Leslie, Transexuelle Chapitre 1

CHAPITRE 01 – Il était une fois…..LESLIE.

Explications.
J’ai longtemps hésitée à savoir comment présenter les récits de ma vie, suivant les différentes circonstances de mes rencontres guidée par le souvenir, les classés par thèmes ou au fur et à mesure du temps qui passe.
J’ai choisie de raconter l’histoire de ma vie de façon chronologique en respectant le temps et les souvenirs, j’espère que ces récits qui sont en fait des confidences vous plairont, la vie de transexuelle n’est pas toujours simple à vivre mais je pense avoir eue beaucoup de chance.

Présentation.
Je m’appelle Leslie, j’ai aujourd’hui 24 ans et je suis une transexuelle.
Je suis bi sexuelle, n’étant pas opérée je peux être active et passive, comme ça se dit aujourd’hui, selon les goûts de mes amants et de mes amantes ou selon mes propres envies. Je ne suis pas une professionnelle et ne fais pas commerce de mon physique ou de mes charmes, j’ai un métier dans un cabinet d’architecture et je vis toujours habillée en femme.
Même si je suis une créature ambiguë du 3ème sexe, j’ai une allure vraiment très féminine, et je dois avouer que j’adore le sexe et que ma vie est plutôt riche de rencontres et d’expériences.
Physiquement, je suis mince, épilée intégralement et aussi intégralement bronzée, brune avec des cheveux courts à la garçonne et j’ai des yeux verts, je mesure 1,72m, pour 55kg, j’ai une petite poitrine arrogante d’un 80B aux larges auréoles brunes, et de pour finir je suis très étroite des hanches, cambrée avec de petites fesses et un petit cul serré.
Pour agrémenté mon physique je suis tatouée et porte un piercing, je possède un tatouage sur le ventre en forme de rosace mettant en valeur mon piercing du nombril, où j’ai logé un très joli diamant, sur l’épaule gauche est décorée par un papillon aux couleurs vives et pour terminé un dernier tatouage sur le bas du dos, représentant un V, comme les ailes d’un oiseau posées sur le bas de mes reins, juste au dessus des fesses, et dont la pointe du V rentre dans le raie de mes fesses pour se terminer sur l’orée de mon œillet, de plus la nature m’a dotée d’un beau sexe qui est circoncis depuis mon plus jeune âge.


Je vais vous raconter mon parcours depuis ma tendre jeunesse, comment je suis devenue cette femme ambiguë du 3ème sexe, et les aventures qui ont jalonnées mon parcours jusqu’à aujourd’hui.
Mais revenons quelques années auparavant et commençons par le début….

Mes découvertes.
Depuis que je suis petite, et oui j’emplois le féminin pour moi, j’ai toujours été attirée par le fait de m’habiller en femme, et grâce à ma sœur l’occasion de réaliser ce phantasme fut possible, car chaque fois que Valérie, que j’appelle Val dans mon récit, comme dans la vie, était absente de la maison j’en profitais pour passer ses vêtements.
Bien que plus âgée que moi de 2 ans, nous nous ressemblons et avons depuis toujours le même physique, et à cette époque nous étions très proche l’une de l’autre et nous partagions tous nos petits secrets.

Très tôt dans ma jeunesse, j’allais souvent dans la chambre de ma sœur pour me travestir, elle était très gâtée par mes parents car elle réussissait merveilleusement à l’école, et ils lui donnaient de l’argent de poche, je savais qu’elle aimait les dessous, tout son argent de poche y passait.
Dès qu’elle était absente, je m’aventurais dans sa chambre, en explorant tous les rangements qui pouvaient abriter des trésors, à la recherche des lingeries, j'ai fini par trouver que c'était la commode qui contenait tous les trésors de nylon et de dentelle, j'ai ouvert un à un les tiroirs, découvrant ses petites culottes, ses soutien-gorge, ses combinaisons, ses bas, ses porte-jarretelles, plein choses très sexy que je n'aurai jamais imaginée avoir un jour à portée de main. Après avoir touchée, caressée et même senti toutes ces belles choses, je n'ai pas pu m'empêcher de revêtir ses affaires, étant du même physique que Val, tout m'allait très bien, du soutien-gorge au porte-jarretelles, en passant par les bas, la combinaison et même ses escarpins. Bien sûr, les petites culottes affichaient des protubérances sur le devant lors de l’essayage, à cause de mon excitation.
Je me sentais, habillée ainsi, quelqu'un d'autre surtout lorsque je me regardai dans le grand miroir, entièrement vêtue de lingerie si féminine et si douce.
Donc souvent dans la chambre de Val je m’habillais dans ses habits de fille et passais mon temps à me regarder dans la glace, et ces instants étaient du pur émerveillement, puis plus tard je me suis mise à me maquiller lors de ces instants de solitude.
Durant cette période pendant laquelle je me partageais entre l’école et le plaisir de me travestir secrètement et mes plaisirs solitaires, je n’avais à l’époque car compte tenue de mon ambigüité aucune relation sexuelle avec des filles de mon âge, simplement des attirances d’amitié, par contre je me sentais vraiment attirée par les garçons de mon âge ou même plus vieux, la solitude et mes plaisirs seule habitaient mon quotidien.
Souvent le soir, seule allongée nue sur mon lit, je me caressais faisant bander mes petits bouts de tétons, tout en caressant mon sexe qui durcissait et se dressait fièrement vers le plafond de la chambre, puis fermant les yeux je pensais à des corps enlacés faisant l’amour dans toutes les positions, je me laissais à rêver enserrant des sexes dans mesa mains et les branlant jusqu’à la jouissance, dans ces moments là, je me branlais jusqu’à la jouissance complète lâchant vers le plafond ma semence en de long jets.
Parfois je passais un doigt sur mon anus, le caressant je réveillais alors en mon corps des frissons et des désirs, je prenais plaisir à m’enfoncer divers objet dans l’anus en attendant qu’un autre jour je connaisse les délices d’un membre en moi.

