Les Amies De Jocelyne - Marie-Agnes Partie 3

Je n'eus pas l'occasion de participer à un gang-bang immédiatement. Jean-Charles me fit découvrir les plaisir discutables (je le pensais AVANT) de la soumission et de l'humiliation précédant les explosions charnelles. Notes bien que cela ne me fit pas de mal de pratiquer l'obéissance…. Il prétexta qu'il ne m'avait pas vu m'offrir à Hassan et ses amis. Je lui rétorquais que c'était bien de sa faute. Il me dit qu'il avait envie de pouvoir me "contempler" quand il en avait envie. Donc il voulait que je pose pour un photographe spécialisé… spécialisé dans le X évidemment. Il m'arrangea donc un rendez vous avec JT pour un essai. Je me rendis à l'adresse indiquée et fut un peu surprise par le lieu. Je m'attendais à quelque chose de graveleux, mais non tout paraissait clean. JT était accompagné de son éclairagiste et d'une jeune femme qu'il me présenta comme sa maquilleuse. La toisant j'indiquais que je savais ma maquiller seule. JT insista arguant que c'était une artiste… je cédais. Je dus aller me déshabiller dans une cabine prévue à cet effet. En peignoir, je vins m'installer au bon soin de la maquilleuse qui se prénommait Stéphanie. Effectivement c'était une artiste, le peu qu'elle rajouta changea l'expression de mon visage. Du coup, je me mis à la considérer autrement et allait même jusqu'à lui demander des conseils. Je me rendis, mal à l'aise, devant les projecteurs. Là JT me photographia sous toutes les coutures, de près, de loin, en gros plan. À l'issue de la séance il conclut que je "passais bien" et que si j'étais d'accord ainsi que mon commanditaire de mari, il souhaitait faire une série un peu plus osée une prochaine fois. Devant les résultats que nous adressa le photographe, Jean-Charles fut enthousiaste. Immédiatement il donna son accord à JT sous-entendant très clairement que si le "osé" était de la même facture, il pourrait passer au "hard". Je retournais donc pour une deuxième séance de pose. J'y allais plus assurée et peu maquillée, laissant ce soin à la gentille Stéphanie.

Elle fit merveille et ce fut à peine si je me reconnus. Cette fois je ne poserais pas nue. Un costume m'avait été préparé… costume composé d'une paire d'escarpins à semelles compensées augmentant encore la hauteur d'un talon aiguille vertigineux et argenté. Un porte-jarretelles et des bas résilles complétait, si je peux dire, ma tenue. Je gagnais le plateau non sans avoir remarqué un beau… un gros devrais-je dire, vibromasseur. A mon humble avis, il y avait fort à parier que j'aurais à m'en servir. Après quelques clichés un peu conventionnels, je dus offrir à l'objectif la vue de mon sexe et de mon anus. Guidée et encouragée par JT j'ouvris mes grandes lèvres, écartais les fesses comme il le souhaitait. Nous fîmes une pause, moi toujours nue avec les trois opérants. Pendant cette pose, JT me demanda si cela ne me dérangeait pas de me masturber pour quelques prises de vue. Bien sûr, cela me dérangeait. Mais je ne le montrais pas. Jean-Charles n'attendais que ce genre de photos ou pire… je ne voulais pas le décevoir. Après un raccord de maquillage je me mis donc à me caresser. D'abord les seins, puis je me cajolais le clitoris. Mais ce qui intéressais davantage le photographe c'était de me voir m'introduire les doigts dans la le vagin. Je m'en introduisit un puis deux. JT faisait clichés sur clichés en plan moyen ou en gros plans. Il me demanda même de me glisser un doit dans le rectum. Tout naturellement on en arriva au vibromasseur que je dus tout d'abord lécher avec l'air le plus pervers possible. Je dus ensuite me le mettre dans la chatte de plus en plus loin afin que l'on voie bien toute la longueur disparaître en moi. La séance devait s'achever sur l'intromission du sex-toy dans le petit coté.
"Stéphanie va te préparer !"
Me… préparer ?... peu encore habituée je ne compris pas immédiatement. Quand Stéphanie munie d'un petit pot me demanda de me mettre à quatre patte je compris. Avec une douceur infinie elle me passa un gel sur la rondelle puis introduisit un puis deux doigts dans mon anus pour en tapisser les parois annelées.
Cela me rappela mes jeunes années au pensionnat… et me mit dans tous mes états. Comme pour le devant, il me fut demandé de me l'enfoncer profondément. Je terminais les prises de vue monstrueusement excitée. Ce soir ce serait la fête pour mon mari, la saint Jean-Charles, mais aussi la saint Jean et la saint Charles…. JT fut enchanté de ce qu'il avait fait et me souhaitait comme modèle avec des partenaires. Il avait l'accord de principe de mon époux, mais il voulait que je confirme cette convention moi-même. Je demandais comment se déroulaient ces séances. Il me répondit :
"Oh un peu classique…. D'abord fellation, puis coït, sodomie et éjac faciale pour terminer parfois aussi branlette espagnole, cela dépend des modèles…. Avec toi aucun problèmes…. Quand il y a plusieurs partenaires masculins, c'est pareil avec pénétrations et pipes simultanées. Dans la plupart des cas on y adjoint double ou triple pénétration. Le feu au joue je confirmais les accords passés entre Jean-Charles et JT. Je remis mes vêtements "civils" et je voulus faire la bise à Stéphanie. Que ce passa-t-il ?... erreur d'aiguillage ?... volonté délibérée de Stéphanie ?... le fait est que nous lèvres se touchèrent et que ni l'une ni l'autre ne souhaita interrompre ce baiser. En bon pro, JT avait saisi la scène et juste avant mon départ me demanda :
"Et… avec d'autre partenaires féminines, c'est possible ?"
Je répondis que oui…. C'est ainsi que je fis, plus tard, la connaissance d'Annick pendant une séance fort réussie avec trois hommes. Avant cela je fis pas mal de séances de photo même avec Stéphanie qui en faisait parfois. J'en fis donc avec elle et aussi avec son copain Laurent que tu connais comme moi. Vu comment se déroulaient les choses, je leurs cédais à tout les deux… ensemble… comme Annick et toi. Ils sont vraiment super… et puis c'est quand même grâce à Stéphanie que j'ai fait ta connaissance. De ce fait elle aura toujours droit à ma reconnaissance et … à ma langue dans son petit con.
