Leslie, Transexuelle Chapitre 23

CHAPITRE 23 – Drôle d’aventure.

Didier, un gros salopard.
La soirée est terminée et tous les invités sont partis, Didier, un ami de Jacques a organisée cette soirée à l’occasion de son anniversaire, et Jacques a voulu que je l’accompagne, sous prétexte que Didier tient à faire ma connaissance. Je pense, que Jacques lui a parlé de moi et que cette soirée est l’occasion de me présenter à son ami.

Beaucoup de personnes sont présentes, hommes et femmes sont venus pour les cinquante ans de Didier, beaucoup d’entre eux sont aussi mes amis et certains de anciens amants. Seul, Pierre, en déplacement à l’étranger n’était pas la, à ma grande déception d’ailleurs.
Didier, a profiter de cette soirée pour me draguer, c’est très bel homme, athlétique avec beaucoup de charme, et je dois avouer qu’il ne me laisse pas indifférente, de plus il sait tenir une conversation sur toutes choses autres que les banalités mondaines.
Durant cette soirée des couples se sont crées, et très vite les invités ont pris congé pour aller vers d’autres occupations, et me voila seule, me préparant à partir.

Didier, ne désire pas que je parte de suite, il me propose un dernier vers que j’accepte volontiers, Didier se fait très entreprenant en me faisant des compliments sur mon physique et me dit qu’il me désire depuis, il se rapproche et m’embrasse sur les lèvres, nous sommes dans le salon, près du canapé en cuir et debout contre le dossier je me laisse aller dans les bras de Didier, puis Didier passe dans mon dos, me prenant par la taille, il commence à m’embrasser dans le cou et me caresse la poitrine au travers de l’étoffe de ma robe, j’ai été surprise et à cet instant et j’ai légèrement frémis par l’audace de Didier. Puis sans se poser de question il m’a ôté ma petite robe moulante qui s’est retrouvée à mes pieds, ne portant pas de soutien-gorge, je me suis retrouvée la poitrine nue, offerte aux caresses de Didier, puis il a baissé mon string et m’a penché en avant sur le dossier du canapé.


Le cuir du canapé est froid, et quand mes seins se sont pressés contre le dossier, je n'ai pu réprimer un petit cri, le froid du canapé m’a donné la chair de poule. Puis ses mains ont agrippé mes hanches, de suite j’ai sentie qu’il veut m’enculer et je me suis crispée, très vite il à dégagé son sexe de son pantalon et pointe son gland volumineux sur mon trou étoilé, je me débats en disant :
- Non, non, je ne veux pas, laisses moi.
Il force, ne se souciant pas de mes cris et s'enfonce lentement, mais sans faiblir, et j'ai eu mal quand il me pénètre sans préparation, ce salaud aurait pu prendre soin de me lubrifier avant de me pénétrer, car je n’aime pas être enculée à sec, vraiment je pense que Didier est un vrai salopard.
Mais Didier ne se souci guère de mes plaintes, il est maintenant au fond de mon rectum, son membre est gros, il m'ouvre en deux. Maintenant il est au fond de moi et il ne bouge pas, se contentant de rester plaqué contre mon cul, fier de me posséder alors que je ne suis pas d’accord, fier de me violer et de m’imposer sa force.
J'ai envie qu’il en finisse et que je parte au plus vite.
Didier ne pensant qu’à son seul plaisir coulisse de toute sa longueur dans mon anneau rectal, il ahane comme un forcené, Didier s'empare de mes cheveux et me tire la tête en arrière avec en les tirant, il me fait mal et je gueule de douleur ce qui lui fait mettre plus d'ardeur dans son rythme. Il se rue comme un forcené en moi en allant jusqu’au au fond. Il me ramone un long moment ainsi, butant au fond de mon rectum à chaque poussée, je sens que sa jouissance approche, Didier ralentit un peu le rythme, puis se bloque au fond de moi et puis jouit enfin. Je sens les contractions de sa bite dans mon fondement tandis qu’il me remplit le fondement de sa jouissance.
Je me sens pute à cet instant, pute de lui avoir permis de m’enculer et d’avoir jouit en moi, de m’avoir violé.
- Salope, me dit il, tu m’as bien fait jouir, t’es trop bonne.

Je me rhabille rapidement, et en partant je lui lance en guise d’adieu :
- T’es qu’un gros salopard, mais un jour tu te souviendras de ce soir et tu regretteras.

