Quand Deux Générations Se Rencontrent

UN APRES-MIDI TORRIDE (racontée par Aline) (13)
Bonjour,
C’est moi, Aline. Je suis étudiante à l’école normale pour être enseignante, professeur d’histoire, si possible. La semaine, je loge dans une chambre chez une dame âgée, très gentille, dont vous allez faire la connaissance au cours de votre lecture. En principe, les week-ends et pendant les vacances, je reviens chez mes parents à Beaucoin la forêt, petit village du sud ouest de la France.
Nous sommes fin mai. Le printemps est bien installé, il fait beau.
Ce samedi, j’attends Ginette, ma copine de toujours, qui fait des études de droit dans la même ville. Elle vient m’aider à réviser pour l’examen qui aura lieu le mois prochain. Demain, mon père viendra nous chercher.
Quand j’accueille Ginette, nous croisons Madame berthe, ma logeuse.
-« Bonjour, madame, lui dit-on.
-Bonjour jeunes filles. Vous allez bien travailler... Aline il ne faut pas rater ces épreuves.
-Faites-moi confiance, mamie Berthe, je vais mettre toutes les chances de mon coté. Ginette va m’aider et nous allons y arriver.
-Ginette, je compte sur vous aussi. Vous savez combien j’aime bien Aline. Pour moi, c’est un peu ma petite fille.
-Je sais madame. Je peux vous dire aussi qu’Aline vous aime bien et serait malheureuse si elle vous décevait. Nous allons bien réviser cet après-midi.
-Moi je vais profiter de ce beau temps pour aller faire une promenade avec les dames de notre club. Allez, travaillez bien... »
On se quitte et avec Ginette, nous finissons d’arriver dans ma chambre.
-« Dis-moi, Aline, pourquoi tu appelles Madame Berthe mamie ? Elle n’est pas ta grand-mère ?
-Non, mais elle est tellement gentille, je la considère comme une grand-mère que je n’ai jamais eue. C’est une dame qui était chef de je ne sais quel service dans une banque. Son mari avait un cabinet d’assurance. Il y a quinze ans environ ; il a fait une rupture d’anévrisme.

Il est resté paralysé. Berthe a abandonné son travail pour le soigner et l’aider à survivre. Il est mort cinq ans après. Sa femme n’a pas repris son emploi. Elle a bénéficiée de la retraite anticipée. Elle se retrouve seule depuis que leur fils est parti s’établir au Canada. Elle n’a jamais cherché à refaire sa vie, avec un autre homme, par fidélité à son époux. Je suis sa première locataire depuis deux ans. On a fêté ses soixante deux ans le vingt trois décembre dernier. En prenant de l’age, elle voulait une présence à coté d’elle. Elle est gentille mais a des principes bien arrêtés. Par exemple, elle ne veut pas que des garçons viennent passer trop de temps avec moi, ici. Dés le début, nous avons sympathisé. Elle prépare de bons petits repas que nous partageons. Elle fait le ménage dans ma chambre. Mes parents lui ont offert une machine à laver, elle lave mon linge avec le sien. Je suis chez elle comme chez moi ; toute sa maison m’est ouverte. Je respecte son intimité comme elle respecte la mienne. La pension n’est pas très chère.
-Tu en as de chance. Moi je partage ma chambre d’étudiante avec une fille super mais qui fume. Elle me demande de laisser la place quand elle se fait sauter parfois par le premier garçon venu. Ça me gène beaucoup. L’année prochaine, je pense trouver ailleurs.... Bon si on travaillait un peu... »
Nous nous organisons. Ginette prend mes cahiers ou mes bouquins pour établir une série de questions. Je relis mes notes pour rafraîchir ma mémoire.
Tout en me posant ses questions, Ginette ne peut s’empêcher de marcher dans la chambre. Elle joue bien son rôle d’examinatrice.
Nous travaillons depuis une heure environ quand Ginette voit un objet, qui lui parait insolite, entre le lit et la table de chevet.
-« Qu’est ce que c’est que ça, me demande-t-elle ?
-C’est un morceau de manche de pelle que mon père a transformé en gourdin. Il me l’a donné pour me défendre en cas d’agression. Je ne sais pas si c’est efficace mais je l’ai pris pour lui faire plaisir.
