étais accroupie, j’allais me relever, mais l’un des hommes me maintiens accroupie pendant que l’autre pris l’enveloppe pour l’ouvrir et vérifier le contenu. Il parut satisfait et la glissa dans sa veste.
- Parfait ! Elle est gentille cette petite, non ?
- Ouais, elle est pas mal aussi !
- Si on se faisait un petit plaisir avant de partir ?
- Ouais, je suis sure qu’elle suce bien. Elle a une tête de suceuse de bites.
- Hein, que t’aimes sucer les bites ?
En disant cela, il sortit sa queue de son pantalon, gardant son costume. Elle était bien raide et grosse. En d’autres circonstances, j’aurais pris plaisir à la prendre dans ma bouche. Mais là, ma fierté me disait de ne pas le faire. J’étais toujours accroupie, l’autre homme mis sa jambe entre mes genoux pour me faire écarter les cuisses.
- Montre nous ta chatte. On veut la voir pendant que tu nous suces.
- Allez vous en ! Je vous ai donné l’enveloppe maintenant vous pouvez partir.
- Mais on ne te veut aucun mal, on veut juste prendre un peu de bon temps avec toi. Tu ne peux pas nous refuser ça. On t’a vu tout à l’heure sur l’aire d’autoroute. On a quelques photos souvenir, si tu veux on peut t’en envoyer ?
Alors, ces types m’avaient suivi depuis l’aire d’autoroute ? Comment ai-je pu être si naïve ? Bon, il fallait que je me sorte de là. De toutes façons, ils ne partiraient pas tant qu’ils n’auraient pas eu ce qu’ils voulaient. Alors autant le leur donner et ils partiraient ensuite. Et puis cette histoire de photos m’agaçait. Et s’ils les mettaient dans mon hall où les publiaient sur Internet ou pire !
J’avançais la tête vers les deux sexes tendus vers moi, en signe d’approbation. Ils voulaient prendre du bon temps, j’allais en prendre aussi !
Je pris les deux sexes dans ma main pour les caresser et mis le premier dans ma bouche pour le sucer puis, je changeais et mis le second.
Les mecs regardaient et avaient leurs mains sur ma tête pour enfoncer encore plus leur sexe dans ma bouche et pour me donner le rythme qu’ils voulaient.
- Oui c’est ça ! Suce bien ! Tu n’as jamais eu des bites aussi dures à sucer. Vas-y régale toi ! Prends la bien au fond de ta bouche.
Je ne répondais pas et me concentrais sur ma tâche. J’en prenais une puis je reprenais l’autre alternativement de plus en plus vite. Le premier éjacula dans ma bouche en me tenant la tête et l’autre, en voyant son copain venir éjacula sur mon visage.
Cela m’avait bien fait mouiller mais, j’attendrais qu’ils partent pour me calmer. Je ne voulais surtout pas leur avouer que leur manège m’avait excité.
- Mais, regarde moi ça. Elle mouille la salope. Tu aimes être e on dirait ? Ca t’a plus de sucer deux grosses bites en même temps ?
- Non, allez-vous en ! Vous avez eu ce que vous vouliez, barrez-vous maintenant !
- C’est qu’elle nous donnerait des ordres ma parole ! Ici, c’est nous qui commandons ! Et je ne serais pas contre un autre tour.
En disant cela, il caressait un peu sa bite qui avait ramolli.
- Tu vas nous exciter un peu. Voyons, qu’est qu’il y a chez toi qui pourrais t’aider ?
L’un me tenait, toujours accroupie, pendant que l’autre fouillait dans mes tiroirs. Il tomba bien évidemment sur mon mini vibro et sur mon chapelet de boules.
- Regarde ce que j’ai trouvé ! On va s’amuser, je crois.
Il me fit mettre à quatre pattes sur mon lit, le cul tourné ver eux et la tête sur mon oreiller.
- Regardes moi ça, elle mouille tellement que ça coule. Tu aimes être dans cette position et ne pas savoir ce qu’on va te faire subir.
Un sursaut de fierté me fit ne pas répondre mais tout mon corps criait à la jouissance, là tout de suite, maintenant.
- Son cul est ouvert, regarde. Avec la grosse bouteille que tu as mise tout à l’heure, c’est pas étonnant. Attend, je vais te mettre ces boules, tu vas jouir du cul devant nous, on adore ça.