Didier, retour de bâton.
Je ne suis pas de nature rancunière, mais ma mésaventure avec Didier m’a laissée un goût amer, en d’autres termes disons que je n’ai pas digérer la façon cavalière de cet homme et sa façon de profiter de moi. N’étant pas de nature à laisser traîner les choses, je me suis dit qu’il serait bon de donner, à ce goujat, une petite leçon de savoir vivre.
J’ai appelée mon amie Caroline, une ancienne amante transexuelle que je rencontre de temps à autre, nous nous connaissons depuis longtemps, elle à été ma première amante transexuelle et chacune de nos rencontres est un moment de bonheur, elle et moi sommes très proches, d’ailleurs Caroline est une de mes confidentes, la deuxième après Chris.
Nous avons discutées longuement au téléphone et avons convenues ensemble d’un petit stratagème qui doit faire vivre à Didier une petite expérience inoubliable et réparatrice envers moi.

C’est pour cela que ce soir j’ai rendez-vous avec Caroline. Nous avons convenues de diner ensemble, puis de sortir en club après, où nous devons retrouver Didier sans qu’il ne se doute de rien.
Jacques, ami de Didier, fait partie du plan pour amener Didier à nous, il est très heureux de participer à cette aventure, il doit amener Didier au club vers 10h00, où nous sommes censées nous retrouver par hasard, une fois les présentations faites, Jacques se retirera sous un prétexte quelconque nous laissant avec Didier que nous entraînerons vers une belle aventure.
La seule exigence de Jacques, sur ce coup, est de faire une soirée avec nous pour lui raconter en détails la fin de la soirée, connaissant Jacques, je pense qu’il désire aussi rencontrer Caroline, enfin chaque chose en son temps.

Pour cette soirée, avec Caroline nous avons fait du shopping dans l’après-midi et avons achetées des vêtements quelque peu spéciaux, puis nous nous sommes rendues à la maison pour nous changer et nous nous sommes ensemble préparées.

C’est ainsi habillées de façon absolument identique que nous sommes parties diner, très satisfaite de l’effet que nous pouvons produire.
En effet, nous sommes parées d’un string de cuir noir muni d'un orifice laissant sortir nos sexes et nos couilles, sur lequel nous avons passées un pantalon de cuir noir très moulant ne cachant rien de nos virilités, qui produisent une protubérance au niveau de nos pubis. Un corset de cuir noir, lacé dans le dos et doté d’un soutient gorge faisant pigeonner nos poitrines, habille nos hauts, et par-dessus un corsage de soie noire ne laissant apparaître nos poitrines dressées, une veste spencer de cuir noir et des escarpins complètent notre tenue.
A l’heure convenue nous sommes parties diner, bras dessus bras dessous, comme deux vieilles amies, sans laisser indifférentes les personnes croisant notre chemin.

Nous avons dinées merveilleusement bien, profitant de cet instant pour mettre au point les derniers détails de la soirée à venir, mais tout en nous amusant de l’effet que nous faisons autour de nous dans le restaurant.
Puis nous nous sommes rendues dans le club, où nous avons rendez-vous avec Jacques, qui nous a confirmé dans l’après-midi la venue de Didier. En fait Jacques a prétexté de s’ennuir à mourir et a demandé à Didier de l’accompagner dans un club de sa connaissance où parfois il est possible de faire de charmantes rencontres, Didier ne s’est, d’après Jacques, pas fait prier.

Tout se passe comme prévu jusqu'au club, il n’y a pas encore grand monde et nous nous installons sur une banquette non loin du bar, l'une a côté de l'autre.
Nous passons une commande au serveur, qui sans tarder nous ramène notre commande, nous nous racontons nos dernières aventures, en riant parfois, nous sommes bien ensemble à discuter, la complicité est présente et je trouve Caroline est très en beauté.
Comme pour me mettre dans tous mes états, à un moment donné, Caroline pose sa main sur le cuir de mon pantalon, sur ma cuise, il m’est difficile d'ignorer cette main qui d'ailleurs à quittée ma cuisse et se trouve plus haut.

Un frisson me parcours tandis que la main experte frôle mon sexe par-dessus le cuir du pantalon, Caroline se penche alors vers moi et me glisse à l'oreille :
- Tu vas voir, nous allons passer un bon moment.

Peu de temps après Jacques se présente à l’entrée du club en compagnie de Didier, Caro et moi feignons de ne pas le voir et continuons notre conversation. Les deux hommes se dirigent vers le bar et commandent les boissons, à cet instants ils ne sont qu’à quelques mètres de nous.
C’est Jacques qui s’exclame :
- Leslie, quelle surprise que fait tu ici.
- Oh, Jacques, je suis avec mon amie Caroline.
Et me voila à faire les présentations d’usage, et à la tête que fait Didier, il est certain que celui-ci est enchanté d’une telle rencontre, et les deux hommes s’installe à notre table et la conversation reprend.
Quelques temps plus tard nous dansons avec Caroline, histoire de laisser les hommes entre eux et aussi laisser le temps à Jacques de dire à Didier que cette rencontre est fortuite et bien venue, et qu’avec un peu de chance, il y a une possibilité de passer une bonne soirée.

