Sauter Le Pas...3
Moi, Alexandre divorcé et père, jai sauté le pas en ayant des rapports avec Paul, un mec rencontré dans un bar le soir de mon trentième anniversaire alors que jétais seul et pas mal démoralisé. Jai dabord cru que javais cédé par désespoir mais, quatre jours après, on a recommencé et, chaque fois, jai éprouvé un plaisir immense, intense et inédit.
Jai été vraiment chamboulé dans mes convictions, depuis mes 16 ans je nai eu de rapports quavec des femmes, jai toujours adoré leur corps, les caresser, les sentir frémir sous mes mains et gémir puis sabandonner à moi. Les posséder, les exciter à mort en leur bouffant le minou puis en les pénétrant, leur masser ou leur lécher les seins, sentir leur orgasme monter et, enfin, exploser de plaisir au fond de chacune delle. Cest toute ma vie ! A la fois mes plus grands moments de plaisir mais cest aussi ce qui a sonné le glas de mon mariage. Céline, ma femme, na pas du tout apprécié de me trouver au lit avec sa meilleure amie. Comme le gros con que je suis, pour me justifier, je nai rien trouvé de mieux à lui dire que : « Mais chérie, cest uniquement toi que jaime, elle ça ne compte pas, elle ma allumé ! Dailleurs, techniquement, je ne tai pas vraiment trompée, javais mis une capote ! ». Bon, ça les mecs, je ne vous conseille pas de reprendre largument, je nai jamais vu Céline dans une telle rage, jai cru quelle allait me . Finalement, je ne men suis pas si mal tiré, elle ma juste foutu à la porte !
Bon là, jai lair de rire mais jai bien morflé quand même ! Aujourdhui, je me rends compte que cétait bien mérité, jassume mes infidélités et je regrette mes erreurs. Une bonne partie de ma famille et de nos amis ont soutenu Céline et mont plus ou moins tourné le dos. Finalement, mon patron ma proposé daller bosser à plus de 200 km de chez moi, au début, jai pris ça comme une sanction supplémentaire mais aujourdhui, je me rends compte que ce fut un mal pour un bien.
Comme je suis incorrigible, jai couché avec mon avocate le lendemain de mon divorce : « Faut bien fêter mon nouveau célibat ! », cest tout ce que jai trouvé à dire. Quelques jours après, je déménageais et quinze jours plus tard, je fêtais seul mes trente ans et je baisais mon premier mec, Paul !
« Ton problème Alex est que ce nest pas avec ta tête que tu réfléchis ! ». Voilà ce que ma dit ma femme en sortant du bureau du juge. Elle a tout compris !
Quand même, parfois, ma tête fonctionne pour me dire : « Et mec, tu fais quoi là ? Tu baises un mec, deux fois en plus, tu le suces et tu avales son jus ! Tu vires PD mec, cest ça que tu veux ? ».
Du coup, je me suis connecté sur des sites de rencontres et, pendant trois semaines, jai baisé uniquement avec des meufs. Jai retrouvé le même plaisir quavant. Cest sûr, je suis hétéro, un homme à femmes, Paul était une erreur de parcours ! Pourtant, cest bizarre, je pense souvent au plaisir que jai eu avec lui et, à chaque fois, je bande. Un réflexe sûrement !
Une nuit, vers deux heures du mat, je rentrais de chez une certaine Maëva, son pseudo, on avait bien baisé, jétais claqué. Jétais en train de faire un créneau pour me garer quand je me suis fait doubler à fond par un merdeux à scooter, il se rabat, dé sur un plaque dégout et tombe devant ma bagnole. Je descends précipitamment et me dirige vers lui. Il se tient le genou droit et gueule, ça résonne dans toute la rue. Je lui parle pour le calmer, ça marche, je veux appeler les pompiers mais il refuse, il me dit que ça va aller, il tente de se lever, je laide, il pose son pied à terre, ça a lair daller. Je me mets à genoux pour voir sa jambe, son survêt est déchiré, il saigne mais ça na pas lair trop grave.