J’essayais de bouger pour l’empêcher de me mettre les boules dans le cul. Mais l’autre gars me tenait fermement. Je ne pouvais pas bouger. Il enfila les boules unes à une, de la plus petite à la plus grosse lentement, très lentement. Sans le vouloir, j’avais fermé les yeux et je savourais cette intrusion. Mon anus se rétractait à chaque fois qu’une boule était entrée. Elles glissaient bien en moi, j’étais encore mouillée de mon bain et mon excitation avait coulé sur mon petit trou. Je commençais à gémir doucement sans m’en rendre compte.
- Ecoutes la comme elle gémit, elle aime quand on lui fout des trucs dans le cul ! Files moi le vibro, je vais la chauffer encore plus.
Il pris le vibro et le plaça sur mon clitoris, il mis à petite vitesse d’abord puis il augmenta lentement la vitesse. En le faisant aller et venir sur toute la longueur de mon sexe, sans jamais le faire entrer. C’était une , mon cul se tendait en arrière pour l’aider à faire entrer le vibro en moi et libérer mon orgasme et il ne voulait pas le faire entrer.
Je gémissais et oubliant toute fierté, je me pris à leur demander de me faire jouir.
- T’aimes ça, hein, tu veux jouir ? Tu sens les grosses boules dans ton cul, t’en veux encore ?
Ce langage cru m’excitait encore plus. Je coulais comme une fontaine. Ces deux mecs allaient me faire avoir un bel orgasme.
L’autre posa le vibro en plein sur mon clito sur puissance maximale et celui qui était derrière moi, retira les boules une à une en commentant pour son pote.
- Tu verrais ça, son cul s’ouvre tout seul. Elle doit aimer se faire sodomiser, la chienne.
Moi, je ne disais plus rien, mon corps n’était que jouissance, je sentais l’orgasme venir. Et quand il retira la dernière boule j’eux un orgasme phénoménal qui me fit crier et me renversa. J’étais allongée sur le ventre, ils ne me donnèrent pas le temps de me remettre, j’étais de nouveau à quatre pattes. L’un des mecs me mit sa bite dans la bouche et l’autre me pénétra la chatte d’un coup. Il entre facilement, et me procura un plaisir instantané. J’en voulais encore. Et pour le montrer, je bougeais les hanches vers lui. Il donnait de bons coups de reins vers moi et me claquais les fesses de temps en temps. C’était extraordinaire. L’autre baisait littéralement ma bouche, je le laissais faire, j’étais en transe.
- Tu aimes la bite hein salope ?! Tu aimes te faire défoncer par des inconnus ? Tu sens bien ma bite au fond de toi ?!
Il criait presque, il était aussi excité que moi de la situation. Il accéléra le mouvement, et d’un coup sortit sa queue de ma chatte pour la mettre d’un coup dans mon cul. Je n’ai pas eu le temps de bouger. Il était au fond de mon cul et pistonnait.
- Elle a le cul bien ouvert, regarde je peux aller au fond sans problèmes !
L’autre en entendant ça, jouis dans ma bouche. Le deuxième me pistonna de plus en plus vite sous mes cris de plaisir et finit par éjaculer dans mon cul et sur mes fesses.
Je m’affalais sur mon lit, complètement vidée.

Les deux types passèrent se nettoyer à la salle de bain et en sortant ils me dirent :
- Au fait, on s’est pas présentés : Inspecteurs P. et M., Police criminelle. On prend l’enveloppe avec nous comme pièce à conviction. On aura besoin de votre témoignage dans cette affaire. On vous appelle demain pour vous dire quand vous devrez venir. On vous conseille d’être coopérative.
Et l’autre ajouta :
- Oui, on vous conseille d’être coopérative, on a quelques photos compromettantes qui nous laissent à penser que vous êtes complice dans cette affaire. On a besoin d’éclaircir ce point.

Je restais longtemps sur mon lit après leur départ. Dans quelle histoire m’étais-je encore fourrée ? Je me fis couler un autre bain, non sans avoir vérifié que ma porte était bien fermée cette fois.

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