Après trois danses, nous sommes de retour à notre table, où nous attendent nos deux hommes, la conversation reprend et Didier se fait de plus en plus pressant à notre égard, mais c’est le moment ou le téléphone mobile de Jacques se met à sonner et après un bref échange téléphonique, il déclare être obligé de nous laisser. Bien que cela était prévu, puisque l’appel vient de Chris, nous émettons nos reproches à Jacques, qui néanmoins prend congé et nous laisse toutes les deux avec Didier, sui semble heureux de l’aubaine.
Puis après quelques danses et deux verres supplémentaires, Caroline demande à Didier :
- Je serais heureuse si tu acceptais de venir prendre un verre avec nous.
- Pas de problème, réponds Didier, apparemment ravi de la demande.
Et nous voila partis pour l’hôtel où Caroline à réservée une chambre.

Dès notre arrivée, Caroline nous sert un verre et commence à allumer Didier de balle façon, la conversation tourne au sexe et Caroline se fait de plus pressante envers Didier, celui-ci réactif veux caresser Caro, qui ne se laisse pas faire, et en se reculant lui dit :
- Didier, je sens ton désir, mais tu dois me laisser faire, es tu d’accord.
- Tout ce que tu veux, dit Didier, sans se rendre compte de ce qui va suivre.
Alors Caroline commence à caresser Didier, pour le mettre en confiance, tout en le déshabillant, Didier se retrouve vite nu, le sexe dressé par une forte érection, puis elle le fait s’allonger sur le lit. Didier est aux anges, rêvant certainement à une soirée très chaude avec les deux belles androgynes qui se tiennent à ses côtés, mais en un instant il se retrouve les poignets menottés aux montants du lit, au sourire qui s’affiche sur sa figure, il pense que ce n’est qu’un jeu de notre part, et c’est docilement qu’il se laisse attacher les chevilles aux pieds du lit, à cet instant Didier est entravé au lit dans l’impossibilité de bouger et à notre merci, la première étape de notre plan est réussie.

De part et d’autre du lit, nous regardons Didier, et dans cette position il est vulnérable, et s’il ne se pose pas encore trop de question, il est certain qu’il doit se demander quel va être la tournure des événements futurs, avec Caro nous profitons de cet instant.
Puis sans nous pressées nous quittons nos vestes spencer de cuir noir, puis lentement c’est le tour des corsages de soie, nous nous rapprochons l’une de l’autre pour que Didier puisse bien voir la similitude de nos tenues et nous admirer perchées sur nos escarpins en corset et pantalon de cuir.
Caroline m’enlace et pose ses lèvres sur les miennes, nos bouches s’ouvrent et nos langues se mêlent, Didier regarde, nous échangeons des caresses, et Didier bande, nous aussi d’ailleurs et nos pantalons moulants compriment nos sexes dans le cuir, nous les enlevons et apparaissons à Didier dans nos string le sexe dressé au travers de l’orifice prévu. Nous passons des gants en cuir pour compléter la tenue, et nous sommes prêtes.
C’est à cet instant que Didier, ne pouvant se retenir, dit :
- Dites donc les filles il est temps de vous occuper de moi.
Pour toute réponse, Caroline lui assène deux gifles en lui disant :
- Toi, tu fermes ta gueule et tu ne l’ouvres que si on te le demande, pour nous sucer par exemple.
Didier est abasourdit, il ne comprend pas de suite ce qui lui arrive, l’incompréhension et la terreur se lisent dans son regard, et afin qu’il sache bien pourquoi il est là dans cette inconfortable position, je lui dis :
- Tu te rappelles, un jour je t’ai dis que tu étais un gros salopard et qu’un jour tu t’en souviendrais, le jour est venu Didier.
A cet instant la panique se fait sentir et d’un ton presque implorant il dit :
- Mais qu’allez vous me faire.
Et encore deux claques de Caroline qui lui dit :
- On t’a dit de la fermer, alors tu la fermes, et ne soit pas si impatient de savoir, nous avons toute la nuit et disons que tu vas plutôt sentir et ainsi tu sauras.
Les propos de Caro ont fait débander Didier, qui tente désespérément de se libérer, mais cet exercice est sans espoir et après un moment d’efforts Didier se résigne et ne bouge plus, aider de Caroline nous l’attachons solidement à l’aide de cordages et nous le retournons sur le ventre.

