Fantasme Bi Au Clair De Lune (3. Baptême)

3. Baptême
Je ne sais pas si j’ai dormi longtemps, mais mon réveil est assez brusque et déplaisant: Je suis toujours couché sur le ventre, le visage enfoui dans les draps, mais je ne peux plus bouger. Mes jambes sont largement écartées de part et d’autre de l’angle du lit, les pieds probablement entravés par des draps entortillé autour des chevilles et attachés à deux pieds du lit. Malgré mes contorsions, ces liens empêchent tout mouvement de mes jambes écartelées. Mes bras étalés en croix et mes épaules sont immobilisés par les cuisses de cette salope de Jennifer agenouillée sur mes biceps, les fesses assises sur la base de mon crâne, pressant ma tête dans les draps. Je sens les lèvres ouvertes de sa vulve appuyer sur ma nuque et la tartiner de notre foutre qu’elle dégorge encore. Ses avant-bras sont appuyés sur mes reins et ses mains m’écartent les fesses sans ménagement. J’entend Tonio s’affairer au bas du lit et je réalise la situation foireuse dans laquelle je suis. Je me mets à gueuler, protestant que mon cul n’est pas pour lui, mais le son de ma voix sort étouffé et inarticulé des draps. Toutefois, il me réponds calmement: «Pas de panique, Brad, je vais pas te détruire le cul, mais MON fantasme c’est de le remplir de mon foutre, c’est tout». J’enrage d’impuissance.
La tête de ce salaud de métèque à repris la place qu’elle avait tout à l’heure entre mes cuisses ouvertes, mais sa langue qui me lèche le trou du cul ne me fait pas du tout le même effet. Le salopard basané s’éloigne de mon trou de balle quelques instants, puis je sens qu’il m’y enfonce le goulot étroit de ce qui me semble être un flacon en plastique mou à l’embout caoutchouté qui y pénètre de quelques centimètres. Malgré tous mes efforts, l’écartèlement de mes cuisses et les mains de Jennifer m’empêchent de serrer les fesses pour protéger mon cul comme je le voudrais. Une longue giclée d’un liquide tiède et huileux me remplis le fondement avant que qu’il n’en retire l’embout.

