La Punition De Corinne

« Tu t’amuses bien petit malin ?! »

Plusieurs jets de sperme jaillirent sur ses pieds, elle se tenait à une cinquantaine de centimètres de moi. S’en suivit un long et lourd silence, elle semblait fâchée. Revêtue du plus simple appareil, elle me gifla maladroitement et mollement. Un rire échappa à mon contrôle, elle me claqua cette fois habilement et fermement. Plus le moindre sourire n’apparaissait sur mon visage. C’est alors qu’elle me fit signe de la suivre en direction de sa serviette, même si l’occasion ne s’y prêtait pas, j’en profitai une fois de plus pour examiner ses fesses fermes, musclées et rebondies. Arrivée à sa serviette, Corinne s’approcha de moi et mis sa main sur ma hanche, sa tête approchait la mienne, sa bouche allait atteindre la mienne. Malgré mon orgasme, une érection se fit sentir au fond de mon short. L’ambiance était plutôt torride sous ce soleil de plomb et s’enflamma encore plus lorsqu’elle me demanda de me déshabiller entièrement. Je m’exécutai immédiatement, elle pris les vêtements et les mis dans son sac, quant à elle, elle remis son short et son débardeur. Elle voulait que je la déshabille moi-même, j’en était sur, et elle voulait que je le fasse bestialement. Corinne me désirait enfin, et nous allions pouvoir nous lâcher tous les deux. Mon désir montait en flèche !
Mon petit jeu de voyeurisme l’avait surement excitée !

« Maintenant je vais rentrer, toi, ne rentres pas trop tard… »
Quoi ? Elle repartait au moment où notre désir était à son apogée ! Je la regardais s’éloigner dans son petit short en balbutiant quelques vulgarités. Qu’est-ce qui lui prenait ? Mon sexe retrouvait son état futile lorsque que je pris conscience que Corinne était parti avec mes vêtements. J’étais à poil, au milieu des dunes et des hautes-herbes et il fallait que je traverse mon petit village pour rentrer chez moi… Sacré punition de sa part !
Il fallait bien que je rentre un jour, je décidai d’attendre la nuit pour rentrer plus discrètement puis me ravisai pour plusieurs raisons, il n’était que 2h de l’après-midi et ces dunes grouillaient de pervers près à sauter sur tout ce qui bouge pour vider leurs bourses.

La vue d’un homme nu les aurait fortement émoustillés et, ne me sentant pas encore prêt pour recevoir des réserves de foutre dans mes orifices, il fallait que je parte.

Le chemin du retour ne fut pas une partie de plaisir. Même en ayant une légère tendance exhibitionniste comme moi, la traversée des quelques rues mis à l’épreuve ma pudeur ! Sans compter les quelques voyeurs des dunes qui m’ont demandé de « m’essayer »…! Arrivé chez moi, je bouillonnais et avait envie de faire subir à Corinne les pires s qui existent ! Des s sexuelles très cruelles me vinrent à l’esprit jusqu’a ce que j’aperçoive Corinne se tenant au pied de la porte, le sourire aux lèvres. Je lui fit part de ma contrariété, elle me fit part de son amusement, elle était en maillot de bain, j’était en tenue d’Adam, elle se mit à éclater de rire, je simulai, d’un rictus, un sourire. La discussion se termina et j’entrai dans la maison, elle marchait sur mes pas. Que voulait-elle ? M’humilier une fois de plus ? Prenez-t-elle son pied à me rabaisser ?

« Si ton fantasme était de me voir nue, il suffisait de demander gentiment ! »
Je me retournai, elle avait retiré son maillot de bain ! Corinne, la femme âgée de plus de 20 ans que moi, qui venait de me prendre en flagrant délit de voyeurisme la queue à la main, qui après m’avoir giflé, m’avait humilié en me forçant à vadrouiller nu en public, se trouvait désormais à coté de moi, sans rien pour recouvrir ses formes de déesse. Je risquai une main en l’approchant de sa hanche et une autre en me rapprochant de sa poitrine. Mon sexe durcissait à la vitesse de l’éclair ! Corinne était-elle vraiment sincère en me laissant profiter de son corps comme cela ? Il semblait que oui puisque mes mains trouvèrent son corps sans difficulté.

« Tu mérite bien une petite récompense après tous les efforts que tu as fait ! »
Elle m’embrassa et me poussa dans le canapé, poussa la table basse et s’agenouilla ! Je ne rêvais pas ! Mon coeur s’accélérait.
Ses yeux fixant ma queue, ses mains sur mes cuisses, captivante, elle piquait son caprice et réalisait peut-être aussi un fantasme. Sa langue sorti de sa bouche, elle vint la poser délicatement à la base de mon pénis pour la remonter jusqu’a son extrémité. Ma respiration redoublait d’intensité. Suçotant, aspirant, tétant, frottant, tournoyant sa langue contre mon gland, je fermais les yeux et profitai des caresses de mon amante tant désirée. S’attardant sur cette partie de mon corps, Corinne parcourrait mes cuisses avec ses mains, sensation très agréable qui fut décuplée lorsqu’elle les fit balader au niveau de mon périnée. Ca y est, ma queue était à présent enfournée dans sa bouche, elle n’hésitait pas à l’absorber en entier ! L’expérience parlait ! Ces multiples caresses engendraient un mélange d’adrénaline, d’excitation et de bonheur, j’était tel un roi avec sa favorite. Sa connaissance du sexe masculin était impressionnante au point qu’elle connaissait les meilleurs endroits érogènes de ma queue. Ses mains parcourant mes cuisses, elle s’amusait avec son jouet qui me servait de bite ! Tétant son biberon, elle absorba entièrement ma queue et serra ses dents, elle me faisait un suçon à la bite ! La douleur fit place rapidement à l’extase ! Je sentais que j’allais exploser d’une seconde à l’autre ! C’est alors que, sans prévenir, une de ses phalanges s’inséra dans mon trou ! S’en était trop, le plaisir réuni par cette pipe couplé au désir accumulé depuis deux jours me fit détonner ! Je jouissais et ce pendant plusieurs dizaines de secondes jusqu’a ce qu’elle relâche la pression sur mon sexe, une quantité impressionnante de foutre se déversa alors dans sa bouche ! Son suçon à la base de ma verge m’avait fait jouir pendant une durée assez longue ! La meilleur jouissance que j’eu connu. Elle semblait se régaler, se releva et approcha sa bouche de la mienne. Sacré femme, l’expérience se ressentait ! Même son bisou me faisait du bien, j’en voulais plus, j’ouvris alors ma bouche pour gouter à la sienne, elle fit de même ! Un liquide tiède en quantité abondante se déversa dans ma bouche.
Le sperme avait donc ce gout là ! J’avais tout avalé et adoré…

« Voila ta punition pour avoir joué au voyeur, petit malin !»

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