Le Coiffeur

Le coiffeur




Vers l'ouest la porte B du centre commercial côtoyait le salon d'Alexandro Barcelo devant une cordonnerie et une librairie. Depuis trois ans il gérait ce salon de coiffure mixte rentable ; on y prenait rendez-vous physiquement, par téléphonie, ou via le net ; une secrétaire qui travaillait chez elle gérait les prises de rendez-vous par téléphone ou sur internet, tandis qu' Alexandro Barcelo s'occupait des rendez-vous physiques ; chaque soir elle uploadait à son patron l'ordre du jour du lendemain, ainsi employeur et secrétaire se croisaient rarement.

À 11H30 le troisième client du jour se présenta : cinquantenaire, client fidèle, comme d'hab il voulait se faire couper les cheveux très courts, pas jusqu'à chauve, mais assez pour uniformiser le rendu gris de ses cheveux. Le client s'assit sur le fauteuil de coupe. Alexandro Barcelo s'installa sur le tabouret pour coiffeur derrière le client. Les deux hommes pouvaient voir leurs reflets dans le miroir de la coiffeuse murale. Alexandro Barcelo recouvrit le corps du client avec la housse de protection. Il alluma la tondeuse. Elle ronflait la coupe des cheveux gris.

Latino trentenaire Alexandro Barcelo vivait en couple avec Claudia Barcelo depuis cinq ans ; question coiffure il jugeait chaque coiffure unique, pensait que chaque personne possédait une coiffure adaptée à sa personnalité, que son métier au delà d’embellir les visages consistait à imprimer des personnalités. Le client regardait le miroir qui lui renvoyait sa nouvelle tête. Ce qu'il y voyait le satisfaisait parce que cela à cet instant lui renvoyait l'image d'un homme beau, beau dans le sens qu'il se trouvait plus beau qu'avant son entré dans le salon de coiffure. La beauté est un état d'esprit.

Au même centre commercial que son salon, pouvant s'y rendre en marchant, Alexandro Barcelo pénétra à midi le fast food habituel. Il s'assit. Quelques instants plus tard sa table débordait avec la mauvaise bouffe bien grasse et trop sucrée.

Il comptait parmi ces humains génétiquement bénis qui peuvent consommer toutes les cochonneries mondiales sans grossir. La salle aux gloutons contenait aux un tiers des salariés, d'un autre tiers des étudiants et lycéens des établissements environnants, au dernier tiers des meubles. Alors qu'il buvait sa boisson poison au mauvais sucre son téléphone con sonna. Lorsqu'il le prit il découvrit le message de Lupe Carrero l'amant de sa femme, trentenaire uniformément musclé qui exerçait comme pompier et qui depuis un an prenait son épouse...

Alexandro Barcelo contemplait la photo reçue dans son smartphone. Il se souvenait qu'elle avait été prise le dernier vendredi soir. L'image dévoilait trois personnes sur un lit : son épouse assise sur le visage cunniteur de l'amant leur tournait le dos pendant que lui allongé fellationnait le braquemart de son cocufieur. Il bandait sous la table. Tous les plaisir de cette nuit refaisaient surface. Le message de l'amant disait « j'ai hâte d'être à ce soir ! » Alexandro Barcelo répondit « moi aussi ! » puis il envoya la photo à son épouse. Elle se trouvait de l'autre côté de la ville au port à bosser comme directrice adjointe.

La seconde demie journée laborieuse d'Alexandro Barcelo s'écoula différemment de la première demie. En effet à mesure que le temps s'écoulait une excitation sexuelle augmentait en lui, le contraignait à penser à autre chose pour ne pas érecter devant la clientèle. Il s’imaginait couchant avec sa grand-mère, solution radicale qui achevait ses bandaisons. Trois amants s'envoyaient des photos aguicheuses.




Trois heures plus tard.




La lumière de la chambre d'hôtel permettait la vue nette des parties nues sans affaiblir les yeux. Debout au bord du lit, l'amant regardait les époux sur le matelas. Comme il observait ce tableau naturiste l'excitation démangeait son phallus. En grande culotte grise, l'époux était étendu sur l'épouse qui gardait les cuisses grandement ouverte.
Le mari prenait un temps que l'amant jugeait fou pour sucer les seins ronds ! L'amant voyait la bouche gourmande rivale qui s'attardaient sur les mamelons bruns et pointus.

