Coincés Entre Deux Avions...

Cet été, je devais me rendre au Québec pour une série de concerts (je suis guitariste et chanteur) avec un side-project. J’avais un premier vol jusqu’à Amsterdam et là, une correspondance pour Montréal. Mais à Amsterdam, problème : le vol a été overbooké par la compagnie et comme toutes les places sont effectivement occupées, je suis coincé sur place… Ça commence bien !

Nous sommes plusieurs dans ce cas et la grogne est générale. Notre petit groupe est alors emmené par un responsable jusqu’à un bureau où on nous prend nos passeports pour nous réserver un nouveau vol jusqu’à Montréal.

Les gens commencent à montrer une certaine impatience, car il est bien clair que personne n’est enchanté par les événements. Dans les conversations, en anglais bien sûr, je remarque bientôt un accent français et me rapproche d’une jeune femme brune qui discute avec un couple d’Italiens. Je me joins à la discussion qui tourne autour de banalités concernant notre situation. Je l’interpelle, elle me dit que ça la soulage de tomber sur quelqu’un qui parle français, je lui dis que c’est la même chose pour moi.

Nous sympathisons, elle s’appelle Lisa, a 28 ans, vient de Lyon et est infirmière. Elle est habillée de façon conventionnelle, mais je devine sous son pull une jolie paire de seins à la taille respectable. Nous parlons de tout et de rien et notre discussion est parfois ponctuée par son rire, un rire qui ne me laisse pas indifférent, très mélodique et naturel. Cette fille est bien jolie, je l’avais quand même discrètement maté auparavant et son cul m’apparaît de plus en plus attirant.

L’attente interminable passe du coup beaucoup plus vite, et nous sommes finalement appelés au bureau pour qu’on nous informe de la solution trouvée pour chacun des passagers lésés. Résultat : le vol de remplacement part tôt le lendemain, nous devons passer la nuit sur place dans un hôtel réservé par la compagnie à proximité de l’aéroport… et on nous donne encore 500 euros de dédommagement par personne ! Cash !!! Eh ben, finalement ils sont beaucoup plus sympas tout à coup…

Lisa et moi ramassons nos papiers et nos bagages, nous nous dirigeons vers la sortie et prenons une navette jusqu’à l’hôtel.

Nous sommes à présent plus détendus, et nous amusons presque de la situation, surtout depuis que nous avons chacun 500 euros en poche. Arrivés à l’hôtel, nous montons dans nos chambres et convenons de nous retrouver un peu plus tard au restaurant pour manger ensemble, tant qu’à faire.

Le repas fut très agréable, le courant passait bien entre nous et nous apprenions à nous connaître un peu plus. Nous prenons encore un dernier verre au bar avant de remonter gentiment dans nos chambres dormir, car notre vol part tôt le lendemain matin.

Une fois dans ma chambre, j’allume la télé et zappe en repensant à la journée que je venais de passer. Au bout d’un moment, je me dis que ça serait bête de ne pas en profiter…

Je sors et vais frapper à la porte de Lisa. Elle entrouvre en petite tenue, et je lui dis : « Ecoute, je me disais… On est coincés à Amsterdam pour la nuit avec 500 euros en poche. C’est la capitale de la fumette, on serait cons de ne pas profiter de ce petit bonus, qu’en penses-tu ? On se prend un taxi jusqu’en ville et on sort un moment s’amuser ? » Elle rie et me dit qu’elle pensait à la même chose mais n’osait pas me le proposer… Elle m’ouvre et me dit de patienter le temps qu’elle se change. J’en profite pour mater discrètement, elle n’est pas gênée et elle devient de plus en plus attirante à mes yeux…

Nous descendons donc tout excités à l’idée de notre escapade et commandons un taxi qui nous dépose sur le Dam au centre-ville. Un rapide tour du quartier et nous nous enfonçons dans une petite ruelle qui débouche sur un coffee shop. Nous entrons, choisissons trois joints au comptoir et allons nous asseoir dans des canapés autour d’une petite table basse. Je vais chercher des jus de fruits pendant qu’elle allume le premier pétard. Bientôt, l’effet se fait sentir et nous partons dans des délires enfumés en rigolant comme des gamins.

