Une Decouverte Qui Changea Ma Vie : Corinne Et Le Vieux Paul (6)

Quatre ans se sont passés depuis ma rencontre envoûtante avec Christophe puis Kader. L’épouse fidèle mais insatisfaite que j’étais alors, était devenue peu à peu leur objet sexuel, leur vide-couilles comme ils se plaisaient à dire. Sous leurs ordres j’ai multiplié les aventures sexuelles dépravées, poussé toujours plus loin le vice et repoussé mes limites. J’ai beaucoup évolué et suis devenue très cérébrale et libérée. Début 2010, beaucoup de choses ont changé. D’abord Christophe s’est marié avec une allemande, une superbe blonde de huit ans sa cadette. Ils sont partis vivre près de Weimar. Le sex-shop d’Amiens où j’étais régulièrement exhibée et où j’aimais me faire baiser a donc changé de gérant. Je n’y suis plus retournée depuis. Heureusement, il y a toujours mon maître et amant Kader qui, s’il est moins disponible qu’avant, demeure toujours aussi inventif et surprenant. A cette époque, il a pris certaines habitudes les soirs où mon mec bossait de nuit. Parfois, il venait vers deux heures et me sodomisait dans notre lit conjugal ou encore il m’emmenait dans un chantier pour me livrer à des ouvriers immigrés. Quand il venait dès le départ de mon mari, c’était pour m’emmener à Lille. Il m’attachait à un arbre dans les friches de la citadelle, puis m’accrochait ensuite une pancarte sur laquelle on pouvait lire « je suis un sac à foutre, baisez-moi fort». Il me faisait prendre à la chaîne pendant une partie de la nuit par les mecs qui passaient, en leur imposant la capote. Une fois il m’a même fait sucer ensembles deux gays qui avaient baisé non loin de l’arbre où je me trouvais prisonnière.
Quand mon mari a perdu son emploi en avril, suite à la crise, c’est devenu plus difficile, il était souvent là et je n’étais plus aussi disponible pour Kader. Heureusement, suite à une formation, j’ai trouvé un emploi d’aide à domicile qui me permet de quitter le foyer sans éveiller les soupçons de mon mec. Depuis quand je pars faire ma tournée, je téléphone à Kader qui s’arrangea pour me rejoindre quand il peut.

On baise dans la voiture, les chiottes de l’autoroute ou parfois en pleine nature, comme dans les bois de Vimy. J’aime ce nouvel emploi qui m’a donné l’occasion de nouvelles aventures palpitantes. J’ai aujourd’hui envie de vous les confier…

Un de mes patients régulier est le vieux Paul. Assez bien mis pour ses 70 ans, il a été opéré d’un kyste sous la cage thoracique et a besoin d’aide chez lui pour le ménage. Dès le premier jour, j’ai compris que j’avais affaire à un vieux cochon. Il matait mon cul quand je me baissais ou s’arrangeait pour m’entrevoir quand je changeais ma blouse. Tantôt cela m’amusait, tantôt cela m’agaçait en fonction de mon avance ou de mon retard sur le planning. Plusieurs fois j’ai vu entre ces jambes une belle bosse caractéristique qui montrait que je ne le laissais pas indifférent. Il a été jusqu’à me frôler les fesses, un jour ou j’étais en train de récurer sa baignoire. Je m’étais contentée de lui lancer un regard noir…
Un soir, après que Kader m’eut baisée en levrette dans sa bagnole, je lui ai raconté le manège du vieux Paul. Kader m’a sourit, m’a demandé si cela m’émoustillait, puis il m’a dit que pour la prochaine fois, il faudrait que je sois très « sexe » pour aller chez ce patient. C’était un ordre et sa belle femelle devait obéir. Il m’a demandé le numéro du patient et je lui ai donné. Il a ajouté qu’il me préparait une surprise comme au bon vieux temps. Le dimanche soir, je recevais un mail. Les ordres de Kader étaient embarrassants. Il fallait que je me rende chez le vieux Paul, nue sous ma blouse, portant des bas couture noirs et avec un plug anal dans l’anus.
