Leslie, Transexuelle Chapitre 17

CHAPITRE 17 – Transexuelles et lesbiennes.

Lilou, la petite trans d’internet.
Je venais de me connecter sur internet pour faire un petit tchat, quand je suis tombée sur une annonce qui a attirer mon attention : "Jeune transexuelle cherche trans, lesbienne, pour rencontre et plus si affinités."
Une annonce comme une autre sur un site internet, ou parfois je me branche, sans trop y croire, mais celle ci avait tout de suite attiré mon attention. Qui pouvait se cacher derrière cette annonce, ma curiosité était en éveil, et je me suis brancher pour un dialogue cybernétique. Quelques échanges avaient suivis, elle, enfin si tout était vrai, annonçait avoir 19 ans, blonde, mince, cambrée et d’autres détails qui me mettaient dans un état de folie, elle me disait avoir déjà une petite poitrine et un petit sexe très mignon mais n’était pas très grande, nous avons converser un bon moment ans avant de se fixer un rendez-vous, elle habitait Aix en Provence, mais pour découvrir Lilou, son prénom, j’étais prête à aller au bout du monde avec elle.
Nous nous étions donné rendez-vous à la terrasse d’un café du centre-ville pour faire connaissance et voir si le courant passait entre nous, avant de passer et peut être finir la soirée ensemble.
J'arrivai à l’heure et elle était déjà là. Je la reconnus de suite, tellement la description qu'elle m'avait donnée d'elle était fidèle, ses cheveux blonds, courts et sa petite bouche fine, ses yeux d'un bleu clair et sa petite poitrine qui saillait fièrement sous un corsage transparent. Elle était d’une sensualité qui me fit bander instantanément. Dissimulant mon trouble, je m'approchai de sa table et me présentai. Elle me répondit d'une voix rauque, mais très féminine qui me donna des frissons dans le dos. Je m'installais, appelai le garçon et nous fîmes connaissance en buvant un verre.
Nous nous découvrîmes beaucoup de points communs et sa culture me séduisit autant que sa beauté.

Lorsque nous nous levâmes pour aller diner, elle me prit par le bras et je pouvais sentir son corps souple et chaud à travers la manche de mon tailleur.
Le diner dans un resto de sa connaissance, et les verres dans un bar intimiste ou la possibilité de danser s’offrait à nous, que doucement nous nous rapprochâmes. Lors d’un slow langoureux nous échangeâmes le premier baiser, mes mains caressaient son dos, ses hanches et la courbe de ses petits seins. Ses mains dans mon dos me plaquaient à elle. L’envie de nous entrait doucement dans nos corps. Maintenant nul doute que nous savions comment cette soirée finirait, prenant nos affaires nous partîmes pour aller dans son petit studio proche.
Arrivés chez elle, elle passa sous la douche après moi, elle en sortit enveloppée dans une grande serviette de bains blanche. Mon désir était fort, mon sexe restait tendu, et gonflé d’envie. J’étais debout dans la pièce, elle s'agenouilla pour me prendre en bouche, elle suçait divinement et je dus l'arrêter pour ne pas venir prématurément, se redressant contre moi, je sentis son sexe frotter contre le mien, je la serrai contre moi et l'embrassai passionnément. Elle me prit par la main et la me conduisis jusqu'à son lit.
Elle s'étendit doucement sur le dos. Ma bouche courrait sur son corps, mes mains sur sa poitrine, je descendais lentement vers son bassin, qu'elle poussait vers moi, je me levais et la regardais. Elle belle, pleine de plaisir et d’envies. Je la tirai doucement vers le bord du lit, laissant ses pieds reposer sur le tapis moelleux. Je m'agenouillai entre ses jambes. Je saisis doucement le petit sexe, légèrement gonflé, je le décalottai, le branlai tendrement, le malaxai avec douceur, elle gémissait doucement et elle murmurait :
- Suces-moi, suces-moi.
Alors, je pris en bouche son sexe en une fois et me mis à coulisser, serrant fortement les lèvres autour de ce bâton de chair, mes mains continuaient à caresser ce corps de rêves aux formes androgynes.