Le lendemain, il revient avec son père, un maghrébin dune cinquantaine dannées qui ne sait pas comment me remercier, il a vraiment eu peur ce que je comprends parfaitement, lui et son fils se penchent sur le scooter, les dégâts semblent moins sérieux quil ny paraît. Le minet sappelle Jonathan, 19 ans, ouvrier en pâtisserie, il porte un jean bleu délavé coupe droite qui met bien ses cuisses et son petit cul en valeur, je peux ladmirer tranquillement vu quil est bien penché, son polo noir le moule bien son torse un peu musclé, son ventre à lair bien plat, je le trouve super sexy, il mexcite, je me surprends à me dire que je me le ferais bien. Il boîte un peu et a lair ennuyé par laccident mais il me regarde tendrement, enfin cest ce que jinterprète ! Ils embarquent le scooter dans un utilitaire et son père met le contact. Jonathan vient vers moi, me dit merci pour la centième fois et rajoute la voix tremblante et à peine audible :
« Jaimerais bien quon se revoit.
« Mais bien sûr, quand tu veux. Tu sais où jhabite ! »
Tandis que je lui disais ça, je le matais de la tête aux pieds en passant ma langue sur ma lèvre supérieure puis je lui ai fait un clin dil. Pour la première fois, il a souri, je lai trouvé encore plus beau, là, carrément, jai bandé !
Le lendemain soir, vers 20h, quelquun frappe à la porte, je sais instinctivement que cest lui ! Je limagine encore plus sexy que la veille dans son petit jean, transpirant de désir. Ce nest pas moi mais un loup en rut qui se dirige vers la porte, je sais que jai déjà capturé ma proie et que je vais la dévorer, je vais prendre tout mon temps afin quil nen puisse plus de me vouloir, quil me hurle de le prendre et quil se donne entièrement à moi comme une chienne en chaleur à son molosse.
Jouvre, il est là dans son petit jean bleu délavé et un T-shirt blanc col en V, je vois le haut de son torse complètement imberbe. Le long de son cou, il me semble voir battre son sang dans sa carotide. Ses battements semblent rapides trahissant son désir et sa crainte, ça mexcite encore plus, si cest possible ! La porte est entrouverte, je la tiens de la main gauche, je mavance en bombant le torse et jappuie mon bras droit sur le chambranle. Je le regarde intensément, je lui fais un sourire carnassier qui veut dire « Je vais tavoir » et je lui dis :
« Salut Jonathan. Tu peux plus te passer de moi on dirait. Tu veux quoi ce coup-ci ? »
Il est en train de se liquéfier et perd toute contenance, il bafouille :
« Non, je sais pas. Heu, jai cru que, enfin, je
Jai eu envie
»
« Tas eu envie de quoi ? Vas-y, exprime-toi, ça commence à me plaire. »
En lui disant ça, javais passé mon index dans le V de son col et je lui caressais le torse. Je ne sentais pas un seul poil, cétait doux et sa peau était bouillante. Dun coup, jai tiré sur le col, il a avancé vers moi, nos deux bouches se sont rapprochées, je lai vu avancer ses lèvres, les entrouvrir et fermer les yeux.
« Hummm, on va bien samuser tous les deux ! »
« Ouiiiiiiiiii » ma-t-il répondu dans un long souffle.
Je suis revenu vers sa bouche et, enfin, nos lèvres se sont collées, ma langue est entrée sans rencontrer de résistance, elle sest enroulée autour de la sienne. Javais limpression de le dévorer, mes mains tripotaient ses fesses et je donnais des petits coups de reins, nos sexes durs et dressés dans nos pantalons sentrechoquaient. Ça faisait à la fois mal et beaucoup de bien, je sentais du précum couler et mouiller mon boxer.
Je me suis décollé de Jonathan, je lui ai souri et, dun mouvement de tête, je lui ai indiqué la chambre. Il est parti dans cette direction en me prenant par la main. Arrivé devant le lit, il sest retourné vers moi, je lai fait assoir, il a écarté les jambes, je me suis avancé, jai posé ma main derrière sa tête, ses yeux se sont posés sur ma braguette, ses mains lont ouverte et ont baissé mon jeans, il a léché et aspiré lauréole de mouille sur mon boxer puis me la délicatement baissé. Ma bite a jailli et lui a tapé le menton, ça la un peu surpris mais il la prise en main et a approché sa bouche pour lengloutir.
