Le Chapeau Rouge

J’adore me balader dans la nature, j’y trouve toujours des machins merveilleux, une fleur, un caillou plus brillant; j’entends les oiseaux, les bruits du vent dans les arbres. Il m’arrive, comme aujourd’hui d’avoir la flemme: je trouve un lit dans la mousse, même si en me levant je sais que j’en serai humide. Je somnole. Un grand aboi me remet vite sur pied: un énorme chien blanc m’engueule je ne sais pourquoi. J’entend un voix féminine appeler l’animal:
- Vient ici, sale chien, laisse les gens en paix, ici.
La voix n’a aucune autorité sur l’animal qui finalement me renifle partout, me tend la patte en remuant la queue. Nous sommes vite devenus copains. Sa maitresse arrive et éclate de rire en nous voyant: il est assis à mes cotés, remue la queue pendant que je le caresse. J’ai reconnu un patou, un chien des Pyrénées. Elle approche pendant que je la regarde: une fille fort belle, plus que moi en tout cas, avec ce qu’il faut là où il faut.
Si mon ami la voyait il penserai qu’il dirait qu’il passerait bien une nuit avec elle. J’avoue qu’elle est plaisante et sexy, trop pour moi: j’en devient jalouse. Le plus cocasse est qu’elle porte un chapeau, comme une petite fille de conte, un grand chapeau rouge avec d’immenses rebords.
- Bonjour, mon chien vous dérange sans doute.
- Pas du tout nous sommes amis.
- Permettez que je m’assois à vos cotés.
- Bien sur.
En guise de repos je suis servie, elle n’arrête pas de bavarder de son chien, c’est normal, de son travail, dont je me fout, de tout. Elle comprend rapidement que ce qu’elle dit ne m’intéresse pas. Alors elle change de sujet.
Elle me félicite sur ma toilette. Je ne porte sur moi que le strict nécessaire: un t-shirt et un short. J’ai « oublié » de mettre un slip et un soutif. J’aime bien être libre dans la nature: il m’arrive quand je le peux de me mettre nue: résultat je suis obligée de satisfaire mes envies d’orgasmes.
Je ne peux faire autrement que l’interroger sur son chapeau: elle craint le soleil sur la tête, alors qu’ailleurs sur son corps elle le supporte bien.

Pour prouver ce qu’elle affirme, elle soulève son top bustier: au moins au niveau de la taille elle est bronzée. Elle se tourne pour soulever encore plus haut ce bout de tissu: elle est toujours bronzée. A force de lever son vêtement arrive ce qui devait arriver: elle perd la fermeture et elle me donne à voir sa poitrine. Jolis seins et belle poitrine: elle commence à m’intéresser, surtout qu’elle ne fait rien pour se couvrir un peu.
Comment se fait-il que je regarde avec envie cette poitrine moi qui n’aime que les hommes ou ma main. Je n’en sait rien, elle est envoutante.
- J’aimerai voir ta poitrine
Et en plus elle me tutoie.
- Chiche,
- Chiche.
Je ne fait pas de chichi, elle veut voir mes seins, les voilà: j’enlève carrément mon t-shirt.
- Tu as une belle poitrine qui me donne envie de l’embrasser.
En guise de façon de me lever, elle est rapide. Je tends mes seins vers elle: j’ai envie de connaitre l’effet d’une bouche d’une autre femme.
Je n’ai pas à me plaindre, elle embrasse fort bien ma poitrine, elle embrasse très bien même: elle me fait mouiller.
Elle me fait coucher pour être plus à même de prendre possession de ma poitrine et du reste: je ne me doutais pas qu’elle avait envie de me toucher le sexe. Elle passe sa main entre mes cuisses, là où la peau est fragile et sensible. J’écarte mes jambes un peu: elle passe sa main dans la jambe du short et trouve facilement ma chatte.
J’ai envie que sa main me caresse, me fasse jouir. Pour une fois même si je me mets nue, je serai vue par une autre. Tant pis, j’y suis, je succombe. Je lui demande de retirer sa main pour me permettre d’enlever le short.
Je suis nue, à sa disposition; vite qu’elle remette sa main là où elle était. Eros ou la déesse des lesbiennes m’entend: sa main vient rapidement sur ma chatte. Elle passe sa main entre mes cuisses à la recherche du temple maudit: ma fente. Elle passe un doigt tout en haut pour écarter les lèvres et faire ressortir le clitoris.
C’est une experte en plaisirs féminins. Je reste sans voix pendant qu’elle me caresse le bouton. Je m’envole vers un domaine que je ne connaissais pas, celui des amours entre femmes. Je ne peux même pas comparer ce qu’elle me fait à ce que me fait mon ami.
Sa main n’a pas fini, elle va se nicher dans le vagin. J’ai le con plein de ses doigts. Elle les fait aller et venir comme si elle avait une bite, et qu’elle bite: elle me fait jouir encore.
Soudain elle arrête tout. Je me demande ce qu’il lui passe par la tête: elle se met totalement nue. Elle ne porte pas plus de guenille que moi. Elle remet sa main dans ma chatte, se penche sur moi et m’embrasse. J’ouvre la bouche sans problème à sa langue. Nous nous les caressons surtout quand elle met la sienne dans ma bouche.
Quand elle sort de mon sexe tout trempé, elle me demande de lui rendre ce qu’elle m’a fait. J’ai plus de difficultés qu’elle pour trouver son clitoris. Quand j’y suis-je la caresse comme je le fais pour moi. Elle n’y tient plus, elle me masturbe à nouveau.
Je suis toujours sur son bouton quand elle me caresse l’anus. J’aime quand mon ami me caresse à cet endroit très sensible. J’aime beaucoup quand il me sodomise. Je ne pense pas qu’elle me caresse différemment: seulement c’est elle, une femme qui me le fait. C’est encore plus excitant. Quand elle veut entrer dans le cul, j’ouvre ce trou le plus possible. Elle me fait jouir.
Elle se tourne, les pieds à la tête
- Tu veux que je te suce ?
- Bien sur.
- Tu ne veux pas qu’on le fasse ensemble ?
- Pourquoi par, en 69 ?
- Bien sur entre femme c’est la moindre des choses.
Sans doute, je n’ai jamais baisé avec une autre femme. J’écarte les jambes quand elle met sa tête entre mes cuisses. Je sens son souffle sur ma chatte. Elle m’enjambe pour me donner sa chatte. Je sens son odeur de femme et commence à regretter mon accord. Je ne regrette plus un instant après dès qu’elle lèche le bout de mon clitoris.
Je me sens obligée de frôler le sien: je ne me méfiais pas du gout de sa cyprine: ma langue lèche tout. Sans qu’elle me demande quoi que se soit, j’ai déjà ma langue sur son anus, prête à entrer dans son cul.
Nous devenons insatiables. Je ne sais combien de fois j’ai jouis avec sa langue. Nous ne quittons pas notre position: c’est parfait entre filles
A la fin de notre baise, elle m’embrasse encore. Elle voudrai me revoir parce que je suis la seule à la satisfaire complètement. C’est probable, j’ai pris un pied pas possible. Nous nous reverrons peut-être. Je refuse à son grand désarroi.
Je donne une caresse au patou en m’en vais en pensant au plaisir qu’elle m’a donné. Je regretterai sans doute de lui avoir refusé de baiser encore avec elle. Dans l’immédiat je trouve que c’est plus sage.

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