JT contacta Jean-Charles. Il voulait que je tourne des films X. tu parles si Jean-Charles fut d'accord… sa femme actrice de porno… ils aiment tous cela ! Comme tu le sais, il ne s'agit par vraiment de films puisqu'il n'y à pas ni histoire, ni scénario. Ce sont des vidéos comme aux USA qui durent le temps que les types prennent pour éjaculer. Finalement; il s'agit de baises filmées et je pense que l'on connaît les mêmes partenaire, non ? Je ne sais pas si tu as eut droit à Joko et ses copains, mais je te les recommande. (ndla : Joko et ses amis sont des blacks hyper body-buildés et montés….).
Pendant cette époque je faisais l'actrice Jean-Charles continuait son travail de sape "domestique". C'est ainsi qu'un beau jour il me dit :
"Ma chère, vous m'avez toujours parlé de vos penchants saphiques…. J'aimerais bien vous voir à l'œuvre. Aussi j'ai invité Patricia, mon premier clerc, vous vous rappelez ?...pour demain soir. Vous nous servirez… nue ! non, non, non… point de ire, point de rogne ni point de grogne… rappelez vous que je possède toujours ce magnifique martinet…. D'ailleurs vous veillerez à être particulièrement serviable et docile, sinon, vous risquez d'en tâter. Je suis absolument certain que Patricia ne détesterait pas vous voir administrer une bonne correction et encore plus certain qu'elle vous l'administrerait avec plaisir et une sévérité accrue".
De cela j'en étais moi aussi certaine. Devant son sourire vicieux, la mort dans l'âme, j'acceptais de faire de mon mieux. A l'heure dite la bonne de Maître d'H était prête et nue… au coup de sonnette elle alla ouvrir à l'invitée….
Je ne te raconte pas le regard de triomphe et de mépris qu'elle me lança en déboutonnant son manteau. Je l'aurais giflée !
" Si Madame me permets de la débarrasser…."
Sans me réponde, elle ôta son manteau. La garce !... elle avait mit le paquet ! Elle portait une mini robe noire qui faisait encore plus ressortir sa blondeur et sa bouche agressivement maquillée.
Très mini… genre plus haut que mi cuisse sur des jambes bien faites. La robe était non seulement mini, mais également à bretelle avec un décolleté vertigineux. Jean-Charles aimait ce genre de décolleté, il allait être ravi….
" Si Madame veux bien me suivre…."
Elle m'emboîta le pas. En m'effaçant, je la fis pénétrer dans le grand salon. Jean-Charles vint à sa rencontre… baise main… "Vous êtes particulièrement délicieuse ce soir !", "c'est la moindre des choses Maître …" gna, gna, gna !
Il la fit asseoir au salon à la place que j'occupais habituellement… a MA place, et me pria de servir. Sur le ton de la conversation mondaine, elle fit remarquer à mon mari :
"Cher Maître, permettez moi de vous dire… vous choisissez plutôt mal vos gens de maison. Votre bonne à la fesse un peu molle et les seins qui tombent !"
La mauvaise foi perfide était si évidente que j'entendis pouffer Jean-Charles.
"C'est pour sa langue que je l'ai embauchée ! Peut être aller vous souhaiter qu'elle vous fasse une démonstration de ses capacités ?".
"Avec plaisir, Maître, j'adore me faire lécher le sexe !"
"Alors, c'est dit ! Nous verrons cela tout à l'heure après le dîner !"
Ils passèrent à table et je fis le service du mieux que je le pus toujours juchée sur mes talons aiguille. Première puis seconde entrée j'amenais le plat principal lorsque je l'entendis, l'autre… la garce… proférer :
"Ecoutez Maître, je ne sais pas si c'est le bon vin ou votre présence, mais je me sens particulièrement chaude…. Verriez vous inconvénient à ce que je retire ma robe qui me tient affreusement chaud !"
Tu parles !... vu le peu de tissu….
"Mais très certainement chère amie ! Marie-Hélène veuillez aider Patricia à me dévoiler ses appâts !"
Qu'est ce qu'il pouvait m'agacer avec ses " chère amie"….
Elle se leva, me tournant le dos. Je défis la fermeture dorsale et fit glisser les bretelles prenant soin de ne pas faire chuter le vêtement. La salope !... la vérité me contraint à dire qu'elle n'était pas mal faite. Dim up et string étaient sa parure restant et encore puisque Maître d'H proposa :
" Marie-Hélène tant que vous y êtes privez donc Patricia de son ravissant petit string !"
Toujours derrière elle je pris le fin cordon et fit comme demandé.
"Bien… léchez lui la raie !"
J'accusais le coup et mis un temps avant de m'agenouiller. Au comble de la honte, j'écartais les deux globes légèrement et passais ma langue le long de son sillon.
"Maître pourriez-vous lui dire de mettre sa langue dans le fondement !"
"Vous avez entendu Marie-Hélène !"
Je dardais ma langue et la poussais contre son anus.
"Vous l'enfonce-t-elle assez ?"
"Je crois qu'elle pourrait mieux faire !"
"Vous avez compris Marie-Hélène… plus loin ou il pourrait vous en cuire !"
Je tirais ma langue en grand et l'enfonçais le plus possible et me mis à l'agiter. Je l'entendis soupirer de plaisir. D'un coup de rein elle se retira :
"Il vaut mieux cesser, Maître, j'ai peur de m'y habi… et puis j'ai l'habitude d'héberger en cet endroit autre chose qu'une langue !".
Il fallut reprendre le service…
Au dessert, elle demanda :
"Maître, écoutez, je n'en peux plus… j'ai une terrible envie de vous sucer !"
"Mais… je vous en prie !" répliqua Jean-Charles en reculant légèrement sa chaise.
En une fraction de seconde elle fut à genoux entre ses jambes et se mit à lui administrer une fellation lascive. A son regard vitreux qu'il eut je compris qu'elle savait y faire…. Je réfrénais un sentiment de haine et résolu de pas lui crever les yeux… pas tout de suite…. Il faut quand même dire que la jalousie et l'excitation avaient sur moi un effet affolant. Je SAVAIS qu'il la baiserait devant moi, je SAVAIS aussi qu'il faudrait que je m'occupe d'elle… tout cela me chamboulait et … me faisais mouiller. Il la fit s'interrompre pour mieux qu'elle le finisse après le repas. Néanmoins, il la complimenta sur ses aptitudes en profitant au passage pour lui signifier qu'il les utiliserait de temps à autre à l'étude. Juste retour des choses, j'allais aussi porter des cornes. Le repas vite finit le couple prit place, lui dans son fauteuil préféré et elle entre ses jambes. Elle quémanda :
"Maître je me permets de vous rappeler votre offre de tout à l'heure, pendant que je vous suce, puis-je m'asseoir sur son visage ?"
