Nathalie Et Le Pizzaiolo Partie 2

Quand je suis revenu à la maison environ 30 minutes après eux, ma femme était seule.
Elle m’a tout de suite embrassé pour que je sente le gout qu’elle avait dans la bouche.
« Ça y est tu l’a fait ? Ça t’a plu ? »
« Oui j’ai adoré, mais là je suis grave excitée, viens me faire l’amour »

Désormais à chaque fois qu’elle suçait Stéphane, elle avalait tout son sperme.
J’ai eu l’occasion plusieurs fois de l’embrasser juste quelques minutes après qu’elle l’ai sucé et j’ai adoré ce gout qu’elle avait dans la bouche.


Un jour ou nous étions tous les deux à la maison, moi je bricolais dans le garage et Nathalie est venue me voir.
« Tu en as encore pour longtemps ? Je m’ennuie un peu »
« J’aimerais bien finir de réparer ce meuble car il va finir par tomber en ruine et ta vaisselle avec »
« Oui c’est vrai tu as raison » dit-elle d’un air résigné.
« Pourquoi tu ne vas pas voir Stéphane ? Je crois qu’il est chez lui j’ai vu sa voiture devant tout à l’heure, demande-lui s’il peut te payer un café »
« Ça ne te gêne pas que je te laisse seul pour aller le voir ? » « Je n’osais pas sachant que tu étais à la maison »
« Mais non t’inquiète ma chérie, profites-en au contraire, tu as deux bonnes heures devant toi avant que je ne sois disponible »
« Ok je me change et je monte le voir » « Heuuuuuu je peux y aller en mode hyper salope ? »
« Si tu veux. Viens juste me montrer ta tenue avant d’y aller »

Stéphane habitait à l’étage dans une vieille maison tout près de la nôtre, pour y accéder il fallait rentrer dans une courette, montée un escalier qui arrivait sur une minuscule terrasse qui donnait sur son appartement.
Ça ressemblait plus à une chambre de bonne qu’a un appartement.
En entrant il y avait une toute petite pièces avec un lit, un réchaud et un évier. Au fond une minuscule salle de bain avec une douche, un toilette et un lavabo.


C’était sommaire mais provisoire donc il s’en contentait pour le moment.

