Leslie Transexuelle Chapitre 54

CHAPITRE 54 - Week-end à Paris.

Je suis remontée à Paris, passer un week-end chez une amie d’enfance avec qui j’ai gardée contact, elle sait que je suis transexuelle et cela ne lui pose pas de problème, car nous sommes liées par une simple amitié et nous n’avons jamais été plus loin que des bises sur les joues et même si parfois l’occasion nous le permettait.
La mère de Marie est divorcée, et elles vivent seules dans un très bel appartement, dans le temps ses parents et les miens étaient très amis, mais le divorce d’un côté et ma vie ambiguë de l’autre ont quelque peu entachés l’amitié, d’autant plus que la mère de Marie a prit en son temps mon parti.
Dans le passé j’allais souvent passer des journées chez ma meilleure amie Marie, chaque occasion était un prétexte pour nous retrouver et nous avions plaisir de converser de nos petits secrets et quand je suis partie vivre chez Jacques nous avons, avec Marie, échangées une correspondance prolifique.
Marie, depuis est devenue très belle, ses photos envoyées tout au long de notre correspondance en sont la preuve, surtout que Marie n’hésite pas de me joindre des photos d’elle où son physique est mis en valeur, allant même à joindre à ses lettres me parlant de ses conquêtes des photos d’elle nue.
Elle est vraiment bien proportionnée, elle brune d’environ 1,75m pour 50kg, ses petits seins sont ornés de larges auréoles brunes et son pubis est entièrement épilé.

Arrivée le vendredi soir, je suis accueillie par les deux femmes avec enthousiasme, rien n’est trop beau et elles me reçoivent par un excellent diner après m’avoir installée dans la chambre d’amis, entre celle de Marie et celle d’Yvette la mère de Marie, qui était au début du couloir desservant les chambres, près de la salle de bains.
Après le diner, Yvette nous laissa avec Marie pour échanger nos souvenirs, puis laissant Marie pour aller me coucher je suis passée devant la porte de la mère de Marie et je vis par l’entrebâillement de la porte la mère de Marie à demie nue sur son lit en train de se donner du plaisir allongée sur son lit, j’ai eu le temps de voir cette belle femme qui gémissait, le sexe investit par un godemiché que sa main activait nerveusement.



Une fois dans ma chambre, je me suis couchée en pensant à Yvette qui se donnait impudiquement du plaisir la porte entrebâillée. Je commençais à m’endormir quand Marie vint se glisser près de moi dans mon lit en me disant qu’elle était heureuse de me revoir et ne voulait pas dormir seule.
Marie une fois allongée à mes côtés est venue se blottir près de moi et j’ai sentit sa main se poser sur ma verge, qu’elle enserra entre ses doigts.
- J’ai tentée de la retenir en disant :
- Non, Marie, non.
Mais Marie à rajouter :
- Leslie, laisse-moi faire, depuis le temps que j’ai envie de toi.
Elle a donc commencée à me masturber et je me suis laissée faire, puis voyant que mon sexe durcissait dans sa main elle à descendue sa tête vers mon bas-ventre afin de me sucer, sa bouche était chaude, elle tournait sa langue autour de mon gland puis entama une savante fellation, elle allait et venait sur mon sexe a un rythme soutenu qui me faisait sortir des petits gémissements de plaisirs.
A cet instant j’ai eue envie de faire l’amour à Marie, qui attendait les jambes et cuisses grandes ouvertes, passant ma main sur son pubis glabre je la fis frémir et constatait en entrant un doigt dans sa vulve que Marie était trempée, alors elle me dit :
- Tu vois je suis prête à t’accueillir, prends moi maintenant.
Je me suis mis au dessus d’elle et j’ai placé mon sexe au niveau de sa vulve et d’un seul coup d reins je me suis introduit en elle, la faisant soupirer de plaisir et tandis que je limais sa petite chatte étroite, Marie se mit à crier. Marie criait sa jouissance sans retenue et certainement que sa mère entendait les gémissements et les cris de sa fille, puis jouissant tous les deux de concert je jouis en Marie pour son plus grand bonheur.

