Leslie, Transexuelle Chapitre 22

CHAPITRE 22 – Mes hommes.

Un bon souvenir, Max.
Max fut un moment fabuleux dans ma vie, sans trop rentrer dans le détail de nos vies privées, Jacques nous a présentés l’un à l’autre lors d’un cocktail, cet ancien copain de l’école d’archi était resté en contact avec Jacques, Max m’a gardé près de lui pour me complimenter sur ma beauté, Max est sympa, il me regarde et me détaille et je pense qu’il me trouve à son goût, il a un certain charme, cheveux courts, des yeux bleus, avec une allure sportive, il est de ma taille.
Tout en dégustant nos coupes de champagne et les petits fours, nous parlons de nos goûts, de nos passions, puis très naturellement de nos goûts sexuels respectifs et finalement très proches, lui est bi et moi transsexuelle, mais nos désirs sont présents et nous n’allons pas perdre de temps.
Max me désire, je le suis à son hôtel poussée par la curiosité et le désir naissant.
Sitôt dans sa chambre, nous nous déshabillons sans nous prendre la tête car nous savons pourquoi nous sommes dans cette chambre ensemble, quelques minutes au paravent nous nous étions rencontrés, et le courant est passé, nous étions découverts et il s’avait qui j’étais, et nous sommes là lui en slip et moi en string avec ma petite poitrine arrogante pointée vers lui.
Visiblement, il à une envie furieuse, car le gonflement de son slip en est la preuve. Nous nous enlaçons, au premier contact je réagis à mon tour. Max tend son visage vers moi et nos lèvres se joignent, notre baiser est torride, nos lèvres se caressent puis s’écartent pour livrer passage à nos langues. Ce mec sait embrasser et il aime ça. Moi aussi j’adore embrasser et du coup je suis pris d’une érection aussi soudaine qu’impressionnante. Nous nous serrons l’un contre l’autre, nos bites dressées entre nous deux. Nous gémissons.
Max libère mes lèvres un instant, me regarde en souriant et commence à me caresser le cul ses mains ne sont pas gênées par mon string dont la ficelle me rentre dans la raie.