Nathalie a frappé à la porte de chez Stéphane, il lui a ouvert mais il n’était pas seul.
Son pote Rachid était là.
Rachid était souvent avec Stéphane, c’était un peu son « boy » ou son homme à tout faire, il lui faisait ses courses, son ménage.
Il était petit, tout maigre, pas très beau mais très sympa et serviable, célibataire et ne travaillant que grâce aux quelques petits boulot qu’il trouvait par intérim.
Stéphane le connaissait depuis qu’ils étaient môme et l’avait un peu pris sous son aile pour qu’il ne dé pas.
Il dormait souvent chez Stéphane quand ce dernier découchait.
« Qu’est-ce que tu fais avec ton grand manteau ? demanda Stéphane à Nathalie.
« Bein heuuuu je croyais que tu étais seul » chuchotât elle.
Rachid sentant qu’il gênait un peu est sorti fumer une clope sur la mini terrasse.
« Enlève ton manteau tu vas crever de chaud » dit Stéphane à ma femme.
« Je veux bien mais il ne faut pas que Rachid rentre »
« Ah bon, pourquoi ? » demanda-t-il d’un air étonné mais avec une pointe d’ironie.
Nathalie a alors ouvert son manteau et est apparue avec une superbe guêpière en dentelle noir, dont le haut avait du mal à contenir ses seins et qui laisser voir le début de ses auréoles, une paire de bas et chaussée de cuissardes noir à haut talon.
Elle ne portait rien d’autre.
La vision de ma femme dans cette tenue était affolante pour un homme normalement constitué.
Stéphane lui a alors sauté dessus pour l’embrasser et la tripoter de partout tellement la vue l’avait excité.
« Mais il y a ton pote dehors, il va nous entendre » « Je ne veux pas qu’il aille raconter à mon mari qu’on baise ensemble toi et moi »
Nathalie ne lui a jamais dit que je savais.
« T’inquiète c’est une tombe il ne dira rien ».
« Et s’il entend il risque de nous mater au carreau ? »
« Pas grave ça lui donnera de quoi fantasmer pour sa branlette du soir » « Il est célibataire et il n’a que sa main pour se satisfaire lui » « Remarque si tu veux après je vous laisse, il serait heureux que tu lui offre tes faveurs, d’autant plus que pour l’avoir vue à poil quand il prend sa douche, il a un sacré morceau entre les cuisses »
« Heuuuu tu veux m’offrir à ton pote là ? »
« Non, non, c’est juste une proposition pour te débrider, comme ça si tu te dis que tu vas le sucer après, tu pourras plus te lâcher avec moi, même s’il mate à la fenêtre.
»
« Bon ok on va faire comme s’il n’était pas là » dit-elle en se mettant à genou devant Stéphane pour lui enlever son pantalon et prendre sa bite dans la bouche.
La vigueur de son sexe n’avait pas faibli, peut-être même qu’elle avait augmentée.
Le salaud se dit-elle, le fait de vouloir m’offrir à son pote le fait bander encore plus fort.
Il s’est alors allongé sur le lit, a enfilé une capote et demandé à ma femme de venir le chevaucher.
Elle s’est exécutée et s’est empalé sur son sexe bien bandé.
Elle faisait des va et viens sur sa bite, lui l’accompagnait en lui caressant les fesses et en lui bouffant les seins qu’il avait fait sortir de la guêpière.
A chaque mouvement de descente sur sa bite, il tendait bien son bassin comme pour la pénétrer encore plus profond.
Elle avait l’impression qu’il allait très loin dans son sexe, ce qui l’a faite prendre du plaisir très vite.
Elle s’est affalée sur lui et a accélérée les mouvements de son bassin pour sentir encore mieux le sexe qui la défonçait.
Elle a joui en criant très fort son plaisir.
« Eh bien ça te stimule de savoir que Rachid te mate » lui dit-il.
« Salaud » répondit-elle en lui tapotant la poitrine avec ses poings.
« Prends-moi plutôt en levrette au lieu de raconter n’importe quoi »
A quatre patte sur le lit, Stéphane est venu la prendre par derrière.
Il s’est bien calé derrière elle et a commencé à la pilonner très fort.
Il jetait un coup d’œil à la fenêtre de temps en temps pour vérifier que Rachid était bien entrain de le mater démonter sa voisine.
Une fierté qui décuplait sa vigueur en donnant de grand coup de boutoir dans le sexe de ma femme.
Elle a joui plusieurs fois à ce rythme soutenu.
A chaque jouissance elle criait encore plus fort.
Même elle, se sentait très excitée de se savoir épiée.
A force de jouir, elle était comme en transe, elle lui demandait de la baiser encore plus fort, qu’elle voulait sentir sa grosse bite la défoncer.

« T’aime ça la bite hein sale pute »
« Oh oui j’adore ça »
« T’es ma pute » « Tu la sent bien ma queue »
« Oh oui putain qu’elle est bonne, donne la moi encore plus fort salaud »
« T’es ma pute, dit moi que t’es ma pute »
« Oh ouiiii je suis ta pute »
« Ça t’excite que mon pote nous mate sale pute »
« Ouiiii ça m’excite, vas-y continu c’est trop bon, défonce-moi encore »
« T’es ma pute donc tu va sucer mon pote après »
« …. » « Heuuuu… » « Oh putain elle est trop bonne ta queue »
« Dis-moi que tu vas le sucer, salope » « Vas-y dit le moi »
« Oh oui putain je vais le sucer ton pote, je vais bien lui pomper sa grosse bite et le faire jouir avec ma bouche » cria-t-elle dans un état second.
« Oh putain t’es trop bonne je vais jouir »
« Ouiiiiii vas-y moi aussi je viens » « Oh oui c’est trop bon vas-y ouiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Ils ont joui très fort tous les deux en même temps.
Il a fallu au moins cinq bonne minute pour qu’ils reprennent leurs esprits, affalé sur le lit ils reprenaient leur souffle.
Stéphane s’est levé et a retiré sa capote, son sexe était encore dur.
Ma femme s’est assise sur le lit, l’a attiré et a pris son sexe dans la bouche pour bien lui nettoyer et avaler les quelques gouttes de sperme qu’il restait.
« Tu m’a bien baisé mon salaud, j’ai trop bien pris mon pied »
« Maintenant va falloir assumer ce que tu m’as dit » « D’ailleurs il faut que je me sauve, je suis en retard pour ouvrir la pizzéria, je te laisse avec Rachid »
A peine habillé il est sorti en laissant la porte ouverte et en disant à Rachid :
« Vas-y mon pote je te l’ai bien chauffé, elle est à point »
Ma femme était encore assise sur le lit toujours dans sa tenue « hyper salope » quand Rachid est rentré.
Elle était encore un peu abasourdie par ses jouissances successives et de la demande de Stéphane.
Elle n’a même pas cherché à se couvrir quand Rachid est rentré.

