Le Canape Rouge

Ce soir là, un vent de fatigue était passé sur la maison…. Anna avait fini son travail à la parfumerie vers 20 heures, et moi, après une journée assez stressante, je m’était occupé des s… devoir pour la plus grande, bain, pyjama, repas du soir… vers 21 heures 30, tout était calme enfin. Les filles étaient couchées et nous avions pris place sur le grand canapé rouge du salon.
Anna était allongée sur la méridienne, enroulée dans une couverture et regardait d’un œil le téléfilm de ce lundi soir d’hivers. Je m’étais calé, moi aussi, sous un plaid et je m’étais laissé prendre par l’intrigue assez complexe de ce policier à tendance mystérieuse…
A la fin du film, je regardais tendrement mon épouse. Elle s’était endormie, épuisée… Belle, calme, paisible, blottie sous l’étoffe polaire, je n’osais la réveiller de suite.
Je n’avais pas vraiment sommeil, et, ayant pris soin de baissé le son de la télé je zappais sur les programmes du soir. Par un heureux hasard, s’il en est, je tombais sur une chaîne adulte, qui dès 23 heures diffusait des films à caractère pornographique, une fois par semaine. Les seins d’une magnifique blonde avaient envahis l’écran, seins pleins et généreux qui glissaient leurs pointes turgescentes sur le gland violacé d’une imposante bite. La blonde incendiaire emprisonnait maintenant le pieux de chair tendu dans ses globes parfaits et imprimait sur se dard le plus affolant des vas et vient… elle se laissa glisser, et ses lèvres charnues, rouge d’un gloss brillant virent englober le membre vigoureux veiné par le désir. Sa langue tourbillonnait autour du capuchon, descendait sur la tige, s’attardait sur les bourses, léchait le périnée, et remontait sans cesse sur le mat de son amant. La queue disparaissait lentement dans cette bouche avide, comme si elle eue voulu l’avaler en entier. La caméra tournait autour des tourtereaux faisant voir ça et là la pipe magistrale, ou un gros plans de chatte, ouverte de plaisir qui semblait ruisseler de bonheur….