Après quelques minutes de ce traitement, le sexe bandé, elle me dit :
- Attends.
Puis me fit coucher sur le lit. Elle s'installa tête-bêche sur moi, son charmant petit sexe toujours bandé se balançait au-dessus de mon visage. Je le saisis d'une bouche gourmande et le fis rouler sous ma langue. Mes mains avaient saisi ses fesses et je lui pénétrai doucement l'anus avec l'index. Les caresses buccales expertes de Lilou me donnèrent beaucoup de plaisir, je bandais fort, elle se dressa au-dessus de cette hampe et se laissa coulisser dessus. Je sentais son sexe battre sur mon ventre pendant qu'elle me chevauchait. Elle me hurla de la branler, je saisis son sexe et commençai à le masturber, de plus en plus vite. Elle réglait ses mouvements à la montée de notre plaisir et m'amena à la jouissance au moment-même où je sentis deux jets chauds s'écraser sur mon ventre.
Allongés sur le lit les jambes emmêlées, le désir renaissait déjà sous nos caresses appuyées, nos ventres se retrouvèrent bientôt l'un contre l'autre, nos sexes se dressaient l'un à côté de l'autre, nous étions enlacés ivres de désir, elle me mit à plat ventre, et se mit à se frotter sur mon dos, ses mains se saisissaient de mes fesses, ses jambes emprisonnèrent les miennes et sa langue me pénétra. Elle se mit à me malaxer doucement le sphincter avec ses doigts pour le détendre et lui permettre de laisser passer le doigt qu'elle m'enfonça profondément puis fit aller et venir doucement.
Elle se leva, me tirant le bassin en arrière et je me retrouvai à quatre pattes, offerte. Mais c'est devant ma bouche qu'elle présenta son sexe, m'ordonnant de la refaire bander. Je me mis à lui lécher le sexe et les couilles, glissant parfois la langue jusqu'à l'anus encore rouge de ma pénétration. Elle grossit enfin sous mes caresses, se retira, se plaça derrière mes fesses et, sans préliminaire, me pénétra d'un geste rapide, elle alla doucement puis je la sentis accélérer ses va-et-vient, de plus en plus violents, qui faisaient cogner ses testicules sur les miennes à chaque mouvement.
Puis, elle se raidit et s'affala sur mon dos. Je me laissai aller et elle reprit haleine, toujours enfoncée en moi, se déversant au fond de mon cul.

Après quelques instants, elle se retira doucement. Elle posa sa tête sur mon ventre pendant que je lui racontais ma vie, elle se mit à me caresser doucement le sexe, si bien que celui-ci grossit et vint se poser au bord de ses lèvres, elle entrouvrit la bouche et me suça paresseusement, le désir, à nouveau, me submergeait. Elle se mit à son tour à quatre pattes.
- A toi, me dit-elle.
Je me plaçai derrière elle et après avoir bien lubrifié la délicieuse rosette avec la langue, je la pénétrai en un seul mouvement, je me mis à la baiser en grands mouvements lents qu'elle semblait apprécier, j'avais envie d'honorer son cul longtemps, et longtemps. Je ralentissais puis reprenais mon rythme. Mais tout a une fin, et la chaleur de cet étroit conduit combiné aux massages des muscles anaux, me conduisirent à une nouvelle jouissance, mon ventre collé à ses fesses, mon sexe toujours planté en elle, je demeurais ainsi.
Nous nous couchâmes l'une contre l'autre et nous endormîmes très vite.
Le réveil fut somptueux, je rêvais d'une bouche qui me suçait, mais ce n'était pas un rêve, Lilou s'était remise à l'ouvrage, sans m'attendre, elle me suçait, quand elle sentit que j'étais éveillée, elle me dit, dans un sourire :
- J'avais envie, j’ai toujours envie.
Je ne pouvais vraiment pas lui en vouloir, car elle me suçait avec volupté. Je la laissai faire, jouissant de cette merveilleuse bouche, doucement elle me fit jouir recueillant ma semence dans sa bouche. Elle m’offrit une nouvelle fois son cul pour que je la sodomise avant de nous quitter.
Nous nous levâmes pour prendre une rapide douche, Lilou devant se rendre au travail, mais son corps contre le mien sous l'eau chaude ranima nos ardeurs, je la pris une dernière fois, debout, appuyée sur la paroi de la douche. Ayant déjà joui moi-même, je pouvais parfaitement me maîtriser, et je ne me laissai aller que lorsque le râle qui jaillit de sa bouche trahit son plaisir.
Nous nous rhabillâmes et nous embrassâmes avant de nous quitter. Une nouvelle journée commençait.

