Papy Et La Sauterelle (3)

Papy et la sauterelle

3-Une première pour la sauterelle

Maud se rendait donc chaque mercredi chez Antoine qui la baisait puis glissait quelques billets dans son sac. Quand elle raconta ça à Leila, sa copine de toujours et sa confidente, celle-ci s’exclama :
« Genre tu fais la pute avec un vieux, meuf !
-Carrément ! »
Toutes deux éclatèrent de rire.
Cependant ce n’était pas tout-à-fait exact. Certes, Antoine donnait bien de l’argent à Maud, mais c’était, disait-il, pour qu’elle n’ait pas à chaparder ce qui la tentait dans les magasins. De son côté la sauterelle acceptait ces cadeaux mais elle se rendait surtout chez le vieil homme parce qu’il la faisait jouir comme personne ne l’avait fait jusque là. Depuis cette rencontre elle avait encore baisé avec trois ou quatre copains, puis y avait renoncé, déçue, pour ne plus attendre que ses rendez-vous avec Antoine.

Un mercredi, après s’être débarrassée de sa petite culotte sur le palier et être venue s’accroupir comme à l’accoutumée devant le vieil homme, elle constata avec surprise qu’il était déjà en complète érection, la bite plus raide que jamais.
« Hé bien dis donc, papy, tu m’as l’air particulièrement en forme, aujourd’hui !
-C’est que je te réserve une surprise, mais qui nécessite que je sois en pleine possession de mes moyens, et à mon âge on n’est sûr de rien alors j’ai préféré prendre mes précautions. Assurance viagra…
-Jusqu’à présent, je t’assure que tu n’en as pas eu besoin pour me faire jouir, papy. »
Sans poser de question sur la surprise annoncée elle entreprit sans plus attendre de sucer avec application le sexe en érection, plus dressé que jamais, jusqu’à ce qu’Antoine l’invite à prendre la position habituelle, dos tourné, la prenne par la taille et la fasse assoir, un peu plus rapidement que d’habitude, sur sa verge et la pénètre, non sans lui titiller le clitoris dans le même temps, ce qui eut pour effet, comme toujours, d’inonder sa chatte et de lui procurer un orgasme immédiat.


C’est alors que papy innova : Toujours en elle et la tenant fermement contre lui, il se leva et la conduisit devant la table basse sur laquelle il la pria de poser les mains. Dans cette position, pliée en deux, en appui sur la table, elle lui offrait ses petites fesses rondes. Il allait et venait toujours, lentement, régulièrement, dans sa chatte frémissante et trempée. Puis elle sentit qu’il posait un doigt sur son anus et le caressait doucement.
« Qu’est-ce que tu fais, papy ? C’est donc ça ta surprise ? Une sodo ?
-Oui, sauterelle, j’ai envie de t’enculer. Je parie que tu ne l’as jamais fait.
-Non. J’avais peur d’avoir mal. Alors avec ton gros engin…
-Ne t’inquiètes pas ; tu vas voir, je suis certain que tu vas aimer ça. »
Tout en parlant, il avait accentué la pression sur la rondelle contractée d’appréhension de Maud et introduisait peu à peu le doigt dans un mouvement circulaire pour élargir en douceur et préparer l’orifice. Elle, tendue et silencieuse, suivait la progression de ce doigt avec curiosité. Mais il fut vite remplacé par le gland d’Antoine qui, faisant pression, s’introduisit progressivement entre ses fesses. Antoine entrait en elle lentement, d’un mouvement régulier. Maud serrait les dents, les larmes aux yeux elle sentait la queue faire son chemin entre ses fesses. A mi-parcours il’homme fit une pause :
« Ça va, sauterelle ?
-Oui, papy, mais c’est gros, va doucement. »
Dans un dernier coup de rein, il s’enfonça entièrement en elle, lui arrachant un cri. Mais la douleur de cette pénétration un peu brutale se mêla aussitôt au plaisir grandissant que lui procura le va-et-vient de Papy dans son cul dilaté. Elle poussait de petits cris pour accompagner ce mouvement tandis qu’elle sentait au-dessus d’elle le souffle rauque de son amant. Sa bite glissait à présent sans difficulté dans cet écrin qui lui était offert.
Elle le sentit enfin se soulager en elle dans un dernier grognement de plaisir.
Elle aussi avait joui, certes, mais elle était tout de même un peu frustrée : elle n’avait pas eu l’orgasme d’une pénétration vaginale. Elle assura malgré tout papy qu’elle était contente de cette nouvelle expérience.
Celui-ci s’était assis sur le canapé, un peu rouge, et Maud constata que son érection avait à peine faibli.
« Hé bien dis donc, papy, le viagra te réussit, on dirait ! »
Elle vint s’assoir près de lui, se pencha et prit en bouche la verge toujours raide.
« Merci, sauterelle », murmura-t-il, touché par cette attention, tandis qu’elle s’appliquait à le sucer jusqu’à ce que, dans un soubresaut, il éjacule à nouveau.
Elle réalisa alors, avalant son sperme, que c’était la première fois qu’elle le recevait dans la bouche. Cette journée était décidément celle des premières.

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