Dérapage Non Contrôlé ( Suite Et Fin 6 )

Ma mamy est vraiment une femme extraordinaire. Je m’attendais à un sermon, mais non, juste faire attention, c’est tout.
Comme demandé la veille par le paysan, à trois heures je suis prête à entrer dans le hangar à paille. J’arrive par derrière pour ne pas risquer de me faire voir de la ferme. Pas possible, ça se dispute là dedans. J’écoute, ça s’engueule ou quoi ? Je suis curieuse, j’ai envie de savoir ce qu’il se passe. Comment faire ? Une solution s’impose : grimper sur les balles de paille et observer d’en haut. Sur le côté, entre la cloison en tôle et les bottes de paille empilées irrégulièrement, c’est libre et on peut escalader. On ne pourra pas me voir, je vais pouvoir observer et comprendre l’objet de la dispute, car il y a dispute ça gueule fort en bas. Me voilà en place, je vois la scène comme dans un mirador !
Mon paysan est là, bien sur, mais sa femme aussi, enfin il me semble que c’est sa femme. Elle a l’air furieuse, comment a-t-elle fait pour découvrir cet endroit ? Il est pourtant bien dissimulé parmi les bottes de paille. Elle a dû le suivre.
- Et tu viens souvent ici rejoindre ta maîtresse ?
- Chérie, tu sais bien que je n’ai que toi !
- Alors qu’est ce que tu fous là, tu ne vas pas me faire croire que t’attends personne.
- Mais non, quand j’en ai marre de bosser dans les champs sous le soleil, je viens m’étendre ici pour une petite pose.
- Menteur, t’attends quelqu’un, j’veux savoir qui !
- C’est de l’obsession !
Elle se rue sur lui, lui martèle la poitrine avec le côté de ses poings, hargneuse. Je la regarde, elle est en robe d’été, légère, presque transparente, décolletée, deux bretelles la font tenir aux épaules, on voit au travers le soutient gorge rose et la petite culotte. Son visage est rouge de colère
- Qu’est ce qui te prend, tu deviens folle ? Ca ne va pas, reste tranquille !
Il lui att les poignets.
- Aie, tu m’fais mal, lâche-moi !
Il tire, la plaque contre lui, remonte la robe derrière, lui sert les fesses.


- Fout moi la paix, enlève tes pattes, j’t’ai dit, j’veux savoir qui tu attends !
Il la pousse en arrière, elle est déséquilibrée, se penche en avant, s’accroche à lui pour ne pas tomber. Comme il tient le bas de la robe, il profite de cette position pour tirer sur la robe, la remonter et la passer au-dessus de sa tête, puis la jette au sol derrière lui. Elle se retrouve en petite culotte rose bordée de dentelle, soutient gorge coordonnée. Elle a de la belle lingerie pour une paysanne ! Elle est furieuse, fonce sur lui toutes griffes dehors.
- T’oublies que j’suis ta femme, pas ta maîtresse !
- Tu vas te calmer oui ou non, y en a marre !
Elle le bouscule pour passer derrière lui et récupérer sa robe, il la repousse brutalement, elle perd l’équilibre, se retrouve le cul par terre. Sans attendre, il se baisse, lui att les jambes, les soulève, elle se retrouve étendue sur le dos, les jambes en l’air. Il la maintient comme ça, lui dit
- J’vais t’faire ta fête, c‘est ça qu’tu cherches, non ?
- J’ne suis pas venue pour me faire sauter !
- Qu’est ce qu’t’es venue foutre ici ?
- J’veux savoir qui tu retrouves ?
- Personne, j’t’ai d’jà dit ! Mais puisque t’es là !
D’un geste rapide il att l’élastique de la culotte, tire. Elle gesticule tant et plus, mais il tient bon, la culotte glisse le long des jambes, elle se retrouve le cul à l’air ! Il balance la culotte sur les bottes de paille, elle reste accrochée à mi-hauteur. De mon poste d’observation, je vois sa toison noire bien fournie qui se prolonge sur la vulve.
C’est alors qu’il lui met les jambes à la verticale, elles retombent vers elle de part et d’autre de sa poitrine. Elle a le cul en l’air, repose sur les épaules, elle se tient les reins avec les mains. Il lui écarte les cuisses sans ménagement, sa chatte est là, sous son regard. Il la tient en position d’une main, de l’autre tombe le short, vire le slip, libère sa queue, passe l’engin en érection entre les cuisses de sa femme, lui montre.

