Le Jeu De Piste

LE JEU DE PISTE
Il est 11 h 30, dans exactement 2 heures je vais vivre une nouvelle expérience, pourquoi j’ai accepté de la vivre, j’avoue que je ne sais pas moi-même, un peu d’inconscience, une sorte de challenge probablement, le gout du défi certainement, mais autant vous dire, j’ai le trac, mélange de peur et d’excitation.
Tout d’abord c’est une rencontre virtuelle sur un tchat bien connu, le hasard a voulu que je dialogue avec Michel, un homme sympathique, le feeling est très vite passé entre nous, nos échanges ont été plus fréquents, on avait beaucoup de similitudes, quadra tous les 2, marié, père de famille, nous partagions aussi le même jardin secret, on pratiquait avec parcimonie l’amour au masculin, lors de nos confidences nous avions parlé de nos envies, lui tout comme moi étions à classer dans la catégories des actifs, mais nous avions le fantasme commun de se mettre dans la peau d’un passif, gouter au plaisir de la pénétration, j’ai osé lui avouer que j’aimerai être dominé, disons plutôt dirigé sans violence, qu’on me mette dans une situation particulière, je me souviens de sa réponse écrite
- Humm c’est bon à savoir
Quelque temps après, lors de l’un de nos contacts, il me rappelle le désir que j’avais au sujet du faite d’être dirigé et il me demande si j’étais prêt à accepter d’obéir à un scenario qu’il était entrain d’élaborer, j’avoue que la surprise fut totale, d’ailleurs me voyant pas répondre immédiatement, il a dû comprendre mon hésitation, il m’a proposé d’y réfléchir, mais si j’acceptais je devais lui faire totalement confiance.
Je ne vous cache pas que j’étais très perturbé, je me suis posé mille questions, mon gout de l’aventure a pris le dessus, je lui ai renvoyé un bref message 2 jours après ‘’ j’accepte’’ mais mes doutes sont restés, déjà j’ai jamais rencontré Michel, on aurait pu faire une visio, cela n’a pas été le cas, physiquement on s’est décrit brièvement lors d’un dialogue, difficile de se faire une idée précise, je sais qu’il a quelque rondeurs, qu’il mesure comme moi, un bon 180 cm, les cheveux brun, les yeux verts, il avait aussi précisé que son sexe était dans la taille moyenne en France, il avait rajouté avec humour ‘’ j’ai une passe partout’’ on avait vraiment des points communs, bref les dés sont jetés j’attends sa réponse.


Le mail est tombé :
- Rendez-vous dans la foret des charmes à 13 h 30 jeudi prochain
- Tu t’y rendras en vtt jusqu’à la maison forestière, tu seras vêtu d’un teeshirt, d’un short, dessous j’exige que tu portes un vieux slip
- Arrivé devant, tu continueras 100 m, au sol tu verras une flèche dessiné qui t’indiquera le chemin à suivre
- Tu trouveras sur un arbre une enveloppe, à l’intérieur des nouvelles instructions te seront formulées
- Tu devras être à 13 h 45 précise sur le lieu du rendez-vous final, le moindre retard sera sanctionné
- Tu devras avoir une hygiène irréprochable, lavement anal obligatoire
Après avoir reçu ce mail, un détail m’a interpellé pourquoi un vieux slip, il est peut être fétichiste des sous-vêtements usagés va savoir. J’espère que le temps sera de la partie.
Je suis maintenant sur la route, j’ai une petite heure pour y arriver, pas de chance, certes il fait doux, mais il tombe une sorte de petit crachin, je me suis habillé comme il l’avait souhaité , mais j’ai dû mettre un petit blouson de pluie très léger, plus je m’approche de la foret, plus j’ai le trac, mais aussi une envie jubilatoire de voir à quelle sauce je vais être mangé. Me voilà dans la foret, je suis passé devant le parking ou les promeneurs se garent habituellement, pas un chat, faut dire qu’on est en pleine semaine et le temps est pas de la partie, cela me rassure on risque de ne pas être dérangé.
Voilà la maison forestière, je passe devant, je continue le chemin, une 1ere flèche est tracée sur le sol, je dois continuer tout droit, je roule, je m’inquiète je ne vois pas la 2eme, est-ce un piège pour que je sois en retard, non la voilà, je bifurque complètement sur la droite, c’est un petit sentier étroit qui serpente au milieu des arbres, je reste concentré pour éviter la chute, l’affaire se corse, le sentier est divisé en 3 directions différentes, je m’arrête, je réfléchi, je suis sûre qu’il l’a fait exprès le vicieux, je décide de prendre le chemin de droite, rouler 100 m et si je trouve rien, je rebrousse chemin.
Evidemment pas de chance j’ai rebroussé chemin, aucun indice sur ce sentier-là. Je prends celui de gauche, je parcoure une 50aine de mètre, super un peu plus loin une enveloppe est attaché autour du tronc d’un petit arbuste.