Je l’ai teinté et verni. Il est ici plus pour me rassurer que pour me défendre au cas ou... »
Ginette prend l’objet et l’examine : Il fait environ cinquante centimètres de long, quatre ou cinq de diamètre, les bouts arrondis traversé par un lacet à passer, éventuellement, autour du poignet pendant son usage, pour ne pas l’échapper.
-« Dis donc, si tu ne t’en sert pas de matraque, tu peux toujours t’en servir de godemiché...
-Ça ne va pas !!! ... tu as toujours des idées mal placées... Le sexe, c’est une vraie obsession chez toi... Tu te vois avec ça dans la chatte ?
- Pourquoi pas... C’est possible...Tu ne peux pas savoir si tu n’as pas essayé...
-Si le coeur t’en dit, ne te gène pas. Je te défie de te le mettre
-Chiche ! Si j’y arrive, tu y auras droit toi aussi.
-Chiche !... ».
A ma grande surprise, Ginette enlève sa robe et sa culotte. Elle prend de la salive sur ses doigts pour mouiller le gourdin. Elle met un pied sur une chaise ouvrant ainsi son sexe et y présente le gourdin entre ses lèvres intimes. Elle pousse doucement. Je suis étonnée de voir l’engin entrer dans son vagin. Ginette a les yeux fermés, la bouche ouverte murmurant : « C’est bon ! C’est merveilleux ! Je le sens ! Je mouille ! Je bande ! Je vais me faire jouir ! ».
Je ne peux que la regarder médusée. Quand elle arrive au fond de sa vulve, elle fait des vas et viens de plus en plus rapides. Je la voie rougir, serrer les dents, gémir. Je vois son plaisir monter très vite. Sans s’arrêter, elle s’allonge sur mon lit. Une mousse blanche se forme entre les lèvres de son sexe et le manche. Ginette accélère la cadence de ses mouvements, elle râle de plus en plus fort, respire de plus en plus vite. Soudain, c’est un cri du fond de sa gorge quelle pousse. Elle ralenti et arrête cette masturbation hors du commun. Elle reprend son souffle, ses esprits, son calme.
Quand elle peut parler, elle me dit : « Aline, tu ne peux pas savoir ce que je viens de jouir.
C’était un enchantement. J’ai rarement connu un orgasme pareil, même avec le meilleur des garçons... Je te l’ai dit, c’est un merveilleux gode qui te rempli bien. Tiens, à ton tour », me dit-elle en retirant l’engin de sa chatte.
Elle me le tend. Il est encore tout imbibé de sa mouille. Je le regarde. L’envie d’essayer me tante mais ses dimensions me font hésiter.
-« Allez me dit Ginette. Je sais que tu peux le recevoir. Je connais bien ta grotte d’amour pour l’avoir explorée souvent. Tu veux peut-être t’exciter avant. Déshabilles toi, on va se faire mouiller comme dans le temps. Tu aimes toujours, j’espère » ?
Sur ces parole, Ginette s’avance vers moi, défait les boutons de ma robe, me l’enlève, baisse mon slip, ôte mon soutien gorge. Je suis nue devant elle. Des souvenirs d’adolescente me reviennent. Je me revois en train de me faire masturber et bouffer la chatte par Ginette, dans ma chambre, chez mes parents. Elle me prend par les épaule, me guide vers le lit ou elle me fait allonger. Elle se couche à coté de moi, m’enlace, m’embrasse sur la bouche, une main couvrant ma vulve, un doigt s’y enfonçant. Je ne peux résister à un tel assaut. Je me sens partir vers une jouissance profonde et forte à la fois.
Ginette fait des cercles avec son doigt autour de mon bouton sans y toucher. Elle sait faire durer le plaisir. Elle sait faire venir l’orgasme, depuis le fond de mes entrailles jusqu’à mon coeur, jusqu’à mon cerveau. Tout mon corps est parcouru de décharges électriques. Je mouille, je râle, je me sens partir vers le paradis.
