Ma Cousine Amandine 16.

MARION

J’hallucine : mon frère suce un garçon ! Après sa démonstration d’un baiser poisseux est gluant au sperme, le voilà qui prend goût à la pipe, il faut dire que la tentation est grande, Hugo est magnifique comme cela, moi aussi j’aurais aimé lui faire, mais ce jour est exceptionnel et la priorité est clairement pour Amandine, alors je me retiens et croyez-moi c’est très dur. Je mouille en voyant ce spectacle.

Hugo ne m’a pas l’air indifférent aux caresses de Théo, il met du cœur à l’ouvrage, son mouvement facilite la tache car Théo ne peut pas bouger comme il veut pour ne pas perturber Amandine, et son partenaire compense en faisant coulisser sa bite entre les lèvres de mon frangin.

Il doit bien apprécier car sa queue est superbement tendue et il exprime sa jubilation par des petits cris de plaisir rythmés par un halètement provoqué par l’effort et la jouissance.

Amandine aussi se démène et donne son maximum afin de faire pétiller des bulles de champagne dans sa bouche, une main manipule le cul de la bouteille, une autre la secoue et sa bouche enfiévre le goulot. Le bouchon va péter c’est sûr, et le crémant jaillir et asperger sa langue.

Moi, je ne peux plus me retenir, ma petite chatte appelle au secours, Camille étant occupée à téter mon frère et caresser les seins d’Amandine, je n’ai plus qu’Alexis pour prier la madone, sa bite étant toute flasque après sa superbe représentation, je l’invite à s’agenouiller et à me rafraîchir le tison, car c’est chaud bouillant à cette endroit malgré que mon petit extincteur à mousse est libéré ce qu’il pouvait pour éteindre le feu, c’est bien insuffisant. Alors je tente de faire intervenir un pompier amateur qui est bien sûr volontaire : pas besoin de le prier. Et je fais foyer le cœur fendu.

THÉO

S’il y a encore une heure, on m’avait dit: tu vas sucer une bite, j’aurais dit impossible, et là je le fais, et le pire c’est que je trouve cela bon et même très bon.

Je commence à comprendre pourquoi Camille et Marion en sont folles. Et même plus, je désire ardemment que cette queue me remplisse la bouche de son foutre chaud. Attention je ne pense pas devenir homosexuel ou bisexuel, je n’ai aucune envie de me faire pénétrer ou pénétrer le cul de garçons. Tout à l’heure, le goût du sperme, ne m’a aucunement dérangé, même au contraire j’ai trouvé cela excellent, J’ai bien sûr avalé ce que j’avais sur la langue avec plaisir. Et là, j’attends avec délice d’en avoir un plus gros paquet à manger.

Le calvaire que m’inflige Amandine est divin, la mort du petit cheval se rapproche. Mais celui d’Hugo n’est pas mieux loti, l’excitation depuis ce matin nous a amené au point de rupture.

La grande expérience de Camille lui faire ressentir aussi notre état commun, elle devine que l’instant se rapproche, et qu’il serait idéal de faire coïncider les deux éjacs dans la bouche. Et pour cela elle nous motive.

- Allez en même temps, Hugo, regarde bien Amandine pour percevoir quand est-ce que Théo va libérer le démon et l’imiter aussitôt.

Être à la fois l’arroseur et l’arrosé est très stimulant, je vous conseille fortement d’essayer, déjà bien sûr j’ai quelques fois testé être l’arroseur, surtout quand Camille me pompe car elle veut à chaque fois que ça se termine comme ça, mais aussi avec d’autres filles, et je n’ai jamais ressenti une sensation comme aujourd’hui.

Il y a toujours un instant fatidique où je sens que je ne peux plus rien maîtriser, et c’est ma bite qui prend les commandes et généralement quelques secondes plus tard elle libère l’énergie emmagasinée et expulse sa matière blanche ( rien à voir avec la matière noire de l’espace ni l’énergie noire, et ce n’est pas de l’antimatière non plus). Plus l’énergie est puissante plus l’éjection est violente et plus le cerveau, en l’occurrence les neurones, génère de la dopamine qui récompense l’auteur par un bonheur immense. Un petit peu le principe de l’action et de la réaction.


J’en suis à ce stade et mes yeux exorbités informe Camille de la situation.

- Théo va faire envoyer le yaourt, dit-elle.

Je ne sais pas si tout le monde comprend bien l’expression, mais dans la situation présente même Amandine se prépare, elle ralentit la cadence, serre bien ses lèvres et à l’instinct de mettre sa joue devant ma bite pour ne pas que mes jets puissants passent directement dans sa gorge, et risquent de la faire .

Moi aussi, je me prépare à recevoir ma dose de foutre, j’ai aussi raté quelques fois ma sortie en envoyant ma partenaire au casse pipe. La pauvre manquant de s’ en avalant inopinément un flot de sperme.

Mais là, tout se passe à merveille, nos éjacs sont quasi simultanées, je remplis la bouche d’Amandine pendant qu’Hugo se déverse joliment dans la mienne. Je suis un moment sur une autre planète, je n’ai pas de mot pour décrire ces instants là,jamais au grand jamais, je n’ai vécu des secondes aussi magiques.

Les trois autres spectateurs ont retenu leur souffle pour apprécier notre prouesse. À la fin, nous avons même droit à des applaudissements nourris, venant de spécialistes aussi émérites que Camille et Marion, Amandine et moi sommes fiers de notre performance étant tous les deux novices en la matière. Nous avons assuré comme des pros. Sans être perturbés outre mesure, nous suçons encore de longues minutes les bites à notre disposition pour les rendre toutes propres et immédiatement réutilisables par leurs propriétaires. Je n’ai pas envie que cela se termine, et pourtant il y a une fin à tout.
Mais c’est comme stopper un coup de téléphone avec une petite amie, Amandine comme moi nous ne voulons pas raccrocher le premier, mais il faut se rendre à l’évidence: plus une goutte de bon sperme à récupérer, et nos 2 bites se dégonflent a vu d’œil.

Le devoir accompli, nous avons tous les deux le sourire aux lèvres et plus aucune trace de sperme car nos deux inspecteurs ont bien sûr vérifié que nous avons bien avalé toute la sauce et elles nous félicitent chaleureusement pour le numéro exceptionnel réussi dès le premier coup par deux débutants.


MARION

Il est déjà midi et l’heure de reprendre des forces, nous avons prévu une petite collation toujours dans l’esprit potache car au menu : salade de moules en entrée, puis saucisses au barbecue, pour finir au dessert par des bananes flambées à la chantilly. Je vous laisse deviner les plaisanteries tout le long du repas car nous restons en extérieur et toujours tout le monde à poil bien sûr. Par exemple, mon frère qui s’occupe du feu à droit pendant qu’il fait cuire la viande à :

- Ne mélange pas ta saucisse aux autres, ce serait dommage !

Enfin vous voyez le genre, et au dessert, même pitreries avec les bananes, bon passons c’est un peu lourd. Par contre déjeuner tous nus ensemble est vraiment très sympa, les garçons avec leur petite queue tranquille et lisse sont adorables et ils nous font beaucoup rire quand leur petite bite se dodeline de gauche à droite. Mais nous pensons tous à la même chose et n’avons qu’une envie : c’est de remettre le couvert, et pas à table bien sûr.

- Amandine, veux-tu perdre ta fleur de Marie ! Demande Camille.

A suivre.

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