Le Jeu De L'Oie

La journée qui suivit ma nuit chez mon nouvel amant fut désespérément longue. Chose étrange, je n'éprouvais aucun remord. Je me sentais habitée par un désir démoniaque de revivre tous les événements de la veille. M'exhiber pour lui, me laissais violer pour lui. Être juste cette éponge à sperme qu'il voulait que je sois. J'avais consulté un psychologue pour soigner mes angoisses et mes pulsions sexuelles, et j'avais obtenu tout l'inverse. Je m'étais livrée à lui sans retenue et sans pudeur.
J'étais passée le matin chez moi pour me lavait et me changer. Comme la veille, le grand jeu. Une jupe crayon noir très glamour en motif et imitation crocodile, qui m'arrivait à la mi-jambe. Des escarpins de 12cm noir et un body imprimé de motif blanc et noir, col cheminé, très ajusté dont le polyester le rendait extensible, me rendant particulièrement pulpeuse ce dont je le savais très friand.
Sur la route du bureau, je profitais d'un lavomatique pour faire laver ma voiture, souillée des marques de la veille. Je déposais ensuite mes vêtements au pressing et récupérais ceux que j'avais déposés la semaine précédente suite à ma séance de thérapie de groupe, un peu spéciale, avec les patients de Jérôme. Le patron du pressing était un homme d'une soixantaine d'années au comportement lubrique. À chaque visite, je sentais son regard posé sur moi avec des yeux vicieux et gourmands, et un sourire de satyre. Au fil du temps, il se permettait de plus en plus de commentaires graveleux sur les traces laissés sur mes habits, toujours avec un grand sourire vicieux. Je n'osais pas répondre, me sachant pas vraiment en position d'argumenter.

- J'espère que ceux-ci sont moins sales que les précédents, il y a des taches qui ne partent pas facilement madame Dupond, vous verrez d'ailleurs sur la jupe, ils en restent.
Je me doutais qu'il scrutait toutes traces suspectes et fantasmer dessus. Cette fois, il n'allait pas être déçu. Arrivée au bureau, j'eu droit à une visite de Patrick le Directeur commercial, m'apportant un thé, il continua pendant la journée de déborder de gentilles attentions.

Et pourtant aucune nouvelle de mon amant. À défaut d'avoir une quelconque emprise sur mon amant, j'avais un homme de 50 ans pétri d'amour pour moi. En fin d'après-midi, je reçus enfin un SMS, mais pas franchement le contenu que j'espérais.
@Patricia : désolé belle pouliche, mais un empêchement pour ce soir, on se voit demain.
@Jérôme : Ohhhh je suis tellement déçue, j'espérais vraiment qu'on puisse dîner ensemble, tu es sûr ?
@Patricia : oui un patient en urgence à voir assez tard. Je te donne des nouvelles pour demain.
Furieuse, je ruminais ma rage dans mon bureau, et vers 19H décidais de vérifier par moi-même le pseudo-alibi. Je sautais dans ma voiture, et me rendais à son cabinet, me garant sur un petit parking. De mon emplacement, je pouvais voir la lumière allumée dans son bureau, et décidais de patienter dans la voiture, sans me rendre compte du ridicule de la situation. J'étais dans ma voiture, assise, observant dans le froid de ce mois d'octobre, attendant un signe improbable de son amour, craignant que cela n'arrive probablement jamais. Pour combler mon ennui, je pris le paquet du pressing, afin de vérifier l'état de ma jupe. J'ouvrais, et cherchais. Sur la partie arrière de la jupe, un post-it était accroché : ' petit souvenir pour ma cliente préférée, appelez moi au 06.....". Une trace blanche était toujours la, mais cela ne pouvait être ce que je croyais... Malheureusement si, l'odeur était bien du sperme, pas encore totalement sec, vraisemblablement datant juste du matin. Ce cochon avait attendu ma venue pour éjaculer sur ma jupe, comme un fétichiste pervers. J'étais furieuse. Non seulement mon amant m'ignorait et en plus, j'étais traité comme un objet par un vieux cochon. Fulminant, dans ma voiture, je pris un mouchoir en tissu pour nettoyer les traces, alors que Jérôme sortait de son bureau. Il n'était pas seul, accompagnait d'un homme, dont la silhouette m'évoquait quelqu'un de connu. Ils se dirigèrent vers un immeuble situé en face de son cabinet.