Ce foutu connard est en train de me lubrifier le cul pour pouvoir mieux m’enfiler. J’entends d’ailleurs un bruit de succion qui doit provenir d’un gel dont il enduit sa maudite queue. Je contracte au maximum les muscles de mon sphincter pour faire barrage aux assauts futurs de son braquemart. Il ne m’aurra pas! Mais presque tout de suite, une immense bouffée de chaleur envahit mon cul dont les parois se dilatent et deviennent brûlantes. Il doit m’avoir injecté une huile fortement pimentée, et maintenant je ne demanderais qu’une chose, c’est de pouvoir ouvrir mon cul plus grand et qu’on m’y coule un liquide glacé pour le refroidir. C’est le moment qu’il choisit pour pousser son gland d’acier dans la fleur de mon cul. Le gel qui le lubrifie doit être mentholé, car j’ai la sensation d’un piton de glace qui commence à apaiser l’entrée de mon cul et dont j’aimerais qu’il pénètre plus profond pour éteindre l’incendie qui l’embrase en entier.
Sentant ma résistance se transformer en désir soumis, Jennifer quitte sa position de tortionnaire, passe les fesses par dessus ma tête, m’autorisant du coup à redresser les épaules, prendre appui sur les avant bras et relever la tête. Renversée sur le dos, elle glisse ses jambes sous mon torse, saisit ma queue à nouveau en pleine érection entre ses pieds et présente à ma vue sa chatte pulpeuse dont elle dégage avec les doigts les lèvres et le clitoris déjà en érection. Je comprends qu’elle veut aussi sa part du gâteau, et l’aide à se glisser sous moi jusqu’à encastrer ma bite gourmande dans son con affamé et bavant, ses jambes repliées, les genoux contre mes épaules.
Le mandrin de Bande Dur a lentement pénétré mon cul comme un piston, centimètre par centimètre, et je sens son gland qui bouscule ma prostate. Je dois bien m’avouer que ça m’excite à mort. Les contractions de sa grosse bite se transmettent aux parois de mon anus et je lui répond en le resserrant sur elle au même rythme. Il entame ensuite un prudent va et vient qui fait coulisser son immense membre lubrifié et soyeux comme dans un fourreau parfaitement ajusté.
Ses couilles se frottent aux miennes, m’en hérissant les poils. De mon côté, j’ai empoigné les fesses de J Lo et transmet à son bassin le même mouvement rythmé. J’ai l’impression que ma biroute furieusement stimulée prend autant de place que nos deux bites réunies dans la séance de tout à l’heure. En fait, je suis le seul à rester parfaitement immobile, toutes les parties de mon corps électrisées, alors que les deux autres s’activent à m’astiquer à fonds le cul et la queue d’avant en arrière. Mon violeur se met à accélérer la cadence des coups de boutoir dont il me défonce le trou de balle, son sac de couilles cognant en rythme contre le mien comme le battant d’une cloche. D’une main après l’autre, Il me claque furieusement les fesses. Nos trois corps sont maintenant embarqués dans un même va et vient frénétique qui affole mes sens. Avec un puissant râle, Tonio éjacule en un spasme violent et gicle un feu d’artifice de foutre qui m’expose dans le cul et en crépit le fonds, mais, trop abondant pour l’étroit espace laissé par son membre démesuré, déborde de mon anus distendu et coule sur mes burnes affolées. Jenny ne nous a pas attendu pour jouir et à déjà noyé mon braquemart de son jus abondant, secouée de spasmes qui éjectent ma bite de sa moule. Avec un brame puissant, je laisse mon engin orphelin envoyer sa pleine dose de purée en longs jets laiteux à travers sa figure levée vers moi. Elle suffoque mais agrippe ma lance de pompier à deux mains et l’enfourne dans sa bouche maculée de foutre pour en traire une dernière giclée. Je ressens un grand vide quand Antonio retire son engin gluant de mon cul.
Je m’affale sur la moquette, la bite encore dardée, saisissant au passage ma bouteille d’eau qui y avait roulé. J’asperge d’eau gazeuse ma queue et ma figure autant que j’en fais couler dans ma gorge desséchée. Je suis moulu, j’ai l’impression que tous mes muscles sont endoloris, j’en ai eu ma dose. Les deux autres sont écroulés sur un coté du lit dans le prolongement l’un de l’autre, l’air tout aussi rétamés que moi.
Couchée sur le dos, elle a appuyé sa tête sur les cuisses du latino, qui gît sur le ventre, la tête sur un bras et l’autre pendant du lit.
Je me relève paresseusement, la verge un peu débandée, et m’approche du lit dans la pénombre tous les muscles relâchés, les bras ballants. Debout au bord du lit, je laisse pendre une main molle qui trouve son chemin entre les cuisses entrouvertes de Jenny. Je laisse traîner nonchalamment ma main qui longe l’intérieur de ses cuisses, se perd quelques instants dans sa fourrure humide, avant que mes doigts n’atteignent sa fente poisseuse qu’ils écartent et remontent jusqu’à effleurer le clito. Mes doigts dessinent un sillon le long de son ventre mouillé, suivant la ligne de son sein dont il taquine doucement le bout assoupi, puis de son cou pour atteindre sa bouche dans laquelle ils se faufilent. Jennifer les happe et les suce gentiment. D’une main, elle attire ma queue vers sa bouche, y pose doucement les lèvres et murmure «Merci belle bite, revient quand tu veux». Ma main poursuit son chemin, caressant sa joue puis ses cheveux répandus sur les cuisses luisantes de Tonio entre lesquelles mes doigts se glissent avant d’atteindre la raie de son cul dans laquelle ils se plantent et qu’ils suivent lentement en glissant sans peine jusqu’au creux de ses reins détrempés. Du plat de la main, j’essuie son dos en sueur en remontant jusqu’à l’épaule que je presse affectueusement sous ma paume, pour finalement pousser mes doigts écartés en peigne en haut de sa nuque et rebrousser ses cheveux épais. Il lève mollement son bras pendant du lit, soulève du dos de la main mes couilles et mon sexe alanguis comme s’il voulait les soupeser, et me fait: «T’as pas l’air de trop m’en vouloir pour le baptême de ton cul, mon frère, c’est cool». Sans répondre, je me dirige sans hâte vers la porte, ramassant au passage mon peignoir que je jette sur mes épaules sans l’enfiler, et je me glisse hors de la pièce dont je referme la porte doucement après avoir vérifié que ma clé se trouve toujours dans la poche de ma robe de chambre.
J’enregistre le numéro de la chambre: 369 – facile à retenir!
A la lumière crue, je réalise la vision obscène qu’aurait quelqu’un qui déboucherait dans le couloir: Mon corps est luisant de transpiration, les poils de ma queue, mon ventre et ma bite sont maculés de semences séchées, et de mon cul coule encore du foutre brunâtre le long de mes cuisses. Je presse le pas, m’engouffre dans ma chambre, balance mon peignoir et entre dans la douche. Le premier contact de l’eau glacée qui tombe sur ma tête et m’inonde le corps me saisit, mais je reste un long moment sans bouger sous cette pluie drue. Je me savonne avec vigueur, puis je règle la pomme de douche en position massage, la colle à mon anus et laisse le jet puissant me récurer le fondement. Complètement ragaillardi, je m’emballe voluptueusement dans un linge moelleux pour me sécher, me jette à poil sur le lit et m’endors presque aussitôt.

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