Bien sur très rapidement, ma sœur a découvert mon tendre secret et c’est avec un certain délice que nous avons partagées ces instants où ma sœur me conseillait sur la façon de me maquiller ou de m’habiller en fille. Dans l’intimité partagée, elle m’appelait Leslie comme je voulais que cela soit plus tard. Avec elle j’ai aussi découvert le plaisir de porter des sous vêtements et d’être admirée, toutes ces tenues sexy mettant en valeur mon physique, et j’avoue que c’est à ce moment là que mon amour pour les bas, les portes jarretelles et les strings est né.
Ma sœur étant majeure à l’époque et adorant la lingerie, comme je l’ai dis toutes ses économies y passaient et c’est elle aussi qui m’a appris comment marcher avec des talons aiguilles sans être vulgaire, mais juste avec charme et sensualité.
Souvent dans sa chambre nous passions d’une tenue à une autre et durant ses changements nous regardions nos nudités en faisant des comparatifs, mais jamais nous avons basculées dans le sexe.
Durant cette période, alors que nous étions dans sa chambre, nues toutes les deux comme de coutume lors de nos séances d’essayage, Val me montrait ses nouveaux trésors et nous étions assises au bord du lit, nous passions un moment merveilleux, elle me parlait maintenant comme à une fille, ce qui était très excitant.
Val m'entoura alors la taille d’un porte-jarretelles rose, en forme de serre-taille avec de courtes jarretelles, puis me passa le bustier et la petite culotte assortis, elle rajouta des bas blancs à couture d'une finesse extrême, qu’elle m'enfila avec application, un bas puis l'autre, me fit mettre debout et agrafa les bas aux jarretelles du serre-taille. Val remarqua que ma poitrine était bien plate pour une poitrine de fille, on y remédia en glissant à son initiative des culottes roulées en boule dans les bonnets du soutien-gorge, Val me montra une paire d'escarpins noirs fermés avec une fine bride, je me levai du lit et me dirigeai vers elle en imitant sa démarche.
Une fois l'une devant l'autre après cet après-midi d’essayage, nous eurent envie de nous embrasser, les mains autour de nos cous, alors que nos bassins étaient collés l'un contre l'autre, nos hanches commençaient à ondoyer et mon sexe raide, protégé par le fin écrin de nylon de ma culotte frottait contre le pubis épilé de Val, celle ci fut troublée, et alors que nos lèvres se rapprochaient, Val me dit doucement :
- Restons en là ma chérie, mettons une nuisette et allons au lit dormir.

Plaisirs intimes.
Durant cette période, sachant qu’au fond de moi je désirais être femme ou tout du moins avoir l’apparence d’une femme et de ce fait plaire aux hommes ou pourquoi pas aux femmes, je demeurais seule sans relations et je me contentais de me donner du plaisir en solitaire.

Je me doutais bien à ce moment que pour réaliser ce but il me faudrait me travestir et devenir plus tard une transexuelle et vivre ainsi en marge d’une société bien établie en supportant les conséquences de mon choix.
Je voulais ressembler à une fille, mais encore trop jeune pour me travestir c’est dans le secret que j’assouvissais ce rêve, laissant à chaque fois en moi des désirs que je calmais seule.

C’est ainsi que me donnant du plaisir en solitaire j’ai découvert en me masturbant le plaisir anal.
Aujourd’hui, en me rappelant cette période, je pense que cette période a été ma préparation et mon initiation personnelle à la sodomie.
Je comprends les femmes, qui affirment n’avoir aucun plaisir à être caressées analement et refusent la pénétration anale par un doigt, un gode, ou un sexe d'homme, bien sur que cela peu faire un peu mal les premières fois mais quel plaisir après d’accepter de se donner entièrement et d’être sodomisée.

C’est lors d’un plaisir solitaire où comme à chaque fois je me caressais d’un doigt mon petit trou plissé tout en me masturbant allongée sur mon lit que j’ai osée plongée mon doigt dans mon anus.
Mon index glissa à l'intérieur de mon conduis anal et une bouffée de chaleur m’envahit, de mon autre main je continuais à me branler le sexe en effleurant de temps en temps mon gland, tout en continuant à faire des vas et viens avec mon doigt dans mon petit trou,
Mon anus se détendais sous l’action de mon doigt et je sentais que je m’ouvrais à cette pénétration, ma jouissance est montée progressivement, mon sexe était dur et mon rectum ouvert, je ne pouvais plus m'arrêter jusqu’au moment où de longs jets jaillirent de mon membre.
Dans les jours qui suivirent j’ai remplacée mon doigt par une bougie, plus longue et plus raide, puis ce fut avec les godes de ma sœur que je me suis sodomisée, m’habituant petit à petit à être pénétrée analement.

Depuis vous le lirez dans mes récits j’avoue prendre beaucoup de plaisir à être sodomisée, j'aime pratiquer tout ce qui est plaisir anal avec les hommes ou avec les femmes, j’ai initiée des relations qui n’ont pas détestée avoir soit un doigt ou un gode dans leur intimité, et je peux dire que certains ont même criés de jouissance quand j’ai introduit mon membre en eux.

A suivre……

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