Il s’est avancé timidement vers elle.
Son pantalon était déformé par l’énorme barreau qui s’était tendu à force de les mater.
Il s’est encore approché un peu plus voyant que ma femme ne le rejetait pas.
« C’est vrai qu’elle a l’air énorme » se dit-elle.
« Je t’ai entendu quand tu étais avec Stéphane, tu vas faire ce que tu as dit ? » demanda-t-il timidement.
Mi résignée mais aussi mi curieuse, elle lui dit « approche »
Elle a ouvert son pantalon et l’a descendu jusqu’à ses pieds.
Un énorme pieu a alors jailli droit devant elle.
C’était presque disproportionner par rapport au gabarit du bonhomme.
Elle l’a attiré encore un peu plus pour pouvoir le sucer.
Ses deux mains ont entouré la bite de Rachid et il en restait encore un bon bout qu’elle pouvait mettre dans sa bouche.
Elle avait du mal à le sucer tellement il était gros.
Elle pouvait difficilement enrouler sa langue autour du gland.
Lui était aux anges.
Elle le branlait de ses deux mains tout en faisant courir sa bouche et sa langue le long de sa verge et sur son gland.
Il était tellement trempé d’excitation que ma femme s’est demandé s’il n’avait pas joui un peu plutôt en les matant.
Des petits picotements commençaient se faire sentir entre les cuisses de ma femme.
A force de voir et de sucer cette énorme colonne de chair, elle avait envie de la prendre en elle.
« Tu as des capotes ? J’ai envie que tu me baise »
« J’en ai toujours dans ma poche au cas où, même si c’est pas souvent »
« Tu m’étonnes, vu la bite que tu as ça fait quand même un peu peur » « Ne me prends pas comme un bourrin, j’ai pas envie que tu me déchire, vas-y doucement je te dirais quand tu pourras te lâcher plus »
Ma femme s’est mise à quatre pattes sur le lit, Rachid, après avoir enfilé sa capote, est venu s’installé derrière elle et a commencé à la pénétrer tout en douceur.
La séance avec Stéphane avait déjà bien distendu ses chairs ce qui fait que l’énorme pieu de Rachid est rentré tout seul sans douleur.

Ma femme avait la sensation d’être complètement remplie par cette grosse bite.
Alors que Rachid commençait doucement ses va et viens en elle, Nathalie a senti qu’elle allait jouir à la vitesse de l’éclair.
A peine quelques petits coup de rein de Rachid et…
« Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii putain c’est trop bon vas-y continu ahhhhhhhhhhhhhhh j’adore ta bite ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii »
Elle a joui très fort ce qui a contribué à encore plus lubrifier sa chatte et permettre à Rachid de pouvoir la baiser de plus en plus fort.
Rachid continuait de la pilonner alors que ma femme reprenait une nouvelle fois son pied.
Elle avait l’impression de jouir en continu.
Rachid la bourrait de plus en plus fort en lui prenant bien les hanches pour s‘enfoncer encore plus loin en elle.
Il était de plus en plus excité.
« Salope depuis l’temps que j’me branle en pensant à toi, j’savais qu’t’étais une bonne pute qu’aime la bite » « elle est bonne la bite de l’arabe hein sale chienne » « T’aime ça sentir ma grosse bite d’arabe dans ta chatte de grosse salope »
« Oui elle est bonne ta grosse bite d’arabe, vas-y défonce moi bien Rachid »
« Oh putain oui t’es trop bonne tu vas m’faire jouir sale chienne oh oui putain ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… »
Pendant qu’il éjaculait elle avait l’impression qu’il se déversait en elle tellement elle sentait ses jets de foutre jaillir de sa bite.
Quand il est ressorti de sa chatte, elle s’est retournée pour vérifier quand même qu’il n’y avait pas eu d’accident.
Non c’est bon le préservatif n’avait pas craqué.

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