Laetitia Et David Partie 5 : Le Repas

Partie 5
Pov David

Léti revint avec mon collant rempli de sperme. Elle semblait bien en colère. J'avais peur, mes yeux se baissaient comme si j'avais fait une erreur.
— Heureusement que tu portes une cage maintenant.
— Je suis…
— Tais-toi Soumise, tu parles uniquement quand je te l'ordonne, c'est clair soumise ?
Elle passa ses doigts autour de mes testicules, ses cajoleries s'excitaient beaucoup. Mon sexe se heurta contre la paroi froide du métal. C'était très très désagréable !
— Oui.
— Oui qui ?
— Oui Maîtresse.
— Répète-le avec plus de fierté !
— Oui Maîtresse, dis-je avec force.
Un sourire naissait sur les lèvres sur Léti.
— Dis-moi, Lysa, est-ce qu’une fille aussi désobéissante que toi peut jouir ?
Je reste silencieux.
— Réponds-moi !
On pouvait voir une certaine autorité sur le visage de Léti, elle me terrifiait.
— Non… Je ne peux pas jouir.
— Et pourquoi l'as-tu fait ? Pourtant, ce matin, tu m'as répondu que tu ne voulais pas te branler.
— À cause des collants…
Ma Maîtresse explosa de rire.
— À cause des collants, c'est la meilleure ! Tu as joui avant que Léa arrive ?
— Oui, j'ai spermé en moins de cinq minutes, j'étais tellement excité.
Léti sourit.
— Tu vas rester encagé pendant un long moment, si tu te comportes comme ça… Coiffe-toi un peu, ta perruque est en vrac, refais ton rouge à lèvres. Et retourne nous rejoindre à la cuisine. Sois silencieuse petite fille, tu lèves la main pour aller pisser. Compris ?
— Oui Maîtresse !
— Tu as l'air plus motivé de tout à l'heure.
Léti s'en allait. Je pouvais à présent contempler ma petite queue dans cette horrible cage de métal. Comment mon sexe avait-il pu rentrer ? Je sentais une érection apparaître lentement, mais fut immédiatement rompue.
Je coiffais ma perruque blonde. Je réajustais mon rouge à lèvres.

Je remis mon collant en place. Les deux sœurs discutaient avec beaucoup de complicité quand j'arrivais dans le salon.
— Tu es de toute beauté Lys ! Complimenta Léti. Viens t'asseoir, on sort le champagne, c'est rare qu'on soit réunis tous les trois.
Je m'assis près d'elle, sa main caressa ma jambe avec beaucoup sensualité. Léti me donna une coupe, et me chuchota un mot à l'oreille.
— Je conseille de boire avec dynamisme.
Léti m'embrassa avant de repartir s'asseoir près de sa sœur. Elle me jetait sans arrêt des regards. Je bus une gorgée à chaque fois.
— J'ai l'impression que notre petite sissy aime bien ce champagne, commenta Léa.
Elle me remplit le verre avant même qu'il ne soit vide. J'acceptais volontiers.
Léti discutait avec sa sœur pendant un long moment. Ses yeux croisaient souvent les miennes.
— Bon on passe à table. Lysa, tu ne veux pas finir la bouteille ?
Sa question était une affirmation. Ma femme vida le fond de bouteille ma flûte avec un sourire presque sexy. Léa tout comme moi, nous étions étonnés par la quantité de liquide dans le verre. Une goutte de plus et le liquide allait déborder de la coupe.
— Léti, je n'appelle pas ça un fond ! sourit-elle.
— C'est relatif. Je vais sortir du vin, une excellente bouteille de 2008 !
— Je me couche comme au poker !
— D'accord et toi mon amour, tu m'accompagnes ?
Je ne pouvais pas refuser.
— Oui, tu sais très bien que je te suis toujours, dis-je.
Laetitia me sourit en guise de réponse.
Je vidai ma coupe rapidement et nous mettions à table. Ma vessie semblait presque pleine, mais je pouvais toujours patienter.
Léa regarda sa sœur avec un sourire.
— Dis-moi, ta sissy ne parle pas beaucoup ?
Son sourire me faisait dire qu'elle avait un plaisir fou de m'appeler par le terme sissy.
— C'est normal, je l'ai punie ? Lysa, tu pourras dire à ma sœur pourquoi tu es punie et pourquoi tu portes désormais une cage de chasteté ? ordonna-t-elle poliment en buvant du vin.

Je me sentais humilié et honteux, Léti l'avait dit comme si c'était normal de porter un dispositif de chasteté. Léa resta elle aussi immobile et finit par rire croyant que c'était une blague.
— Ne fais pas ta timide, Lysa, dit Léti en buvant de nouveau dans son verre.
Après une grande inspiration, je parlai.
— Léti m'a interdit de me toucher pendant son absence. Une fois seul dans l'appartement, je ne pus pas résister, j'avais déjà une grosse érection. Je suis fétichiste ! J'ai joui dans le collant que je portais. J'ai changé de sous-vêtements et j'ai menti à Léti. Je suis vraiment désolée maîtresse.
— Sacrée Lysa, informa Laetitia.
— Excusez-moi, mais j'ai une envie pressante, dit Léa.
La femme aux cheveux violets et se dirigea vers la salle de bain.
Léti me regarda avec un air dominateur.
— Je te félicite petite soumise !
— Est-ce moi aussi, je peux aller aux toilettes ?
— Avec toute ta désobéissance, je ne pense pas.
— Comment vais-je faire ?
— Ne me coupe pas la parole. Tu vas pisser devant nous, tu nous montreras tes talents de championne.
— Je suis curieuse, répliqua Léa.
Je me sentais honteux, mais je n'avais pas le choix.
— Prends une grande casserole, tu as beaucoup bu ce soir.
J'ouvris les placards et j'en saisis une bien grande. Je déposai sur le sol.
— Voilà maintenant tu peux uriner, déclara Léti.
J'enlevai mon collant et je soulevai ma jupe. Léa fut captivée par mon sexe emprisonné.
— Il va en mettre partout, s'écria la sœur de Léti.
— C'est une championne, pas vraie ?
Léti me regarda avec un sourire.
— Oui.
Mon sexe grossit, le froid du métal envahit mon pénis ce qui était très désagréable. À cette position, la cage semblait bien lourde, j'avais l'impression qu'elle tomberait d'une minute à l'autre.
Léa avait raison, j'avais peur d'en mettre partout. Une première goutte s'échappa. Elle s'écrasa bruyamment dans le récipient.
De petits jets sortaient, j'essayais de me contrôler pour ne pas lâcher tout en même temps.
Le liquide contre la casserole produit un son bien désagréable. Léti et Léa me contemplaient comme si j'étais un clown.
La dernière goutte tomba, Léti vint me féliciter et me nettoyer ma cage avec un essuie-tout. Je fus si surpris par ce geste de tendresse.

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