Ma queue raide dépasse maintenant de l’étoffe. Elle veut sortie du carcan que forme désormais mon string. Max, décidément très excité, reprend mes lèvres et nous nous roulons une nouvelle pelle très…pénétrante.
Je m’écarte de Max et baisse mon string libérant mon sexe qui peut se mettre bien raide, bien droite défiant mon nouvel amant. Michel me regarde :
- Elle est belle, dit il, et ta poitrine est superbe qu’elle étrange impression.
Je m’approche et descend son slip. Il s’en libère et nous nous retrouvons nus face à face.
Sa bite n’est pas gigantesque mais bien faite, une bite pour de douces sodomies.
Max s’assoit alors sur le bord du lit, me prenant par la main, m’attire à lui. Sa bouche s’empare de mon gland, et je gémis, ma queue envahit son palais et sa bouche chaude enveloppe mon sexe.
Il suce bien. Je me laisse faire. Une de ses mains me caresse doucement mon dos et descend vers mes fesses, me frôle le cul. L’autre s’occupe de mes couilles. J’écarte les jambes pour l’aider.
A un moment, sentant le plaisir monter, je luis écarte la tête de ma queue, il écarte ses cuisses pour me montrer son sexe et me fait comprendre qu’il aimerait bien que je m’en occupe, je m’agenouille entre ses cuisses et sa bite se dresse devant mes yeux, je repousse son torse pour le faire allonger sur le lit.
Je pose ma langue à la base de son sexe Lentement ma langue remonte le long de son mat. Il gémit profondément. Arrivé au niveau du frein, je redescends et recommence le même mouvement. Je recommence mon mouvement plusieurs fois J’ai envie d’enfourner sa bite, je passe lentement son gland sur mes lèvres, j’entrouvre les lèvres et y insère son gland. Max relève le bassin et sa queue pénètre profondément !
Ma main gauche caresse son torse et la droite s’insinue dans sa raie cherchant son œillet.
Je pompe en creusant les joues puis je fais sortir sa queue de ma bouche. Michel bande comme un cerf, sa bite est fine et de taille moyenne, au rythme de ses reins et de ma pipe, Mon amant me baise la bouche.
Ma main gauche quitte son torse et je m’empare de ma queue qui bat la chamade entre mes cuisses, je me branle tout en pompant mon amant, mon sexe est dur , je lâche le sexe et me redresse, ma queue est bien raide, il se rue dessus et m’assène une pipe magistrale tout en s’occupant de mon cul, au rythme de ses caresses je remue mon bassin.
Il empoigne mes fesses et les écarte, ravie j’écarte encore plus les jambes, et il continue à m’exciter, je veux en donner moi aussi, doucement je le repousse. Je l’allonge sur le lit et me positionne sur lui en 69, sa queue me défie, je sens de nouveau la chaleur de sa bouche envelopper mon sexe, je gobe son gland, passe mes mains sous ses jambe et pompe son gland, j’enfourne sa queue entièrement dans ma bouche, le gland vient cogner dans ma gorge
Les mains de Max ont repris leurs caresses sur mes fesses. Je me cambre.
Je passe mon index sur sa rondelle que je sens palpiter. La mienne aussi palpite sous la pression de son doigt.
Je n’en peux plus. Je me redresse. Ce mouvement fait que je lui propose mon cul en gros plan ! et sa langue vient pointer sur mon anus, Max commence à lécher ma raie, la trempant de salive. J’écarte mes fesses des 2 mains pour lui faciliter la tâche Je sens mon anus qui se contracte à chaque passage de sa langue. Max finit pas s’arrêter à l’orée de mon trou. Il en fait le tour de la pointe de la langue. Les sensations sont extraordinaires. Je suis presque assis sur sa bouche. Je sens sa langue qui commence à pénétrer mon cul, je commence à faire aller et venir mon bassin, mon orifice anal est pénétré au rythme de mes mouvements par cette langue divine. Je suis certain à ce moment que si mon trou est trempé, ce n’est pas dû simplement à la salive de Max, je mouille de mon anus comme une femme de sa chatte.
Je me retourne et regarde Max, sa queue est bien raide et elle va rentrer dans mes fesses, après avoir investi mon anus de sa langue, le désir me gagne il est temps pour moi de le recevoir au fond de moi, Max s’installe bien, allongé sur le lit, je me mets à genoux, face à lui, une jambe de chaque côté de ses hanches.
Je sens sa bite qui bat, impatiente, contre mes fesses. Je me redresse pour présenter mon cul à son gland. Je prends mes fesses avec les mains, je les écarte au maximum et lentement je me rassois et je sens son gland buter sur mon trou, d’une main je le maintien pour qu’il ne se dérobe pas, alors toujours très doucement je fais pénétrer son gland dans mon trou. Je continue de m’asseoir pour continuer la pénétration. Je me cambre et tout son gland est alors en moi, il me relève le bassin pour mieux m’investir, alors je me relève faisant ressortir son gland puis me rassois, je vais plus loin, sa queue rentre doucement une nouvelle fois, sa queue est entièrement en moi.
- Tu aimes chéri, je lui demande.
- Oui, Leslie, j’aime ton cul.
- Vas y encules moi à fond, oui comme ça encore plus profond… Ahhh.
- Tu es vraie salope Leslie chérie.
- Oui chéri, tu m’encules comme une vraie salope, vas y chéri, inonde moi le cul, jouis en moi mon amour.
- Waouh, je jouis.
- Ohhh, oui, je te sens remplir mon cul !
Et à mon tour, je ne peux plus me retenir et mon sperme jaillit de ma pine sur sa poitrine. Terrassée par la jouissance je m’affale sur la poitrine de Max, et son sexe s’échappe de mon anus inondé.
Immobile, je sens le sperme de mon amant s’écouler de mon anus sur mes cuisses, je suis heureuse.

Jean Claude, mon nouveau coiffeur.
Mon coiffeur est homosexuel, c’est lui qui me fait ma coupe à la garçonne, personne d’autre ne me coiffe, c’est maintenant un ami, après avoir été mon amant de passage pendant quelques temps, Jean Louis, dit Jean Lou est un bon coup sexuellement parlant, il pratique la sodomie avec art, après m’avoir coiffée nous n’avons jamais manqué de nous envoyés en l’air, ses sodomies, avec son membre fin sont délicieuses et m’ont données des plaisirs intenses, tout comme ses petites fesse très serrées m’ont procurées des jouissances de folies.
C'est pendant une de mes visites au salon que j’ai connue Jean Claude, le jour ou Jean Lou malade, était absent, bien que déçue je me suis laissée coiffer par Jean Claude qui avec son beau visage à sut me séduire.