D'un signe de tête Jean-Charles me fit signe de me mettre en position. Je me mis sur le dos et rampais jusqu'à ce ma figure soit à la verticale de son vagin… elle s'abaissa. Cette scène se passait avant que noue des relations avec Stéphanie et Annick. Il y avait longtemps que n'avais pas eu de joutes saphiques et je crois que j'en avais envie. Oubliant son statut de rivale je me mis donc à lui faire un cunnilingus voluptueux qu'elle apprécia. Visiblement ce n'était pas la première fois…. Elle vint quand même à bout d'un Jean-Charles bien émoustillé avant que je ne puisse à faire jouir. Je pensais qu'elle avait tout avalé. Elle recula un peu son bassin vers l'arrière laissant apparaître mon visage maculé de sa mouille entre ses cuisses. Se penchant légèrement elle ouvrit la bouche pour me laisser tomber sur la figure le mélange de foutre et de salive qui l'emplissait. Jean-Charles applaudit d'initiative et quand elle eut fini de baver nous demanda de nous rouler des pelles. Emportées par notre élan ni l'une ni l'autre ne rechigna, nos bouches s'unirent te nos langues se mêlèrent. Profitant de bonnes dispositions il nous demanda un soixante neuf de démonstration cette fois nous nous fîmes mutuellement jouir.
Jean-Charles bandant à nouveau se leva et nous pria de venir dans une des chambres. Il s'éclipsa et revint vite interrompre les baisers et les caresses que nous nous étions remise à nous prodiguer. Il tenait à la main un god-ceinture qu'il tendit à Patricia.
"Patricia vous allez baiser Marie-Hélène… pendant ce temps, je vous enculerais…."
Tout le monde frissonna d'envie. Elle ceignit l'objet autour de ses reins. Je m'allongeais sur le lit jambes bien ouvertes. Elle fit d'abord le tour vers ma face pour que je lubrifie de salive le sexe de caoutchouc. Elle revint se poster devant moi et guida son membre factice dans ma chatte, bien à fond. Je gémis il était imposant. Pourtant elle me le mit à fond en me traitant de roulure. Jean-Charles s'approcha dans son dos. Je ne voyais que son visage, je présumais qu'il lui trifouillait l'anus. A la légère crispation de sa bouche, je sus qu'il la pénétrait. Il l'enculerait jusqu'aux couilles selon son habitude. Sans doute lorsqu'il fut arrivé en butée elle lâcha un gémissement. Les mouvements se coordonnèrent. Quand elle se retirait de moi, c'était pour mieux s'offrir à la pine qui la perforait. Quand Jean-Charles poussait il s'enfonçait en elle pesant sur elle et elle… s'enfonçait en moi. Les mouvements de mon mari se répercutaient sur les siens. Il me baisait par procuration et se fut génial de jouissance…sauf qu'il me fallut nettoyer sa queue avec ma langue. Nous regagnâmes le salon ou chacun reprit son rôle… moi, celui de la bonne… évidemment… pour servir des rafraîchissements à Monsieur et Madame. Pendant qu'ils se désaltéraient, elle osa lui avouer que "finalement comme bonne, je ne me défendais pas trop mal". Une idée "géniale" avec vu le jour dans son esprit aussi pervers que le notre. Elle nous avisa qu'elle avait un ménage fou en retard et qu'elle verrait bien que Jean-Charles me prête un peu à elle pendant deux ou trois jours. Bien sûr je devrais effec ces tâches nue ou avec une de ses ignobles blouses de nylon bleu pâle. Bien sûr je devrais effec un autre genre de nettoyage avec ma langue, puisqu'elle ne se laverait pas le bas du corps pendant mon séjour. Bien sûr je devrais la faire jouir autant quelle le voudrait… elle avait de gros besoins. Bien sûr je serais punie à chaque faute… elle possédait une belle collection de fouets, cravaches et pinces. Bien sûr, aussi, elle pourrait inviter quelques amis désireux de la voir faire souffrir une soumise et d'en profiter également. L'idée plut beaucoup à Jean-Charles. Il promit la réalisation de cette demande si son "premier clerc" se montrait aussi salope que compétente. Elle l'assura de son dévouement. Pour achever la soirée il la baisa en levrette pendant nous étions tête bêche à nous butiner l'entrejambes.
Plus tard il me remercia de la soirée que je lui avais fait passer. Il tint à me rassurer. Il était follement éprit de moi, j'étais sa femme et le resterais. Le reste n'était que jeu érotique… je fus rassurée et inquiète pour l'avenir. Il me demanda mes sentiments sur cette soirée. En toute honnêteté, je lui avouais que passé le moment de jalousie, le déroulement de la soirée m'avait assez plut et que j'avais pris un réel plaisir, même à jouer les servantes. Lui aussi il avait beaucoup aimé. Il me redemanderait de jouer les bonniches. Par contre je lui dis que l'histoire du ménage chez Patricia était peu être drôle sur un plan érotique intellectuel et dans l'absolu mais que cela n'avait rien à voir avec la réalité. Il me répondit sèchement que je me trompais et qu'il n'avait pas l'habitude de faire des promesses en l'air. Un jour il me prêterait à Patricia pour son plaisir et pour qu'elle me fasse endurer tout ce qu'elle jugerait bon.
En attendant le jeux de la soubrette se répéta pas mal de fois tu t'en doute puisque tu y as participé. Jean-Charles me fit tenir ce rôle de domestique pour lui seul d'abord, puis en compagnie de John qui m'enseigna l'art de servir et qui eut le plaisir de se voir offrir une savante fellation en remerciement de sa formation. Les choses se corsèrent par la suite avec des invités, puis des invités et des invitées. Avant, pendant ou après le service, le plus souvent je devais payer de ma personne sans distinction. Parfois aussi, comme tu le sais, l'une d'entre vous, toi, Annick ou Patricia jouiez le rôle de maîtresse de maison… MON rôle, pendant que je tenais celui de la bonne. A d'autres fois, rappelles-toi c'est toi ou Annick qui êtes venues en qualité d'extra pour assurer le et les services. Il y eut aussi quelques fois infernales de deux genres. La première ou les invités notaient toutes mes fautes de services. Chaque faute était multipliée par cinq claques qui m'étaient portées sur les fesses par les convives eux-mêmes. La seconde avec la participation de John… ce dernier entre chaque temps mort du service me sodomisait sur une banquette placée en évidence devant les invités. A chaque fois que je devais débarrasser ou servir, je devais me désempaler de John. Sitôt les gens servis, il me fallait remettre John "en état" pour qu'il reprenne ses activités sodomites. Beaucoup de convives me faisaient venir pour pas grand chose… juste histoire de me voir ré-enculer par mon majordome. Compte tenu des dispositions particulières d'endurance de John, mon enculage durait tout le repas avant qu'il n'éjacule. De cette façon je pouvais ensuite être à la disposition de tous et personne ne s'en privait.
