Asssise Sur Un Banc

Ma copine Mish est arrivée à l'improviste dans l'après midi : pendant qu'elle me contait sa matinée, moi, je fermais mes pots de peinture...
Je n'ais jamais bien compris comment on pouvais se "voir" depuis si longtemps : 20 ans de plus qu'elle, et pas un étalon en plus... 'T'être ma façon de l'écouter, ou d'être dispo à son envie.
Quand je suis parti ranger mes pots, elle était sagement assise au bout d'un banc dans le salon; une minute plus tard, elle y était toujours, seulement vêtue de son chemisier déboutonné, une jambe de chaque coté du banc, arquée en arrière sur ses bras, et se raclant la chatte d'avant en arrière sur le sky... Chaque mouvement la faisait reculer un peu plus...
Son regard n'était qu'une invite. Je m'installais face à elle en bout de banc, et commençais à caresser sa chatte du bout du pouce, puis de l'index, à l'entrouvrir, lui titillant le bouton à chaque passage. Elle commençait à mouiller, et je la fourrais de l'index, mon pouce prenant le
relais sur son clito... L'abricot jutant à plein, elle arquait sa motte de plus en plus, et son ventre commençait à onduler en petites vagues : encore un peu, et j'aurais droit à son vagin pompeur, un aspirateur de dard, qui te serre et t'aspire, une, deux trois fois et se relâche
complètement après SON orgasme. Pour recommencer un peu après.
Je glissais ma jambe gauche sous sa jambe droite, ma droite au dessus de sa gauche, et queue en main, lui collais mon gland sur la moule, la laissant se caresser à l'envie. Ses ondulations prenaient de l'ampleur, tétons bien raides, petits seins ondulant au gré.
Elle s'est arrêtée, motte à l'horizontale, con béant : "Mets la moi... S'te plais, mets la, à fond, tes couilles à mon cul... S'te plais..."
La soulevant un peu d'un bras, je glissais juste le bout du gland dans son abricot, et je la reposais : "Tu la veux comment : d'un coup à fond, ou tout doux, juste un peu à la fois ?"
"Non, à fond, d'un coup, défonce moi.

..". Ok, tu la veux, tu vas l'avoir, mais à mon rythme ! : Je posais une main sur son ventre, l'empêchant ainsi d'avancer, elle, et je me glissais, un cm, élargissant sa chatte serrée, puis m'arrêtais, le gland frémissant... Stop, un peu : "Oh, non, encore, encore", et le jeu à recommencé, cinq, dix fois. J'avais du mal à la retenir de s'emmancher, son ventre n'était plus que tempêtes et tsunamis, ma bitte un gourdin de fer, longue comme un bras, grosse comme une cuisse.
Enfin couilles à cul, poils à poils écrasés, elle a laissé sortir un râle, et j'ai senti son anneau serrer la base de ma bitte et remontant, l'aspirer encore dans son ventre, deux trois fois, puis le regard vide, son vagin s'est détendu, d'un coup, mou, large, lâche.
Le chibre sur-bandé, j'ai commencé un ramonage en règle, droite-gauche, haut-bas, a grand coups, ou alors a fond de bitte, à petits coups rapides,poils sur le bouton, lèvres ouvertes à deux doigts, sortie bien lente et remet tout à fond, ou le contraire...
Son ventre s'est remit à se contracter, en ondulations lentes, son anneau à m'aspirer, pompe à dard extra, et puis plus rien, mou, vide... Et re, jusqu'à gicler en longues saccades dans son vagin palpitant d’orgasmes si rapprochés qu’ils n’en faisaient qu’un, long, si long...
En partant, elle m'a juste dit : "Bien, le banc, la position, tout... T'as d'autres inventions, comme ça ?"
Je vais y réfléchir...


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