Le mardi matin, j’ai reçu un appel téléphonique du vieux Paul qui m’a dit de prévoir de quoi faire sa toilette car il se sentait fatigué. Ce n’était pas à son habitude, jusqu’ici il ne m’avait demandé que de l’aider à se coiffer. Il a ajouté qu’il m’attendait avec impatience…
Vers 16h30, j’arrive chez mon patient. J’ai obéi aux consignes de Kader par habitude, intriguée du sort qui m’est réservé.
Je me suis mise dans la tenue de soumise prescrite. Le vieux Paul a un sourire aimable en me voyant, mais dans ses yeux, je crois lire la perversité. La toilette se déroule sans encombre. Ensuite, le vieux Paul me demande de l’aider à faire sa toilette intime car son pansement l’empêche de se pencher correctement. Je lui donne sans arrière pensée l’aide nécessaire et après avoir desserré sa ceinture, lui baisse son pantalon. Je suis alors toute surprise de le voir me prendre l’épaule et me dire :
- « çà te dirait de me faire une petite pipe ma jolie ? »
Tout de suite une odeur de négligé me parvient. Son slip est auréolé de tâches jaunes et parait assez immonde. Par amour pour Kader, je surmonte mon dégoût et je le baisse jusqu’à mi-cuisse. Je découvre un sexe de taille respectable avec de lourds testicules. Hésitante, j’approche mon visage de sa grosse verge aux poils gris. Il ne bande pas encore. Je saisis maladroitement sa hampe et décalotte son gland. Sa queue est grasse de sperme et une forte odeur s’en dégage. J’en ai un haut le cœur. Voyant mon mouvement de recul, il me serre très fort le bras :
- « Allez, fait pas ta mijaurée, suce moi à fond… Kader m’a dit que t’étais une bonne salope qui ne refuse rien. Je me suis branlé dans mon slip en pensant à ton cul depuis deux jours, j’ai tout gardé pour toi. T’aimes pas les grosses queues ma belle ? »
J’essaie de me dégager et le fixe droit dans les yeux :
- « J’aime les grosses queues quand elle bandent fort. La votre est molle et elle pue l’urine et le foutre, c’est écœurant ! »
Il ricane me serre le bras de plus belle :
- « Allez à genoux, Kader m’a dit que j’avais tous les droits sur toi, tu vas voir si je bande pas, tu vas aimer salope ! »
Il me fait mal à l’avant bras, je suis e de m’agenouiller et de saisir sa queue. Avec hésitation j’entame un va et vient qui décalotte son prépuce et fait apparaître son gland violet et malodorant. Rapidement sa verge gonfle, elle n’est pas très longue, peu être 18 ou 19 cm mais me semble très large, quoiqu’en comparaison avec mon mari, tous les sexes me semblent maintenant très larges…Elle doit bien faire 6 cm de large, çà me semble énorme.
Et ma tutrice qui me disait pendant les cours de toilette que les vieux ne bandaient plus vraiment !!
Le vieux Paul constate ma surprise et ces yeux brillent de lubricité
- « Alors, t’as vu si je bande pas, petite garce, allez suce-moi maintenant ! »
Il me saisit par la nuque mais cette fois, sa main me serre un peu moins fort qu’auparavant. Je combats mon dégout. Je ferme les yeux et en apnée, je pose d’abord mes lèvres sur son gland. Je salive beaucoup pour nettoyer les traces de sperme séchées et le vieux m’encourage :
- « Allez, crache sur ma bitte, lubrifie-la bien, tu vas la prendre entière dans ta bouche. »
Je lui obéis, Kader a dit de tout faire pour le satisfaire. Sa queue est entièrement bandée et décalottée maintenant. Peu à peu je m’habitue à son goût fort. J’ouvre maintenant les yeux et observe cette pine luisante de salive que je suis en train de nettoyer. Je la branle un peu puis glisse ma langue sous le gland et le titille.