Anne Laure, l’amante lesbienne de Chris.
Chris m’a présentée Anne Laure, et nous nous sommes appréciées dès la première rencontre. Anne Laure est une lesbienne pure et dure, elle n’aime que les filles et passe son temps à les mettre dans son lit.
Chris et Anne Laure sont amantes, mais pas attitrée, et Anne Laure croit que je suis la cousine de Chris, elle ne sait pas que je suis une transexuelle.
Anne Laure est belle, fine et élancée, avec une cambrure de rêve, une bouche pulpeuse, de beaux yeux bleus, sa voix un peu rauque contraste avec son physique, mais moi j’aime.
Maintenant, depuis que nous nous connaissons nous sortons souvent en boite ensemble, ouvertement elle me drague et je sens qu’elle désire me faire partager sa couche, je laisse faire tranquillement, attendant le bon moment. Anne Laure ne se doute de rien et parfois, en fin de soirée, je passe prendre un verre chez elle avant de rentrer, la dernière fois trop crevée pour rentrée, après lui avoir fait comprendre que j’étais vraiment fatiguée, j’ai dormie sur son canapé.
Depuis cette nuit la, je sens que je ne pourrais longtemps restée distante, la prochaine fois sera la bonne.

Nous venons de rentrer de boite et comme chaque fois, Anne Laure a tenue à m’emmener prendre un verre chez elle, et dormir si je le voulais. Cette nuit la, impossible de dormir et m’ayant rejointe, nous voila toutes les deux, sur le canapé, je suis couchée, sous les draps, et elle assise sur le bord du canapé, elle me regarde droit dans les yeux et son visage se rapproche du mien, sa bouche se pose délicatement sur la mienne, ses lèvres sont très et sa langue chaude et humide entrouvre mes lèvres, nous explorons nos bouches et déjà ses mains se posent sur moi, je caresse sa poitrine, c'est la seule chose que je sois capable de faire pour le moment car je suis extrêmement troublée. Anne Laure est très douce et je m'abandonne complètement sous son baiser, sans retenue aucune.
Je sens ses mains douces explorer ma poitrine, jouer avec le mamelon , nous sommes, maintenant, toutes les deux couchées sur la canapé, complètement excitées, les jambes écartées, sa main me caresse mes jambes par-dessus le drap et remonte vers mon entre-jambes, vers mon sexe.
Elle découvre mon sexe raide et s’exclame :
- Mais, Leslie, t’es pas une femme, t’es….
- Oui, dis-je, une transexuelle.
- Chris m’a bien eue, dire qu’elle te fait passer pour sa cousine.
- Tu sais c’est presque la vérité, je suis tout de même son cousin génétiquement.
- Bien, tu me plais et je n’ai jamais fait l’amour avec une transexuelle, bien que les hommes me dégoutent, mais toi, c’est différent, tu es aussi un peu fille.
Et reprenant ses caresses, elle repart dans les joies de l’amour, elle prend mon sexe en main et me fait une bonne fellation, elle sait tout de même sucer un membre, puis elle me caressa, elle me rend folle et je sens ses doigts s'introduire sans aucune difficulté dans mon cul et mes coups de bassin disent mon envie, elle joue avec mon sexe gonflé de plaisir et son doigt coulisse dans mon intimité.
Je la couche sur le dos et embrasse chaque partie de sa poitrine, de son ventre, son entrejambe, je lui administre un joli cunnilingus, qui la fait vibre et crier son plaisir.

Anne Laure va alors chercher un gode ceinture et un gode en ivoire, et m’emmène dans sa chambre, les caresses reprennent, nous nous caressons le sexe mutuellement. Elle me couche sur le lit, sur le dos et commence à m'introduire le gode dans le cul, elle me pénètre doucement au début, puis plus profondément, pendant qu’elle me gode le cul, je lui agace le clitoris, nous sommes aux anges, toutes les deux enlacées sur le lit tendrement.
L'excitation est à son comble et de pouvoir me mouvoir sans aucune gêne me libère de mes dernières onces de timidité. Instinctivement, c'est ouverte que je me présente, pour mieux savourer chaque caresse, pouvoir offrir mon moi intime sans aucun complexe et me laisser aller aux plaisirs...
Après ce premier orgasme extrêmement jouissif et la petite pause tendresse, de repenser à tout cela, de voir le gode sur le lit... mes pensées tournent dans ma tête à une vitesse folle, je me vois la prendre et devenir maîtresse du jeu, pousser mes limites et faire ce dont j'ai toujours rêvé de faire : être libre de tout tabou.

