Baise Avec Une Suédoise

Je sors de cette lutte folle, mes cuisses encore en feu et pleines de désir. L’extase du sexe me semble bien plus forte que l’amour. A peine dégagée de cette étreinte où je lui ai prodigué mes plus savantes caresses, mon amant me souffle dans le cou:
- Tu est vraiment la femme de ma chair.
Hier il m’a dit:
- Nous sommes bouche à bouche, même si nous sommes des étrangers.
S’il savait………….

Hier soir, est venue chez moi une véritable suédoise, avec une longue chevelure blonde. Je ne
l’avais pas vue depuis une diner chez des amis. Notre hôte me la généreusement poussée dans mes bras.
Nous avons bu du champagne . A la fin nous étions très gaies. plusieurs fois nous nous sommes
embrasées passionnément. Lorsqu’un orage s’est déclenché elle m’a demande de coucher avec moi. Je
n’ai jamais eu le sentiment que je commettais un acte contre nature.
Longtemps elle caresse mes seins nus, puis une main a glissé sur mon flanc, s’insinue entre mes cuisses
pour venir au plus intime de ma chair. Elle murmurai des mots câlins, vieux comme l’amour. Ses
baisers, ces caresses faisaient courir sur tout mon corps de délicieux frissons. Jamais je n’ai connu un
amant aussi fougueux que cette fille. Je me sens devenir voluptueuse. Elle me dit des mots d’amour:
- Je n’ai jamais aimé aucune femme, mais toi je t’aime furieusement avec toutes les fibres de mon être.
Après une longue lutte, nos corps se cherchent, se nouent, jusqu’à pousser des gémissements presque
douloureux.
Elle continu à me caresser les cuisses: j’ouvre sans arrêt mes jambes: elle peut venir dans ma chair quand
elle veut. Je l’attend fiévreusement. L’impatiente se révèle une mauvaise conseillère. Elle
abandonne ma bouche. Je la sens venir sur ma poitrine. Elle commence à me caresser savamment, mes
deux seins à la fois, elle sait me faire durcir les mamelons. Sa langue est douce: Je ne souviens pas qu’un
amant ne m’ai donné autant de sensations qu’elle.

Je tiens sa tête entre mes mains. Ses cheveu
s’égarent sur mon corps; qu’ils sont doux. Je ne sais comment me tenir. Je caresse ses cheveux. J’ai hâte
qu’elle arrive sur mes endroits du sexe d’où je tire mes orgasmes.
Elle abandonne un sein pour aller sur mon ventre: elle caresse le tour du nombril: je ressens des frissons
sur tout mon corps, Qu’elle aille plus bas, là où j’aime. Je n’oses rien lui demander, après tout c’est ma
première femme. Si j’aime l’amour avec un bel amant bien monté, là, c’est un autre plaisir qui je le sens
bien va débordé tout ce que je connais. Elle entre enfin sa main sur ma chatte. Elle la prend en entier: elle
doit s’apercevoir de l’effet qu’elle me fait: je suis trempée de cyprine. Pourtant elle reviens entre mes
cuisses, comme pour recommencer tout depuis le début.
Sa main arrive juste sur mon anus. Des amants ont souvent caressé et pénétré cet endroit: j’ai toujours
aimé, même la première fois. Cette main caresse non pas l’anus, mais le tour, sans y appuyer très fort.
Elle reste longtemps à caresse cet endroit pour enfin entrer juste un doigt dans mon cul. Elle le laisse
immobile, attendant ma réaction qui ne tarde pas:
- Oui, continue, te vas me faire jouir.
- J’arrête, je ne veux pas que tu jouisse maintenant, tu ne jouira que quand je te le demanderai.
- J’ai envie de jouir, depuis le temps que tu me caresses.
- Apprends la patience; tu jouira fortement tout à l’heure.
Je ne pense pas qu’elle le sache, nous sommes couchées depuis plus d’une heure. Je l’ai à peine touché.
Par contre elle ne sais pas gênée pour me caresser partout où j’aime, sauf le clitoris. Je peux enfin lui
Prendre sa bouche pour entrer ma langue. Elle se laisse faire et en rajoute même en me léchant les lèvres.
Sa main monte un peu, pas beaucoup. Elle passe un doigt tout le long de ma fente. Je sens passer toutes
ses phalanges sur ma chatte.
Je prie pour qu’elle arrête sur le bouton.
Elle arrête sa caresse, se tourne, m’enjambe pour venir cette fois me prendre avec sa bouche. Elle veut
embrasser mon sexe. J’aime me faire lécher par la langue d’un homme, mais une fille ? Je ne sais
comment elle fait: je sens encore ses cheveux me caresser tout mon corps, au moins le dessus. Ella a
Déjà pu toucher mon sexe mouillée, alors sa langue par-dessus………
Justement sa langue est longue à se mettre en place: elle la pose d’abord sur l’anus. Cet endroit l’inspire
sans doute. Elle n’en fait plus le tour, elle met carrément sa langue sur l’anus, elle force un peu pour
venir me sodomiser un peu. Je sens enfin sa langue me donner du plaisir. Elle la fait aller et venir: je
l’averti!
- Tu vas me faire jouir.
- Non, pas encore.
- J’ai envie.
- Et moi tu crois que je n’ai pas envie que tu me fasse jouir.
- Je peux le faire maintenant.
- Non, attends.
Je sens le souffle de ses narines sur ma chattoune.
Je la veux maintenant dans mon vagin, passer sa langue, l’enfoncer le plus possible, y aller et venir, me
faire jouir, quoi, tout simplement.
- Maintenant tu pourra jouir: je te prends le clitoris dans mes lèvres.
- Oui, baises moi.
Enfin je vais jouir. Rien que d’y penser il me semble jouir déjà. Que cette première fois avec une fille est
bon. Enfin elle pose sa langue sur le bouton. Elle reste immobile, ses lèvres à moins de deux centimètres.
Brusquement, alors que je m’attendais à de la douceur, sa langue vient sur mon clitoris. Cette fois je
ressens ce merveilleux orgasmes qui se prépare. Je ne sais exactement ce qu’elle me fait, en tout cas je ne
résiste pas très longtemps. Mon vagin se contracte, je sens la jouissance envahir mon corps en entier. La
seule chose que je puisse lui faire est de caresser ses fesses.
Elle m’a senti jouir, elle sait que j’aime baiser, alors elle continue sans arrêt à me lécher le bouton.