- « Ha salope, tu me fais du bien ! t’as vu que t’aime la bitte, dis le ! »
Oui j’aime la bitte. Mes instincts de femelle soumise sont en train de se réveiller. J’ai chaud entre les cuisses et je suis bientôt moite. Je prends maintenant sa queue à pleine bouche et alterne en faisant virevolter ma langue sur son gland. Le vieux apprécie. Il écarte un pan de ma blouse et caresse ma poitrine libre sous le tissu. Il titille mes pointes qui, très réactives, ne tarde pas à durcir. Je glisse une main entre mes cuisses et tente avec deux doigts de calmer la chaleur qui irradie mon vagin. Le vieux Paul s’en aperçoit et s’écrie :
- « Haha, ma cochonne, çà te plait tellement que tu te branles en me suçant. Tu mouilles ? »
- « Oui Monsieur, humm, je mouille, ma chatte est bien ouverte vous m’excitez avec votre grosse queue. »
- « Alors petite dépravée, tu aimes sucer les queues des vieux, elle est grosse hein ? Plus grosse que celle de ton cocu de mari ! »
Ses paroles me transcendent.
Cuisses bien ouverte, mes doigts plantés au fond de mon vagin, je sens l’orgasme monter. Je lui réponds entre deux soupirs :
- « Oui, elle est bonne, si grosse et bien plus large que celle de mon mari, j’adore… »
- « Tu la veux au fond de ta chatte, tu veux que le vieux Paul te baise à couille rabattues ? »
- « Oui, monsieur, baisez moi, faites ce que vous voulez avec moi. »
- « T’es une bonne chienne, ma petite et je vais t’en donner. Mais patience, il y a quelques mois que j’ai pas baisé tu vas d’abord me faire jouir dans ta bouche que je dure plus longtemps au fond de ta chatte. Allez, sors ta langue de salope ! »
Je suis comme en transe, je sors ma langue sous son gland et le vieux se branle énergiquement pendant que je m’astique le bouton. Soudain il se crispe et pousse comme un cri de douleur. Son gland pourpre se met à cracher une quantité impressionnante de sperme. La première saccade part au fond de ma gorge et je ne peux rien faire d’autre que de l’avaler. Une seconde toute aussi forte me nappe la langue et coule de ma bouche sur ma poitrine. La troisième me touche en plein visage et sur les yeux.
- « Tiens, prend tout mon foutre, avales ma belle ! »
Je ne tarde pas à jouir à mon tour. Mes sphincters serrent par spasmes le plug enfoncé dans mon anus, c’est divin. Transcendée, je me mets à tutoyer mon malade.
- « Oui, c’est bon, donne moi tout vieux salop, jouis bien dans ma bouche ! »
J’avale avec gourmandise son éjaculation. Le vieux pervers frotte son gland contre mon visage, il récupère ce qui s’est répandu vers ma bouche et m’oblige à me délecter jusqu’au bout de son foutre. Puis, il tombe à genoux. Il reprend peu à peu ses esprits, me sourit. Je me crois sauvée, je l’ai vidé le vieux, il va me foutre la paix ! Je me redresse et tente de me réajuster. Je sens bientôt son souffle derrière moi.
- « Attend ma belle, ce n’est pas fini, prête pour le grand frisson »?
-« Mais, vous avez eu votre compte, vous n’en avez donc jamais assez ?
Fis-je surprise et quelque peu agacée.
- « Au téléphone, Kader m’a dit : tout ce que je voudrais, tu sais ce que ça veux dire TOUT ? »
- « Vous êtes vraiment un vieux cochon plein de vices ! »
Il s’approche de moi pelote mes seins puis caresse mes fesses fermement. Très directif, il me fait me retourner, enlève les cinq boutons de ma blouse blanche. J’apparais nue devant lui, avec pour seul vêtement mes bas à couture noirs, comme Kader me l’avait ordonné.