Rapidement, je mis le mouchoir dans mon sac et sortis de la voiture afin de le suivre. Arrivée devant l'immeuble, je poussais la porte et entrais dans une cour intérieure. Au fond, il y avait une maison privée transformait depuis quelques années en club privé. J'apercevais Jérôme échanger avec le personnel de sécurité lui remettant une enveloppe dans la main avant de rentrer dans le club. Je lui emboîtais le pas, me présentant devant la porte bien gardée.
- Bonsoir, puis-je entrer ?
- Bonsoir Madame, c'est un club privé, c'est que sur invitation.
- Je suis invitée par un de vos clients Jérôme de Bonneville.
- Madame Patricia Dupond, je suppose que vous me reconnaissez ? Votre ami Jérôme vient à l'instant de nous remettre cela pour vous.
Le vigile était un des deux hommes qui m'avait fait subir tous les outrages la veille chez Jérôme. Mon amant avait donc tout programmé, et m'attendait. C'était encore un stratagème qu'il avait organisé pour me plaire, me séduire, ou me soumettre et m'humilier. Malgré la présence du vigile, dont je tentais d'ignorer les insinuations, je reprenais des couleurs, ma jalousie s'estompant. Je lisais sur l'enveloppe "Le Jeu de l'oie". J'ouvris avec anxiété et lu le message...

"Ma belle pouliche, si tu es venue jusqu'ici, c'est que tu as laissé derrière toi tes contraintes bourgeoises dépassées. Si tu rentres dans ce club pour me rejoindre alors il te faudra passer toutes les étapes de ce "Jeu de l'oie" un peu spécial, dont les instructions vont être communiquées. Sans réticence, sans résistance, sans tabou ni limite. Tu peux encore renoncer, et faire demi-tour, mais une fois à l'intérieur il n'y aura plus de retour possible"

Le vigile ouvrit la porte et s'écarta, pour me laissait passer. Après une courte hésitation, je rentrais et me dirigeais avec lui dans un petit vestiaire exigu, protégé par un rideau. J'abandonnais mon manteau et me faisais remettre une boite que j'ouvris. À l'intérieur, un plateau de jeu, un dé, un marqueur, et un minuteur de cuisine mécanique en forme d'œuf.
Je dépliais le plateau et découvrais un jeu de l'oie un peu particulier. Composé non pas de 63 cases, mais juste d'une vingtaine, le but restait le même, arriver à la dernière case. Sur chaque case une action différente comme : "Baisé", "Caresses".... Les règles étaient simples. Lancer un 6 pour démarrer, et se plier aux instructions de chaque case, avant de relancer le dé pour atteindre la case suivante. Le vigile précisa quelques règles.
- Tant que tu n'as pas fait un 6, tu restes ici avec moi. Une seule tentative toutes les deux minute, en attendant, je m'amuse. Une fois que tu as fait ton 6, tu suis les instructions sur le plateau. À chaque étape le lieu de rendez-vous suivant t'es donné. Tu dois alors te soumettre aux instructions de la case, avant de rejeter le dé. Chaque pause dure 10 minutes à chronométrer avec le minuteur. Une fois arrivée à la dernière case, tu auras le droit de voir ton mec.
J'acquiesçais, et pris le dé, que je lançais... 3. Il régla le minuteur sur 2 minutes et sans perdre de temps m'attira vers lui, afin de m'embrasser. Sa langue plongea en moi. Sa grosse main de brute s'étala sur mon body, agrippant mes gros seins, alors qu'il me fouillait le fond de la bouche de sa langue de serpent. Il me palpait comme un animal, alors que sa seconde main me tenait par les cheveux afin de me rendre plus docile. Au bout de 2 minutes, l'œuf sonna, il me lâcha. Je repris le dé... 5. Il se rua à nouveau sur moi, et recommença de plus belle. Affamé de mes formes pulpeuses, il joua avec ma bouche de la façon le plus outrageant possible.
- Hummmm, tu as de la chance que je n'ai pas le droit de te baiser ce soir, j'aurais bien remis ça. Si tu veux voir ton mec, va falloir être une bonne fille, une bonne-maman. Donne-moi ta langue.....
Il me fallu 5 jets pour faire enfin mon premier 6. Le traitement dura, 10 minutes, ou il s'amusa à m'embrasser avec gourmandise. Une fois libéré, il fit une grosse croix sur la sixième case "Caresses" :
- Rendez-vous au 2eme étage, deux hommes en smoking
Je mis le jeu dans mon sac et montais au second.
Il y avait un bar sous une alcôve, une piste de danse au milieu et des canapés tout autour. Une dizaine de personnes étaient là, soit dansant, soit s'entrelaçant sur les canapés. Au bar, deux hommes me firent signe de les rejoindre. L'un prit mon sac dans sa main, alors que l'autre me maintenait près de lui. Il sortit le plateau, le dé, l'œuf, et le marqueur, faisant tomber le mouchoir sur le sol.
