Une Découverte Qui Changea Ma Vie

Je m’appelle Corinne, j’ai 36 ans, brune aux cheveux longs, yeux bleus verts, on me dit plutôt jolie et bien conservée.Je suis Mariée depuis 15 ans à un homme qui fut mon premier coup et que je prenais pour un dieu au lit, jusqu’à la vision révélatrice d’un film hard suivi d’une aventure très chaude… Un monde s'écroulait, mon mec n’était en effet pas terrible du tout: petit sexe fin de 15cm et demi, peu endurant et jouissant après trois minutes alors que j’ai de gros besoins sexuels. Après avoir maté il y a deux mois un film porno, je me suis rendu compte, qu’en général les mecs étaient bien plus membrés et vigoureux que mon mari. Quand il partait travailler très tôt le matin, j’ai commencé à fantasmer sur d'autres mecs plus virils, à me caresser et les orgasmes que j’ai obtenus étaient bien plus forts qu’avec mon mec. Le mois dernier, fantasmant toujours sur les grosses queues, je me suis rendue dans un sex-shop de la ville où je réside. J’avais un peu honte, le patron me regardait avec un air de connivence, il m’a conseillé un gode vibrant de vingt centimètres, m’assurant que je ne serais pas déçue. A ma surprise, il m’a fait cadeau d’un plug anal gonflant avec un grand sourire en me disant que l’un n’allait pas sans l’autre pour vraiment jouir. Rentré chez moi, j’ai essayé mes jouets et je les ai trouvés formidables. Notamment, c’était ma première pénétration anale et j’ai jouit comme une cochonne, sentant mon petit trous serrer par spasme, mon anus picket. En voulant planquer mes deux godes, j’ai trouvé dans le sac plastique, un papier avec un numéro de portable, c’était celui du gérant. Pendant trois nuits je me suis demandée ce que j’allais faire mais finalement l'excitation l'a emporté et j’ai fini par appeler. Le gérant m’a dit qu’il me trouvait bonne et que si je voulais jouer la salope dans son sex-shop et que j’aimais la bitte, il allait m’en faire donner et de la grosse…Il a été obscène, me disant que je serait son objet, sa pute, le vide-couilles de son magasin.

Au lieu d’être choquée et de raccrocher, je me suis mise à me toucher et à me prendre au jeu. Finalement, il m’a demandé de venir dans son sex-shop, le mardi suivant à 16 heures, il me voulait sans string ni culotte sous ma robe et que je porte des dim-up blancs et des hauts talons noirs. Lors de notre RDV, il a fait au début comme s’il ne me connaissait pas. J’ai flâné dans les allées, affrontant les regards pervers des mecs, mouillant déjà car j'étais très excitée. Alors que je regardait avec curiosité, le rayon vidéo gang-bang, un mec est passé derrière moi et m’a peloté les fesses. Finalement le patron m’a dit discrètement qu’il me donnait accès gratuitement au cinéma porno, et qu’il fallait que je me foute à poil et m’installe dans la salle de droite. C’était une petite salle avec peu de lumière et trois canapés en simili très froid. Une fois déshabillée, j’ai maté l'écran où un film hétéro ou deux blacks hyper-membrés défonçaient une américaine blanche. J’ai vu qu’il y avait quatre trous ronds d’un bon diamètre dans les parois du mur et qui donnaient sur une autre salle. Le patron est venu au bout d’un quart d’heure, en entrant il m’a dit : « alors salope, tu veux des vrais mâles, t’es venue te faire baiser, t’inquiète pas ma petite, on va s’occuper de ton trou à bittes, tu vas passer un bon après-midi et tu feras tout ce que je voudrais, compris ? » Il m’a d’abord caressé le seins sans ménagement en les pinçant, m’a fourré trois doigts dans la chatte puis me les a fait sucer. Il a sorti ensuite sa queue, énorme en regard de celle de mon mari (au moins deux fois et demi plus large). Il me l’a enfilé dans la bouche et m’a dit de le sucer en me branlant. Il m’a ensuite baisé la bouche avec force et a jouit puissamment sur mes seins après environ dix minutes de ce traitement. Il m’a emmenée ensuite à la salle deux où il y avait cinq hommes en train de se branler devant l'écran, tous avaient de belles queues. Il m’a complètement livrée à eux. J’ai été palpée, doigtée, caressée, j’ai sucé deux bittes à la fois, je croyais devenir folle de sexe.
J’ai été baisée par tous les mecs, se relayant tour à tour au fond de mon vagin, en levrette et sur eux, le plus costaud m’a même prise debout contre le mur, j’ai eu au moins quatre orgasmes, terribles. Cela a duré au moins deux heures, des mecs m’ont photographiée avec leur portable à mon insu, alors que je me faisait prendre la chatte, à califourchon sur le divan. Fatiguée, la chatte et la bouche en feu, j’ai rejoins la salle un, où le patron est venu me rejoindre avec un mec d’origine marocaine de 55 ans, prénommé Kader et doté d'une très belle virilité surmonté d'un gros gland cironcis. Il me l’a présenté puis pendant que celui-ci commençait à me bouffer la chatte, il est retourné dans le magasin pour chercher un gros gode noir à ventouse, d’un très fort diamètre. Il a mis du gel dans ma chatte et m’a fait m’exhiber devant eux. J'ai dû m’accroupir sur le gode en titillant mon clitos, et me l’enfoncer lentement, au plus profond de mon intimité. Pour finir, Kader m’a prise par les cheveux et à quatre pattes m’a sodomisée sans douceur en m’insultant en arabe et en me claquant les fesses. Malgré la douleur, l’excitation était à son comble, j’ai cru mourir de plaisir. Le patron s'y est mis aussi et m’a baisée en missionnaire pendant vingt bonnes minutes. Pour terminer cet après-midi mémorable, je les ai sucés et ils ont jouit tous deux dans ma bouche et sur mes seins. Kader m’a e à avaler son foutre, je ne l’avait jamais fait…J’étais fourbue, quand j’ai quitté le magasin que le patron avait fermé entre temps. En partant, il m’a dit que je pouvait l’appeler si ma chatte me démangeait et qu’il avait d’autres plans exhibs possibles pour moi. Il m’a dit à l’oreille que j’étais une bonne salope bien soumise, qu’il n’avait pas été déçu et que si je revenais le voir souvent, il me ferait franchir tous les degrés de la perversion…
Depuis d'autres aventures ont eu lieu, j'aime être offerte et dominée, j'adore repousser mes limites et suis ouverte à toute proposition sortant de l'ordinaire.
Mon mari ne sait toujours rien et me trouve seulement plus heureuse et en forme. J'attends vos commentaires pour passer à la suite de cette histoire bien réelle.

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