Ginette voit que je vais « exploser ». Elle ralentie un peu. Elle att le gourdin et le présente à l’entrée de mon vagin. Elle en écarte les lèvres et pousse sur le manche. Doucement, le passage s’ouvre. L’engin avance lentement dans ce gouffre mouillé et glissant à souhait. Je sens sa pénétration. J’imagine qu’un sexe d’extraterrestre me défonce en douceur. Je me tends vers lui, l’appelle de tout mon être. J’en veux encore plus.
Je veux le sentir au fond de moi. Quand il y arrive, Ginette lui donne un mouvement de va et vient, d’avant en arrière. Elle me branle en douceur et de plus en plus vite au fur et à mesure qu’elle voit mon plaisir monter. Nous ne parlons pas mais nous nous comprenons. Nous savons ce que chacune doit faire. Nous savons ce que chacune attend de l’autre. N’y tenant plus, je laisse éclater ma jouissance en un long cri. Tout mon corps se contracte. Je me cambre et me tends comme un ressort.
Quand je retrouve mon calme, je voie mon gourdin encore planté dans ma chatte. J’ai du mal à réaliser qu’il a pu y entrer aussi facilement, y coulisser à l’aise et me donner un tel plaisir. Ginette me tient dans ses bras. Elle me masse doucement de la poitrine à mon pubis. A chaque passage, un doigt joue quelque temps avec les poils de mon triangle. Je suis bien. Il me semble que je flotte dans cet air printanier si doux.
Ginette retire ce phallus improvisé de ma vulve et se met à le lécher. Elle me le tend pour me faire goûter ma mouille.
Nous nous retrouvons sous la douche, l’une savonnant l’autre. Nous exprimons nos sensations de cette nouvelle expérience.
Ginette m’avoue : « Aline, j’avais vu cet engin depuis un moment. Je me suis posée la question de savoir à quoi il pouvait bien te servir. Comme je te l’ai dit, j’ai pensé à un objet de plaisir sans trop y croire. Mon imagination a fait le reste. Plus j’y pensais, plus je me voyais avec ce chibre entre les jambes, plus je mouillais. Quand tu m’as lancé le défi, je n’ai pas hésité. J’étais sure qu’il allait rentrer, lubrifiée comme j’étais. Tu as pu voir que j’ai bien mouillé. Tu n’as rien senti quand je te l’ai mis. »
Nous avons remis de l’ordre dans la chambre. J’ai raccompagnée Ginette jusqu’à l’arrêt de bus. Nous nous sommes promis de recommencer.
A mon retour, j’avais envie de prendre un peu de café pour me remettre de ces émotions. J’étais dans la cuisine quand mamie Berthe est rentrée.
-« Alors, Aline, tu as bien travaillé ?
- Ho oui. Ginette m’a été d’un grand secours. Avec elle, j’ai compris certaines moeurs du temps des rois de France. Nous avons bien révisées nos connaissances anatomiques.
-Moi je me suis bien promenée. Nous sommes allées jusqu’au canal et avons fait plus de quatre kilomètres sur le chemin de halage. J’ai eu bien chaud. Si tu permets, je vais prendre une bonne douche et me mettre à l’aise.
-Faites donc, vous êtes chez vous. Moi aussi, j’ai pris une douche quand Ginette est partie. J’avais un peu soif, voyez, j’étais en train de boire un café.
-Ma petite Aline, je voudrais te demander un service, mais je n’ose pas trop...
-Il ne faut pas vous gêner mamie Berthe, vous savez bien que je ferais n’importe quoi pour vous être agréable.... Alors dites-moi....
-Voilà, je vais me doucher et je souhaiterais que tu me passes un gant de crin dans le dos.
-S’il y a que ça, c’est avec plaisir mamie Berthe.
-Merci, tu es une adorable fille. Allez, on y va... »
Je l’accompagne à la salle de bain. Un peu hésitante, elle commence à se déshabiller. Quand elle a enlevé sa robe, je suis surprise de voir sa poitrine si bien dessinée et surtout encore bien ferme. Il me semble qu’elle pourrait se passer de soutien gorge.
-« Nous sommes entre femmes, ça ne te gêne pas que je me mette toute nue ?
-Non ! Mamie Berthe. C’est souvent qu’avec maman nous nous douchons ensemble. »
Elle enlève son soutien gorge. Deux beaux seins bien ronds retrouvent leur liberté. C’est a peine s’ils tombent. Leurs tétons sont bien plantés au milieu de deux auréoles marron foncé.