Pendant toute la séance Jean Claude est resté correcte, s’attachant à me faire belle et mettant toute son application à réussir la coupe, mais j’étais charmée et j'étais bien décidée à tenter ma chance avec lui, il faut dire que depuis quelques jours je manquais de relations.
A la fin, j’étais toute excitée, Jean Claude avait tourné autour de moi pendant toute la séance et le désir me nouait le ventre,
Lorsqu’il m'a souri en me disant au revoir au contact de ma main dans la sienne, j’ai frémis, il m’a alors tirée contre lui et à posé ses lèvres sur les miennes, anéantie et je me sentais fondre, Jean Claude embrassait divinement, j’ai entrouvert les lèvres et sa langue est rentrée dans ma bouche. Puis il s’est dégagé en me disant :
- Je sais qui tu es, Jean Louis m’a parlé de toi, sois sans crainte et à ce soir, viens me retrouver à la fermeture.

Quand je suis arrivée le soir même au salon, Jean Claude était entrain de fermer, après avoir échangés un baiser nous sommes partis manger dans un petit restaurant, où là, attablés comme deux amoureux, nous avons échangés nos opinions sur tout et sur rien, il m’écoute et je lui confesse ma transsexualité, sans être étonné il me confesse qu’il est bisexuel et que Jean Lou à été son petit ami quelques temps. Le temps passe et le moment de partir arrive, et c’est tout naturellement que me prenant par le bras, il m’emmène chez lui.
Sitôt arrivés chez lui, nous tombons dans les bras l’un de l’autre, je suis pleine de désir et ses lèvres se posent sur les miennes nos lèvres s’entrouvrent et nos langues se rencontrent, pendant que sa langue fouille ma bouche, je dégrafe son jean et le fait descendre le long de ses cuisses et fait de même avec son slip, libérant son sexe circoncis, je me libère de son baiser et reste un instant en admiration devant cette verge tendue à l'extrême, Jean Claude à un sexe long et fin que je prend dans ma main avec l'impression de tenir une barre de fer, tellement il bande dur.
Je ne peux me contenir, je m’accroupis et pose mes lèvres humides sur son gland, avale son membre et commence à le sucer, l’avale entièrement jusqu'à la garde, Jean Claude gémit de plaisir et des frissons le parcourent.
Il prend alors ma tête entre ses deux mains et en donne des coups de reins et de met à me baiser la bouche.
Je bande comme une folle, sa bite dans la bouche, et le sentir remuer les reins pour s'enfoncer au plus profond dans ma gorge.
Après m’avoir déshabillée, il m’emmène dans sa chambre, dans la pénombre je vois son sexe dressé, il me pose sur le lit et me demande de lui offrir mes reins, installée à quatre pattes sur le lit, je cambre mes reins le plus possible et je sens son corps se coller à moi, il m’enduit le cul de gel, et il m'enfile d'un coup pour me pénétrer à fond.
Il prend du plaisir à me la mettre, je le sens, et je me retrouve empalée par son long membre, puis il a commence à remuer et à me limer le cul, et je sens ses va et viens en moi, puis s’active peu à peu, très vite j’ai l'impression qu'il me transperce tellement il se déchaîne en moi.
Le souffle coupé, je n'en reviens pas de me faire prendre et baiser avec une telle fougue, je m'en prends plein le cul, je me fais défoncer par un amant plein d'ardeur et je prends un immense plaisir, je suis clouée par le sexe de Jean Claude, ses violents coups de reins qui enfoncent sa bite jusqu'au plus profond de moi me font hurler et pendant que Jean Claude s’acharne dans mon cul je me branle d’une main.
Les coups de boutoir de Jean Claude qui me défonce le cul n’en finissent pas, ses coups de reins sont violents, je veux qu’il me remplisse le cul, Jean Claude toujours en moi râle maintenant, je sens venir son plaisir, Jean Claude jouis au fond de mes reins, tandis que j’explose sur les draps du lit.
Je ferme les yeux épuisée, nous basculons sur côté, Jean Claude au fond de moi et je m’endors avec son sexe dans les reins.

Au petit matin, j'ai ouvert les yeux la première, il faisait à peine jour, j'ai réveillée Jean Claude en prenant son sexe dans la bouche pour lui donner une érection, à nouveau il est venu se positionner derrière moi et a posé ses mains sur mes hanches, sa queue dressée s’est collée contre ma rondelle et il m'a tiré en arrière pour que je m'empale et qu'il m'encule sur lui en levrette, encore lubrifié par le gel de la veille et mon cul élargi par sa sodomie, Jean Claude m'a enculé sans effort et plus calmement, doucement il a enfoncé son membre en moi, puis s'est retiré pour la remettre à nouveau, puis il a poussé pour me pénétrer entièrement et a rentré en moi toute la longueur de sa queue dure, je feule en sentant sa bite dans mon cul, ne souhaitant rien d'autre que d'être possédée.
Très endurant il m’a baisé pendant un long moment, m’enculant avec douceur, puis il s'est cambré dans un ultime sursaut de plaisir et j'ai reçu son jus dans le cul.
Plus tard, le cœur serré je l’ai quitté sachant que désormais ce serait lui qui me coifferait et que peut-être il pourra aussi s’occuper de mon trou.