Je veux la faire crier de plaisir, elle est à genoux devant moi, ses seins sont terriblement excitants, fièrement dressés et je me rapproche poitrine contre poitrine, à genoux également, à nous échanger de long baisers langoureux, elle me regarde d'un air très coquin et se met à quatre pattes devant moi et me dit de la pénétrer par le petit trou, je bande comme une folle, je lui mets par de légères caresses un peu de vaseline et je commence à lui introduire doucement mon sexe, ça rentre très bien et de mon autre main je lui caresse le clitoris. Elle mouille beaucoup, je la vois qui halète, qui accompagne mes mouvements alternatifs, c'est trop bon, je suis à la limite de jouir rien que de la regarder...
Anne Laure explose, dans un orgasme fort, je sentais les contractions de son cul sur mon sexe, elle me criait son plaisir.
- Oui, oui, oui, encore et encore, plus fort, défonces-moi !
Nous avons joui ensemble, en même temps avec la même intensité, moi lui remplissant le cul de ma semence et elle maculant les draps de sa jouissance.
Nous nous sommes reposée dans les bras l’une de l’autre, et à un moment une idée lui passa par ma tête, sans rien me dire, elle prit le téléphone et appela :
- Allo, Chris, c’est Anne Laure, écoute petite cachotière, tu as gagnée et je me suis faite avoir, Leslie est chez moi et je voudrais que tu nous rejoignes maintenant, nous t’attendons.

Chris est arrivée, aussitôt nous trouvant nues, enlacées, dans la chambre, les objets du délit devant elle, Chris comprit la situation, et se met nue comme nous et s’harnache du gode ceinture qui trainait sur le lit, la voila prête pour s e joindre à nous.
J’ai envie de faire jouir Anne Laure avec ma langue devant Chris, je l'allonge délicatement sur le dos et entreprends mes caresses buccales, elle se tortille et gémit de plaisir, ses mouvements de bassin en disent long sur son envie, notre position est indécente, Anne Laure couchée sur le dos complètement ouverte les cuisses largement écartées et moi à genoux entre ses jambes entrain de la léchée, mon petit cul relevé à la merci de Chris, elle comprend ma position comme une invitation et me prend par derrière, rentre le gode dans mon cul dans une levrette inoubliable.
Chris me défonce par derrière et ma langue lèche le clitoris d’Anne Laure, Chris me tient les hanches, le gode fiché dans mon cul au plus profond, je la sens venir, puis sortir, ah si Jacques était là, et nous jouissons.
Anne laure est super excitée, après un court répit ou je m’allonge sur le dos, avec une érection d’enfer, Anne Laure m’enjambe et s'empale sur mon sexe avec un soupir d'aise et commence à onduler lentement, assise sur moi, bien cambrée, son vagin est doux et chaud, elle superbement trempée. Chris vient nous rejoindre, elle est debout devant Anne Laure lui présentant sa vulve à lécher, Anne Laure embrasse la belle Chris et joue avec sa langue sur son clitoris et avec ses doigts sur son petit trou. Anne Laure marque de plus en plus le rythme de sa cadence, la cohésion de notre trio est superbe, les gestes sont précis,
Anne Laure me regarde d'un air coquin, et me demande de la sodomiser, elle s'agenouille en positionnant son cul de façon tellement cambrée qu'elle nous offre une vue imprenable sur sa petite chatte et son petit trou frémissant de désir, sachant ce qui va lui arriver, je me charge de lubrifier son petit trou avec ma langue, profitant de l’occasion pour lui insérer un doigt au passage mon sexe est dur et je suis prête à la prendre.
Je présente le bout de mon sexe à l'entrée de son cul, et petit à petit, je le vois disparaître progressivement dans son anus, elle se touche en même temps et pousse des petits cris de plaisir. Je commence de petits mouvements de va-et-vient en même temps qu'elle se doigte et je la tiens fermement par les hanches pour aller au fond de ses entrailles, Anne Laure gémit, je regarde mon sexe entrer et ressortir au rythme de mes poussées, Anne Laure est en transe et crie de plus en plus.
- Waouh! dit-elle, jusqu'au fond, c'est trop bon ! Plus fort, plus fort, encore ! T'arrête pas, continue !
- T'es qu'une chienne de lesbienne et tu aime être enculée et tu aimes ça, mon gros sexe dans ton petit cul serré.
- Oui, je suis une lesbienne sodomisée, une chienne.
- Dis le que t’aime ça, dis le,
- Oui j’aime me faire enculée par des grosses queues, j’aime être défoncée, oui j'adore ça, continue, je sens que ça vient, je vais jouir, continues, encore, encore, plus fort...
Enfoncée dans Anne Laure, nous sommes toutes les deux en sueur, mon sexe ressort et rentre une dernière fois pour se déverser dans son cul, elle hurle son plaisir, le corps secoué de tremblements et le cul remplit.
Chris encore en train de se caresser délicatement le clitoris, gémit sous les caresses et le spectacle offert où son amante se fait défoncer le cul, je rentre un doigt ou deux dans sa vulve, et le doigt bien lubrifié je lui enfonce sans aucune difficulté dans son cul, et c'est un vrai plaisir de sentir cet orifice s'ouvrir à l'appel du désir.