qu’elles bonnes sensations sa langue me donne. Je crie bien que je n’ai jamais jouis autant avec un
langue, même mes mains ne m’ont jamais donné autant de jouissance.
- Je veux te sucer, moi aussi.
- Attends, je ne t’ai pas faite jouir du cul.
- Ca peut attendre, je veux te faire jouir.
Alors, elle qui tout à l’heure m’a enjambé pour être plus à l’aise pour me sucer, accepte que nous soyons
en 69. Elle écarte ses cuisses et je peux voir sa moule brillante de cyprine: elle a une sacré maitrise d’elle
pour résister à l’envie de jouir.
Je sens sa poitrine contre mon ventre, ses seins sont drôlement durs. Je sens ses mamelons entrer dans ma
chair. Elle commence la première en prenant encore mon anus pour référence. Je vais le lui rendre. Je
ne sais pas le lui rendre: je n’ai jamais léché un anus. Tant pis, malgré la répugnance, je pose ma langue
sur son cul. Je suis surprise quand elle ouvre son anus pour que ma langue aille dans son ventre. Je
pensais en être écœurée et finalement je surmonte ce moment d’égarement. En amour tout est permis si
c’est pour le plaisir de l’amant ou amante, comme maintenant. Ma langue fait comme la sienne au même
moment: c’est finalement agréable de sodomiser une compagne avec sa langue. Il est encore plus
agréable de l’être par une autre langue féminine.
Au fond de moi je pense à ce que je pourrai raconter à mon véritable amant: la vérité simplement,
même s’il m’en voudra non pas de l’avoir trompé, mais de l’avoir fait sans le prévenir.
Nous continuons à nous aimer. Je reste sous elle, avec sa tête entre mes jambes. Je sens bien son sexe,
autour de la mienne. C’est finalement fort agréable de sentir la cyprine avec sa langue directement à sa
source. J’ai sa langue dans mon vagin, elle sait mieux qu’un homme me faire jouir, sans doute parce
qu’elle sait exactement où la mettre. Bien sur je jouis encore.
Je la fait jouir pareillement. J’ai un
avantage sur elle: je peux lui mettre deux doigts dans le cul. Elle aime bien ça. J’y reste tout le temps
pendant que ma langue lui rend tout ce qu’elle le fait. Je ne sais pas si j’arrive à bien lui sucer le clitoris,
en tout cas, elle me donne beaucoup de son jus de jouissance.
Elle impose un moment de repos. Nous pouvons parler de quoi ? De baise, bien sur:
- Tu sais, c’est la première fois qu’une femme me séduit.
- Bien sur que je le savais, c’est bien pour ça que je y t’ai embrassé sur le bouche et que je t’ai demandé
de venir coucher avec moi.
- C’était bon, parfois plus qu’avec mon homme.
- Tu sais les femmes savent mieux faire jouir une femme qu’un homme, sauf c’est la nature qui veux ça,
pour entrer dans nos ouvertures. Tu aime sucer une bite ?
- Bien sur, c’est agréable.
- Et sucer mon con ?
- Ce n’est pas pareil, mais j’ai bien aimé tu sucer.
- Si tu veux j’ai un gode, je pourrais te baiser avec.
- Non, je préfère le naturel, la bite de mon ami.
- Tu es sure de n’avoir plus envie de moi.
- Je ne sais pas. Peut être, ça dépend de mes envies du moment.
- Reviens une fois par semaine ou plus si tu veux, on baisera comme nous allons le faire maintenant.
Nous sommes presque assises, mes mains posées sur le lit, nos cuisse emmêlées, elle m’embrase
longuement pour faire revenir le désir. Quand elle sent que je suis assez chaude, elle approche son
clitoris du mien et le frotte. Je sens comme un coup de tonnerre quand je sens son bouton contre le mien
nous sommes trempées. C’est elle qui dirige cette nouvelle façon que je ne soupçonnais même pas. Je
gémis de plaisir, surtout quand elle me caresse les seins. Ma jouissance est telle que je tombe sur le coté,
complètement satisfaire de cette baise.
Cette fois c’est décidé, je reviendrai la voir souvent pour recommencer, surtout la fin.
Le lendemain j’en parle à mon homme. Comme prévu il est un peu jaloux. Il me faut raconter en détail
ma nuit. Bien sur il est très excité: je vois sa pine monter en bandant. Pour la première fois c’est moi qui
lui demande de faire un 69. Il se couche sur le dos, je vais sur lui, lui donne tout mon con et prends dans
la bouche sa bite qui a un bon goût de queue excitée. Je ne sais pourquoi, je jouis avant lui. Il reçoit ma
cyprine dans sa bouche et enfin à mon tour je déguste son sperme. J’aime toujours quand il me la met
dans la moule et dans le cul.
Il n’empêche qu’il m’encourage à aller baiser avec cette fille blonde quand je le voudrai.




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