La Simulation Peut Avoir De Bons Cotés....

Dernièrement j'ai eu une aventure avec une dame de 51 ans. Et bien sûr, elle était championne dans l'art de faire l'amour. Tout passe. Elle m'a sucé comme aucune femme ne m'avait sucé, je l'ai baisée par devant comme par derrière, dans toutes les positions possibles et impossibles, on n'arrêtait pas. Le soir, le matin et l'après-midi. Sauf, qu'elle me prenait vraiment pour un bleu. Ce que je n'ai pas aimé c'est qu'elle avait passé son temps à simuler. Elle avait joui une seule fois. C'était la première fois où on avait fait l'amour. Elle avait joui comme je n’ai jamais vu une femme jouir de cette manière. C'était dans un pays étranger. On avait fait connaissance par internet. Elle voulait simplement correspondre avec quelqu'un. Et moi j'ai foncé, elle m'a fait souffrir pendant six mois, avant que j'aille la rejoindre. Et dès ma descente d'avion, c'étaient les embrassades, la joie. Quand on a été dans le studio qu'on avait loué, elle s'était déshabillée, elle ne voulait pas me montrer ses seins. Elle a un corps diabolique, un corps magnifique, légèrement ronde, elle avait tout ce qu'il faut. Elle m'avait dit qu'elle n'avait jamais fait l'amour depuis son divorce qui date d'il y a 20 ans, et que son seul ami c'était un gode, qu'elle m'avait montré et qu'elle appelait son "petit copain". Et c'est avec lui qu'elle prenait son pied. Mais, je vous assure, quand je l'ai sucé, et j'ai été tout doucement et je voyais bien qu'aucun homme ne l'avait touchée. Elle était trop timide, et m'interdisait de lui toucher les seins. Elle portait tout le temps des soutiens-gorge en forme de balconnet. Je voyais bien les bouts tendus, mais pas tout. Alors, cette première journée était mémorable, que je garde bien dans mes souvenirs. Je l'ai caressée tout doucement, avec le plus de douceur possible, et je me retenais, tellement elle est belle. Je bandais comme un cheval. Mon matériel me faisait tellement mal que j'avais hâte d'en finir. Mais, c'était tellement joli, que je voulais aller tout doucement.

Mais quand je l'ai pénétrée, j'avais senti comme du feu qui entourait mon gland. Elle était chaude comme pas possible. Elle a joui une première fois, une deuxième fois, et une troisième fois d'affilée. Trois fois en un laps de temps qu'on ne peut imaginer. C'était sur un fauteuil, moi assis et elle sur moi. Et elle passait son temps à me voir rentrer et sortir de sa chatte, et elle n'arrêtait pas de dire des phrases dans sa langue que je ne comprenais pas. Quand j'ai joui, j'avais cru qu'elle est morte. Elle est tombée raide entre mes bras et elle tremblait et j'avais peur. J'avais cru que son coeur avait lâché ou quelque chose comme ça ! Le bord du fauteuil était plein de nos spermes. On avait l'impression qu'on avait pissé dessus. De l'humidité partout.... On a rigolé, on a bu un peu de champagne que j'avais acheté dans l'avion. Du très bon champagne. On était joyeux. J'étais très content. J'avais l'impression de retrouver mes vingt ans. On est sorti, on a mangé dans un des plus beaux restaurants de cette capitale de ce pays que je ne nommerais pas. Et on a fait connaissance, on a parlé, on a parlé, et on a trouvé pleins de choses qui nous lient. On ne cessait pas de s'embrasser, dans le restaurant, dans la rue, et main dans la main, on est retourné à notre studio. Et rebelote, elle m'a fait des choses incroyables, que je n'ai jamais eu avec aucune femme de ma vie. Et depuis je ne croyais pas mes yeux. J'allais devenir fou. Elle simulait d'une façon incroyable. Et moi je n'ai rien dit. On a passé la nuit entière à faire l'amour. Moi je prenais mon pied, et elle faisait semblant. Mais ce qu'elle ne savait pas c'est que moi je sais qu'elle ne ressentait rien. Pendant les quatre jours que j'ai passé avec elle ; elle me dit qu'elle avait lu tel truc qu'elle voulait essayer avec moi.... Et bien sûr c'était pour mon plus grand plaisir, et elle faisait l'impossible pour me plaire.

Quand je l'ai quitté la première fois, et je suis revenu à Paris. Elle a commencé à m'écrire des choses qu'elle voulait faire avec moi, telle que boire mon sperme, me faire goûter le sien (la cyprine, je crois), m'offrir ses seins, danser toute nue devant, se caresser avec son "petit copain" devant moi, etc.
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Et bien sûr, en tant qu'être humain, je lui demande de venir me rejoindre à Paris. J'ai insisté jusqu'à ce qu'elle accepte. Elle connaissait déjà Paris. C'est elle qui avait réservé une chambre d'hôtel, par internet. Je l'attends à l'aéroport de ce maudit mercredi (il y avait la grève), elle est arrivée en retard. A sa descente d'avion, elle refuse de m'embrasser parce qu'elle a attrapé une mauvaise grippe. J'avais vraiment regretté cette venue. La nuit, c'était la baise à la sauvette, à la missionnaire, et c'est tout. Le lendemain on a encore fait l'amour le matin, comme des bêtes. J'ai été dégoûté. Je l'ai déposée à l'aéroport pour son retour, et je me suis juré de ne plus la contacter. Mais à son retour dans son pays, elle n'a pas cessé de m'accaparer de messages, de pleurs au téléphone, etc.... Elle m'envoyait des photos de son cul, de sa chatte, de son corps qui est merveilleux.

Et comme un imbécile, je lui ai répondu, et j'en redemandais des photos. C'est vrai qu'elle est très belle, une vraie blonde, avec une chatte bien dessinée (ah, j'ai oublié de dire qu'elle est manucure). Elle a une peau à regarder et à toucher avec douceur. On dirait de la soie.

J'ai dit un faux prétexte à mes s, pour ne pas partir avec eux en vacances, et que je reste à Paris le mois d'août. C'est la première fois de ma vie, que je refuse de partir en vacances. Alors je l'ai attendu. C'était le début du mois d'août. Elle est restée à Paris 20 jours. Et je lui ai dit la vérité, la totale vérité. Qu'elle simule en faisant l'amour et que je déteste le mensonge et l'hypocrisie. C'était plus fort que moi. Alors on a fait l'amour le premier jour de son arrivée, et une autre fois dans un hôtel. C'était banal. C'est moi qui en ai profité au maximum. Mais je n'ai vraiment pas aimé. C'était comme si je faisais de l'amour à une prostituée, sauf que celle-là je ne la paye pas.

Sincères amitiés : Lari

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