- Voyons ce qu'on a comme gage... "Caresses", et bien voilà qui est prometteur, j'aurais préféré "actions", mais on va s'en contenter. Attention ramasse lui son mouchoir...
Le deuxième homme, ramassa le mouchoir encore humide, et s'exclama...
- Sens-moi ca, mais c'est du sperme !!!!
- Mets-lui dans la bouche pendant qu'on s'occupe de ses formes pulpeuses...
- Belle bourgeoise, en tout cas...
- Oui très appétissante... Regarde-moi ces gros nibards.
- J'ai une idée, remonte lui la jupe à mi-cuisse.
Alors que l'homme me pétrissait mes gros seins, debout devant le bar, le second se battait avec ma jupe fourreau en imitation crocodile pour la relever à mi-cuisse, laissant apparaître la jarretière de mes bas. Il m'avait placé mon mouchoir dans la bouche, et je pouvais sentir l'odeur nauséabonde du sperme du patron du pressing. L'un des deux m'embrassait dans le coup alors que l'autre faisait de même avec mes lèvres bien qu'obstruées par le morceau de tissu sale. Leurs mains étaient partout sur mon corps et plus particulièrement sur ma poitrine généreuse. Je sentis l'un des deux glisser son sexe en dessous de ma jupe, coinçant son membre, et invitant le second à faire de même. Ne disposant que de peu de temps et excités par le contact du cuir et de ma peau, ils se masturbèrent rapidement utilisant la friction du cuir et ma cuisse tout en continuant à me palper comme un animal. Ils se vidèrent en dessous de ma jupe, presque en même temps, giclant tout leur liquide sur mes cuisses pour enfin me réajuster la jupe qui collait avec le sperme abondant... Ils m'enlevèrent mon mouchoir de la bouche pour s'essuyer avant de le remettre dans mon sac.
- Tu peux relancer ton dé ma belle !!!
- '6' encore bravo tu peux rejouer.
- '5', c'est la case 'Butineuse'... 3eme étage le barman t'attends...
Ils replacèrent le plateau ainsi que les autres objets dans mon sac et me libérèrent pour affronter l'épreuve suivante. Je montais un étage supplémentaire, pour retrouver le même genre d'environnement, avec un bar, une piste de danse, mais à la place des canapés, des petites cabines particulières intimistes. Il y avait quelques couples qui s'enlaçaient, et derrière le bar, un homme d'une vingtaine d'années qui me souriait. Je me dirigeais vers lui, et lui tendais le plateau du jeu avec la croix sur le mot "Butineuse". Il m'invita à passer derrière le bar, et sans un mot, me poussa à genoux devant lui, ouvrit son pantalon pour sortir son énorme sexe, qu'il poussa dans ma bouche. Je pris son sexe entre mes lèvres et m'appliquais à sucer ce garçon qui devait être plus jeune que mes garçons... Alors qu'il me baisait la bouche me tenant par les cheveux, il faisait la conversation à un couple accoudait au bar...
- Qu'est-ce que je vous serre
- Une coupe de champagne sera parfaite...
- Charmante compagnie, une nouvelle cliente ?
- Oui une nouvelle butineuse au cheptel bien gourmande
- Heuuu, quelle belle oie, je ne sais pas si elle a le foie gras, mais par contre les mamelles sont bien fournies
- Oui moi, je préfère les oies aux dindes, elles gloussent moins et sont plus grasses
- Et a qui appartient ce bel animal ?
- de Bonneville, c'est son nouveau jouet... Une oie d'une qualité supérieure
- Puis-je me proposer de participer ?
- Avec plaisir, si votre compagnon est d'accord vous pouvez-nous rejoindre.
L'homme avait acquiesçait, et sa femme nous rejoignit derrière le bar. Elle s'agenouilla derrière moi, et me prit mes gros seins dans ses mains, alors que je continuais à sucer le serveur. Le temps coulait, rythmait par le tic-tac de l'œuf, me poussant à accélérer la pression. Il retira son sexe de mes lèvres et le plaqua sur mon body. Il frotta son sexe sur le tissu en polyester, alors que la femme me tirait les seins essayant de comprimer le membre au travers du tissu de mon body. Il jouit enfin sur mes seins, éjaculant sur le tissu de mon body, ruinant pour la soirée mon coté chic et élégant. J'allais sans aucun doute encore susciter l'excitation du patron du pressing. La femme me releva et m'embrassa avec fougue, sa langue se mélangeant à la mienne, alors que le barman finissait de se nettoyer le sexe avec mon mouchoir.
