Le Cambrioleur

Le bal costumé de l'association s'achève vers quatre heure du matin. Karine, superbe
canon blond de vingt huit ans, décide de rentrer seule, son mari, Thierry, trente ans, étant obligé de rester pour aider à ranger la salle.
Karine s'est faite draguer toute la soirée, par des mâles en manquent de femmes.
Faut dire que la tenue vestimentaire de Karine attirée beaucoup de convoitises.
Elle est vêtue en indienne. Petite jupe à franges, bustier assorti, bandeau dans les cheveux.
Elle arrive à la villa, et n'a qu'une hâte, prendre une bonne douche, et s'allonger. Elle a trop
dansée ce soir. Et puis, ce jeune de vingt ans qui lui tenait des propos érotiques à son
oreille, l'a beaucoup excitée. Déjà, pendant le trajet, elle avait glissé une main entre ses cuisses, et se caressait.
En sortant du bain, des bruits provenant du salon attirent son attention. Elle aperçoit même
comme une petite lueur. Elle comprend se suite. La lueur est une lampe électrique, et les
bruits sont ceux d'un cambrioleur.
Elle saisit un révolver rangé dans le meuble du hall, et pénètre dans le salon en allumant.
- Main en l'air, dit-elle tremblante.
Devant elle, se dresse un black d'un mètre quatre vingt, et quatre vingt dix kilos minimum.
L'homme opère à visage découvert.
- Calmez-vous, Madame, je m'en vais. Je veux pas d'histoires.
- Vous partirez pas, déshabillez vous, ordonne Karine. J'appelle la police.
- Mais s'il vous plait, supplie le jeune black.
- A poil, j'ai dis, vite.
Le jeune cambrioleur obéit, et s'arrête au caleçon.
- Tout, allez, poursuit Karine.
Le jeune black s'exécute. Il est maintenant tout nu.
"Putain, se dit Karine en voyant son sexe, c'est quoi çà? Pauvre Thierry, tu peux te rhabiller.
- Tournez-vous, et mains à plat contre le mur. Jambes écartées.
Le cambrioleur n'a pas le choix.
Karine ne peut résister.

Elle s'avance, passe une main autour de la taille, et saisit l'énorme
sexe, encore au repos du jeune black. Elle caresse les grosses couilles bien pleines.
- Ton prénom, demande-t-elle.
- Fred, madame. Mais qu'est-ce-que vous me faites?
A force de caresses, la queue doit atteindre vingt bon centimètres.
Karine s'amuse avec le prépuce, calottant et décalottant le gland.
Mais tout cela l'excite, la chaleur qu'elle ressent à son bas ventre ne laisse aucun doute.
Elle dénoue son peignoir et se plaque contre le corps de Fred.
Celui ci se retourne, l'a désarme, et fini de la déshabiller. Ils sont nus tout les deux.
C'est maintenant lui qui dirige les opérations.
Il tire une chaise à lui et s'assied. Son énorme queue est tendue au maximum. Il saisit
Karine par les hanches, l'a place dos à lui, et la fait coulisser sur lui.
Elle pousse un cri de bête. Jamais sa chatte n'a reçu un membre pareil. Le bout de se seins roulent entre les doigts de Fred.
- Et si la police arrive, demande-t-il sur de lui.
- Tais toi, gémit-elle, laisse moi profiter de çà. Tu sens comme je mouille. Caresse moi
le clitoris, vas-y.
- Tu es bien prise, salope, ajoute le black, c'est çà que tu voulais, hein?
- Oui, avoue-t-elle dans un souffle, nique moi bien profond, s'il te plait, j'ai envie tu sais.

Ils n'ont rien entendu.
Thierry fait irruption dans le salon, et surprend le couple.
- Mais, mais, chéri, qu'est-ce-que tu fais?
- Que tu es con, soupire Karine, tu vois pas que je prend un coup de queue, oh putain
- Salope, poursuit Thierry, et tu a l'air d'aimer.
- Je me régale, tu veux dire, murmure Karine. Tu vas voir le morceau que j'avais dans la
chatte quand il va sortir. Et ses couilles, regarde ses couilles. Oh le con, il me fait jouir.
Oui, oui, regarde comme je coule, ha...ha...haaa.
Karine a un orgasme terrible. Elle n'a jamais connu çà avec son mari.

- Moi aussi, Madame je joui, hou..hou.. oui, oh Monsieur, que vôtre femme est bonne.
- Si tu voyais ce qu'il me met, dit Karine, comme il se vide dans ma petite chatte. Vas-y
bourre moi salaud, oh, que c'est chaud.
Karine libère le sexe de Fred.
- Regarde sa queue chéri, c'est pas ton fifre. Quand on dit que les blacks sont bien monté.
Venez, on va continuer au lit. Je veux qu'il me sodomise pour voir l'effet que çà fait d'avoir
une grosse bite dans le cul Tu peux regarder, chéri. Et puis ta couette aura droit à une
petite gâterie.
Karine se met en position.
- Je sais pas si je peux, demande Fred.
- Allez-y, répond Thierry, elle en a envie.
Le gland entièrement décalotté taquine le petit trou de Karine.
- Vas-y salaud, ne me fais pas râler, mon mari est d'accord.
Dans un ultime coup de rein, Fred l'a pénètre.
Le hurlement traverse la villa. Les gouttes de sueurs coulent sur son visage. Son bouton, sorti de sa capuche, et malmené par les doigts de son amant.
- Oh, chéri, comme il m'encule, que c'est bon. Quel mâle. Viens que je te taille une petite
pipe. Tu le mérite mon amour. Je vais tout avaler cette fois, puis je te nettoierai bien le
bout. Après, c'est lui que je vais sucer. Oui, çà y est, il crache, je le sens. Fais toi plaisir
mon chéri. Cà t'excite de niquer une blanche, hein? Moi aussi j'aime me le faire mettre
par un black. Je viens, ha..ha..ha, encule moi putain, t'arrête pas, oui,ouiiii.

Il est huit heure du matin, Karine est blottit dans les bras de Fred. Elle tient la grosse queue de Fred dans sa main. Elle se réveille, et de ses lèvres et sa langue, joue avec
le gland de son amant. Elle rejoint son mari au salon.
- Excuse moi mon amour, j'ai pas pu résister. Quand j'ai vu cette queue. Cà te gène pas
si je l'invite pour passer quelques nuits avec lui. Tu prendras la chambre d'ami,hein?
- Je t'aime, mon amour, répond Thierry, je veux pas te perdre.
S'il est d'accord, moi aussi.
- Oh, que je t'aime mon amour. J'y vais, il a pas eu sa pipe cette nuit. Et puis, tu veux voir
quand il me donne un coup de queue comme je bouge mon cul.
- Non, ma chérie, vas le rejoindre, régale toi. On se voit ce soir.

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