Je l’ouvre
- A partir de maintenant tu attaches ton vtt , tu poursuis ton chemin à pied en suivant les flèches, tu trouveras un sac de courses un peu plus loin , déshabilles toi entièrement à l’exception du slip, chaussure et chaussettes aussi , dans ce sac il y a un bandeau prend le a la main, met toutes tes affaires a l’intérieure ainsi que la clef de l’antivol si tu en as un bien sur et cache le bien, poursuis sur le sentier.
Le vélo est cadenassé, j’avance, je commence à être de plus en plus excité, effectivement une flèche dessinée au sol m’indique la direction, assez rapidement je trouve le sac accroché à une branche, un foulard noir a l’intérieur.
Je dois me dévêtir, je suis hésitant, je regarde autour de moi, j’imagine Michel caché derrière un arbre, entrain de me surveiller, c’est troublant et grisant à la fois, je retire le blouson, il est tout humide, mon teeshirt suit, me voilà torse nu, la petite pluie fine sur mon corps me fait frissonner, mais ce n’est pas désagréable, au moment de baisser mon short, je scrute une nouvelle fois les environs, je suis à l’écoute de la foret, me voila en slip maintenant, j’hôte mes tennis et mes chaussettes, je range tout dans le sac, la clef d’antivol aussi.
Marcher pieds nus sur la terre humide c’est plutôt surprenant, ma démarche peut paraitre bizarre, mais je dois faire attention ou je pose mes pieds, je sens l’air qui passe a travers le slip, il faut dire que j’ai trouvé ce vieux sous vêtement au fond du tiroir, il aurait dû passer à la poubelle depuis longtemps, les élastiques de l’entrejambe tienne plus, j’ai les bourses qui dépassent, je m’en plains pas, l’aire humide sur mes testicules humm.
A cette endroit le sentier devient de plus en plus étroit, les buissons qui obstruent le passage me griffe la peau, je serre les dents, puis enfin un espace beaucoup plus large, je vois 2 arbres cote à cote espacés de 3 mètres environ, 2 cordes entourent un arbre, l’une placée a la hauteur des épaules, l’autre en bas au niveau des chevilles, même procédé sur l’autre arbre, je comprends vite que je vais être attaché, j’ai une double sensation, la trouille d’être pris au piège, complètement à la merci de cet homme et le plaisir un peu pervers de subir sans pouvoir me défendre.
Avant ca je dois lire le message que Michel m’a laissé dans l’enveloppe qui est posé au pied de l’arbre de gauche
- J’espère que tu es arrivé jusqu’à la, tu dois te placer au milieu des 2 arbres
- Met le bandeau sur ton visage, applique toi a bien le mettre, tu dois être dans le noir absolu en aucun cas tu dois le retirer et attends moi
Avant de mettre ce foulard, je scrute une nouvelle fois, me demandant ou il peut bien se cacher, difficile de savoir où il planque. Le foulard sur les yeux je ne vois absolument rien, la sensation est étrange, je suis désorienté, par contre je suis à l’écoute des moindres bruits, les minutes passent, je frisonne, surtout qu’un petit vent c’est levé, j’entends un craquement, oui on approche, il est tout prêt, le stresse me prend
- Ne dit rien, obéis petite salope, tu réponds par oui ou non à mes questions en m’appelant monsieur
La voix est gutturale, de me parler crûment m’électrise, il prend mon bras gauche et l’attache avec la corde, pareil avec le bras droit, il m’écarte les jambes, attache mes chevilles, je suis écartelé, offert, les bourses pendantes, je me sens soumis, drôle de sensation, il est passé derrière moi, tout contre, il me chuchote a l’oreille
- Tu es arrivé en retard, tu mérites une fessée, je vais te faire rougir le cul, cambre toi
D’une main, d’un geste brusque, il serre mon slip dans la raie des fesses, comme un string, tire fort vers le haut et j’ai pas le temps de réagir, qu’une claque me tombe dessus, j’ai un soubresaut de surprise, je pousse un petit cri, les coups sont maitrisés et continus, il tire de plus en plus sur le tissus, ça me frotte la raie et l’anus, les 2 joues de mes fesses sont chaudes, la sensation de brulure me plait, j’ai honte, j’ai jamais pris une fessée, j’adore, je me mets a bander
- Ça t’excite salope, tu te savais pas si catin ?
- Non monsieur
Il s’écarte de moi, quelque secondes se passent , cela me parait long, je sens quelque chose de froid contre ma hanche, a la hauteur du slip, je pense que c’est un ciseau, il découpe mon sous vêtement, pareil de l’autre côté, le slip tombe au sol, me voilà tout nu, je sais plus trop ou j’en suis, ce type me rend dingue, mon sexe est tendu comme jamais, j’essaye de comprendre ce qu’il me prépare, j’ai vite la réponse, il frotte son sexe contre mon cul, il bande aussi, je me cambre pour bien le sentir, il a passé les mains sur mon torse, il pince mes testons, j’aime pas trop, mais malgré ça je suis prêt à tout accepter.