Pendant toute ce temps Jean-Charles ne faiblissait pas ni physiquement, ni cérébralement…. Il trouvait toujours des cochonneries nouvelles à m'imposer… et je ne demandais que cela que l'on m'impose des choses de plus en plus polissonnes et excitantes. Lors d'une de nos discussion, je commis l'imprudence, enfin si l'on peut dire, de révéler qu'au cours de tout ce que m'imposait mon époux, c'était quand même d'avoir été livrée seule à plusieurs hommes. Jean-Charles n'émis qu'un "tiens… tiens…" pensif. Quelques jours après, au dîner, il m'exposa à quelle nouvelle épreuve j'allais devoir être confrontée….
"Maintenant que vous avez évolué, ma chère, vous allez pouvoir sortir dans le monde… et parfaire votre éducation avec de véritables amateurs de jolies femmes. J'ai fait connaissance de quelques membres d'un petit groupe ayant des occupations et des goûts bien particulier. Ils se réunissent à plusieurs en nombre variable selon les disponibilités de chacun et INVITENT une ou plusieurs jolies femmes en guise de distraction. Vous voyez à quel genre de distractions je fais allusion bien sûr ?... En fait le goût particulier que j'évoquais tout à l'heure est de partager une femme à plusieurs et de la prendre collectivement ou individuellement à la chaîne…. Certain d'entre eux vous connaissent de vue et vous ont parfois rencontrée lors de mondanités diverses. Je crois qu'ils vous espèrent…. J'en suis même certain puisqu'ils m'en ont fait part en termes on ne peut plus clairs et précis. Ces personnes m'ont fait l'honneur de m'inviter pour une ou deux de ces petites "sauteries". A mon avis je fus convié avec certaines arrières pensées…. D'abord que je sois bien conscient de ce qui est exigé des participantes dont le mari ou le compagnon n'est jamais présent pour que les membres puissent libérer leurs instincts les plus bas et ils ne s'en privent pas…. Ensuite qu'en contrepartie de ces invitations, je décide de vous remettre en leurs mains pour certaines soirées. Voyant tout ce que nous avons fait enduré à ces femmes, je pense que le fait que je vous confie à mes nouveaux amis, vous plaira…."
"Mais… mais… pouvez-vous m'en dire un peu plus sur les pratiques de ces personnes ?"
"Rassurez vous rien de bien extraordinaire… enfin pour le genre de femme que vous êtes devenue…. Il ne s'agit que de pénétrations multiples et/ou simultanées, intromission d'objets divers ou encore relations saphiques. Ne soyez pas inquiète même si les participantes doivent impérativement se soumettre très docilement aux appétits divers et aux caprices qui sont exigé, il ne s'agit en aucun cas de soirée sado-masochistes. Enfin lorsque je dis cela… il est vrai que si l'invitée ne se plie pas aux fantaisies exigées, elle est sévèrement punie… dans ce cas… je suppose que la soirée dé un peu."
"Oh mon dieu !...."
"Allons, allons ne soyez pas effrayée…. De toute façon… vous allez bientôt pouvoir expérimenter la chose et juger par vous-même puisque j'ai répondu positivement à quelques demandes insistantes."
J'en restais muette de saisissement. Mon époux allait m'offrir à un groupe de parfaits inconnus qui pourrait r de moi à leur guise et le tout en dehors de sa présence, si tant est que l'on puisse la considérer comme un frein aux perversités auxquelles je serais soumise. J'avais un peu vécu cela sous le contrôle d'Hassan, mais au cas particulier, je sentais bien qu'il allait s'agir d'autre chose et que mes partenaires étaient vraisemblablement de vrais libertins rompus à ce genre d'exercices vicieux. Je vécus à peu près une semaine dans l'attente, l'angoisse et aussi un peu d'envie (la chair est faible…). Mais c'était surtout le sentiment d'appréhension qui dominait… où…quand… comment… combien….
Jean-Charles y mit un terme en m'annonçant que le lendemain soir j'allais passer "une soirée-test". Je m'enquis du lieu, du moyen de transport, de ma tenue….
"Votre tenue… eh bien, soyez comme lorsque que vous allez à la grand messe le dimanche… bien bourgeoise…. C'est ce qui ma été demandé. Pour le trajet, soyez sans crainte, mon ami Charles vous enverra un chauffeur. Ha !... tant que j'y pense, j'ai bien précisé au membre de cette petite association que j'acceptais de vous faire entrer dans le cercle très fermé des plus grandes catins de la ville à une condition. C'est que lors de vos participations, les hommes présents soient particulièrement intransigeants avec vous…. Il m'ont rassuré l'exigence est de rigueur pour toutes, mais qu'ils y veilleraient particulièrement…."
J'étais abasourdie par tant de stupre…. Pis encore !... il ne voulu pas me toucher avant que "j'y passe" et je dus me masturber comme une petite folle devant lui pour me calmer (un peu). Le lendemain c'est une fois Jean-Charles parti son étude que je réalisais que je n'avait aucune instructions. Je lui téléphonais pour m'entendre répondre que question tenue, le problème avait déjà été évoqué et qu'à vingt heures précises on viendrait me chercher. Pour le reste… un fois aux mains de mes suborneurs, Jean-Charles me souhaitait la plus salope possible histoire de pas le plonger dans le déshonneur. Nous nous reverrions que le lendemain. La journée passa en interrogation et expectative. Puis l'heure avançant je décidais de me préparer. Il avait dit bourgeoise, comme pour la grand messe… donc après maintes hésitations vestimentaires, je me tranchais, soutien gorge, string et porte-jarretelles blanc, bas fumé, chemisier blanc et tailleur gris avec une jupe un peu ajustée se terminant juste au dessus de genoux et des escarpins vernis avec un petit talon. Je ne comprenais pas très bien. Indéniablement je faisais très BCBG, dans mon imagination j'aurais plutôt pensé qu'ils m'auraient voulu plus provocante…. Sept heures, j'étais prête, soigneusement coiffée, légèrement maquillée… et j'attendis… une heure.