- Regarde, ton cul m’fait bander, j’vais te la mettre !
- Non, laisse-moi tranquille, j’veux pas qu’tu m’ baises !
- T’es plus en mesure !
Tout en lui maintenant les cuisses bien ouvertes, il se baisse, fourre sa tête entre les jambes, lui bouffe la chatte. Il a du mal à la tenir tellement elle remue, mais elle couine pas possible, pousse des petits cris de jouissance.
- Laisse moi m’allonger, j’peux plus respirer.
Au lieu de ça, il prend sa queue, la présente à l’entrée du vagin, ouvre la fente.
- Non, j’veux pas qu’tu m’la rentres, attends ce soir dans notre chambre !
- C’est ça, et t’auras mal à la tête comme d’habitude !
- J’te jure, j’me laisserais faire !
Mais il pousse, entre en elle.
- Aie, aie ! Fait plus doucement, j’suis pas ouverte !
- T’inquiète elle est rentrée ! J’suis d’jà au fond !
Je ne pige pas le changement d’attitude de sa part. De toute façon, elle n’a plus le choix, il est dedans ! Il commence de lents va et vient, sort sa bite, la remet dedans, elle se met à couiner. Sans la quitter, il se penche en avant, passe ses mains dans son dos, se redresse, l’entraîne. Il est debout, la tient sous les fesses, elle a les bras sur ses épaules, les jambes sur ses hanches. Il la fait monter et descendre sur son énorme bite. Elle cri de plus en plus fort, grimace.
- Oui, vas y, c’est bon, défonce-moi, oh oui, encore !
Je crois qu’il fatigue car, sans sortir d’elle, il plie les jambes, s’incline, la dépose dos au sol. Il est sur elle, position du missionnaire, la burine sauvage. Chaque coup de piston lui tire un cri, elle accompagne par des mouvements du bassin.
- Ouiiiiiiiiiiii, rentre tout, je veux sentir tes couilles contre mon cul !
Il continu le pilonnage intensif, s’arrête, souffle un peu.
- Ne te lâche pas dans moi, j’veux pas de ton foutre, y a rien pour me laver !
C’est drôle, elle ne perd pas le sens des réalités en baisant ! Pourtant elle a l’air d’y prendre goût ! Il la quitte, se met sur le dos.
Sans attendre, elle se relève passe au-dessus de lui, s’accroupit face à lui, prend l’énorme vit en main, le guide dans son sexe, descend, s’emmanche. Elle enlève son soutien gorge, le jette sur sa robe. Et c’est à poil qu’elle commence alors une chevauchée fantastique. À chaque fois qu’elle descend sur le pieu, il donne un coup de rein pour bien s’encastrer. Je n’aurais jamais cru qu’elle baiserait avec une telle frénésie. Il suffit peut-être d’appuyer sur le bon bouton !
Pour ma part, je suis toujours là, en haut des bottes de paille, à les regarder s’envoyer en l’air. Je suis en jupe assez courte, mon tee-shirt laisse voir mon nombril, j’écarte ma culotte, me doigte, je ne tiens plus, je crois que je vais venir ! Heureusement que je ne suis pas arrivé avant elle, sinon, si elle m’avait trouvé là, c’était la cata!
Elle transpire, halète, j’entends son souffle. Elle se débranche, lui tourne le dos, reprend la bite en main. Cette fois elle est face à moi. Je vois sa toison, ses seins qui se balancent, la queue disparaître en elle entourée d’un vrai col de fourrure, en ressortir luisante, rentrer de nouveau. Encore quelques va et vient, il se redresse, la prend sous les fesses, la pousse en avant. Elle se retrouve à genoux, en levrette. Il se place devant la fente, l’ouvre et d’un coup sec entre sa queue en entier.
- Oh ouiiiiiii, c’est bon.
Elle suit la cadence, pousse des cris de plus en plus forts à chaque fois qu’il butte au fond d’elle. Sa poitrine, pas très importante d’ailleurs, se balance en rythme. Il att les seins, les prend en mains, elle s’écroule, s’aplatit sur le ventre, cuisses grandes ouvertes, bras le long du corps, il la burine sauvage, plus ça va, plus elle couine. Elle relève le cul, il est collé sur elle, ne bouge plus, à chaque soubresaut qu’il a en elle, elle donne un coup de reins. Elle crie :
- Ahhhhhhhhhh Ohooooooooo Ouiiiiiiiiiiiiiii !