Il passe ensuite la main entre mes cuisses, me serre les couilles délicatement, il me branle, je gémis, je suis aux anges. Les liens sur les poignets, les chevilles, commencent à me faire mal, à croire qu’il y a une transmission de pensée entre nous, il me détache, j’aimerai qu’il me retire le bandeau, très perturbant de ne rien voir, hélas ce n’est pas le cas
- Met toi a 4 pattes
Je sais qu’il va me prendre, je me crispe, il me demande de bien relever les fesses, il me les écarte délicatement et à ma grande surprise il me lèche tout le long de la raie, il me titille la rosette avec le bout de la langue, ouaaaaa, c’est divin.
- Reste comme ça salope
Il cherche quelque chose dans ses affaires, un préservatif sans doute, non du lubrifiant, il m’en met sur l’anus, il ne lésine pas sur la quantité, il me doigte avec 1 doigt, il va profond, j’adore, je crois comprendre qu’il en met 2, je les sens bouger , il cherche a bien me dilater, je gémi de plus en plus, il retire ses doigts, il place sa bite sur mon anus, je suis trop crispé, il me pénètre doucement, la brulure est un peu douloureuse, mais supportable, cm par cm il envahit mon anus et il finit par rentrer sa verge complètement. Il ne bouge plu pour que je puisse m’habi à l’épaisseur de son sexe, et les vas et vient commencent, doucement au début, puis il s’active, ses 2 mains sont sur mes hanches, il s’agrippe, son pubis claque mes fesses, il me pilonne de plus en plus, il souffle, il grogne, ses paroles sont de plus en plus crues, je le sens se contracter, il se retire brusquement, éjacule sur mon cul, j’aime sentir le chaud de sa liqueur sur ma peau. Je l’entends reprendre son souffle et il me dit
- Tu as aimé te faire enculer
- Oui monsieur
- Tu vas rester 5 mn ici, sans retiré le foulard et tu me rejoins sur le parking
- Oui monsieur
Il est parti depuis un moment, je retire le bandeau, je suis ébloui par la clarté, je vois au sol un petit paquet de mouchoir, sympa il a vraiment tout prévu, je peux me nettoyer tant bien que mal, tout en marchant pour aller récupérer mes affaires, je repense à ce qu’il vient de m’arriver, bizarrement j’ai un sentiment de culpabilité, mais j’ai apprécié le scenario qu’il m’a concocté, par contre la sodomie me laisse sur ma faim, pour être honnête je ne suis pas sûre de vouloir le refaire. Me voilà a l’endroit où j’ai laissé mes habits, ils sont plus là, non il n’a pas fait ça, je suis fou de rage, je fonce vers l’arbre ou j’ai attaché mon VTT, il est à sa place et l’antivol a disparu, se salop veut que je rentre en vélo à poil chez moi, je suis en panique, j’ai la haine. Je roule à fond jusqu’au parking en espérant qu’il m’attende la bas, malgré ma colère, je me fais la réflexion faire de la bicyclette tout nu, c’est assez excitant.
Le parking, une voiture est garée, j’ai un doute si ce n’était pas Michel, bon de toute façon, je demanderais de l’aide, je me sens ridicule, j’ai honte, je m’approche, la portière s’ouvre un homme en sort, un brun, très dodu, visage avenant, les yeux verts, le descriptif était conforme à sa description lors de nos dials, c’est bien Michel.
- Tu as eu peur, tu as cru que je t’avais laissé tomber
- Mon cochon j’ai flippé, si tu voulais me faire baliser alors oui c’est réussi
- Tu as tout aimé
- Oh oui je suis passé par tous les sentiments, va falloir que je me creuse la tête pour faire aussi bien à ton égard
Je lui ai demandé de me rendre mes affaires, malgré que le ciel c’était bien dégagé, l’aire était un peu frais, je commençais à avoir froid, avec un sourire malicieux il me dit que le scenario était pas tout à fait terminé, il voulait me voir jouir, m’a ordonné de me masturber jusqu’à l’éjaculation, j’ai dû m’exécuter, et le pire j’ai vu arriver un homme en vélo, Michel m’a obligé a continué, le type s’est arrêté un peu plus loin pour regarder, je savais plu ou me mettre, je suis pas exhibe, tout du moins je le croyais, d’être maté comme ça, je me suis astiqué comme jamais, mon sexe bien dur, heureusement que le voyeur est pas venu nous voir, je suis sûr que Michel en aurait profité pour m’imposer des choses, je me suis laché quand j’ai joui.
Quelle journée !!








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