Le vieux a un sifflement admiratif :
- « Dis donc, t’es vachement bien foutu pour une nana de presque 40 ans, tu t’entretiens bien ! »
Il s’approche, m’attire contre lui et commence à m’embrasser. Sa langue trouve la mienne pendant quelques instants. Il embrasse très bien et se fait très doux. Je suis aux anges. Je sens son sexe commencer à se redresser contre ma chatte. Mon corps semble l’exciter fortement.
Tout en continuant à me rouler une pelle, sa main droite s’égare vers me fesses et son pouce ne tarde pas à rencontrer le socle de mon plug anal. Il arrête son baiser, me dévisage un instant :
- « Tout ce que m’a dis Kader au téléphone était donc vrai, une vrai pute juste bonne à se faire baiser, tu aimes l’anal, petite ? »
Je lui dis en baisant légèrement les yeux que les aventures extraconjugales que m’avait fait connaître Kader m’avaient vite appris à accepter cette pratique dont je ne pouvais plus me passer maintenant. Il joue un instant avec le plug, fis comme s’il veut le retirer puis se ravise et le replace au fond de mon fondement.
-« Je ne vais pas profiter de la totalité de tes trous tout de suite, de toute façon tu reviendras bientôt aider le vieux Paul à se laver. La prochaine fois, peut-être que j’aurai juste envie de t’enculer… Tu prends la pilule ?
- « Non, je porte un stérilet, c’est mieux vu le nombre d’amants inconnus que Kader m’impose. Certains soirs, dans la salle cinéma du Sex Shop d’Amiens, j’ai été baisée et sodomisée par plus de dix mecs différents ! »
Il a l’air songeur :
- « Mais les MST dans tout çà ? »
- « Kader organise tout, il prépare ses plans et vérifie que les participants aient fait récemment un contrôle HIV, je lui fais confiance c’est un maître formidable et un bon amant »
Le vieux sourit, il m’avoue que Kader lui a bien entendu aussi demandé une preuve de test HIV. Il ajoute l’avoir envoyée la semaine précédente par la poste.
- « Alors, si tout est en ordre, ma petite, maintenant tu vas t’en prendre plein la chatte ».
Il installe le drap de bain prévu pour sa toilette sur le sol, se rallonge dessus et me commande :
- « Allez, viens t’empaler sur moi !»
Il branle sa grosse biroute qui déjà s’est nettement redressée. Je m’approche, le caresse un peu sous les couilles, effleure d’un doigt son anus, il bande suffisamment fort pour me pénétrer.
Il me fait placer à califourchon en me confiant que c’est mieux pour son dos. Je m’installe au dessus en faisant attention à ne pas toucher son pansement. Je saisis son sexe et le présente à l’entrée de ma grotte humide. Le gland force, sa bitte est vraiment large et malgré la mouille, elle a du mal à se frayer son chemin.
- « Aïe, vous êtes gros, çà me fait un peu mal »
Il plaisante :
- « Hé oui ma belle, voilà ce que c’est qu’avoir un mari monté comme un ! Allez concentre toi, bouge doucement ton bassin, tu sens, elle s’enfonce doucement, je te dilate bien la chatte, hein ? »
Il me fait déjà de l’effet. Ma chatte est rouge et distendue. J’ai beau l’écarter au maximum avec mes doigts, son chibre ne rentre pour l’instant que de la moitié.
- « Humm… je vous sens bien, elle est vraiment très large, je la sens qui touche le plug à travers la paroi de mon vagin, c’est curieux comme sensation, mais tellement bon ! »
- « T’aime çà hein, c’est comme une double pénétration, vas-y bouge, je veux te la mettre à fond »
J’ondule doucement le bassin et centimètre par centimètre, sa queue dure s’enfonce dans ma chatte. Je sens son gland toucher bientôt contre mon utérus. Il me remplit totalement.
- « Voilà tu vois, bien embrochée et sans aucun lubrifiant, quel effet çà fait ? »
Je commence en cadence à chevaucher le vieux Paul, d’abord lentement puis plus rapidement. De nouveau une douce chaleur envahit mon bas ventre, je mouille et le lubrifie maintenant bien, sa verge coulisse sans soucis, je suis maintenant complètement dilatée, c’est une sensation divine.