Peu avant les vingt heures, j'entendis une voiture se garer devant le perron pour que, à l'heure exacte le timbre de la sonnette se fasse entendre. J'aperçus un homme en costume sombre, casquette plate. Il indiqua à John, qu'il venait me chercher. Celui-ci répondit qu'il était attendu. Je parus. L'homme se décoiffa et me salua avec déférence. Il se précipita pour m'ouvrir la portière. J'entendis John me souhaiter une bonne soirée. Avais-je perçue une légère ironie ? Je pris place dans la voiture qui démarra silencieusement.
Aimablement je demandais :
"Puis-je savoir ou nous nous rendons ?"
Un "non" sec et abrupt fut la réponse. Je restais un bon moment interloquée. Une fois sortie de la ville, je reformulais ma question d'un ton un peu plus autoritaire. Il me fit la même réponse. Je haussais le ton :
"Allons, c'est ridicule mon ami ! Allez vous enfin me dire ou vous me conduisez ? "
"Ta gueule salope !"
"Vous êtes fou… me parler sur ce ton ! Je me plaindrai à votre patron !"
"C'est ça, c'est ça… avec ce que tu auras dans la bouche, ça m'étonnerais !"
Le contraste entre ses propos et ses manières stylée de tout à l'heure était hallucinant je prit presque peur. Il ralentit le véhicule et disant :
"Bon et puis puisque c'est comme ça !"
Nous étions arrêtés en pleine campagne à l'orée d'un bois. Un ordre claqua comme un coup de fusil :
"Retire ton slip !"
"Vous êtes malade…. Il n'en est pas question !"
Il descendit de la voiture, ouvrit ma portière et me tira à l'extérieur par le poignet.
"Attends que je t'explique ! Mon patron comme tu dis… il m'a accordé le droit de cuissage sur toute les salope que je trimbale ! Alors tu as intérêt à être obéissante… tu m'a entendue vires ton slibard ou tu rentres à pied après que j'ai pris du bon temps !"
Peu désireuse de me faire violer dans les bois et d'y être ensuite abandonnée. Je remontais ma jupe et ôtais mon string. Il me tendit la main, je lui donnais, il le huma.
"Huuumm tu sens bon ! Ils vont se régaler !"
Je le vis passer vers l'arrière de la voiture et en ouvrant la malle arrière il ordonna :
"Puisque tu n'as pas été assez docile, tu vas finir le trajet là dedans !"
J'allais regimber puis me rappelais de ses menaces. Je regrettais ma jupe un peu serrée qui me fit me contorsionner pour grimper dans le coffre. Celui-ci était relativement spacieux et vide de tout objet et bien garni de couverture pour le rembourrer. Je compris que ce chauffeur diabolique avait tout aménagé d'avance. La voiture roula un peu puis tangua comme sur un chemin de traverse puis s'arrêta. J'entendis la portière claquer puis des bruits de pas. Un bruit curieux de liquide. A la réflexion le conducteur devait être en train d'uriner. Le bruit cessa. Le coffre s'ouvrit. Il faisait nuit noire et la silhouette d'un manoir se découpait sur le ciel. En remontant sa braguette l'homme me désigna une porte. Je descendis avec difficulté de la voiture un peu courbatue. Machinalement je remis de l'ordre dans ma tenue, ce qui le fit ricaner. Il s'arrêta devant une porte, l'ouvrit et me fit signe de venir. L'homme derrière moi referma la porte à clef. Il alluma une lampe torche et arrivé pratiquement au bout du couloir, il ouvrit une seconde porte, je le suivis. Un escalier descendait. Il me fit signe silencieusement de descendre. En bas de l'escalier, je me trouvais devant une nouvelle porte fermée. L'homme frappa trois coups rapprochés, puis deux espacés, puis à nouveau trois rapprochés. Il se retira, me laissant seule devant la porte. La porte s'ouvrir silencieusement. Il me poussa légèrement vers l'ouverture....
Un homme d'une bonne quarantaine me fit silencieusement un baise main et me pria d'entrer dans la pièce que tu connais aussi. Quatre autres hommes attendais… en fait m'attendais. Me prenant par le bras, il me souhaita la bienvenue et me fit avancer vers eux. Un aaaahhhh de satisfaction se fit entendre. Visiblement tous se réjouissaient de ma venue. Il me présenta à peu près en ces termes :
"Chers amis… nous sommes enfin en présence de Marie-Hélène ou Marie-Agnès comme il vous plaira. Notre ami Jean-Charles cède à nos demandes et nous la prête pour un test. Il va donc nous falloir nous surpasser pour juger de ses aptitudes. Son mari est sans inquiétude à ce sujet par contre, il nous demande de la traiter avec une autorité accrue. Je l'ai rassuré de nos bonnes intentions… rendez vous compte une baronne…."
Des murmures approbateurs saluèrent cette introduction. Il s'adressa ensuite à moi :
"Quand à vous ma chère, vous savez naturellement ce pourquoi vous êtes là, n'est ce pas ?.... n'est ce pas ?"
La voix un peu mal assurée je balbutiais :
"Oui… enfin il me semble… je… mon mari… mon mari souhaite que… que je me mette à votre… entière disposition…."
"Et… vous allez le faire en toute connaissance de cause, bien entendu ?"
Je fis un signe affirmatif.
"J'espère qu'il n'y à aucune équivoque pour vous Madame la Baronne ?"
"Aucune !"
"Bien, bien… car voyez vous chère amie, bien que vous soyez une vraie aristocrate, ce soir… vous allez être traitée… comme une putain…."
Un silence pesant se fit. Il continua :
"D'ailleurs à ce propos, vous allez passer dans la pièce à coté. Vous y trouverez une tenue plus en rapport avec votre activité de la soirée. Vous trouverez aussi de quoi vous faire la tête de l'emploi si vous souhaitez vous mettre au diapason de votre tenue. Vous avez un quart d'heure pour ce faire…sinon, vous serez punie… pour notre grand plaisir !"