Je crois qu’elle a eu un orgasme lorsqu’il a déchargé dans son ventre.
Ils restent comme ça, soudés l’un à l’autre, lui allongé sur son dos, mains sous elle, certainement toujours accrochées à ses seins, ils ne bougent plus.
.- Salaud, j’ t’ai dit de pas me remplir de foutre !
- J’ai pas pu t’nir !
- Fallait sortir !
- Pouvais pas, trop bien d’dans !
Il est toujours dans elle. Au bout d’un moment, il a un dernier soubresaut, sûrement une dernière giclée, attend encore un peu, sort d’elle, se relève, une goutte de sperme perle encore au bout du gland.
Elle bascule sur le dos, écarte bien les cuisses, remonte les jambes, ouvre son sexe avec ses doigts, en met un dedans, le suce, je vois du foutre sortir du vagin. Il la regarde, surprit par son attitude. Puis elle se relève, remet sa robe, récupère la culotte et le soutien gorge. Elle enfile sa culotte sur un doigt, fait des moulinets avec, garde le soutien gorge dans l’autre main, chantonne et, toute guillerette, part en sautillant d’un pied sur l’autre. Elle ne doit pas avoir souvent d’orgasme pour réagir de cette façon. Quand elle baise, elle « doit se laisser faire » comme elle l’a dit. Il reste là, bouche bée, la regarde partir, puis, toujours à poil, s’allonge sur le dos, mains sous la tête. Sa queue est retombée, molle.
Je crois qu’elle va passer par la grange, aller dans la salle d’eau de l’étage, se laver le cul sur le bidet avant de descendre voir les vieux !
Je suis toujours sur mon perchoir, à plat ventre sur une botte de paille. Soudain il m’aperçoit.
- Ca fait longtemps qu’t’es là haut ?
- Depuis le début.
- Salope, alors t’as tout vu ? Attends, on va régler ça !
Il grimpe sur les bottes de paille en se servant des défauts d’empilage, j’ai à peine le temps de me relever qu’il m’att, me soulève, je me retrouve pliée en deux sur son épaule, tête en bas. Il me tient sous les cuisses, descend par le chemin que j’ai emprunté pour monter. Il me ramène dans son baisodrôme, me dépose.
- T’aurais dû te barrer quand t’as vu qu’ j’étais pas seul, ma femme aurait pu te voir ! J’vais pas t’ménager, j’aime pas les voyeurs !
Je ne bouge pas, j’ai soudain peur, j’aurais mieux fait de ne pas me montrer. S’il a décidé de s’attaquer à ma rosette, vu les dimensions de l’engin quand il bande, je risque de ne plus pouvoir m’asseoir pendant huit jours !
- R’garde ça comment t’es sapée, on voit ton ventre et ton cul ! T’es venue pour que je te baise, fous-toi à poil !
Je gagne du temps, pour le moment il ne bande pas, sa queue à la tête en bas.
- J’n’ai pas envie aujourd’hui ! Vous bandez plus, elle vous a vidé !
- Tu vas voir, j’vais t’défoncer le cul !
La menace se précise, je me dirige vers la sortie. Il m’att par un bras, m’expédie contre le mur de paille.
- Vire ta culotte !
J’avais à peine commencé que je me retrouve à poil, par terre, sur le dos. Il est allongé sur moi, tête bêche, ouvre mes lèvres, me bouffe la chatte. Un flot de mouille l’envahit. Seulement voilà. Le gland est au dessus de ma bouche, mou, il ne bande pas. Il tend le bras sous lui, saisie la queue, place le gland devant ma bouche, je tourne la tête.
- Aller, suce-moi, qu’est c’que t’attends ! Faut que j’te le rentre dans la bouche ?