Nous ne nous connaissons pas, n’étions pas sensés nous rencontrer et voilà que nous sommes les deux meilleurs amis du monde, à deviser autour d’un joint.
J’allume le suivant, au shit, et la soirée se déroule ainsi, dans une ambiance agréable et décontractée. Soudain, elle me dit : « On va boire une bière dans un autre endroit ? Les jus de fruits c’est bien gentil avec les joints, mais j’ai soif d’autre chose. » J’acquiesce, nous nous levons, je lui propose d’acheter encore un joint et de se finir notre stock à l’hôtel.

Dans la rue, on déconne, on joue au chat et à la souris, on se fait des parcours d’obstacles sur le mobilier urbain tout en rigolant, bref, on est complètement pétés et ça passe ! Finalement, après avoir éclusé quelques bières dans un bar, nous prenons un taxi pour le retour à l’hôtel, car l’heure avance gentiment. Je l’invite à boire un dernier verre et à fumer les pétards dans ma chambre, elle me suit sans hésiter.

Une fois dans ma chambre, nous nous allongeons sur le lit, face à face et reprenons notre discussion tranquillement, en buvant du whisky et en fumant. Au fur et à mesure, Lisa se rapproche, elle me prend le bras à chacun de ses éclats de rire, de ce rire toujours très plaisant à l’oreille, et je tressaille, sentant comme une vibration entre nous. Nos regards croisés se font de plus en plus intenses…

À un moment, elle laisse sa main sur mon bras, nous nous regardons fixement en silence… et soudain, on se jette l’un contre l’autre et on s’embrasse fougueusement… Une grosse pelle bien mouillée, un french kiss enflammé, comme dans les films ! On se regarde à nouveau, et après un moment d’hésitation, elle m’invite à l’embrasser. Mes mains caressent sa nuque et descendent jusqu’à ses seins. Elle me rend mes caresses et je me mets rapidement à bander comme un taureau. Elle le remarque et me dit : « En tant que guitariste, tu dois avoir l’habitude de travailler avec ton manche », je lui réponds : « Et toi en tant qu’infirmière, de prodiguer des soins appropriés aux patients ». Nous éclatons de rire et commençons à nous déshabiller mutuellement.

Son corps m’apparaît ainsi nu et elle est vraiment bandante, ça m’excite encore plus.
Elle se lâche et entreprend directement de sortir ma queue tendue de mon caleçon. Elle m’invite à m’allonger, je me laisse faire… Elle commence à me branler gentiment, j’apprécie mais j’en veux plus et lui dis de me sucer, ce qu’elle entreprend sans hésitation. Cette fille que je trouvais encore « normale » il y a peu se transforme alors en véritable petite salope experte de la pipe. Elle embrasse ma bite, la lèche puis la met en bouche tout en me malaxant les couilles. Elle y met toute sa volonté et putain c’est trop bon ! Sa langue parcourt ma verge et mon gland et je sens que je vais bientôt exploser, je lui demande de ralentir la cadence car j’ai envie qu’elle en profite. Elle me dit : « Moi aussi, je veux que tu me lèche le minou et que tu me fasses jouir avec ta langue ». Je la renverse en arrière et dirige ma bouche vers sa chatte. Woah ! Elle est déjà toute mouillée, cette petite chienne ! Je lui caresse le bouton avec ma langue, descend jusqu’aux lèvres et commence à la lécher. Bientôt, elle se met à haleter et à gémir, je comprends qu’elle aime ça et ça m’encourage, je mets aussi mes doigts à profit, je branle sa chatte, je lui caresse le trou du cul, j’alterne entre mes mains et ma langue. Elle mouille de plus belle : « Oh oui, vas-y, c’est bon, je vais jouir… » Effectivement, ses râles et ses soubresauts me font comprendre qu’elle est en train de monter au septième ciel.