Anne Laure prend le relais, elle remplace mes doigts par sa bouche dans la fourche de Chris, de sa langue, elle pénètre son petit cul, Chris se cambre sous la caresse, Anne Laure s’harnache du gode ceinture et sodomise son amante, Chris me prend dans sa bouche et me donne une nouvelle érection, de ses mains elle pétrit ma poitrine et joue avec mes tétons, les pince à la limite du supportable, je rebande comme une dingue, j’arrache Anne Laure du cul de Chris et la remplace, faisant redoubler les cris de Chris, elle est plaquée sur le lit sous mes coups de reins, Anne Laure passe dans mon dos et je sens qu’elle veut me prendre la rondelle, je rehausse mes fesses, je la veux au plus profond de moi, elle le sait et elle sait ce qu'il faut faire. Ses doigts touchent mon sexe et me rentre le gode au fond des entrailles.
C'est l'explosion, encore et encore, l'orgasme est fulgurant pour toutes les trois.

Maude et Lise, les deux lesbiennes.
Je me suis payée une semaine de vacances au club Med en Grèce à Koss, une semaine pour décompressée et profiter pleinement d’un repos tant attendu. Je suis partie seule laissant Jacques et Chris à la maison.
Le trajet s’est bien passé et une fois arrivée sur place j’ai rejoint ma chambre afin de me détendre et me préparée pour la soirée.

Pour ce premier soir, le club à organisé une soirée à l’intention des nouveaux arrivants, avec un excellent repas copieusement arrosé , suivi d’une soirée « boite de nuit », ce afin de faire connaissance entre nous autour de la piste de danse, tout en savourant les cocktails spécialement préparés à notre intention.
Pour l’occasion je me suis habillée avec un petit chemisier blanc transparent, ma poitrine libre dessous et court pour laisser apparaître mon nombril orné de mon piercing et un pantalon moulant mettant en valeur mes formes androgynes.
Après le diner, je me suis retrouvée seule dans un coin de la boite de nuit, mais je fus rejointe par un couple de filles qui apparemment s’ennuyaient tout autant que moi, une fois installées dans notre coin nous avons bavardées de choses et d’autres afin de lier connaissance.
C’est ainsi que j’appris que l’une se prénomme Maude tandis et l’autre porte le prénom de Lise, à première vue elles vont bien ensemble et je pense qu’elles sont lesbiennes, mais ce n’est qu’une première impression.
Maude est une jolie fille blonde aux cheveux longs de 25 ans, de taille moyenne, très féminine aux longues jambes fines, un joli petit cul et une jolie poitrine, le tout mis en valeur dans une petite robe sexy à dos nu. De son côté Lise est une jolie brune aux traits quelque peu masculin, brune aux cheveux courts, avec un physique qui n’a rien à envié à sa copine, Lise porte un corsage transparent qui laisse deviner sa petite poitrine et un pantalon à pinces sur ses hanches étroites qui lui donne un air androgyne. Je pense que si elles sont lesbiennes, c’est Lise qui joue le rôle du mec.