- Quand tu seras lasse de ton psy, viens me voir la bourgeoise, on s'occupera bien de toi...
- En attendant merci de lancer le dé, Chère Madame...
- C'est un '3' bravo vous vous rapprochez de votre ami, belle dame. Une nouvelle case "Aveugle", rendez vous sur la piste de danse au second étage, et une fois au milieu vous devrez porter ce bandeau sur les yeux
J'obéissais, et me rendais au second. Posant mon sac sur un tabouret, je me plaçais au centre de la pièce et me nouais le bandeau autour du visage, me masquant instantanément la vue. J'attendais debout, droite, totalement vulnérable, sentant des présences autour de moi. Plusieurs personnes me tournaient autour, respirant fort, posant de temps en temps une main sur moi. J'étais chancelante, perdue, mais totalement excitée de cette position de faiblesse, qui me rendait offerte comme une proie à une horde de chasseurs. J'étais à l'écoute, attentive à chaque mouvement ou respiration, essayant de deviner le nombre de prédateurs qui allait s'abattre sur moi. Un homme me mit quelque chose dans la bouche. Je reconnaissais à l'odeur et à la texture qu'il s'agissait à nouveau de mon mouchoir puant le sperme, et qui était de plus en plus trempé. Une claque s'abattit sur mes fesses, et me fit sursauter, alors que le manège continuait et que le temps s'écoulait. Un homme se rapprocha de moi, et me prit les mains qu'il posa sur mes seins...
- Caresse toi tes gros seins, fais nous un show...
Je m'exécutais, et palpais mes seins des deux mains, les faisant rouler afin d'accen encore plus l'excitation que mon public pouvait ressentir. Une claque s'abattit à nouveau sur mon fessier, alors que je sentais toujours ces prédateurs autour de moi en train de m'observer. Un homme me remonta la jupe et poussa ma main en dessous de la sangle de mon body, afin que je memasturbe devant eux. Cela dura quelques minutes avant que je sois poussée à genoux, toujours masquée alors que mes mains étaient toujours occupées à me donner du plaisir entre mes cuisses et sur ma poitrine opulente. Un premier jet me recouvrit le visage suivi d'un second, alors que la sonnerie des 10 minutes retentis. Deux hommes se soulagèrent sur moi, mon bandeau me fut enlevé pour me faire découvrir une vingtaine de personne autour de moi, hommes et femmes. Dans la foule, j'apercevais Jérôme, debout passif, m'observant en souriant, avec à ses côtés, l'homme qui l'avait accompagné, mais qui portait un masque pour conserver son anonymat... Je savais connaître cet homme, mais ne pouvais le reconnaître. Un homme m'enleva le mouchoir et essuya les traces qui me recouvraient le visage. Il me releva, me réajusta la jupe et me fit relancer le dé.
- 4, "Fessée", tu vas redescendre à l'accueil ma belle Oie, notre vigile t'attend.
Je repris mes affaires redescendait à l'accueil, ou le vigile m'attendait dans le vestibule avec un grand sourire...
- Penche-toi en avant, sur la table, jolie Maman, et relève moi cette belle jupe, que je puisse apprécier ce magnifique fessier que je vais rougir... Hummmm , quel cul énorme, j'adore tes fesses ma belle, suffisamment grosse pour exciter un aveugle, mais juste pas trop pour te permettre de t'habiller comme tu le fais. Tu ferais bander un âne dans cette position. Au fait, tu as aimé notre petite partie d'hier soir ? Il t'a bien enculé le docteur après notre départ ? Raconte-moi tout ...
Je ne répondais pas, et attendais patiemment mon châtiment, dans une position plus qu'humiliante. La jupe relevée, ma croupe juste protégée par la lanière de mon body, avec cette brute derrière moi qui réglait l'œuf sur 10 minutes. Le tic-tac commença en même temps que la première claque sur mes fesses. Dans un premier temps, il se plaça derrière moi et me fessa alternativement de la main droite et gauche. Les claques résonnaient dans ce petit vestibule, je restais toutefois silencieuse, malgré la douleur infligée. Il marquait de temps en temps une petite pause ou sa main se posait sur ma croupe rouge vif, pour là palpait de manière plus que virile. Il se mit enfin sur mon coté droit, me tournant le dos et se penchant en avant. Sa main droite continuait de m'appliquer les claques sur mon gros cul, alors que de sa main gauche, il utilisait l'œuf afin de me caresser l'entre-jambe. Il avait écarté la lanière de mon body et frottait l'appareil entre mon vagin et mon anus. L'alternance des claques et la pression entre mes cuisses me firent perdre le contrôle, et je sentais commençais venir un premier orgasme malgré les coups sur ma croupe... Alors que la sonnerie retentit enfin, j'essayais de me relever, mais il me plaqua contre la table, me maintenant par les cheveux...