Lorsqu'il eut assez tété les seins de sa femme l'époux retira la petite culotte noire qui dissimulait la nudité féminine. S'étendant sous elle, il perdit entre les cuisses grandement ouvertes sa bouche. Elle fermait les yeux de plaisir. Elle aimait se savoir léchée par son mari sous les yeux de son amant dont elle savait qu'il bandait de désir en observant la scène qui se déroulait devant lui.

« J'ai bien lubrifié sa chatte ! Au tour de ta bite ! » Le mari abandonna le matela sur lequel patientait le vagin salivant. Il s'accroupit devant l'amant. Il saisit son pénis. Il suffit d'observer une arme pour imaginer son potentiel destructeur, il en va de même pour un braquemart, au seul regard, on peut s'imaginer, homme ou femme, tout ce que cet amas charnel pissera comme dopamine dans les orifices. La main de l'époux se referma autour du pénis de l'amant : un pénis durci par le sang et la chair, un pénis massif et long qui voulait tirer et qui avait déjà tiré plusieurs orgasmes à sa femme. Quand il prit en bouche le braquemart amant il sentit le vide buccal se remplir charnellement. Pendant qu'il fellationnait le phallus rival qui pénétrerait sa femme devant lui, il masturbait à genoux sa petite bite.

L'amant souffla, expira, bruyamment, félicité, délice, délice infinie que de se faire sucer le braquemart par le mari de l'épouse qu'il prendrait devant lui. Par les courts cheveux il attrapa son rival puis se mis à baiser sa bouche comme un vagin ! Des tréfonds testiculaires la pression éjaculatoire l'envahie. Il retira soudainement sa verge de la bouche du mari. Elle luisait tendue.

Au tour du mari de regarder l'amant et l'épouse faire les choses sexuelles ! L'amant monta sur le lit. Il rapprocha son braquemart du vagin marié. L'époux avait fait du bon travail, le pénis et le vagin des deux amants étaient bien lubrifiés, ils avaient été bien lubrifiés de manière bio ! La planète pouvait leur dire merci.


L'épouse sentit le braquemart de l'amant glisser en elle. Il la remplissait vaginalement mieux que son mari. Elle aimait que son mari la regarde se faire prendre par un homme mieux monté que lui. C'était une situation qui la mouillait particulièrement. Subissant le poids de ses reins pendant qu'il la labourait, elle aimait fixer dans les yeux son amant. Quand il accéléra ses puissants coups de reins elle ferma les yeux puis ouvrit la bouche pour ouïr tout le plaisir prit.

Dehors nuit et lumières urbaines étaient encore en conflit ; à l'intérieur de la chambre d'hôtel par contre régnait une douce harmonie lumineuse qui vous donnait soit l'envie de dormir soit l'envie du stupre. L'amant s'allongea à côté de l'épouse. Il pouvait voir son sperme couler hors de la fente vaginale de la femme d'un autre. Il posa un doigt, en occurrence le pouce, sur le clitoris et se mit à caresser cette partie sensible. Mais voilà que le mari monta sur le lit et décida que c'était à son tour de monter l'épouse ! Elle le sentit glisser en elle. Il la remplissait beaucoup moins que son amant et cela la faisait sourire. Quant au mari il s'extasiait de sentir sa queue nager dans le sperme de l'amant de sa femme qui inondait le canal vaginal de son épouse. Chacun de ses coups de reins moins profonds émettait un bruit d'eau ! Chacun de ses coups de rein répandait sur sa verge une mousse blanche mixions des sécrétion vaginales et du sperme rival. Quand elle lui dit « baise-moi plus fort je ne te sens pas assez ! Ta bite est trop petite » Il éjacula subitement.

Le sexe de l'épouse débordait de semence. Le mari descendit sous l'épouse. Il vit la crème blanche composée du sperme de son rival et du sien qui coulait hors du vagin. Il posa sa bouche contre la vulve et se mis à la sucer et à la nettoyer de son sperme et de celui de son rival.

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