Taxi-Brousse À Mayotte

A Mayotte le taxi-brousse c’est une institution. Ne croyez pas que ce sont des camions avant trente personnes sur le toit, mais tout simplement des voitures qui s’arrêtent sur un geste simple.

Les courses ne sont pas chères de 1 à 4 euros. Et quand il n’y a pas de taxi, ce sont les voitures de particuliers qui servent de transport, ça devient du stop en fait.

Hier soir, après m’être habillé de mon pantalon en lin blanc et d’un chemise légère, je me suis donc dirigé vers la seule boite de nuit de l’est de Mayotte en voiture.

Sur la route je prends un couple de mahorais que je connais pour les emmener à la boîte avec moi. Elle a 25 ans, c’est une « mzoungou » (métropolitaine) brune et bien foutue. Lui est Mahorais il a 29 ans, bien foutu, pas un pète de graisse et bien moulu dans ses vêtements hyper collés à son corps.

Pendant toute la soirée, que j’ai passée quasiment au bar, je matais les nanas mahoraises avec leurs postérieurs hyper développés et les mecs qui leurs tournaient autour. Cependant mon regard revenait systématiquement sur mon ami mahorais qui dansait à côté de sa femme. Bien que ne buvant que des cocktails sans alcool, mes sens se sont mis en éveil et je me suis surpris à bander en regardant ce mec se frotter contre sa femme.

Je me voyais à sa place.

Pour calmer mes ardeurs je suis allé me trémousser un peu sur la piste histoire de décompresser jusqu’au moment où mon pote me dit qu’il rentre maintenant avec sa femme. Surpris je n’ai même pas eu le réflexe de les ramener ; de toutes façons ils avaient trouvé quelqu’un qui partait en même temps qu’eux.

« Bonne fin de soirée » …
« Merci » répondis-je.

Et je restais sur la piste jusqu’à quatre heures du mat’ toujours excité par ce mec qui est dans les bras de sa femme depuis longtemps.

Je décide de partir maintenant. Je prends ma voiture au parking et en passant le portail quelques personnes font du stop comme il se doit pour rentrer chez eux.

Je m’arrête au hasard et là trois jeunes mahorais la vingtaine en âge vont dans la même direction que moi.

En roulant, un des trois me dit avoir remarqué mon manège avec mon pote avant qu’il ne parte il me trouvait triste depuis qu’il était parti. J’avoue que oui et aussi que je fantasmais sur ce black, moi-même étant black.

A cela l’un d’eux déclare qu’ils avis remarqué que je ne portais pas de caleçon ni de slip. Je me suis mis à rigoler : « Bien sûr que oui ! Je porte un string comme pas mal de mecs »

« C’est ce que tu dis, on veut voir si c’est vrai ! »
« C’est çà, renchérit un autre, montres nous ton string »

En trois secondes, mes sens se sont de nouveau réveillés et je me suis mis à bander instantanément.
« Allez montre-nous, nous somme trois à te le demander et s’il le faut nous t’y obligerons avec force »

« Ok, les gars, je vous montre mon string ».

Je me gare à l’écart de la route principale, à proximité d’une plage. Il fait déjà presque jour. Par précaution, je descend de la voiture et mes les clés dans ma poche. Après tout, je ne sais pas à qui j’ai affaire.

« Allez, gars, montre ton string si tu en as un ! »

D’un geste ferme je me désape, ceinture, fermeture éclair et je descends mon pantalon.

« Ouawww, c’est vrai il porte un string…….Tournes toi …. »

Je me tourne et ils sont la confirmation que non seulement c’est un string, mais un string de chez Lejaby pour femme, que je commande à la Redoute pour moi.

« C’est un string de pute que tu as, tu dois être une sacrée pute pour un black ! »

« En plus ton string rose en telles sont du plus bel effet sur ta peau noire ! »

« Dis nous, tu aimes la bite ? » « Allez, réponds »

« Oui » murmurais-je.

Du coup ils ont sorti leurs queues et sans qu’on me le demande je me suis mis à les sucer jusqu’à ce qu’elles deviennent très dures.


N’en pouvant, je me suis mis allongé sur le dos, sur le capot de ma voiture. J’étais à poil, les cuisses relevées et le trou du cul offert.

« Prenez-moi, venez bourrer votre femelle en chaleur ».

Sitôt dit, sitôt fait, ils m’on enculé à tour de rôle pendant une bonne demi heure si ce n’est plus. Leurs jeunes queues longues et dures m’on chemisé l’anus et enfin ils tous joui sur me fesses que j’ai remballées avec mon string et mon pantalon, sans m’essuyer.

Je les ai reconduit jusqu’à destination comme prévu et je suis rentré chez moi prendre une douche tout habillé.

Cet après-midi, je tape ce texte sur l’ordinateur, avec un gros coussin sous mes fesses. !

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