Nous avons bues en bavardant toutes les trois et bientôt le courant est passé entre nous, nous découvrions que nous avions des points de vue communs et des passions communes, Maude à un moment ma invitée à danser, après avoir demandée la permission à Lise, qui n’a pas fait d’objection. C’est ainsi sue nous nous sommes retrouvées enlacées au milieu de la piste de danse, bercées par un slow langoureux.
Maude à la peau douce et son parfum m’enivre, tandis que nous dansons collées l’une à l’autre, tout en dansant collée à Maude, je pense que mon physique va me trahir car je sens en moi un début d’érection, je suis persuadée que Maude à sentie sur son pubis mon sexe, Maude à cet instant me sert contre elle et portant sa bouche à mon oreille, je l’entends d’une voix douce me dire :
- Oh, Leslie, je te sens palpiter sur mon pubis, es-tu une créature du troisième genre.
- Oui Maude, lui répondis-je.
Nous avons continuées de danser bercées par la musique, avec en tête cette intime confidence, puis nous avons rejoints Lise qui nous attendaient avec une impatience non dissimulée.
Une fois installée, Maude s’est pencher vers Lise pour lui parler à l’oreille, les yeux de Lise se sont mis à pétiller et Lise m’a adressée un sourire en disant :
C’est super ce que vient de me dire Maude, je crois que nous allons bien nous entendre, et en toute confidence nous devons t’avouer que nous sommes lesbiennes, mais très ouvertes aux expériences.
Maude et Lise m’invitèrent à terminer la soirée dans leur chambre, afin dirent-elles d’être plus à l’aise et plus intimes entre nous….
Nous sommes parties rejoindre la chambre de mes deux complices, qui furent désireuses de le déposer, l’une après l’autre, un baiser sur les lèvres, avec une petite différence puisque Lise durant son baiser introduisit sa langue dans ma bouche.

Nous nous sommes retrouvées toutes les trois dans la chambre de mes compagnes d’un soir, après nous avoir servie un whisky, Lise ma demanda de me mettre nue en première afin de profiter du spectacle de me voir nue, alors très lentement je me déshabille afin que mes compagnes découvrent mon corps.
Une fois nue, Lise dit qu’elle apprécie mon corps androgyne, et plus particulièrement de mon sexe dressé devant ses yeux. Maude ne peut à cet instant tendre le bras et enserrée mon sexe palpitant dans sa main, en disant :
- Waouh, quel beau membre.
- Oui Maude, dit Lise, nous sommes gâtées ce soir ma chérie.

Lise, sort le godemichet qui est dans ton sac.
- Oui, répondit-elle, tu sais qu’il ne me quitte jamais.
Les joues de Maude prirent une teinte rosée sous ses cheveux blonds. Lise laissa échapper un soupir d’étonnement.
- Oui, Leslie nous nous en servons souvent entre nous pour ne rien te cacher, ce petit objet est merveilleux et d’ailleurs on ne peut plus s’en passer.
En un rien de temps mes deux complices se retrouvent nues, Maude à effectivement une jolie poitrine et son entrejambes est entièrement épilé, anus compris, Maude s’allonge sur le dos et écarte ses jambes s’offrant au maximum, puis prenant le gode dans ses mains elle le fait glisser à l’intérieur de ses cuisses, jusqu’à l’orée de son sexe, s’arrête un instant et fait disparaître l’objet au fond d’elle dans un long soupir de contentement.
- Ahhh, ouiiii, dit Maude sous l’intrusion du gode en elle.
Lise remplace la main de Maude pour prendre le gode et démarre un va et vient dans le ventre de Maude, qui, les mains libres se caresse les seins et cambre ses reins au maximum. Excitée par la jouissance de son amante, Lise se doigte la vulve de sa main libre.

Je prends mon pied à les regarder ainsi se donner du plaisir et je me caresse le membre. A mes côtés, Lise qui reste silencieuse me regarde et se délecte du spectacle que je lui offre me masturbant.
Lise se penche alors vers moi et dépose ses lèvres douces sur les miennes, puis sa langue chaude prend possession de ma bouche, je lui caresse sa petite poitrine d’une main et pose mon autre main sur son antre, son souffle se fait court et Lise me regarde droit dans les yeux, puis prend mon sexe en main sans baissée son regard et me presse le membre dans sa main, tandis que je la sens jouir sur le bout de mes doigts.