Je m’exécute, ouvre la bouche, absorbe le gland. Beurk, c’est dégeu, âcre, sale goût de foutre et de cyprine mélangés. Mais je le suce malgré tout et je sens le gland augmenter de volume, la hampe se redresser et durcir, il me la rentre en fond de gorge, j’étouffe. Je tire sur la tige, le gland est devenu trop gros, je le sorts de ma bouche. Lui ne perd pas son temps, pince mon clito, le sort de sa gaine, titille le bouton rose, tire dessus, le triture. Mon bas ventre fait des bonds, je cambre les reins, c’est trop fort, je ne peux pas me retenir, je ruisselle. Il change de position, se retourne face à ma fente, se place entre mes jambes, les replie, écarte mes cuisses au max. Je me redresse, le regarde. Sa queue est de nouveau en érection, énorme, pointée vers moi ! Oh là là, combien de doigts il essaye de mettre dans mon vagin. L’entrée est terriblement dilatée, ce n’est pas possible, il va la faire craquer, il me fait mal, très mal, force encore plus. Il les tourne, en ajoute encore un, pousse, ressort, remet le tout, s’il continu il va y entrer la main. J’aimerais pouvoir y échapper, remue, je mouille terrible, je suis à sa merci, prisonnière de cette main qui me fouille à l’intérieur de moi, crie :
- Aie ya aie, vous m’faites trop mal !
- Non, j’te fais payer ta curiosité !
- Pas une raison pour rentrer la main dans mon vagin, pas fait pour, vous m’faites trop mal
- T’inquiètes, t’es bien ouverte, c’est souple à ton âge, quand j’vais t’la mettre, j’vais y rentrer facile !
Dans quel guêpier me suis je encore fourré ? Il me prend les jambes, les croise l’une sur l’autre, force, me fait tourner, je me retrouve sur le ventre. Il m’écarte de nouveau les cuisses en grand, me relève le cul, fourre son pouce dans mon vagin et un doigt force la rosette.
- Non, pas ça, pas mon cul !
- Pourquoi, t’es vierge de ce côté !
- On ne me l’a jamais mis ! Et puis j’veux pas, c’est pas fait pour ça !
- T’inquiètes, c’est pas mon genre d’entrer par là, c’était juste pour savoir !
Il place sa bite dans la fente, devant mon trou, m’emmanche direct sans prévenir, tout est rentré sans forcer, jusqu’aux couilles.
- Aie ! Oh là, doucement !
Et le voilà que me burine rapide, il s’acharne dans moi, je l’accompagne. Je sers mon vagin, il me ramone dur, je sens que je viens, je crie.
- Oh làlà, Ouiiiiiiiiiiiii, lâchez tout.
Il se bloque au fond de moi, râle, je sens soudain ses jets de foutre envahir ma gaine, c’est bon, c’est chaud, mon cœur chavire, je décolle, retombe !
Je viens de jouir, il reste dans moi, m’écrase un peu sous son poids, je suis bien ! Il bouge encore en moi, sa queue n’a pas l’air de ramollir, elle me remplit toujours, mon vagin se ressert, que c’est bon de le sentir en moi ! Encore des jets, pas possible, il finit de se vider, pourtant il n’y a pas si longtemps que ça qu’il a rempli sa femme, je ne comprends pas ! Il bascule sur le côté, roule sur le dos, m’entraîne sur lui. Il reste dans moi, je sens sa queue diminuer doucement, mes organes suivent, reprennent leur place. Je ne bouge pas, savoure ces moments de fin de baise. Il me repousse, se relève, moi aussi. On se rhabille, je ne remets pas ma culotte pour ne pas la salir ! Mamy ne doit pas savoir que je me suis encore fait sauter !
- C’est pas le tout, faut que j’bosse maintenant ! Revient demain si tu veux, mais fait gaffe de pas te faire voir. De toute façon je ne crois pas que ma femme renouvelle l’expérience d’aujourd’hui. Mais on ne sait jamais, ça lui a peut être bien plu.
- Je repars dimanche, bye !
Comme j’ai gardé ma culotte dans la main, tout au long du chemin du foutre coule le long de mes cuisses. Je rentre à la maison, personne, je file me laver, vais dans ma chambre, m’allonge.
Ma grand-mère vient de rentrer, a fait ses courses, range, s’affaire dans sa cuisine. Elle m’appelle :
- Dis donc, on ta vu hier avec le fermier sur son tracteur. Ce n’est pas avec lui que tu as baisé quand même ?
- Mais non, Mamy, tranquillises toi, j’ai juste fait un tour, rien d’autre.
- Dans ce village tout se sait, les mauvaises langues vont bon train. Tu me jures que ce n’est pas lui qui t’a sauté hier ?
- Mamy, je jure, avec lui je n’ai rien fait !!! Y a pas de place sur un tracteur !
- Je sais, mais il y a un petit bois derrière la ferme, il ne t’aurait pas entraîné dedans par hasard ?
- Mais non Mamy ! On est resté sur le tracteur !
Fin des vacances!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!