Je m'éclipsais vers la pièce indiquée, en fait une grande salle de bain pour plusieurs personnes. La tenue avait-il dit ! Bigre elle se composait sommairement d'une paire de chaussure à semelle compensée rouge vernie, ce qui renforçait l'aspect vertigineux d'un très haut talon métallique et d'une paire de bas résille noir auto fixant. À toute vitesse je me déshabillais et passait ma nouvelle "tenue". Je m'approchais ensuite d'un miroir sur la tablette de laquelle divers produits était disposés. Il avait dit " de quoi vous faire la tête de l'emploi"…. J'avais compris… je me couvrais les paupières d'un gris foncé et le contrastais plus haut avec du blanc, je me surchargeais le tour les yeux de noir, me fit à la hâte des cils bien charbonneux et enfin enduisais mes lèvres d'une épaisse couche d'un rouge sang, en exagérais le contour par un trait de crayon carmin afin d'en amplifier le coté pulpeux. Je terminais trois minute avant l'heure dite… pas le temps de faire mieux. Un dernier coup d'œil ! Bon j'étais entrée bourgeoise, j'en ressortais pute !
Charles, propriétaire du lieu et hôte de ses parties résuma l'approbation générale en annonçant "qu'il était ravi de constater que je savais à quoi m'en tenir sur la suite de la soirée". Je fis un peu plus attention aux hommes. Charles et un autre, il me semblait effectivement les avoir croisés. Deux m'étais inconnus mais pas le dernier. C'était un commerçant conseiller municipal que j'avais rencontré dans l'organisation de quelques occasions caritatives. Sa façon de faire avec les femmes me l'avait fait classer dans la catégorie des rustres et je crois même l'avoir remis une fois ou deux vertement en place. Et ce soir ce… rustre… allait me…. Charles était assis sur un canapé en compagnie d'un autre. Il restait une place au milieu. Ils m'ordonnèrent de venir m'y asseoir. Une fois assise, je les vis sortir ce qu'ils maintenaient plus ou moins dissimulé. Deux cylindres de plastiques fluo très long d'un bon diamètre, au moins quatre ou cinq centimètres. Légèrement flexibles, ils me les agitèrent sous le nez. J'avais évidemment bien saisi l'utilisation qu'ils comptaient en faire. Ils se mirent à me caresser les seins avec. Le contact était très doux, la matière me faisait penser à une sorte de gel solidifié plutôt qu'à un plastique vraiment rigide. Ils insistèrent bien sur mes tétons qui enflèrent et se tendirent. L'inconnu fit glisser son cylindre le long de mon ventre s'arrêtant un instant pour m'en titiller le nombril et la glissade reprit. Il atteignit mon pubis et en même temps, dissipant toute ambiguïté commanda :"
"Écartes les cuisses !"
J'obéis tout en notant la fin du vouvoiement. Il fit passer une de mes jambes sur une des sienne pour avoir un meilleur accès. Il frotta un moment le tube sur mon clitoris. Prise par l'excitation je renversais ma tête en arrière et fermais les yeux. Une voix ordonna :
"Ouvres les yeux pour voir ce qu'on te fait !"
Le jouet passa sur les lèvres de mon sexe. Charles se mit à me caresser les pointes des seins. Je gémis. On me pria d'écarter ma chatte. Plaçant mes mains de chaque coté de mon délicat minou je l'ouvris puis dus en écarter les bords pour que tous puissent voir l'intérieur. Ils constatèrent grassement que j'étais déjà bien humide… donc…. L'extrémité du cylindre fut posée à l'ouverture de mon vagin et une main pesa dessus. Ouuuhhhh plutôt cinq centimètre que quatre… au moins…. M'ayant fait lever l'autre jambe, il commença à me l'enfoncer marquant de petite pause histoire que je m'habitue au diamètre. Il le fit entrer jusqu'à ce qu'il touche le fond mon vagin. Je lâchais un râle. Avec une lenteur consommée, il procéda au retrait total ce qui lui permit de mesurer la profondeur de mon conduit. Il montra son estimation à l'un des hommes en disant :
"Tu vois Bertrand… pas de problèmes pour que tu y loge ta queue !"
Cela déclancha des rires. Je ne compris pas pourquoi. Il remis l'engin d'où il venait et se mit à le faire lentement coulisser pendant que Charles continuait de me peloter. Au bout d'un petit moment ce dernier me fit relever les jambes un peu plus haut et me demanda de lécher le second cylindre. Là aussi je compris ce qui se tramais. Quelques secondes plus tard, la tige entra contact avec mon anus et tenta d'y pénétrer. Sans dilatation préalable j'allais le sentir passer et je me détendis pour en atténuer les effets. En fait il ne put pas bien me l'enfoncer, soit que j'étais mal placée, soit que l'objet était un peu en biais, soit que le volume occupé "devant" rendait la chose malaisée. Ils résolurent de modifier leur attaque.
"Retire-lui le tien… on va commencer par lui en mettre un dans le cul d'abord… ce sera plus commode ensuite !... et puis passes-moi le tien, elle l'a bien mouillé… ça rentrera plus facilement !"
Quelle poésie…. Aussitôt dit aussitôt fait, le rouleau vaginal fut ôté, on me cracha sommairement sur la rondelle et le cylindre y pesa… pesa… força…. Habituée à être sodomisée, je n'offris aucune résistance sachant que mon muscle ne résisterait pas trop longtemps. Le sphincter céda tout d'un coup et le manche s'enfonça. Je laissais échapper un cri qui les encouragea à poursuivre. Là aussi il ne s'arrêta qu'au bout du couloir… et le retira pour montrer également la profondeur de cet endroit en principe secret. Ils apprécièrent également la mesure et Charles me bourra le cul derechef. Il le fit aller et venir un moment puis stoppa… pour que son compère me remplisse également le devant. Ce qu'il fit vivement et les deux hommes se mirent à me branler en cadence… cette merveilleuse allure ou l'un avance pendant que l'autre recule…. Les trois autres pendant ce temps pour tromper leur inactivité s'étaient déshabillés et arboraient des virilités singulièrement tendues et comme je m'y attendais un peu de bonne taille. Parmi eux, le dénommé Bertrand avait un sexe particulièrement développé… une belle, longue et grosse queue comme je les aimais, du genre de celle des hardeurs que j'avais fréquenté, ainsi qu'un bas-ventre totalement glabre. Ils s’approchèrent un peu pour profiter du spectacle en commentant :
"Elle a l'air chaudasse la baronne !"
"Ouais ! Elle aime ça la pute !"
"Tant mieux ! On va la gaver !"