-Ces soutiens gorges synthétiques ne valent rien quand il fait chaud. Regarde, je suis toute rouge là dessous », me dit-elle en me montrant les traces sous ses seins.
Elle ôte sa culotte en coton. Je peux admirer sa belle toison, bien brune, bien épaisse, bien frisée. J’ai l’impression qu’elle est peignée. Elle forme un triangle dont la large base se trouve à peu prés à mi-chemin entre son nombril et son pubis. La pointe se perd entre ses cuisses rondes et apparemment fermes. Elle n’a pas un gramme de cellulite. Si son bassin est large, elle n’est pas enveloppée. La graisse ne déforme pas ce beau corps de sexagénaire.
Elle ouvre les robinets, règle la température, entre dans la baignoire et commence à se mouiller. Elle se savonne. Elle me regarde, me tend le gant et me demande de lui frotter le dos. Ce que je fais consciencieusement. Je suis surprise d’éprouver un plaisir sensuel de frotter ce corps bien conservé et entretenu de femme, qui pourrait être ma grand-mère. Elle se champoinne la tête et,... sa toison intime. Elle voit ma surprise : « Même ça, si je ne l’entretien pas comme il faut, elle devient laide et risque sentir mauvais » - me dit-elle en me montrant son sexe.
Après s’être rincée, elle me fait passer un gant de crin et me dit :
-« Vas-y, frotte bien partout sur mon dos, sans trop appuyer. Ça fait du bien, ça aère la peau, ça enlève les peaux mortes, ça fait circuler le sang. Tu n’as peut-être jamais essayé. Si tu veux, je te la passerais après.
-Je veux bien. »
Je frotte doucement, partout, de haut en bas, de bas en haut. A chaque fois, je descends un peu plus sur ses fesses, j’essaye de passer entre, je fais le tour de ses cuisse et m’approche de sa vulve. J’éprouve de plus en plus de plaisir. Je sens que je mouille. Il me semble que mamie Berthe ne reste pas indifférente. Au bout d’un moment, j’arrête, me déshabille et entre dans la baignoire en présentant mon dos à la mamie à qui j’avais passé le gant. Elle commence par le haut, mes épaules, de droite à gauche et inversement, de bas en haut. C’est vrai qu’au début ça gratte un peu. Très vite je sens une douce chaleur m‘ envahir. Elle descend, arrive à mes fesses. Elle me demande de me retourner. J’ose à peine, tellement je mouille. J’en ai plein ma toison. Mamie Berthe est devant les robinets, ce qui m’empêche de me rincer. Tant pis, je fais demi tour en espérant qu’elle n’y verra rien. Peine perdue, c’est la première chose qu’elle remarque.
-« Tu vois, quand je te dis que ça fait du bien... et ça t’a fait du bien – dit-elle en fixant mon intimité.
- Ho, oui, je n’y croyais pas. Je vais être obligée de me relaver.
-Pas encore, il faut frotter devant maintenant. Si tu veux, je vais te le faire. »
Joignant le geste à la parole, elle commence par le cou, les épaules, puis en travers et en descendant. Arrivée à ma poitrine, elle passe légèrement sur mes seins.
-« La dessus, il ne faut pas trop insister, c’est fragile ces belles choses-là – dit-elle en déposant un baiser sur chacun d’eux. Mon Dieu, comme tu as la peau douce. Ça ce voit que tu es jeune.
-Vous aussi, mamie, vous avez une belle peau. Vous permettez ? – lui dis-je en lui embrassant chaque sein. La peau est douce et sent bon.
-Je n’ai jamais négligé leur entretien. Je dois remercier mon pauvre mari, il savait si bien me les masser.
-Ah bon, il y a un massage particulier pour les seins ?
-Tu verras quand tu auras un homme ? S’il sait y faire, tu auras une belle poitrine toi aussi... Je dois reconnaître que n’avoir eu qu’un seul a bien arrangé les choses. Tu ne te les masses pas quelques fois tes seins ? – me dit-elle en me fixant droit dans les yeux.