- Reste comme ca grosse pute, je n'ai pas fini...
- Non mais ca fait 10 minutes, laissez moi partir, ce ne sont pas les règles,
- Ne bouge pas, grosse truie, je vais me vider sur ton gros cul de bourgeoise...
Il finit de se masturber sur mes fesses, me tenant couchée sur le ventre, jusqu'à ce que les premiers jets de sperme me recouvrent le cul. Il se soulagea bruyamment, affable de commentaires tous plus vulgaires les uns que les autres : "éponge à sperme", "tiroir à foutre"... Tout y passa. Une fois vidé, le même protocole s'appliqua à nouveau, mon mouchoir lui servit pour s'essuyer, et il m'invita à relancer le dé. : Un 6 à nouveau... J'étais enfin arrivée à la case finale...
- 3eme étage, salon numéro 3, le docteur t'attends...
Je m'empressais de reprendre toutes mes affaires et montais rapidement au 3eme étage pour trouver la cabine numéro 3. J'entrais dans la pièce encore vide, d'environ de 10 m2 avec un canapé d'angle, une table sur laquelle était posée une bouteille de champagne et 3 coupes... Il y avait sur le mur à intervalle régulier des anneaux sur lesquels des menottes pendaient. Je me doutais et me réjouissais du sens qu'allait prendre cette intimité avec mon amant, ayant toujours aimée être restreinte pendant mes accouplements. Je m'installais confortablement sur le sofa, croisant les jambes et attendais quelques minutes, avant que Jérôme entre suivi du second homme toujours masqué par une cagoule.
- Bonsoir ma belle, alors je vois que tu as aimé mon petit jeu de piste... Je te présente un ami, qui va se joindre à nous. Étant marié, tu comprendras qu'il préfère garder l'anonymat
- Jérôme, mais je pensais, enfin, j'espérais que nous serions seuls, juste toi et moi...
- Ne t'inquiète pas ma belle, mon ami est un vrai gentleman, il va se joindre à nous... Et n'oublie pas sois docile et obéissante, belle pouliche. Installons-nous et partageons une coupe s'il te plaît...
Assise au milieu, entre ces 2 hommes, jambes croisés, je dégustais le champagne, avec toutefois un peu d'appréhension quant à la suite des événements. L'homme masqué restait silencieux, Jérôme faisant la conversation en me harcelant de questions.
- Et si tu nous racontais ta journée, nous sommes tellement avides de savoir ce que peut vivre au quotidien une aussi belle femme que toi. Vous savez Patricia a beaucoup de prétendant, allez ma beauté dis moi qui t'as dragué aujourd'hui... On veut tous les détails...
Malgré mes réticences, je racontais ma journée, commençant par ma visite au pressing, et mes multiples réunions où je me faisais mater par les collaborateurs mâles de mon mari.
- Et lequel a ton avis te drague le plus ?
- Sans hésitations, Patrick le Directeur Commercial, il fantasme sur moi depuis le premier jour. En en plus depuis qu'il a vu mon gode hier sur le bureau, il est encore plus prévenant qu'avant.
- Il te plaît ?
- Jérôme, s'il vous plaît, c'est un gentil garçon, mais il n'est pas de mon rang, il manque d'envergure et de plus, vous savez que personne ne peut vous remplacer dans mon cœur et encore moins entre mes cuisses ?
Alors que je continuais à raconter ma journée, Jérôme se pencha sur moi pour m'embrasser dans le coup, tout en m'invitant à poursuivre ma narration. Je parlais de Patrick pendant quelque temps, alors que l'inconnu continuait à siroter son champagne, en silence et que les baisers de Jérôme sur ma peau commençaient à m'émoustiller. Sa main se posa sur mes seins, qu'il se mit à caresser. Il me palpa, ma grosse poitrine, sans se préoccuper de l'autre homme dont je voyais les yeux sous son masque fixés sur les caresses de mon amant.
- Je crois que notre ami, en pince pour tes belles mamelles ma pouliche. Allez-y vous pouvez toucher, elle n'attend que cela.
- Jérôme, non s'il vous plaît!!!
- Chute ma pouliche, tais toi, laisse toi faire, on va te traire tes belles grosses loches...