L’effet de ces images sur moi ne se fit pas attendre… Mon sexe s’éveilla, se leva, s’étira et me dit gentiment que, si ma femme dormait, lui était bien en forme…Je m’installais plus confortablement, glissant sur le tapis épais, non pas sans avoir vérifié la véracité du sommeil d’Anna en l’appelant doucement une main sur l’épaule. Sa réponse fut claire et précise : « Bzzzzzz »… Elle était belle et bien dans les bras de Morphée.
Donc disais-je, je m’installais le mieux possible sur le tapis zébré, pour ne pas faire vibrer les cousins pourpres du canapé. Allongé sur le coté, appuyé sur un bras, j’avais pris soin de retirer mon pantalon de pyjama pour être tout à fait à l’aise.
Les yeux rivés sur l’écran, je voyais la fellatrice blonde, engloutir le pénis tout luisant de salive, et doigter doucement l’anus de l’homme offert.
Ma main courait autour de ma bite dressée, je caressais mes bourses, suivais les mouvements de la blonde du film, j’imaginais Anna s’afférant sur mon ventre… Comme s’est excitant de se branler doucement sur de telles images, tout à côté de celle que l’on aime et qui peux à chaque instant sortir de sa torpeur. Mon érection n’en était que plus vive. Avec un peu de salive, j’avais mouillé mon gland, et la gaine crée par ma main était beaucoup plus douce, plus chaude et glissante… Je regardait tantôt la chatte sur l’écran, dégoulinante avide, tantôt ma verge incandescente qui glissait dans mes doigts. Rien d’autre n’existait plus que ce désir de jouir, ce plaisir solitaire que je sentais venir et que je retardais pour l’apprécier plus fort. Toute mon énergie était concentrée cette queue tendue, qui grossissait encore sous ma caresse. Mon ventre me brûlait, ma tête était remplie des râles et des images des acteurs sur l’écran. Je me voyais baiser Anna sans retenues, sans aucune pudeur, du sexe à l’état pur. Les phrases les plus folles me venaient sur les lèvres. « Tu sens ma bite dure ? Tu aimes que je te prenne ? Je vais exploser tout au fond de ton ventre.
.. » Ou encore « Oui. Suce moi encore, aspire bien mon gland… » Elle me répondait « Prend moi… écarte moi… Baise moi… » Ou encore… «Fais moi jouir de ta langue… Bouffe moi la chatte…C’est bon je te sens bien… Toute ma fantasmatique était à fleur de peau… Les vagues de plaisir arrivaient lentement, je ralentissais le mouvement régulier de ma main sur mon sexe… ne pas jouir tout de suite, me laisser emporter quand je l’aurais voulu, maîtriser cet orgasme qui s’annonçait violent…
C’est un mouvement presque imperceptible qui me ramena à la réalité. Quelque chose avait bougé dans la pièce, mais quoi ?... J’arrêtais ma branlette et le souffle court je restais immobile … Et si Anna s’était réveillée ?... je n’osait me tourner vers elle... Non je l’aurais senti de suite… je regardait nez en moins dans sa direction, et ne vit que sa silhouette dans la pénombre de la pièce… Elle dormait encore… Lentement je repris ma caresse, cette fois sur l’écran, la bite du jeune homme forçait en gros plan et sans mal les petites lèvres imberbes de l’abricot juteux… Encore une fois, comme un léger murmure, quelque chose bougea. Mais cette fois le bruit fut plus précis, comme un frottement de tissus… Il me sembla qu’Anna… La scène à la télé avait encore changée ce qui augmenta un peu la clarté du salon… Comme si rein n’était je tournais lentement la tête vers le canapé rouge.
A ma grande surprise Anna ne dormait plus. Elle s’était relevée, face à moi, le regard embué, les cuisses grandes ouvertes elle se caressait. Malgré la pénombre, ses yeux plongèrent dans les miens et elle commença à bouger le bassin dans ma direction… Je voyais parfaitement ses doigts agacer son clito, le pinçant doucement, le frottant, elle s’écartait les petites lèvres de son autre main, et ne s’arrêtait que pour plonger ses phalanges expertes dans son puit de bonheur. Sa chatte toute gonflée ruisselait de désir et semblait m’appeler. Sans un mot, je m’avançais à quatre pattes jusqu'à ce que mon visage soit à dix centimètres de la vulve trempée.
De ces deux mains elle remonta ses petites lèvres qui eurent pour effet de faire surgir son bouton d’amour plus en avant encore. L’invitation était trop belle et ma bouche affamée vint se posé sur cette grotte divine. Ma langue n’eu aucune difficulté à trouver son petit capuchon érectile que j’entrepris de sucer avec le plus grand soin. Ses mains s’accrochèrent dans mes cheveux, son bassin se colla à mes lèvres et j’entendis avec surprise et un bonheur immense…
« Oui… oui comme ça… oui bouffe moi… oui bouffe moi la chatte… fais moi jouir…encore… ah c’est bon… ah je t’aime… »
Elle étouffa un cri, et je senti le liquide chaud de sa jouissance couler sur mon visage, tandis que son bassin partait dans tous les sens s’accrocher à l’orgasme dévastateur qui explosait son ventre…
Quelques secondes après elle me releva fermement, la bite à la hauteur de sa bouche gourmande et je senti sa langue glisser sur le méat du gland, puis la chaleur torride de ses lèvres pulpeuses qui aspirait la hampe de mon membre tendu. De quelques doigts fripons elle caressait mes bourses, et pétrissait mes fesses d’une autre main coquine.
Elle me fit asseoir plus confortablement, et repris sa caresse. Je voyais dans la pénombre sa tête aller et venir, et je sentais ma queue de plus en plus sensible tourmenté par sa bouche, elle posait ses lèvres sur le somment humide de mon brugnon rosé et les laissait couler autour du pieux de chair, remontait doucement et descendait encore toujours un peu plus loin….
Elle se passa les doigts dans sa chatte encore chaude pour prendre sur ses doigts son liquide soyeux et vint me caressé d’abord le périnée puis un peu plus audacieuse, elle massa délicatement mon petit trou caché…Au moment même ou elle englouti ma bite dans une aspiration folle, elle poussa son index au plus profond de moi… Ce fut mon tour alors de me lâcher enfin »Ah non cœur que c’est bon. Que tu me suces bien… oui. Aspire doucement… oui…Tu vas me faire jouir… »
Elle se releva, et dans un mouvement rapide et sensuel, elle vint s’empaler sur mon épée de jade… Sa bouche se souda à la mienne et tout éclata autour de nous… L’orgasme fut si violent que j’en aurais hurlé, Les vagues déferlaient plus puissantes chaque fois, de plus en plus brûlantes, incontrôlables et folles… Elle s’écoula enfin tout contre mon épaule me serrant dans ses bras.
Si nos corps aient eu leur compte d’émotions nos cœurs étaient encore à ce dire « je t’aime », et nos baisers restaient aussi fougueux et passionnés….
Tendrement, main dans la mains et les yeux dans le vague, nous allâmes nous coucher, épanouis et heureux, nous refîmes l’amour jusqu’au petit matin…
Le lendemain, dans l’après midi elle m’envoya ce SMS
« Si tu passait passais par le vidéoclub, prendre un film pour nous… »

M

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