Une fois l’orgasme passé, elle revient à nous, se retourne et se met à quatre pattes : « Prends-moi, vas-y prends-moi comme une chienne, j’adore ça ! » Moi aussi, lui dis-je en fourrant mon gros pilon dans sa chatte. Ah putain comme c’est bon, sa chatte est chaude et mouillée et je manque d’éjaculer d’entrée de jeu. Maintenant, je la baise, lentement d’abord, puis j’accélère et elle aime vraiment ça. Je lui dis « Mais tu sais que tu es une vraie petite salope ? Hein ? T’aimes ça ma grosse queue qui te ramone la chatte, hein ? » « Oui, oui, oh ouiiiiiiii, vas-y baises-moi, baises-moi plus fort, putain j’aime ça comme tu me bourres ! » « Salope, tu bouges comme une pute ! » Elle jouit encore une fois dans un long gémissement et avant que je n’en puisse bientôt plus, je la retourne violemment sur le dos, me mets à cheval sur son ventre et fourre ma bite entre ses seins.


« Vas-y branle-moi avec tes nichons, putain comme y sont gros ! » que je lui dis. « Ah, t’aimes ça la branlette espagnole, petit cochon ! » « Oh oui j’aime ça, putain j’aime ça, vas-y ma grosse salope ! » Je vous laisse imaginer combien je suis excité par cette chienne de garce toute chaude, il me semble que je trique comme je n’ai jamais triqué ! Elle compresse ma bite entre ses seins et j’entame un va-et-vient comme j’aime. La pute ! Elle arrive à me lécher entre deux allers-retours ! Je deviens complètement fou et avant que je vienne, je décide d’arrêter pour en profiter encore un peu. Je la remets à quatre pattes et rentre mon dard dans sa chatte, je la pénètre à toute vitesse et violemment, elle hurle de plaisir. « Han ! Je veux que tu m’encules, vas-y démonte-moi le cul maintenant ! » Aïe aïe aïe, quelle salope !

Je ne me le fais pas dire deux fois et entre délicatement par sa porte de derrière, pour ne pas lui faire trop mal. J’y suis enfin, je la baise par le trou du cul, elle m’encourage : « Aaaaaah oui c’est bon, casse-moi tout là-dedans ! ». T’es vraiment une pute, je lui dis, et comme j’aime bien dominer, je la prends par ses cheveux longs et soyeux puis par les mains et ramène ses bras derrière son dos. « Salope, t’es toute à moi ! C’est qui le patron, hein ? C’est qui le patron ? » « C’est toi, oh oui c’est toi mon patron, bébé ! » J’en peux plus, je suis en train de l’enculer sauvagement à toutes blindes en la dominant, je vais bientôt venir…

« Tourne-toi », je lui dis en dirigeant ma bite contre son visage et là, j’enfourne mon pilon dans sa bouche et la baise en dirigeant sa tête avec mes mains… Elle semble surprise, mais je m’en fous, je vais jusqu’au fond, c’est trop bon. Je ne tarde plus à décharger complètement mon jus dans sa gorge dans un long râle de jouissance !!!

La salope avale et elle aime ça ! Je me renverse sur le lit et elle me nettoie délicatement le jonc en léchant… Chienne ! « Putain, t’es un virtuose du manche, mon petit salaud... » Dit-elle en s’allongeant contre moi. « Moi, je crois que je suis guéri grâce à toi… », Je lui réponds. On part en fou rire… Couchés côte à côte, nous reprenons notre esprit en fumant le dernier pétard, puis nous nous endormons gentiment…

Le lendemain, elle me réveille avec une pipe et on part pour l’aéroport… On se verra encore une fois à Montréal pour baiser comme des animaux. Cette fille, quelle salope ! … La suite de retour chez nous ?!?

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