- « Haa, Ouuii ! C’est bon, encore, regardez comme elle rentre bien, c’est bon, qu’est ce que vous baisez bien, encore, ouiii !»
La queue du vieux me mets les sens en feu. Une nouvelle fois dans le feu de l’action, je confonds le vous et le tu :
- « Encore, baisez moi encore, allez mets la moi profond, hooo, prenez-moi plus vite maintenant, oooh je jouis, ouiii, c’est bon ta grosse queue dans ma chatte, défonce-moi encore ! »
Le vieux est aux anges, il savoure l’instant, il alterne les coups de reins, sors parfois totalement de ma chatte ruisselante, puis me prend profond et de plus en plus vite.
Notre partie de jambe en l’air ne dure pas très longtemps. Paul n’est malheureusement plus de toute jeunesse et n’a visiblement plus l’habitude de baiser. Il s’écrie bientôt :
- « Putain, je vais bientôt jouir cochonne, j’vais pas tarder à la remplir ta petite chatte ! »
Je n’en peux non plus. Sa bitte s’acharne au fond de moi dans un clapotis d’enfer, j’essaie de réduire la cadence et de serrer mon vagin pour qu’il emprisonne bien sa queue :
-« Ouiii, vas-y, donnez moi votre purée, remplis bien ta salope, c’est bon ouiii, quel pied, bon dieu ouiii ! »
Je pars dans un orgasme fulgurant mais mon cavalier ne tarde pas à me rattr, il explose à grand bruit :
- « Tiens ma belle, prend tout au fond de ta chatte, aaah, quelle salope tu fais, putain c’est bon, c’est bon ! »
Je suis vidée m’ai j’évite de m’effondrer sur lui pour ne pas lui faire mal. Accroupie, je reste empalée sur son dard quelques minutes, je le sens dégonfler peu à peu. Lorsque je me redresse, une quantité de foutre presque aussi importante que tout à l’heure s’écoule de mon vagin et s’étale sur son ventre.
Le vieux Paul sourit. Il se redresse, me saisit par la taille et sans ménagement enlève le plug de mon anus. Il le trempe dans la petite flaque odorante de nos ébats et me replace le toy bien au fond des fesses. Puis il met une bonne claque dessus en disant :
- « Tiens, çà te fera un petit souvenir de moi »
- « En fait de souvenir, ma chatte en aura certainement un encore jusqu’à ce soir, elle est toute distendue ! » dis-je en rigolant.
L’excitation retombe, je me réajuste, reprend mes esprits. Puis je me concentre sur mon job, j’aide le vieux Paul à faire sa toilette. Je lui lave sa belle queue avec précaution, passe le gant sur ses lourds testicules. Je ne peux m’empêcher de déposer un baiser sur son gland. Une goutte perle encore du méat…
Je l’aide enfin à s’habiller et à s’installer dans son fauteuil. Il regarde ensuite un programme à la télévision, pendant que je m’occupe de son ménage. Puis je viens pour lui dire que j’ai terminé et que je men vais. Il m’attire une dernière fois à lui, me donne encore un langoureux baiser. Ses doigts s’égarent dans les poils encore humides de mon vagin rempli.
- « Tu reviens quand ma petite cochonne ? »
- « Mardi prochain, Monsieur Paul !»
Alors il rétorque :
- « Oui, bien sûr, alors à Mardi, pour la toilette … »
Puis il me fait un clin d’œil et me place une petite tape sur les fesses :
- « Pour une toilette cochonne, avec ta langue … »
Je le quitte en souriant. Dehors, il fait presque nuit. Avant de monter dans la voiture, j’allume une cigarette et flâne quelques instants. J’ai encore le goût de son foutre salé sur ma langue… Perdue dans mes pensées je me surprends à sourire : Quel vieux pervers, mais quel sacré bon baiseur ce Paul !

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