-Si, de temps en temps – lui répondis-je en rougissant
- Il n’y a pas de honte à ça. Tôt ou tard, toutes les filles et les femmes le font. Moi, même à mon age, de temps en temps, je le fais. Il faut savoir se maintenir en forme. Il n’y a pas que les seins dont il faut s’occuper... Je n’ai pas voulu chercher et trouver un homme après la mort de mon mari. Aujourd’hui, je regrette un peu, ça me manque. Tu n’as pas de copain ? Tu es peut-être encore vierge ? Tu ne sais peut être pas ce que c’est que donner et recevoir du plaisir ? »
Tout en parlant, j’avais récupéré un gant de toilette. Je me savonnais la vulve sous le regard de mamie. Elle n’était pas en reste. Elle avait abandonné le gant de crin pour s’occuper des poils de sa chatte. Elle les enroule autour de ses doigts pour les faire friser. Souvent son majeur s’égare sur son clitoris pour un petit massage. Aucune pudeur ne nous retient.
-« Si mamie, Dans mon village, il y a un garçon et une fille qui ont su me faire goûter à ces plaisirs. La première fois que j’ai fait l’amour avec ce garçon, j’avais une grande appréhension. Il a été très respectueux de mes désirs et très doux. Michèle, la fille, était là aussi. Elle m’expliquait ce qu’il allait me faire, ce que je devais faire. Je n’ai pas eu mal. J’en ai même redemandé. De temps en temps, nous recommençons. Chaque fois, il y avait quelque chose de nouveau. Si je n’ai pas de copain « attitré », c’est que la plupart des garçons sont en Algérie, d’autres sont jeunes et ne savent pas s’y prendre. Les plus anciens sont casés ou ne veulent que « tirer un coup ». Il y a trop de risques d’avoir un bébé. J’ai même partagé le plaisir avec des filles.
-Si tu savais, ma petite Aline tout ce que j’ai fait avec des filles ou des garçons, aujourd’hui tu aurais peut-être honte de moi, mais je ne regrette rien, je pense même que je n’en ai pas assez profité ».
Tout en parlant, nous nous étions rapprochées l’une de l’autre. Avec le gant de toilette j’essuie mon entre jambe qui coule comme une petite source. Je regarde le triangle velu de mamie Berthe, il est tout luisant de cyprine. Mon coeur bat la chamade. Je me sens rouge de mon audace. Mamie Berthe a les jambes qui tremblent. Nous ouvrons les robinets pour nous rincer. Prenant chacune une serviette, nous nous essuyons mutuellement. Je suis surprise de sentir la main nue de Berthe qui caresse ma vulve. J’en éprouve un certain plaisir. Je lui rends la pareille. Je pose une main sur sa touffe et tente de faire pénétrer un doigt. Elle répond en ondulant du bassin. Je la sens toute mouillée. Je n’aurais jamais pensé qu’à son age,... une femme puisse encore jouir. Je trouve son clitoris. Un de mes doigt tourne autour, il gonfle, s’allonge, sort de dessous son capuchon. Je me prends au jeu et veux savoir jusqu’où on peut aller. Je ne tarde pas à savoir car mamie Berthe me murmure à l’oreille : « Si on allait dans la chambre, tu ne crois pas qu’on serait mieux ? »
Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous retrouvons allongées sur un lit, dans les bras l’une de l’autre. Chacune masturbe l’autre jusqu’à l’orgasme que nous avons en même temps. Pendant l’accalmie qui suit notre débauche, une idée me vient. J’y pense de plus en plus. Le calme revenu, je dis à mamie Berthe : « Mamie, si je trouve un copain qui voudrait vous donner du plaisir, vous accepteriez ?
-Pourquoi pas. Si tu le connais bien, je te fais confiance, mais voudra-t-il d’une vieille femme comme moi ?
-Mamie, vous n’êtes pas vieille, vous êtes simplement âgée. Vous êtes encore belle et désirable. Le garçon à qui je pense sait faire la différence entre l’amour sentimental et les plaisirs sexuels. Je ne vous garantis pas qu’il acceptera...
-Merci ma chérie de penser à mon bonheur. »

Dans une autre histoire, vous trouverez la suite.
Bonne jouissance,
Petikokin (sous le contrôle d’Aline)

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