Dérapages Contrôlés ( 1 )

Cette histoire m’est arrivée alors que j’avais à peine 17 ans. Etant en été, j’ai eu l’occasion de passer deux semaines de vacances chez mes grands-parents, dans un petit village de province. Quelques années auparavant, j’avais fait la connaissance d’un gamin de mon âge, fils du boulanger. Un après midi, alors que je me promène, je le rencontre. Nous faisons un bout de chemin ensemble, discutons. Il m’invite à monter dans sa chambre pour écouter le dernier disque qu’il vient de se procurer. Je le suis. Il me fait passer par une entrée de service de l’arrière boutique, on monte à l’étage. Sa mère est occupée avec des clients, son père se repose dans la chambre à côté. Il commence très tôt pour faire le pain et les croissants et ensuite faire sa tournée dans les villages alentours.
Arrivés dans la chambre, je m’assois sur le lit, le regarde. Il a l’air timide, me dit :
- C’est la première fois qu’une fille entre ici, je n’y amène que mon meilleur copain.
Il vient s’asseoir à côté de moi, à l’air quelque peu emprunté, ne dit rien. Je le repousse un peu pour qu’il me laisse la place, m’allonge. Il ne bouge pas, puis se tourne vers moi, se met à genoux sur le lit contre moi, me regarde, ne dit mot, je ne sais pas à quoi il pense.
Je lui prends la main, la tire, la plaque sur mon sein. Incrédule, il hésite, s’enhardit, la presse, ce qui le fait durcir et le téton s’ériger, ma respiration s’accélère. Je ne dis rien, ferme les yeux, attends la suite.
- Je peux les regarder ?
Sans attendre la réponse, sa main quitte mon sein, il déboutonne mon chemisier, l’ouvre. Je n’ai pas de soutient gorge, je n’en ai pas besoin, mes seins sont petits et fermes. ( 85 C ) Enfin il parle !
- Qu’ils sont beaux ! Je peux les toucher ?
- Suce mes tétons !
Il prend mes seins l’un après l’autre, les pétrit, agasse les bouts, les suce. Ma poitrine durcit, les mamelons s’érigent. Je remue le torse, le bassin, pousse des soupirs.

Je sens que je mouille, laisse faire, c’est bon. Alors que sa bouche aspire un téton, je sens que sa main quitte mon sein, descend doucement sur ma peau, me caresse, passe sur la ceinture de la jupe, continue à descendre, appuie sur mon pubis. Pas de réaction de ma part. Elle arrive sur mon genou, remonte lentement sous la jupe, la soulève, ses doigts frôlent ma cuisse telle une caresse. Que c’est bon de la sentir aller le long de ma cuisse, passer entre mes jambes. Je bouge, les écarte légèrement. Ca y est, elle est sur ma culotte, passe entre mes cuisses, appuie sur ma vulve, la caresse au travers du tissu, essaie de l’écarter pour y passer les doigts.
Je ne peux pas tenir plus longtemps, j’ai envie de sa bite. J’enlève sa main, me redresse, le repousse, il descend du lit, est debout, me regarde surpris. Je m’assois au bord du lit, ouvre la braguette, passe ma main dans le jean, cherche la queue. Il est tellement surpris par l’attaque qu’il en reste pantois. Il me laisse presser sa bite au travers du boxer. Il bande dur. Je cherche l’ouverture, la trouve, m’acharne à deux mains. Il ne fait rien pour me facilité la tâche, j’ai du mal à la sortir tellement elle est raide ! Enfin la voilà, elle est belle, de taille moyenne, le gland nettement plus gros que la tige. Je la prends en main, tire sur la peau, le gland devient violet, je commence à l’astiquer doucement. Il ne bouge pas, se laisse faire, regarde mon doigt agasser le méat, incrédule, se demande ce qu’il lui arrive. Je sorts ses couilles, les soupèse, tire sur la queue, dépose un bisou sur le gland, le mouille avec ma langue. Je m’allonge de nouveau sur le dos, remonte la jupe sur mon ventre, replie mes jambes et cette fois écarte les cuisses en grand.
- Aller, vient !
Il se glisse entre elles, s’allonge au-dessus de moi. Je saisis la queue derrière le gland. D’une main j’écarte ma culotte, de l’autre glisse le gland dans ma fente, l’amène au bord de mon trou, me cambre et d’un coup de rein l’engloutit jusqu’aux couilles.

Il réagit, fait deux ou trois va et vient, bute au fond de moi. Soudain il s’arrête, se crispe, je sens sa bite grossir, se raidir, se contracter. Je resserre mon vagin, il ne tient plus, décharge. A chaque secousse je sens ses jets de foutre m’inonder le ventre. Il me remplit le vagin, c’est bon, c’est chaud. Il ressort, entre de nouveau, s’arrête lorsque le gland est passé, envoie une dernière giclée, se vide, puis s’enfourne jusqu’au fond, ne bouge plus.
Il reste là, affalé, sa queue toujours en moi, bloquée bien au fond. Je le repousse, il roule sur le côté, la verge ressort, entraînant le foutre qui coule dans ma fente. Je ne veux pas salir ma jupe, me lève en vitesse, quitte la culotte, m’essuie avec. Elle est trempée, collante, il en coule toujours, je ne peux pas la remettre, la jette au pied du lit, une forte odeur de sperme envahit la chambre. Bon sang, qu’est ce qu’il m’a mis !
Il est là, allongé, jean ouvert, la bite à la verticale dépassant de la braguette, couilles à l’air, il bande encore, la queue retombe lentement sur le boxer. Je baisse ma jupe, referme mon chemisier, me penche sur lui, prends la queue, colle un bisou sur le gland, ouvre la porte, file en silence. Je passe par l’arrière boutique, personne, je suis dehors. C’est drôle, je n’ai pas l’habitude de me promener sans culotte, j’ai peur que les gens que je croise s’en rendent compte, je rentre chez mes grands-parents, ils ne sont pas là, ils ne sont pas rentrés du boulot. Aujourd’hui j’ai perdu ma culotte, mon vagin est tapissé de sperme, il en coule le long de mes cuisses pendant le retour, j’en ai certainement encore plein le ventre. Ce coup de bite a été trop rapide, je n’ai pas eu le temps de jouir. Je sens le foutre, passe ma main entre les jambes, mon sexe est gluant, le haut des cuisses collant, j’ai besoin d’une toilette intime. Je vais directement au lavabo. Heureusement qu’il n’y a personne dans la maison !
Je retourne dans ma chambre, m’allonge sur le lit, pense à ce qui vient de se passer.
Il s’est laissé faire, n’a pris aucune initiative, il a fallu que je le guide pour qu’il m’enfile, je ne comprends pas Je le crois un peu timide, ou a t il eu peur de se faire surprendre pas son père qui dormait dans la chambre à côté. J’ai besoin de me doigter, d’évacuer la pression qui est encore en moi, de me faire du bien. Je passe un doigt à l’intérieur, le sort, le goûte, il reste encore du foutre. Pourtant je croyais avoir tout vider dans les toilettes. Heureusement que je prends la pilule. Ce coup de bite m’a laissé sur ma faim.
Si vous le désirez, lisez la suite de mes vacances, il y a encore plusieurs épisodes à venir.

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