La Mission 6

Ce soir là je me couchais épuisée. Bernard se coucha dans le canapé. Je dormis comme une souche et il ne me vint même pas à l’idée de me sauver. Je ne pensais à rien, juste à me reposer et tenter d’oublier ma situation.
C’est l’odeur du café qui me réveilla. Je mis quelques secondes à me rappeler ce qu’il se passait. Ma première volonté fût de rester au lit, faire semblant de dormir pour gagner du temps. Puis, la faim et le café eurent raison de moi, je me levais. J’étais en nuisette, je passais une robe de chambre et allais dans la cuisine.
Bernard était là, il buvait son café, il lisait un journal et il y avait des croissants sur la table. Zut ! Si seulement je m’étais levée plus tôt, j’aurais pu me barrer pendant qu’il était sorti.
Je m’installais en face de lui, me servis un café et pris un croissant. Je marmonnais un vague bonjour et restais le nez dans mon café.
Je n’osais pas affronter son regard.
Il me répondit bonjour et continua sa lecture. C’était étrange de voir cette grande masse lire des journaux, je l’aurais plutôt imaginé lire un journal de sport ou auto magasine avec la pin up sur la page centrale affalée sur une décapotable qu’il ne pourrait jamais s’offrir.
Il posa enfin son journal.
- Retire moi ce peignoir !
J’avais fini mon café, j’étais en train de mettre ma tasse dans l’évier. Je m’empressais de retirer le peignoir.
- Mieux… bon maintenant, approche et dis moi bonjour correctement.
Je m’approchais et allais ouvrir la bouche pour lui dire bonjour. Mais il se mit sur le bord de sa chaise, descendis son caleçon et posa ses pieds sur la chaise en face. Sa demande ne faisait pas de doute. Il voulait que je lui lèche le cul, encore une fois.
- Applique toi, ça me mettra de bonne humeur ! et retire moi cette nuisette, je veux te voir nue.
Il faisait de l’ironie en plus. Je me baissais et me mis entre ses jambes à quatre pattes. J’approchais ma langue avec un peu d’appréhension, mais il était propre et sentait bon.

Tout en m’appliquant et en léchant lentement sa raie, tous les souvenirs de la veille me revinrent. Il avait repris son journal et continuait à lire. C’était vraiment une situation humiliante. Il commençait la journée en me montrant bien à quelle place je devais être. J’en avais presque les larmes aux yeux de rage. De temps en temps, il approchait sa main pour me caresser les cheveux comme on flatte une bête. C’en était trop, il fallait que je me sorte de là.
- Applique toi, rentres ta langue plus loin, je veux la sentir dans mon cul. Tu vas voir à la fin du week end, tu adoreras lécher les culs. Tu seras une pro.
Ah non ! surtout pas. Je ne voulais pas devenir une pro, je voulais juste que ce cauchemar s’arrête.
- D’ailleurs, j’ai prévu de l’entraînement pour toi aujourd’hui.
Je rentrais la langue au plus loin que je pouvais… De l’entraînement, mais de quoi parlait-il ? Je n’osais pas lui demander. Il finit par gémir, poser son journal et me tendre sa bite à lécher. Elle était très dure et grosse. Elle rentra presque difficilement dans ma bouche. Il mit une main sur ma tête et fit entrer sa bite plusieurs fois rapidement. Et en un instant, j’avais du sperme qui coulait dans ma gorge. Je ne fis pas un geste de peur de le mécontenter. Il sortit sa bite et me dit de la lécher. Ce que je fis.
- Lève-toi, tu as mérité une récompense. Penches-toi…. Oui c’est bien ce que je pensais, ça t’a excité, tu es toute mouillée.
Il avait entré un doigt dans ma fente. J’étais mortifiée, même mon corps me trahissait ! Il me donna son doigt à lécher. Ce que je fis avec application, et il en remis un autre pendant ce temps. Il le fit aller et venir plusieurs fois. Je gémissais de plaisir et suçais son doigt comme on suce un sexe.
- Je crois que mon doigt ne va pas suffire, petite cochonne, ne bouge pas.
Je n’osais même pas regarder ce qu’il faisait, il s’était éloigné et était revenu rapidement. D’un coup, je sentis un truc froid et dur qui touchait ma chatte.
