Ma Cousine Amandine 10

THÉO

Quand Amandine jaillit, et qu’elle reste statufiée devant nous, je m’approche d’elle en souriant, pour la mettre à l’aise je lui fais un bisou de chaque côté sur ses joues toutes rouges, je serre doucement sa main et l’attire pour qu’elle fasse les trois pas qui nous séparent de mes acolytes et permettre aux deux coquines derrière de sortir sur la terrasse.

Je découvre sa main moite, elle me dévisage, mais ses yeux ne savent plus où regarder. Elle n’ose pas les baisser de peur de paraître trop impudique en matant nos bites.

Je voudrais la rassurer, mais je ne sais pas comment m’y prendre, en attendant je fais les présentations :

- Voici Hugo, et là Alexis.

Ils se rapprochent d’elle pour l’embrasser à leur tour, un de chaque côté, la bite d’Hugo, rappelez-vous qu’elle est toute droite devant lui, touche la jupe d’Amandine, le frottement du tissu sur la peau de son zob lui fait un bien immense que l’on devine dans ses yeux exorbités.

- Vous pourriez lui faire un baiser mieux que cela, dit Camille, tu as déjà embrassé un garçon ?

- Non pas encore, fait-elle dépitée en avouant ses grosses lacunes.

- Eh bien ce n’est pas grave ajoute Marion, il est encore temps d’apprendre, et je vois quelques volontaires ici.

Peut-être à cause de l’antériorité de notre relation en tout bien tout honneur, elle s’approche de moi, je dois être l’heureux élu, pour une fervente catholique c’est un honneur considérable, nos lèvres se touchent, ma langue les humidifie avant de chercher un passage secret qui mène au Nirvana.

La percée s’est élargie et laisse entrer mon organe qui recherche son homologue afin de badiner ensemble. Notre conciliabule silencieux s’enclenche et se poursuit à un rythme effréné quand Camille prend la main d’Amandine et la dépose sur ma bite en enroulant ses doigts un par un autour, le petit doigt posé sur mes couilles, les autres enserrant ma tige et le pouce dans l’autre sens muselle ma queue dans une prison charnelle.

Notre baiser alors s’intensifie et ma queue s’épanouie danscet ergastule improvisé.

AMANDINE

Ce qui m’arrive, je n’y crois pas, c’est un rêve éveillé, ce n’est pas possible non mais allô ! Je tiens la bite d’un garçon dans la main, allô ! je suis une fille qui a toujours été très sage et je comprime la queue d’un jeune garçon, d’ailleurs le pauvre je dois lui faire très mal car à chaque fois que nos langues se cajolent je m’agrippe à son manche pour ne pas tomber à la renverse.

MARION

- Amandine, pense à changer de partenaire, il y a la queue devant toi, si je puis dire, et laisse un peu la Bibiche de Théo.

- La quoi ? Fait Camille.

- la Bibiche, rétorqué-je, c’est comme cela que Théo appelait sa bite plus jeune.

Nos deux tourtereaux se séparent difficilement, et Théo me fusille du regard, il me fait les gros yeux. Il a honte, moi je trouve très mignon le joli nom qu’il a donné à son petit oiseau. Nos deux copains sont pliés en quatre et cela le met encore plus en colère, mais il intériorise sans rien dévoiler de peur de poursuivre les moqueries et que la plaisanterie s’éternise, lui ça ne le fait pas rire du tout. Et c’est Camille qui en rajoute une couche en motivant Amandine :

- Touche à présent la queue d’Alexis et bécote le un peu en m’observant, je vais te montrer comment on fait du bien à une Bibiche.

Vous voyez ce qu’elle veut dire, pas la peine de vous faire un dessin, d’ailleurs ici j’en serais bien incapable, elle en a trop envie sous prétexte d’une démonstration et elle lèche la Bibiche de notre étalon, sa langue parcourt toute la surface du tuyau chauffer à blanc, et même ses couilles sont travaillées comme deux boules de glace.

Pour sortir Amandine de sa stupéfaction, je la pousse dans les bras d’Alexis et je place sa verge dans la main de celle-ci, et cette fois j’initie un mouvement de piston car jusqu’ici elle avait juste tenu gentiment la queue pétrifiée de Théo et maintenant il est temps de la former à faire monter la sauce dans la pipette.


Je reste quelques instants ma main sur celle d’Amandine pour donner le rythme et doucement je la lâche et elle continue comme je l’espérais la manœuvre avec entrain.

- Tu vois, lui dis-je, tu lui fais une belle branlette.

Je les ai orienté de manière à suivre la performance de Camille qui maintenant gobe la bite de Théo pendant qu’Amandine unit ses lèvres à celles d’Alexis en continuant d’agiter son shaker.

- J’ai une petite bouffée de chaleur, dit Camille, vous n’avez pas chaud les filles ? Pourquoi les garçons sont tous nus pendant que nous mourrons de chaleur sous ce soleil brûlant.

Elle ne tarde pas pour quitter son T-shirt et sa jupe et comme elle n’a rien dessous elle est nue en moins de 30 secondes, moi aussi je commence à me déshabiller pendant qu’elle invective les garçons:

- Alors, bande de flemmards aidez donc Amandine ! Moi je peux vous sous-entendre, sans le claironner, qu’elle possède une superbe chatte et qu’elle a bon goût.

A suivre.

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