Tout en continuant de masturber Maude à grands coups de gode, Lise commence à me masturber, tandis que je la doigte en même temps.
Nous sommes nues, l’une contre l’autre, Lise se penche vers mon sexe et pose ses lèvres sur le gland, puis entrouvre les lèvres et elle commence une pipe d’enfer, pendant qu’elle me suce, elle passe son doigt dans la raie de mes fesses à la recherche de mon œillet. Enfin elle trouve mon anus et y enfonce un doigt, me projetant vers elle et lui enfonçant mon sexe au fond de sa gorge.
A cet instant, Lise en état de transe et satisfaite m’abandonne et me dit :
Leslie maintenant tu vas sodomiser Maude afin qu’elle sache ce qu’est d’avoir une vraie queue dans le cul et ne t’inquiète pas ma chérie elle à l’habitude de se faire sodomiser et en plus elle adore cela, dit Lise.
- Mais il faut la préparer, dis-je à Lise.
- Audrey, rajoute Lise, dit lui toi que tu as envie et que tu adores te faire enculer.
- Oui, c’est vrai Leslie, j’adore me faire sodomiser, mais comme je n’aime pas les hommes je n’ai jamais connue de membre en moi, sinon les godes de mes amantes, mais avec toi c’est différent.

Lise oblige Maude à retirer le gode qu’elle à toujours dans le sexe et lui dis de se retourner et de se mettre à quatre pattes, cambrant mes reins à l’excès, pour me présenter ainsi mon anus et sa chatte ouverte.
Lise se met à lécher l’anus de Maude et à le doigter, lui rentrant un doigt dans le trou, Maude feule sous les caresses de sa compagne qui sait très bien s’y prendre, elles ont, apparemment, ensemble une grande expérience de cette pratique. Puis Lise s’installe les jambes grandes ouvertes sur le lit devant la tête de Maude, pour permettre à celle-ci de lui lécher la vulve aux poils ras,
Maude est prête, cambrée l’anus offert je place mon gland à l’entrée de son petit anus fripé, quand je pousse mon membre en Maude, mon gland s’enfonce sans trop de problème dans l’anus de Maude qui doit être habitué a se faire investir, puis après quelques va et vient très doux je commence à aller plus profondément dans le fondement de Maude, pendant que Lise se fait lécher la vulve.
- Oh Lise, dis Maude, quelle sensation, que du bonheur.
Je pistonne Maude à grands coups de reins, m’enfonçant de plus en plus loi au fond de ses reins.
- Ohhh, Ohhh dis Maude, le pied, quel pied, j’adore ce membre en moi.
L’anus de Maude est complètement distendu par mon membre, Maude serre ses muscles autour de ma verge m’arrachant des gémissements de bonheur, son fourreau est doux et chaud, Lise regarde nos visages déformé par le plaisir intense qui s’empare de nous.
Après un long moment de cette sodomie, Lise s’est mise à jouir sous la langue de Maude, prise de spasmes elle se mit à crier sa jouissance en criant :
- A mon tour maintenant, sodomises moi Leslie chérie.

Pour se faire prendre par l’anus Lise doit être préparée, celle-ci n’ayant jamais été sodomisée.
Mais Lise est déchainée, elle se positionne en levrette et me dis :
- Vas-y à sec Leslie.
- Mais serrée comme tu es je vais te déchirer Lise, dis-je.
- Alors enduit moi le cul de gel, je ne peux attendre plus longtemps.
Prenant le tube de gel je lui enduis copieusement l’anus, en entrant un peu le doigt dans l’œillet, puis je m’enduis le membre se gel sur toute sa longueur, tandis que Maude en profite pour fister l’anus de Lise d’un doigt.
Je me place derrière Maude entre ses jambes bien écartées et place mon gland à l’entrée de son anus, Maude frémit et me dit :
- Leslie j’ai peur que tu me fasses mal, mais j’ai tellement envie de connaître cette sensation, soit douce ma chérie, je t’en supplie soit très douce.
Mon gland est sur son anneau, je lui tiens les reins afin de la maintenir si l’envie lui prend de se dérober, Lise me fait énormément d’effet et ses hanches étroites me font bander à mort, une première poussée, et Lise se contracte, refusant l’introduction de mon membre en elle, alors je lui dis :
- Détends toi ma chérie, tu vas adorer et je vais être douce.
Un peu rassurée, Lise se détends un court instant ce qui me permet d’en profiter pour pousser et passer son anneau avec mon gland.
- Waouh, dit Lise le souffle coupé, c’est gros et je suis écartelée, arrêtes, arrêtes Leslie.
Maude sourit devant le désespoir de sa compagne et dis :
- Alors tu vois ça te plait pas de prendre une queue dans le cul, mais attends un peu bientôt tu vas adorer, juste le temps pour Leslie de bien te dilater la rondelle et tu en redemanderas.
- Non, non c’est trop dis Lise.
Sans écouter les supplications de Lise, Maude lui offre sa vulve à sa bouche en disant :
A ton tour de me bouffer la chatte pendant que Leslie t’encule, vas-y Leslie rentres lui tout au fond de son petit cul de lesbienne.
Sur ce je pousse mon membre en Lise, m’enfonçant inexorablement au fons de son cul, Lise pousse de longs gémissements. Mais bientôt je suis au fond de son rectum, complètement enfoncée dans son cul distendu par mon membre. Lise est pour la première fois enculée et je démarre de lents vas et vients lui tirant à présent de longs soupirs.
Je sens que maintenant Lise se laisse aller s’ouvrant de plus en plus à mes assauts répétés, à un moment je me retire d’elle entièrement pour contempler son anus grand ouvert, puis je replonge aussitôt lui arrachant à nouveau des cris de jouissance.
Longtemps sans lui laisser de répit, j’ai enculée Lise, qui maintenant déchainée crie sa jouissance et en redemande, jusqu’au moment ou la jouissance envahit mes reins et fait me répandre dans les entrailles de mon amante. Je reste ainsi au fond de Lise un instant puis me retire, laissant Lise le trou du cul ouvert et distendu.
Aussitôt Lise se lève et sort du sac une culotte équipée d’un gode extérieure et de deux godes à l’intérieur, un fin derrière et un plus gros sur le devant, elle enfile la culotte en prenant soin de se ficher les deux godes internes dans ses deux trous, le petit dans son anus et le plus gros dans la vulve et se présente ainsi harnachée devant moi.