Je voulus baiser la tête pour voir, mais il m’en empêcha en me tirant les cheveux en arrière. L’objet entra assez facilement, tellement j’étais mouillée, il était légèrement recourbé, ce qui était délicieux, car ça touchait mon point G. Je me cambrais encore plus pour profiter au maximum de la caresse.
Il fit aller et venir l’objet en moi plusieurs fois lentement, trop lentement, je voulais qu’il aille plus vite qu’il le fasse bouger, mais il restait imperturbable malgré mes gesticulations et mes tentatives de bouger un peu.
- Tu le veux plus loin ? tu veux qu’il bouge plus en toi ? Ca t’excite, hein ?
- Oui, oui, je le veux plus loin, plus fort… !
Je ne reconnaissais pas ma voix. Je voulais jouir, jouir, jouir. Et il ne m’accordais pas ce plaisir, c’était très frustrant, et en même temps délicieux.
D’un coup, il ne bougea plus, il était pile sur mon point sensible, il fit bouger son objet de haut en bas très rapidement, et là je criais, je criais ma jouissance et mon plaisir. Rien ne comptait plus que ce moment divin, je voulais qu’il dure toujours, je me moquais éperdument de la situation, de l’humiliation. Je jouis violemment en criant très fort, et je sentis un jet sortir de ma chatte. Je venais d’éjaculer. C’était la première fois que ça arrivait. Cela me surpris tellement que pendant un quart de seconde je crus m’être oubliée. Mais c’était très différent, un liquide clair, un peu comme de l’eau, et un jet puissant poussé par la contraction de mon vagin.
Il avait retiré l’objet et je m’étais écroulée. J’étais dans ses bras, il me caressais doucement les cheveux, en me disant des mots doux. Je me laissais faire, j’étais épuisée.
Il me conduisit à la salle de bain et me fit couler un bain, je me plongeais dans ce bain, et m’endormis presque.
Il me dit qu’il n’avait jamais rencontré quelqu’un comme moi, et que quoi qu’il se passe ensuite, je serais un merveilleux souvenir pour lui. Je ne répondais rien, j’étais un peu troublée.
Et puis, je connais ce symptôme des victimes qui tombent amoureuses de leur bourreau. En attendant, ce bourreau était d’une gentillesse et d’une attention exceptionnelle envers moi, aucun homme n’avait jamais été aussi gentil avec moi. En général ils se servaient, prenaient leur plaisir et bye bye.
Je me prélassais dans le bain chaud à souhait, il revint me présentant l’objet en question, une simple banane glissée dans une capote ! Il fallait y penser !
Je ne regarderais plus jamais les bananes de la même manière !
- Il faut que tu te prépares, nous sortons.
Il avait repris son ton autoritaire, je ne dis rien, sortis du bain et me séchais. Il me regardait. Certes, il m’avait vue nue plusieurs fois, mais là c’était gênant, je ne sais pas pourquoi. Je m’efforçais de garder contenance, et allais dans ma chambre choisir des sous vêtements. Il me les retira des mains, et me donna une jupe et un chemisier pris dans mon armoire.
Il ajouta un pull, je mis mes chaussures, et nous sortîmes.
Je montais en voiture à coté de lui et renonçais à lui demander où nous allions.
On se dirigeait vers le sud, il avait mis sa main sur mon genoux, et ne la bougeait plus. Je m’endormis avec le roulis de la voiture. Je sentais ses caresses sur mes cuisses, mais cela ne me réveilla pas. Je le laissais faire sans bouger.
Je sombrais dans un sommeil profond, peuplé de rêves érotiques, où je prenais plaisir à être l’esclave sexuelle d’un homme dont je ne voyais pas le visage. C’était tellement réel que lorsque la voiture s’immobilisa, je me réveillais en sursaut, et mis un temps à me remémorer où j’étais. J’avais la jupe retroussée, les genoux écartés la main sur mon sexe et je mouillais abondamment. Mon pull était relevé sur mes seins mis à jour.
Nous étions sur un parking d’autoroute, il y avait du monde autour de nous. Je rougis violemment, et remis mon pull et ma jupe en place.
- Viens on va manger un morceau
Il se dirigea vers une espèce de cantine à routiers, il me semblait qu’à part la serveuse au self service, il n’y avait que des hommes.
Je baissais la tête et le suivis, j’avais l’impression que tous les regards étaient dirigés vers moi.
