Fantasme Bi Au Clair De Lune (2. Promiscuité)

2. Promiscuité
Jennifer reprends ses esprits plus vite que nous. Il est vrai qu’elle doit être un peu frustrée. Ni ma bonne grosse bite qu’elle à maté, palpé et sucé jusqu’au trognon, ni la trique géante de son branleur café au lait n’ont trouvé jusqu’ici le chemin de sa moule ou de son cul. Les yeux fermés, je la devine qui rampe jusqu’à moi. Elle glisse son ventre luisant sur le mien, ses seins caressant le duvet des miens, les mains plaquées sur mes épaules, et m’enfourche carrément. Sa croupe sur mon bassin, les jambes repliées de chaque coté des mes hanches, sa vulve béante enveloppe mon sexe innocent et l’englouti dans sa chaude moiteur. Sa bouche effleure le bord duveteux de mon oreille, ses dents en mordillent le lobe, puis elle me prends la tête entre ses mains, colle avidement ses lèvres pulpeuses aux miennes et nos langue prennent fougueusement possession l’une de l’autre en un long baiser appuyé. A tâtons, mes mains partent à l’assaut de ses seins lisses et fermes qu’elle à décollés de ma poitrine, et les pétris, tout en massant de mes pouces les bouts visqueux de ses tétons qui réagissent en durcissant.
Nos bouches se sont dessoudées, ses lèvres dérivent le long de mon torse, trouve mon sein et sa langue en agace le bout avant de s’attaquer à l’autre pour le réveiller lui aussi. Mes tétons humectés réagissent au quart de tour et me font presque mal tant ils se contractent. Jenny a glissé ses mains sous mes fesses et commence à remuer doucement son bassin en un lancinant mouvement circulaire. Elle commande aux muscles de son vagin une série de contractions lentes qui se transmettent en pressions rythmées à ma queue déjà moins paresseuse. Un fourmillement intense me parcourt les burnes et je sens ma queue se retrousser lentement, dégageant le gland déjà excité, et s’enfler en une monstrueuse érection qui remplis l’antre de J Lo jusqu’à en toucher le fonds, comme un sabre rentre à fonds dans son fourreau. A part mes mains travaillant toujours activement ses seins, je reste sans bouger, les yeux maintenant grands ouverts, tout entier abandonné aux sensations qui montent en moi.


Tonio sort lui aussi de sa léthargie et se glisse vers nous. Sans un mot, il s’empare d’une de mes mains et la conduit fermement à son entre-cuisses. Je la referme sur son membre engourdi, jouant en passant à faire rouler ses grosses boules dans leur bourse avec mes doigts et je commence à le manipuler, faisant coulisser doucement la peau autour du gland, mon pousse effleurant la grosse veine maintenant familière. Sous la pression de mes doigts, je sens sa belle queue basanée se raidir et se déployer rapidement dans ma main pour atteindre la taille monstrueuse que je lui connaît. Je me mets à le branler plus fortement, mais il se dégage, roule en bas du lit et disparaît de ma vue. Très vite je sens sa tête se faufiler entre mes cuisses en les écartant. Je devine qu’il s’est agenouillé entre mes pieds toujours posés sur la moquette. Je sens ses cheveux me balayer les roustes et son souffle chatouiller les poils de mon cul avant qu’il ne se mette à lécher le pourtour de mon trou du cul qui se dilate d’aise sous les longs coups de sa langue râpeuse. Jennifer roule son bassin d’avant en arrière pour faire coulisser mon nœud dans son écrin en un va et vient qui me fait bander encore plus et commence à la faire copieusement mouiller.
Je suis pour continuer comme ça indéfiniment, mais Tonio se redresse, lâche un filet de salive qui me baigne la fleur du cul et de la main guide comme une tête chercheuse sa verge raidie au gland disproportionné vers mon trou de balle qu’il essaye de forcer. «Oh, mon salaud» je gueule «ôte ta queue de mon cul, c’est pas du tout mon fantasme!». Avec un grognement, il obtempère et rétorque: «Sorry mec, il est trop tentant, mais alors fais pas l’égoïste, laisse moi une place au chaud». Il se relève et du coup s’asseye à califourchon sur mes cuisses, derrière Jennifer, le ventre collé à ses fesses et le torse à son dos. Heureusement mes pieds sont solidement campés au sol et supportent son poids. Il pousse Jenny un peu en avant, faisant sortir presque en entier ma biroute de sa vulve, et glisse sa grosse bite contre la mienne, avec ses couilles qui pendent par dessus les miennes jusqu’à mon trou du cul qu’elles frottent.
Je comprend maintenant ou il veut en venir, et une bouffée d’excitation supplémentaire me monte au cerveau.
Je passe une main entre la fesse de Jenny et la cuisse de Tonio, saisi nos deux bites accolées que j’arrive à peine à contenir dans ma main et les enfourne avec peine dans la fente qui s’écartèle pour les laisser entrer les deux ensemble. Je garde le pouce et l’index en anneau autour de nos instruments pour les guider et mieux sentir leur promiscuité. Je sens le sang battre de concert dans nos verges en rut. De mon autre main, j’atteint vicieusement nos roustons durcis que je masse ensembles. nous commençons à tringler la bonne J Lo qui gémit d’être si pleine de nos énormes bites et baigne nos couilles de son jus. Nos queues sont deux âmes sœurs et battent au même rythme. Nous n’avons pas besoin de limer de la sorte longtemps avant se sentir une lame de fonds nous inonder, tremper nos couilles et mes mains. Sans que nous nous soyons concertés, je sens que nous allons tous deux jouir aussi, et c’est dans une série de spasmes furieux qui secoue nos deux corps que nos engins crachent de furieuses giclées de sauce au fonds de la grotte détrempée de Jennifer qui s’écroule sur ma poitrine. Bande Dur se laisse aller sur elle et nous restons comme cela un bon moment, seule ma main encore active à triturer nos couilles vidées de leur suc, et Jenny encore parcourue de frissons répétés. Lorsque je sens que nous commençons à débander, je décharge mes deux fardeaux sur le lit d’une torsion des hanches, éjectant nos deux queues avec un bruit de succion, me tourne sur le ventre en essuyant ma sueur et mon foutre au drap, et m’endors presque instantanément.

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