Sous les regards et l'action combinée, merveilleusement combinée… de Charles et de son complice, je me mis à haleter me sentant immanquablement partir vers le plaisir. Lorsqu'ils s'en aperçurent, ils cessèrent leur action. Je protestais un peu. Du coup, sadiquement, ils dégarnirent les orifices des cylindres qui les obstruaient et se levèrent avec je supposais l'intention de se mettre nu eux aussi. Profitant de leur départ, l'un des hommes vint se s'asseoir à coté de moi et me demanda de venir me mettre sur lui dos tourné. Je me levais écartais les jambes pour lui permettre de passer les siennes entre les miennes et je m'abaissait avec l'idée, d'enfin, pourvoir m'introduire une bite dans la chatte. Je me trompais sur les desseins de l'homme qui m'ordonna crûment:
"Pas de ce coté !.... gaines-moi de ton fondement !"
Je pris sa queue en main et précautionneusement la mis en contact avec mon anus élargi par ce qu'il venait de subir. Heureusement d'ailleurs que Charles n'avait pas lésiné… cela facilita mon empalement sur la hampe bien raide. Me prenant par la taille il me fit descendre complètement sur lui me tirant petit cri. J'étais enculée jusqu'à la racine de sa bite. Pendant la pénétration, j'avais fermé les yeux histoire de ne sentir que la sensation. Quand je les rouvris, j'avais devant moi les quatre hommes membres à l'horizontal… ils approchèrent… de mon visage….. Il devenait évident qu'ils souhaitaient avoir désormais un échantillon de mes talents de pipeuse. Pourvu que je sois à la hauteur de leurs espérances ! A tout seigneur, tout honneur et je débutais par emboucher voracement la pine de Charles. Rapidement j'en attrapais deux autres pour les masturber en même temps. Et tout m'échappa… les queues se succédèrent entre mes lèvres, dans mes mains, sur ma langue…. Ils changeaient, permutaient, intervertissaient, se substituaient, se succédaient parfois (souvent même) à deux en même temps. Derrière-moi, l'autre avait placé les mains sous mes fesses et me soulevait pour mieux me laisser retomber sur son chibre. Comme si tout cela ne suffisait pas, il fallut que je suce "sans les mains". Et pour occuper ces dernières que je me caresse les seins. Tout en subissant les intromissions buccales parfois profondes et prolongées jusqu'à la limite de la nausée, il me forcèrent à me pincer moi-même le bout des lolos… puis à les étirer…. Ce fut plus fort que moi… tant d'attente…d'angoisse… de perversité je recrachais toutes les bites et me mit à gigoter en gémissant. J'eus mon premier orgasme de la soirée ainsi … sans la moindre pudeur devant tous les hommes. Mon enculeur me ceintura se releva me mettant par la même aussi debout. Il me retourna, me courba pour que je prenne appui de mes mains sur le canapé et se mit à me pilonner impudemment désireux d'achever sa sodomie en beauté. Je le sentis se raidir et une onde chaude s'écoula par saccade dans mon rectum.
Il m'avait à peine libéré de son étreinte, qu'un de mes futurs partenaires me prit le bras et me conduisit vers un des fauteuils ou il s'assit. Il me demanda de m'installer de façon identique à la précédente… je m'auto empalais de nouveau. L'un des autres me releva les jambes et m'enfila promptement par devant. Huuummmm !... à nouveau cette double pénétration que j'aimais tant… que nous aimons tant !
Nous sommes quand même toutes de belles salopes pour aimer ça à ce point ! N'est ce pas ma Chérie ?
Je n'eus presque pas le temps de goûter le travail de mes amants car posant un genou sur les accoudoirs du siège Charles et Bertrand mirent leur sexe à hauteur de ma bouche. J'en pris un dans chaque main et fit de mon mieux pour les piper convenablement malgré les secousses que m'infligeaient les deux autres. Ils étaient tous surexcités et me fourraient comme des damnés. J'eus vite un orgasme à ce petit jeu… puis Bertrand le premier me fit don de son foutre… en une quantité impressionnante. Il m'en coula sur le menton et les seins. Ce fut ensuite le tour de mon enculeur, puis à nouveau le mien puis Charles, au fond de mon gosier, et enfin le dernier arc-bouté profondément dans ma chatte. Ouhh !... j'avais l'impression d'avoir été laminée. J'eus droit à du champagne pour me remettre de mes… émotions. Je réalisais à ce moment que mes nouveaux amis n'avaient jouis qu'une seule fois chacun et que bien évidemment ils n'allaient pas en rester là…. D'ailleurs des bites commençaient à se redresser. Charles s'adressa à Bertrand
"Mon cher Bertrand, on se la tire à deux ?"
"Avec plaisir !... tu commences de quel coté ?"
"Ah !... je crois que je ne vais pas résister à l’attrait de son petit cul !"
"Comme tu voudras… je terminerai donc par la voie royale plus tard…."
Bertrand s'installa sur un canapé et me fit signe de venir à lui… enfin… sur lui….
Bon sang qu'il était gros ! Un vrai manche d'étalon que j'allais devoir m'enfourner dans la chatoune. Il n'avait rien à envier aux acteurs pornos que je connaissais. Il aurait certainement put faire partie du nombre et en bonne place. Avec prudence je m'installais autour de cette verge impressionnante. Il posa les mains sur ma taille et m'enfonça sur sa bite le plus loin qu'il put. J'avais l'impression de la sentir jusqu'à l'estomac. Il me fit faire quelques aller et retour histoire de, puis m'attirant contre lui, prit une de mes fesses dans chaque main et les écarta offrant la vision obscène de mon anus ouvert et suintant. Charles s'approchant le remercia de lui faciliter les choses. Enfin, quand je dis faciliter… d'accord il lui ouvrait la voie désirée, mais vu le volume qu'il occupait dans mon bassin… j'allais en baver. Effectivement !... et Charles dut s'y reprendre à plusieurs reprises pour me sodomiser poussant comme un damné pour se frayer un chemin dans mon rectum pourtant domestiqué. Lorsque tous les deux m'eurent emmanchée bien à fond, je m'aperçus que j'étais follement bien. Pourtant, nous étions tous trois trempés de sueur et j'étais écrasée entre les deux hommes et mes orifices distendus. Malgré cela je savais qu'un plaisir démoniaque s'en suivrait. Tu peux me croire en fin de parcours, j'hurlais ma jouissance et quand ils m'abandonnèrent, eux vidés et moi remplie j'eus un instant d'absence après ce deuxième double.