Au moment où sa langue sest enroulée autour de mon gland, jai ressenti cette sensation de bien-être et dabandon total. Jadore tellement cet instant unique et si puissant. Comme il ne me suçait pas super bien, jai pris les choses en main et imprimant la cadence par des coups de reins et en tenant sa tête. Il sest lâché et sest mis à me faire une très belle fellation, au bout de longues minutes, je suis ressorti de sa bouche car je sentais que le plaisir pouvait surgir à tout moment. Je me suis entièrement déshabillé, il en a fait de même mais a gardé son slip blanc qui, sur sa peau mate, semblait illuminer la chambre. Il sest allongé sur le lit, je me suis couché sur lui et je lai embrassé longuement puis je suis descendu sur son torse pour titiller ses tétons. Il se tortillait dans tous les sens et gémissait de plaisir. Ma langue a parcouru son ventre, sest attardée sur son nombril. Pendant ce temps, je baissais son slip très doucement libérant un beau sexe bien droit denviron 17 ou 18 cm et circoncis. Jai commencé à le sucer tandis que je pinçais ses tétons. Il prenait son pied vu les gémissements quil poussait.
Quand jai senti que son excitation était à son maximum et quil nétait pas loin de jouir, je lai retourné sur le ventre et jai admiré ce merveilleux petit cul. Deux fesses rondes, fermes et douces séparées par une raie que jallais bientôt explorer. Jai laissé tomber deux longs filets de salive, jai écarté ses fesses et jai léché son trou. Celui-ci sest contracté mais, grâce à la salive, la pointe de ma langue est entrée en lui. Son trou sest détendu et ouvert, jai continué à men occuper un long moment puis mes doigts sont venus ouvrir un peu plus lorifice, dabord un puis deux. Jonathan semblait avoir un peu mal mais a fini par shabi et gémissait de plaisir. Jai pris un préservatif, je lai installé et là, Jonathan ma regardé et ma dit :
« Cest ma première fois »
Ça ma troublé, jallais dépuceler un mec, du coup je lui ai demandé sil voulait continuer, il ma dit que oui mais dy aller doucement. Ce fut un honneur pour moi, il fallait que ce soit bon pour que sa première fois soit réussie. Jai placé un oreiller sous son bassin pour le lui soulever, jai encore lubrifié son trou et sa raie, puis jai approché mon gland. Je lai doucement pénétré en étant très attentif à ses réactions. Quand je voyais quil souffrait, jarrêtais et je reculais un peu puis, au bout dune bonne minute, jétais entièrement en lui. Je me suis couché sur son dos, jai embrassé sa nuque, jai passé mes mains sous son torse pour lui caresser la poitrine et jai commencé les va-et-vient très doucement. Il sest rapidement mis à éprouver du plaisir et il a commencé à me dire :
« Oh oui, cest bon, encore, continue, baise-moi plus fort ».
Jai donc accéléré et le rythme est devenu plus soutenu, ma bite sortait presquentièrement de son antre et replongeait de plus en plus vite, de plus en plus facilement et profondément. Javais ouvert la voie et je me suis dit quelle allait être prometteuse !
Je me suis relevé, je lai mis à quatre pattes, il a bien cambré son cul, jai pu voir son trou désormais bien ouvert, je lai encore léché et je my suis réintroduit. Son conduit était serré, humide et bien chaud, cétait vraiment très bon ! Je lai saisi par le torse pour le relever, il sest faisait prendre en levrette, ma main droite sest mise à le branler tandis que je lembrassais dans le cou. Il na pas fallu longtemps pour quil jouisse bruyamment et quil expulse cinq jets sur les draps. Les contractions de son anus ont fait monter mon plaisir, jai rempli mon préservatif au plus profond de lui.
On sest allongés un moment côte à côte, il ma remercié pour ne pas lui avoir fait mal, il ma dit avoir eu beaucoup de plaisir, jen ai éprouvé une grande fierté. On sest relevés, rhabillés, je lui ai payé un coup à boire, on a discutés un peu et il est reparti.
On sest promis de se revoir
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