Une soirée avec Pierre, un ami de Jacques.
Je viens d'être baisée comme une reine, sodomisée, enculée au plus profond de moi, j'ai reçue dans mes entrailles un sexe long et large, mon amant du soir a joui en moi, son sperme dégouline de mon anus distendu, qui garde, étant encore largement ouvert, la trace du membre puissant qui vient de me défoncer. Il s’est absenté pour aller boire un verre.
Je suis heureuse, épuisée, allongée à plat ventre sur mon lit, les cuisses écartées, le cul bien ouvert. Je suis offerte au regard de mon amant et j'en suis consciente. Je suis offerte à mon amant et j'aime ça. Je veux qu'il me pénètre à nouveau. Qu'il m'encule encore et encore. Je veux sentir son sperme, son foutre chaud gicler dans mes entrailles. Je me découvre totalement passive dans les bras de cet homme, alors que je suis aussi active, ce sentiment d'être possédée contracte mon anus.
Il était là ce soir lors de la fête, que Jacques a organisé pour fêter un gros contrat, il a la quarantaine, j'ai été séduite par son physique, et de suite j'ai senti qu’entre nous le courant passait, son regard étant souvent planté dans le mien. Nous jouions aux jeux de la séduction, sans nous parler, juste par le regard.
A un certain moment il est venu vers moi, plantant son regard dans le mien, il m’a dit :
- Je m’appelle Pierre, je suis un ami de Jacques, je sais qui tu es et tu me plais, si c’est réciproque emmènes moi dans ta chambre maintenant, ne perdons pas de temps.
Il était direct, et j’avais envie de lui, j’ai acceptée sa demande sans me poser de question et voila pourquoi je me retrouvais ainsi dans ma chambre, nue et le cul ouvert….
Le voila de retour.
Il me découvre tel qu'il m'a laissé, cuisses écartées, cul offert, l'anus grand ouvert. Il me voit, moi jeune transsexuelle qu’il vient de posséder et il n'aspire qu'à une seule chose à cet instant présent, me reprendre. Je le sens, il s'approche et se place à genoux entre mes cuisses ouvertes. Je sens son à l’entrée de mon trou ouvert, indécente à son regard, je frémis de désir.
Je découvre le plaisir d'être offerte, prête à être sodomisée une nouvelle fois.
Il s’allonge sur moi les bras de chaque côté de mes épaules, son sexe rentre en moi, glisse jusqu'à la garde, je suis lubrifiée par le jus qu’il a laissé dans mon conduit anal lors de sa première sodomie. Je contracte mes chairs pour bien le sentir et rétrécir mon conduit pour bien lui enserrer le membre.
Je sens la force de mon amant qui m’écrase sous le poids de son corps, j'adore cette position où je suis à sa merci sans pouvoir me dérobée à ses assauts, sa queue entre et ressort totalement de mon cul, avant de replonger plus profondément en moi. Il accélère le rythme, sa queue grossit, élargit encore plus mon fourreau, mon anneau se contracte sous les spasmes du plaisir faisant comme une bague autour de sa queue, il ne peut plus se retenir, son sperme en jets puissants m’inonde le fondement.
J'éjacule longuement, à mon tour et je jouis du cul, je suis en délire, je veux garder cette queue toujours en moi pour aspirer les dernières gouttes de mon amant.
Il reste en moi, allongé sur mon corps, pendant quelques instants, mes contractions anales lui fond reprendre vie, il regrossit en moi, distend une nouvelles fois mes chairs meurtries par ses assauts, et il reprend son va-et-vient, doucement d'abord et de plus en plus rapidement, son bas ventre frappe violemment mes fesses. Il me soulève légèrement pour me cambrer encore plus à ses assauts et me prendre encore plus profondément, sa queue m'envahit le cul, et me pénètre au plus profond de mes entrailles, je suis tétanisée. La jouissance monte dans mes reins et dans mon sexe, je jouis du cul comme une salope que je suis, et mon sperme jaillit de ma queue, mon amant me retourne et me soulève les jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre à nouveau, il est infatigable et plein de ressources, il me possédera ainsi, sans limite jusqu’au petit matin, me laissant sans force et le cul douloureux.
Dans la lueur de l’aube, complètement épuisée, je l’ai vue partir dans mon demi-sommeil, plus tard de la bouche de Jacques, j’apprendrais que je fus une amante exceptionnelle, un coup formidable.

A suivre……

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