- Ohhhh, Jérôme vous êtes un démon, haaaaaaaa
- Oui, tu vois que tu aimes ca. C'est une belle mameleuse ma pouliche, vous aimez lui tripoter ses gros nichons...
- Ohhhh oui, en plus elle est recouverte de sperme cette salope... Elle en a partout, quelle cochonne...
Je me laissais faire, coincée entre ces deux hommes, qui s'amusaient à me palper les seins. Alors que l'inconnu me malaxait les seins de manière frénétique, comme pour assouvir un fantasme longtemps refoulé, Jérôme s'amusait à me presser mon sein comme pour en tirer du lait, simulant la traite d'une vache bien laiteuse. Ils s'amusèrent pendant de longues minutes de ma poitrine, tandis que je perdais le contrôle de mes sens, et me laissais partir vers un monde d'orgasme torride. Penchée en arrière vers mon amant, j'essayais de l'attirer vers moi de ma main, mais avais toutefois gardé ma position assise, jambe croisée, essayant de garder un peu de dignité dans ce qui s'annonçait comme une orgie sexuelle.
- Tu as vu comme elle aime se faire palper ses grosses loches la bourgeoise de la haute.
- Haaaaa, oui, finalement, on n'est pas de son rang et de son monde, mais c'est la plus grosse pute que j'ai jamais rencontrée.... Hummm depuis le temps que je rêve de me taper cette mondaine prétentieuse et arrogante.
- Oui, voilà, et je pense qu'avec votre bitte dans la bouche, ma pouliche va sûrement être beaucoup moins arrogante. Et que penses-tu de mon ami, ma chérie ? J'aimerais que tu lui suces sa bitte maintenant, tout de suite devant moi, tu veux bien ?
- Jérôme !!!!!!
- Sois docile, ma bien-aimée, suce le bien et tu pourras goûter à ma belle queue en toi aussi... Allez montre lui tes qualités de butineuse...
J'étais sûr de connaître cette voix, ces yeux, cette allure, mais qui cela pouvait être. Toujours est-il que je n'eu pas le temps de me poser de questions, Jérôme me forçant à me pencher vers l'inconnu, qui avait sorti son sexe. Il me poussa la tête contre le membre dure de cet homme que j'avalais entièrement.
- Voilà t'as vrai place, salope, bouffe moi la bitte, suce moi comme jamais. Depuis le temps que j'en rêve... Hoooooo cette pimbêche qui nous excite tous les jours au bureau avec ses tenues toutes les plus chics que les autres, la voilà maintenant à sa vraie place
- Oui ma belle, continue pompe le bien, tu vois, tu es en train de le libérer de ses frustrations...
- Haaaaaan cette langue, oui continue, lèche moi bien, et dire que demain tu vas tous nous regarder en réunions et que tu ne sauras même pas quelle queue tu as bouffée...
Je continue à le sucer, alors que Jérôme, me caressait mes gros seins au travers de mon body... Il me tirait dessus, continuant ses tentatives de traite de mamelles abondantes...
- Oui continue à lui tirer sur ses grosses mamelles, je suis sûr qu'on va en tirer du lait...
- T'es toute sale ma beauté, regardes toi, il va falloir encore que je te lave avec une bonne douche avec de te laisser repartir.
Je savais exactement à quoi, il pensait, une fois plus une fois soulagé, il allait à nouveau m'uriner dessus, comme acte ultime de mon humiliation. Il me relava la jupe, collante de sperme sur mes cuisses pour dévoiler mes grosses fesses, jute protégée par la lanière de mon body. Il me positionna en levrette face à l'inconnu que je continuais de sucer...
- Tu peux la prendre mon ami, son gros cul est à toi. Attention son petit trou, mais réservé...
Jérôme prit la place de l'inconnu. Gourmande et assoiffée de sa bitte, je m'empressais de le prendre en bouche comme une esclave avec son maître, alors que l'inconnu derrière moi avait écarté mon body pour me pénétrer. Il s'était accroché à mon gros cul à pleines mains, s'agrippant à mes hanches et à mes fesses, et s'enfonça en moi d'une traite. Il me pilonna, comme un déchaîné. Des années de frustrations, d'un collaborateur, qui se vengeait de la femme arrogante et prétentieuse de son patron, et qu'il baisait comme un taureau en rut. Un marteau-piqueur, qui me martelait le cul comme un possédé. Je me concentrais à sucer la queue de Jérôme qui me tenait par les cheveux, alors que l'inconnu continuait à se déchaîner sur mes formes pulpeuses. Mon amant se pencha en avant et pour mieux me motiver m'appliquait une grande claque sur mon cul déjà rouge.