Je choisis rapidement ce que j’allais manger, mais j’avais l’estomac noué. Je n’étais vraiment pas à l’aise. On s’assit dans le fond du restaurant. Je mangeais rapidement j’étais pressée de partir d’ici. Et puis, il y avait ce type qui n’arrêtait pas de me fixer à la table en face de moi. J’évitais son regard, mais il avait les yeux braqué sur mes seins, qui malgré moi pointaient sous mon pull. C’était à la fois du au froid, à la fatigue de ces derniers jours et à la peur de la suite des évènements.
Bernard ne disait rien. Il me semblait qu’il n’avait pas vu le manège de l’autre gars dans son dos. Et c’était mieux ainsi car je ne voulais pas qu’il lui propose d’en voir plus. J’avais le nez dans mon assiette.
- Relève ta jupe et montre lui ta chatte.
J’avais entendu cette phrase comme dans une brume. Je n’en étais pas sûre. Je relevais la tête et le regard de Bernard me confirma ses dires. Je ne dis rien, je relevais ma jupe et écartais les jambes le plus discrètement possible. J’espérais que le type ne s’apercevrait de rien.
Mais il se baissa, faisant semblent de refaire son lacet. Il ressemblait à ce qu’on peut imaginer d’une routier : grand, costaud, moustachu et cheveux hirsutes. Plutôt beau mâle néanmoins, mais avec des yeux pervers qui m’effrayaient.
- On s’en va !
Je me levais rapidement et suivi Bernard jusqu’à la voiture. J’étais soulagée. Je me retournais et vis que le type nous avais suivi, mais je montais rapidement dans la voiture. Bernard démarra et, à ma grande surprise, s’arrêta un peu plus loin sur l’aire sur le parking des camions. Je ne disais rien, mais je fulminais intérieurement. Que voulait-il ?
- Reste là !
Je ne bougeais pas mais je le vis aller discuter avec le type du restaurant. Ils se serrèrent la main et Bernard revint vers moi l’air satisfait.
- Tu vas me faire gagner un peu de fric. Je compte sur toi. Va le voir et soit gentille.
Je n’osais même pas contester, je descendis de voiture et me dis que finalement c’était comme avec les gros client de Vincente. Et puis, de toutes façons, je n’avais pas beaucoup de choix.
Je m’approchais du type. Il avait ouvert la porte de son camion et m’attendait appuyé au marche-pied.
- Approche n’aie pas peur.
Je m’approchais, un regard de fausse bravade dans les yeux, j’étais un peu effrayée, ce type était vraiment impressionnant. Mais je tentais de garder contenance quand il glissa sa main sous mon pull pour me malaxer les seins. Je le laissais faire un peu comme une poupée de chiffon.
- Ah oui, l’autre avait raison, t’es une vraie salope, t’as pas de culotte et pas de soutien gorge. On va s’amuser un peu…
Il disait cela en levant ma jupe il passait ses mains sur mon sexe, mon cul, il avait vraiment l’air en manque.
- T’es trop bonne… vas-y suce moi ! Comme ça, les nichons et le cul à l’air, je veux te voir !
Je m’accroupis, il avait baissé son pantalon. Et son engin était tendu vers moi, il était de taille normale, ce qui m’étonna un peu, donc la taille du sexe des hommes n’est pas proportionnelle à leur taille. Je me retenais de rire de cette pensée qui m’étais venue, et en plus la situation n’avait vraiment rien de risible. Je devais sucer la queue d’un mec que je ne connaissais pas au fond d’un parking sinistre et n’importe qui pouvait nous voir.
J’allais prendre sa queue dans ma main quand il m’arrêta.
- Une bonne salope suce sans les mains. Ouvre la bouche !
J’ouvrais la bouche et il dirigea son sexe. Il entra lentement puis plus loin, je le laissais faire et tentais de garder l’équilibre. Il poussait des gémissements, je me disais que finalement ça allait aller vite, il allait venir rapidement. La situation devait vraiment trop l’exciter. Il maintenait ma tête de ses deux mains et me tirait presque les cheveux.