Le repos qui s'en suivit fut le bien venu. Pour rester dans l'ambiance pendant cette trêve, ils passèrent une vidéo. On y voyait une femme prise et reprise par plusieurs hommes sous toutes les coutures. Parmi ces hommes, je reconnu Charles et deux autres de mes partenaires. Ce que je ne savais pas encore, c'est d'une part que moi aussi un jour je serais à l'écran en leur compagnie et d'autre part qu'un jour je serais filmée avec elle lorsque j'aurais eu l'occasion de faire "la connaissance" de Nathalie. Tiens à propos de ces vidéos il faudra qu'un jour nous mettions notre stock en commun pour nous faire les copies qui nous manquent, Jean-Charles m'a dit que vous en aviez de bien réussie de toi et Bénédicte et de toi et Isabelle, moi par contre j'en ai avec Florence et Nath.
Comme tu le pressens, avec ce qu'ils avaient sous les yeux (et sous les mains car ils ne cessaient pas de me peloter), ils se mirent de nouveau à bander l'un après l'autre. J'allais à nouveau y passer, un peu inquiète à cause de la fatigue qui commençait à se faire sentir. Ils furent sans pitié…. Je fus vite mise au courant. Ce serait tous les cinq… et tout les cinq en même temps.
Cette fois ce fut Bertrand qui s'adjugea mes reins. Je lui demandais de faire doucement. La réponse fut sans équivoque :
"Attends !... tu n'es quand même pas la première que j'encule ! Et puis… il faut bien que tu sentes ce que cela fait de prendre une belle queue dans le cul… tu ne vas pas faire ta bêcheuse!"
Je ne le fis pas… heureusement que j'avais déjà été enculée trois fois auparavant, le passage était fait. Ce n'est pas à toi que je vais apprendre ce que l'on ressent quand il nous prend par derrière….
Les autres prirent leur place à tour de rôle, un dans la chatte, un dans chaque main et un dans la bouche. Je n'étais plus qu'une femelle multi-orifice…. En échangeant des plaisanteries et des propos ordurier à mon encontre ils me bourrèrent à qui mieux-mieux. Changeant de place au fur et à mesure qu'une plus intéressante se libérait. Combien de fois j'ai jouis ? Je ne sais même plus… ce fut fabuleux. Avant de me laisser me rafraîchir quelque peu ils eurent encore une dernière exigence : que je leur nettoie la queue avec ma bouche… comment refuser quand c'est si gentiment… ordonné ?
Après que j'ai effacé un peu des dégâts, Charles se fit le porte-parole du groupe pour m'informer que j'avais réussi haut la main mon test d'intronisation et qu'ils seraient ravis de me "revoir" encore, pour peu que mon époux veuille bien me confier de nouveau à "leurs bons soins". De cela je ne doutais pas un instant. En attendant après m'avoir encore félicité et remercié ils me congédièrent en me confisquant mes vêtements. C'est donc nue que je dus rejoindre le chauffeur, nettement goguenard qui me ramena à la maison (heureusement la nuit me cacha des regards). Le lendemain, brisée mais comblée, je dus tout raconter à un Jean-Charles ravi et qui le fut encore plus lorsque Charles lui téléphona pour lui faire des éloges dithyrambiques de sa salope de femme.
Comme je l'avais pressenti Jean-Charles me "prêta" de nombreuses fois… de très nombreuses fois. A tel point que je devins presque l'égérie de ce groupe de libertins. Sans me vanter, je crois que j'en connais tous les membres. Sans vouloir faire de jeu de mots je dis "membre" dans le sens "queue" du terme puisque tous les hommes me sont passés dessus (ou dessous) et que j'ai gouiné toutes les femmes, n'est ce pas ma chérie ? Nous avons eu chez Charles de belles soirées bien agitées, non ?

ooo0000ooo
"Voilà, tu sais tout ou presque de mes débuts dans la débauche…. Pour le reste, tu est un peu au courant puisque grâce à Annick nous avons pu faire connaissance et que nos affinités nous ont permis quelques splendides parties de jambes en l'air et de superbes orgasmes… et ce n'est pas fini !"
"Tu as raison, ma biche, je ne me lasse pas de caresser ton corps et de dévorer ta chatte et je crois que je ne suis pas prête d'en être rassasiée…. Mais je peux te poser une question ?"
"Mais oui vas-y !"
"Même indiscrète ?"
"Au point ou nous en sommes !"
"Est-ce vrai que tu fais parfois des truc sado-maso ?"
"Ah voilà la belle question !... curieuse va ! Tu connais Jean-Charles ! Il aime diriger. Non seulement, il aime dominer, mais il peut se montrer aussi très, très exigeant… surtout avec son épouse… qu'il adore punir…. Alors de punir lui-même ou d'assister au spectacle de sa femme victime de sévices et de tourments infligés par d'autres… il n'y a qu'un pas… qu'il a vite franchi et qu'il m'a fait franchir …. Il n'est pas rare qu'il me confie à Patricia qui est chargée de mon dressage. De temps à autres, tous deux m'emmènent chez des amis et là…! Tiens d'ailleurs, la mère de l'ancien petit ami d'Annick fait partie de ces gens là. Comme elle sait que je suis amie avec Annick, elle se montre particulièrement sévère et cruelle avec moi. Mais chuuuuuuttt…. Je ne t'en dirais pas plus.
Par contre si tu souhaite faire une expérience, je peux dire à Jean-Charles de brancher Guy sur le sujet…."
"Oh non ! Guy n'est pas chaud pour ce genre de chose !"
Là je mentais un peu. Même si j'avais, avec Laurent et Stéphanie, fait un essai, j'avais trop peur… peur, mais en même temps….
La fine mouche l'avait-elle remarqué puisqu'elle revint à la charge :
"Tu sais, je fais confiance à Jean-Charles pour le convaincre, tu connais son éloquence, d'autant que…."
"Que ?"
"D'autant qu'il m'a souvent dit qu'il trouve que tu as des fesses qui mériteraient d'être fustigée un peu… et pas que des fesses…. Tu sais ma belle ils sont inventifs avec des femmes qui comme nous ont de gros seins…."
"N'insiste pas ! Non c'est non !"
Elle n'insista plus et ce chapitre se referma.
J'espère que le récit d'une tranche de vie de ma tendre amie ne vous a pas lassé. Je compte reprendre, la prochaine fois, si vous le souhaitez, le fil de mon existence à travers le récit d'une autre de mes amies qui elle aussi à beaucoup à confesser….

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