- Elle a le cul bien rouge cette belle oie.
- Oui en tout cas voilà une oie bien grasse et bien fourrée, continue. Prends-la par-devant maintenant, je veux qu'elle te regarde pendant que tu la baises.
Il m'entraina dans le coin de la pièce, me retourna pour me coucher sur le sofa sur le dos, alors que Jérôme profitait de ma position pour me relever les bras au dessus de la tête, afin de m'attacher les mains aux menottes. L'homme m'écarta ensuite les jambes pour à nouveau s'enfoncer en moi. Il avait saisi mes cuisses par derrière, pour me soulever les jambes à la verticale qui pointait vers le plafond. Mes escarpins suspendus en l'air, suivait le rythme du mouvement de balancement des coups de hanches que je recevais. Debout derrière nous, Jérôme avait saisis les talons de mes escarpins, les tenants fermement bien maintenus s en l'air. Je soufflais, gémissais, suppliais, perforais par la bite de cet homme qui me martelait. Il s'était saisis de mon mouchoir plein de sperme et à nouveau me l'avait placé dans la bouche afin d'atténuer le bruit de mes plaintes. Malgré ce bâillon dégoutant je pouvais quand même exprimer mon état...
- - Ohhhhh, Jérôme au secours, pitié, non, j'en peux plus.... Ohhhhhh, Ouiiiiiii, je vais jouir !!!!!
Mon amant s'assit à mes cotés sur le canapé, tout en me contemplant en train de me faire violer par cet inconnu, souriant tout en me malaxant mes grosses mamelles qui remuaient au rythme des coups de reins de l'inconnu. Il me soulevait afin de passer ses bras autour de mon corps, m'entrelaçant afin de permettre sa palpation virile.
- Il te baise bien pour ton employé, ca te plaît d'avoir sa queue entre les cuisses, je vois que tu es en train de jouir....
- Ohhhhh, Jérôme, ouiiiiii, baisez moi, défoncez moi, donne moi ta queue dans ma bouche.... Ohhhhh, nonnnnnnn, il me met son doigt dans l'anus.
L'inconnu accroché à mes fesses, s'était frayé un passage, et alors qu'il continuait à me pilonner son doigt avait sournoisement pénétré mon petit trou.
- Tant qu'il ne t'encule pas... Et puis il va te préparer à ma grosse queue.... T'aimes sentir son doigt alors que sa grosse bitte te lamine, dit le moi salope, je veux t'entendre jouir...
- - Hooooo, Jérôme, j'en peux plus, il me fait jouir, Ohhhhhhh, au secours, s'il te plaît.... Arrêtez vous me rendez folle....
- Continue, à la prendre, et dilate lui son petit trou... Je veux que tu la recouvres de sperme.
L'inconnu, me prit les jambes qu'il resserra et redressa sur son épaule gauche, tout en continuant de me maintenir mes grosses fesses avec son majeur droit bien planté dans mon anus, alors que Jérôme, continuait à me palper mes gros seins. Il me retira mon mouchoir pour m'attirer la tête en arrière afin de m'embrasser goulûment. Il me roulait une pelle me bâillonnant par la même occasion afin d'atténuer mes gémissements toujours de plus en plus forts. L'homme déversait toute sa frustration entre mes cuisses, sans ménagement, et sans aucune considération sur mon état second. J'étais défaite soumise, prise, défoncée, violée par un collègue de travail dont j'ignorais l'identité. Sa bitte coulissait en moi, frénétiquement en rythme avec son doigt qui profitait de ma petite ouverture. II me coucha sur le coté, jambes jointes sur le canapé afin de mieux accéder à mon entre-jambe. Mon corps, basculé sur le flanc, donnait libre d'accès à mes fesses et ma chatte déchirée. Il replongea son gros dard en moi, et recommença son travail de sape. C'était une vraie brute qui envahissait chaque recoin de mon corps, me fessant allégrement faisant rougir encore plus mes fesses déjà fortement éprouvées. Il me viola dans cette position pendant de longues minutes, m'amenant une fois de plus à l'orgasme qui me fit perdre le contrôle total.
- Relève-toi maintenant, elle est assez dilatée comme ça, on va lui offrir une belle doublette pour finir. Viens ma belle. Assieds toi sur ma grosse bite...
Jérôme assit sur le canapé tenait son membre bien droit, m'attirant vers lui par-derrière. Il poussa son sexe à l'entrée de mon anus, dilaté par le doigt de l'inconnu, et me sodomisa... Sa queue plongea au fond de mon cul, profondément, me remplissant entièrement, et invitant l'autre homme à me pénétrer par-devant.