- Maintenant c’est à mon tour de m’occuper de toi ma chérie, je vais te sodomiser, tu dois aimer et avoir l’habitude, tu vois ainsi équipée tandis que je te sodomise, je m’encule et me baise en même temps grâce à cet équipement fort bien étudié.
- Ton envie me plait, dis-je à Lise.
Je me suis installée sur le dos tandis que Lise se positionne entre mes jambes, Maude prend mon sexe dans sa bouche et m’administre une fellation de rêve, puis Lise installée prend mes jambes et les dépose sur ses épaules en me disant :
J’adore voir l’expression de mes amants ou amantes que j’encule.
Puis elle pose le gland du gode sur me rosette et s’enfonce en moi d’une seule poussée me coupant le souffle et me faisant sortir un gémissement du fond de ma gorge, Lise est ravie de l’effet qu’elle vient de produire sur moi et se déchaine me pistonnant comme une forcenée, Maude redoublant les vas et vient sur mon membre palpitant. Lise me défonce ainsi pendant un long moment, prenant un grand plaisir de m’entendre gémir.
Puis Lise à voulu m’enculer pendant que j’encule Maude, alors nous nous sommes placées les unes derrières les autres, Maude en première et moi derrière, enfoncée dans les reins de Maude et Lise derrière moi, ce fut un véritable moment de luxure ou nos gémissements et nos cris de jouissance se mêlèrent.

Nous nous sommes endormies l’une contre l’autre, j’ai demandée à Lise de laisser son gode fichée en moi au fond de mon petit cul, sachant qu’au moindre mouvement de ma part j’irradierais dans sa chatte et dans son cul de douces sensations par l’intermédiaire des godes plantés en elle. De son côté Maude s’endormit avec un plug fiché dans son cul et des boules de geishas dans la vulve, et à l’expression de son visage il est certain que Maude s’est endormie dans un plaisir sourd mais non dissimilé.
Dans la nuit je me suis réveillée par une douce chaleur autour de mon sexe, c’est Maude qui est entrain de m’administrer une fellation, me sentant réveillée elle mit son doigt sur sa bouche pour me faire comprendre de me taire, puis reprit sa fellation jusqu’à ce que je jouisse dans sa bouche, ravie du plaisir qu’elle vient de me donner elle s’est tournée er rendormie tranquillement. Au petit matin c’est le gode dans mon anus qui me réveilla, Chris prise d’une soudaine envie de me sodomiser activement, je me suis laisser faire prenant un pied d’enfer.

Le séjour ne vient que de commencer et il reste encore une semaine complète, je suis maintenant en compagnie de deux lesbiennes bien vicieuses qui adorent le sexe tout autant que moi, je pense que mes deux amantes vont se charger de faire la publicité autour de mon état de transexuelle et de sexuelle tout court, et il va me falloir être à la hauteur et assurer, maintenant je pense que ce séjour ne va pas être de tout repos…..

A suivre……

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