Puis nous lui rattachons les chevilles aux pieds du lit, les jambes écartées au maximum
Le voilà donc bientôt écartelé sur le ventre, le cul dressé vers le plafond, et totalement offert à nos caprices. De ma position je peux contempler le spectacle de son adorable petit trou offert.

Et le supplice de Didier commence, Caroline ouvre le tiroir de sa commode et se saisit d’un plug, qu’lle enfonce directement dans l’œillet de Didier, qui laisse échapper un :
- Salope.
Et Didier se reprend de la part de Caro deux baffes en prime, qui lui dit :
Puisque tu désires l’ouvrir tu vas le faire pour me sucer, amis attention pas de conneries sinon tu vas avoir droit à une correction, s’armant d’une cravache Caro lui assène de violents coups sur les fesses afin de bien lui montrer qu’elle ne plaisante pas, Didier crie sous les coups tandis que la cravache lui cingle les fesses, puis Caro s’arrête et présente son membre aux lèvres de Didier, docilement il ouvre la bouche et commence à sucer Caroline, qui lui dit :
- Bien, je vois que tu as compris et que maintenant tu es docile, allez suce moi bien avant que je t’encule.
Didier à des hauts le cœur tellement Caroline lui enfonce son sexe profondément. J’en profite pour lui retirer le plug de son trou et lui enfoncer un autre gode légèrement plus gros pour le ramoner furieusement et lui arracher de violents cris, il gueule de douleur, mais je lui dis :
- Attends mon salaud, ce n’est que le début, tu vas voir quand tu auras le cul remplit et dilaté par mon membre, tu pourras toujours gueuler, tu ne seras qu’un petit enculé, et puis au cas ou tu aurais des idées de revanche nous ferons des photos au cas ou.
C’est le moment que je choisis pour me mettre derrière lui entre ses jambes écartées, Caro lui dit :
- Allez petite salope cambre tes reins, afin que Leslie t’encule, ou je te fouette à nouveau.
Sans se faire prier, sous la menace, Didier se relève et cambre ses reins, j’ouvre ses fesses de mes deux mains et pointe mon gland sur sa rosette vierge, je le sens anxieux, mais rien ne me fera reculer et d’un puissant coup de rein je m’enfonce en lui, le faisant gueuler comme un cochon que l’on égorge.
Didier sous la menace de Caro, reste dans sa position, écartelé et derrière offert, je ressors entièrement et d'un seul coup de rein je l'enfile à nouveau.
A chaque nouvelle pénétration, il pousse des cris de douleur et de fureur, je l'emmanche un peu plus violemment à chaque fois, de sorte que mon gland vienne buter au fond de son cul.
Je l’encule sans remords en repensant au jour où il m’a sauvagement possédé, les rôles sont inversés et maintenant il sait ce qu’est de se faire enculer sans être d’accord, sauf que ce soir la soirée n’est pas terminée pour lui et son cul.
Je suis déchainée, je défonce le trou du cul de Didier et je jouis au fond de ses entrailles puis je me retire afin de contempler son trou béant, la vue de son anus largement ouvert me donne l’idée de le reprendre plus tard, de le refourrer violemment, pour lui arracher des hurlements.

Caroline se dégage de la bouche de Didier et c’est son tour d’être sur lui, elle lui rentre son membre au fond de son cul, Didier gueule de plus belle la bouche grande ouverte, puis elle-entame des allers et retours pour l'enculer profondément.
Il demeure la bouche ouverte essayant d’aspirer un peu d’air, je me positionne et je lui enfonce mon sexe dans sa bouche grande ouverte.
Après quelques allers et retours, le déchaînement de Caroline est total, elle encule Didier sans se soucier de ses cris, lui assénant en plus de violents coups de cravache sur les fesses, puis à son tour elle jouit en lui.

Laissant Didier sur le ventre et le cul ouvert, nous nous rafraichissons, pendant tout ce temps Didier ne bouge pas, retrouvant nos ardeurs nous l’enculons tour à tour une nouvelle fois, histoire de bien lui faire comprendre qu’il est à notre disposition, puis prenant le plus gros gode de la collection de Caro, un gode aux dimensions impressionnantes que moi-même je ne pourrais m’enfiler, nous lui rentrons complètement au fond de son anus, Didier gueule et éructe des cris de colère et se mange deux bonnes gifles de la part de Caro.
Une dernière fois je l’encule et jouis dans son trou, il est maintenant remplit de nous et complètement cassé de cette expérience vécue, nous nous rhabillons et juste avant de quittées la chambre d’hôtel, je lui dis :
- J’espère que tu te souviendras que l’on ne m’encule pas sans mon accord, maintenant nous sommes quittes.
Nous défaisons les liens qui entravent Didier, et nous partons avec Caro, le laissant à ses pensées.

A suivre……

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