- Voilà maintenant t'es une vraie oie de Noel, entièrement fourrée et des deux cotés.
J'étais coincée entre ces deux hommes, prise en sandwich, doublement pénétrée par deux fauves qui me saccageaient le corps. Je m'abandonnais sous les coups de bitte de Jérôme dans mon anus, qui me fit jouir plusieurs fois, alors que l'autre continuait à me pilonner le vagin.
- T'aimes que je te prenne ton petit trou, heim ma belle, t'aime ca que je t'encule, dis le moi, je veux t'entendre.
- Oui Jérôme, j'aime que tu me sodomises, continue
- Non pas que je te sodomise que je t'encule comme une oie bien fourrée, dis le
- Oui, je suis ta grosse oie, qui aime se faire enculer... Continue fais moi jouir....
- Hoooo ma grosse pute, tu es à moi maintenant, tu es mon esclave, je peux faire de toi ce que je veux... Dis-le-moi.
- Oui, je suis à toi, tu peux tout me faire...Ohhhhhhh... Je jouis !!!!!!
Je criais si fort, qu'il me bâillonna, afin de ne pas importuner nos voisins. Ils continuèrent à me détruire sexuellement pendant de longues minutes quand l'inconnu sortit enfin son sexe afin de se déverser sur mes gros seins. Son sperme s'étala sur mon body, j'en avais partout alors que je sentais Jérôme se répandre au fond de mon anus, poussant très fort comme pour évacuer chaque goutte de sperme le plus loin possible en moi. Il fallut quelques minutes afin qu'ils reprennent leur souffle, nous laissant dans notre position de sandwich. Je sentais le sperme qui me dégoulinait dessus, alors que Jérôme, toujours accroché à mes seins, continuait à les pétrir comme un exutoire à sa rage sexuelle. L'inconnu se redressa enfin et sortit rapidement, sûrement pour ne pas que je découvre sa vraie identité. Seule avec mon amant, je me blottissais contre lui, et sans un mot nous terminions la bouteille de champagne...
- Tu es fantastique ma belle, tu sais que si tu continues comme ça, je vais finir par m'attacher à toi...
- Ohhhh, Jérôme, j'aimerais tant que tu te donnes entièrement à moi, que tu me fasses l'amour vraiment. Je veux être à toi... Te donner autre chose que mon petit trou...
- J'aime t'enculer ma belle, je suis bisexuel et à ce titre, c'est ce que j'aime, maintenant si tu es bien docile peut-être un jour...
- Mon amour, embrasse moi, je suis prête à tout pour toi...
- Vraiment à tout ?
Il me roula une pelle gourmande, me caressant à nouveau mes gros seins au travers de mon body ruiné. Sa langue au fond de moi m'envahissait à nouveau. Je répondais à son baiser, comme à chaque fois...
Et si te demandais de sucer le mec du pressing et de m'envoyer les photos, tu le ferais ?
- Ohhh Jérôme, non s'il te plaît ... C'est toi que je veux et personne d'autre...
Il se releva, et d'un signe de la main m'invita à sortir. Je réajustais mes vêtements, et il me raccompagna à ma voiture... Il était tard, j'étais épuisée, espérant toutefois qu'il m'invite à passer la nuit avec lui. Arrivé à la voiture, il me poussa contre la portière et m'embrassa à nouveau. Ses mains à nouveau sur mon corps me palpaient, mes formes pulpeuses. Je décidais, je jouer mon va-tout, et m'agenouillais devant lui, dans le froid de cette nuit d'octobre. Je sortais son sexe flasque et le mit dans ma bouche afin de réveiller à nouveau son désir pour moi. Il ne bandait pas, malgré toute la pression de mes lèvres, mais se laissait faire. Je sentais pourtant une extrême concentration chez mon amant, et alors qu'au lieu de sentir son sperme, des premiers jets d'urine m'envahissaient la bouche. Il me pissait dessus à nouveau, maintenant son sexe bien au fond de ma gorge, ce qui faisait déborder l'urine de ma bouche... Il sortit son sexe et finit de se répandre sur moi, me pissant sur les cheveux les seins, comme à son habitude, il m'en mit partout.... Une fois soulagé, il me releva, m'embrassa malgré l'odeur d'urine sur moi, me poussa à l'intérieur de la voiture.
- Puisque que ton mec ne rentre pas avant dimanche, je t'attends samedi, je vais te faire goûter à la ruralité, je suis sûr que tu vas adorer...

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