- Oui, t’es trop bonne, c’est ça enroule ta langue sur ma queue… elle est bonne ma queue… t’as jamais vu un queue pareille…
Pourquoi les hommes disent-ils tous la même chose. Quoiqu’il en soit, oui sa queue était plutôt belle et appétissante. Mais de toutes façons, je ne pouvais pas lui répondre. Je sentais le vent sur mes fesses et mes seins. Et je regardais de temps en temps au tour pour m’assurer que personne ne vienne.
Ou était Bernard ? J’espérais qu’il ne m’avait pas abandonnée ici.
La queue du type se tendit, il vint dans ma bouche et maintint ma tête en geignant. Apparemment il avait pris son pied. Mais le pauvre, il n’avait pas tenu longtemps. Je me levais et allais partir, mais il me retint par le bras.
- Je ne suis pas complètement venu, bouges pas, salope. Je vais me finir dans ta chatte !
Penches toi en avant et met tes mains sur le camion. J’ai toujours voulu baiser une fille comme ça.
Je me plaçais comme il voulait. Les mains sur le marche pied de son camion.
- Vas-y écarte tes cuisses, je veux voir ta chatte et ton cul. Ouais t’es bonne ! Dommage que je ne puisse pas te la mettre dans le cul… Ton mec veut pas !
Ah, Bernard avait mis des restrictions… Il me caressa la chatte un peu maladroitement, j’étais mouillée, de toute cette matinée et de la situation aussi, je dois l’avouer. Ce type au langage cru, et un peu rude m’excitait.
- Ah ouais, tu mouilles, t’es vraiment bonne toi. Attend je vais te faire crier, tu vas pas regretter.
Il plaça son sexe devant ma chatte et poussa d’un coup me tirant un cri de surprise. C’était vraiment bon, il avait un coup de rein direct et sec et j’étais tellement excitée, que c’était ce qu’il me fallait là. Je gémissais à chaque coup de queue du type.
D’un coup, il mit son pouce sur mon petit trou qui devait bien l’exciter ainsi devant lui et il poussa pour le faire entrer. C’était assez facile j’étais trempée ! Cette nouvelle intromission me fit gémir encore plus, j’allais venir, je le sentais.
- Je vais venir salope, t’es trop bonne !
Il poussa encore un coup rapide et se lâcha dans ma chatte. Il ne m’avait pas laissé le temps de venir moi même ou bien il a cru que mes gémissements étaient un signe de jouissance. J’avais pris beaucoup de plaisir mais j’étais sur ma faim.
- Ton mec m’a dit de ne pas te faire jouir, alors, désolé ma belle, mais tu vas retourner le voir comme ça !
Le salaud ! Qu’est ce qu’il croyait ? Mince, si j’avais su ça avant, j’aurais pensé à autre chose pour ne pas prendre mon pied. J’allais m’éloigner de nouveau, mais le type me retint de nouveau.
- Attend, monte sur la marche et accroupie toi en te tenant aux barres. Je veux voir mon sperme couler de ta chatte.
Bernard arrivait, je le vis derrière le type. Il avait l’air intéressé par la scène. Il avait un son portable à la main. Je m’étais mise sur la marche et m’étais baissée en écartant les cuisses. Bernard pris une photo avec son portable, le sperme du type coulait entre mes cuisses de manière obscène. Le type s’approcha pour toucher ma chatte et mon clito encore gonflé d’excitation, il le caressa un peu avec le sperme sur ses doigts, ça glissait tout seul, c’était vraiment bon, je renversait la tête pour apprécier la caresse, Je ne voulais pas qu’il s’arrête. Bernard avait pris de nouvelles photos. Le mec accéléra sa caresse, j’étais au bord de la jouissance, il récupéra encore un peu de sperme et mis son doigt sur ma bouche pour me le donner à sucer, je le fis machinalement, je voulais juste qu’il continue sa caresse pour me faire venir enfin !
Il remis sa main sur mon sexe, et me caressa de nouveau, lentement, délicieusement, puis plus vite, j’étais comme folle.
- Stop !
C’étais Bernard, il venait de demander au type de s’arrêter.
- Vous êtes sur ? Elle va jouir là, je le sens bien…
- Oui, je suis sure !
Et s’adressant à moi :
- Descend de là on y va !
Je n’en croyais pas mes oreilles, je lui lançais un regard implorant.
- C’est moi qui décide quand tu jouis et qui te fais jouir. On se casse, je t’ai dit.
Je descendis du camion, me rajustais, et le suivis jusqu’à la voiture.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!