Plus tard dans la nuit je fus réveillé par des gémissements. Ils venaient de la chambre de la mère de Marie.
Marie dormait paisiblement, alors je me levais discrètement pour aller voir, la porte d’Yvette qui était encore entrouverte, je vis Yvette entrain de sodomiser avec un godemiché, elle se pilonnait le cul en gémissant sans pudeur, s’empalant de plus belle pour entrer le gode au fond de ses fesses, de sa main libre elle se caressait d’un doigt le clitoris, le spectacle était vraiment bandant.

Après de longues minutes de cet exercice, Yvette se cambra et poussa un long râle de plaisir, puis tomba tétanisée sur le lit gardant le gode fiché entre ses fesses au fond de son cul.
Je quittais mon poste d’observation, troublée par cette femme, la mère de mon amie, venant de se donner du plaisir pour retrouver Marie qui dormait toujours paisiblement, puis je m’endormis à ses côtés.

Le lendemain, alors que Marie dormais encore, je me suis levé et après une douche je me suis rendue à la cuisine pour déjeuner, Yvette était déjà là, entrain de préparer le café, vêtue d’un peignoir en soie crème à peine fermé sur elle, étant nue dessous, elle laissait apparaître sa poitrine et son pubis taillé, en la découvrant je me suis mise à bander, et un peu gênée je me suis vite assise à table pour éviter qu’elle ne voit mon état, étant moi-même en string et tee-shirt.

- Bonjour, Leslie, tu as bien dormi ?
- Oui merci.
- Marie dort encore ?
- Oui elle est très fatiguée.
Elle fit un large sourire, et très tranquillement me dit :
- Je vous ai entendue hier soir dans vos ébats avec Marie, et apparemment tu as donnée beaucoup de plaisir à ma fille.
Yvette en disant cela se poste devant moi, le peignoir ouvert sur sa nudité, m’offrant en spectacle sa poitrine arrogante aux seins fermes mais pas trop gros et son ventre plat au nombril orné d’un joli piercing, un brillant, et son pubis taillé raz, laissant les lèvres brunes de sa chatte dévoilées aux regards.
Troublée je bredouillais :
- Ah, nous avons été si bruyants que cela.
- Oui, et je ne sais pas ce que tu as fait à ma fille, mais elle à bien crier en jouissant.
- Euhh, et bien…
- Et pour tout t’avouer Leslie, cela m’a mis dans un état pas possible.
- Ah oui, dis-je d’un air étonné.
- Oui, et pour tout avouer je me suis donnée du plaisir en pensant à toi.
Yvette en disant cela prend un air provocant et laisse son peignoir s’ouvrir un peu plus, elle passe une main sur son pubis en me disant :
- J’ai très envie de toi maintenant !
Elle se penche vers moi et dépose ses lèvres sur les miennes, puis sa main descend vers mon sexe qu’elle caresse au travers de mon string.

- Toi aussi tu me désires, viens dans ma chambre, Leslie, nous serons plus tranquilles, me dit Yvette.
Elle me prend la main et m’emmène dans sa chambre, et une fois entrées elle ferme la porte derrière nous.
- Ici, nous sommes tranquilles un moment avant que Marie ne se réveille, me dit-elle.
Sur ce elle enlève son peignoir pour se présenter nue devant moi, puis elle s’allonge alors sur le lit les jambes grandes ouvertes et me dit :
- Viens Leslie, prends-moi maintenant.
J’enlève mon tee-shirt et mon string et je m’approche d’Yvette, pose ma main sur sa vulve et constate qu’Yvette est déjà bien humide.
- Tu mouilles de désir, lui dis-je.
- Oui, me dit-elle, depuis hier lorsque j’ai entendue les gémissements de Marie.

Allongée au bord du lit les cuisses grandes ouvertes, les pieds reposant à terre, Yvette est indécente dans l’attente d’un prochain plaisir, je m’approche d’elle et je m’agenouille entre ses jambes, en la prenant par les fesses j’approche son pubis de mon sexe érigé, puis me guidant d’une main je place mon sexe à l’entrée de son pubis et d’un seul coup de reins m’enfonce en elle, Yvette gémit sous ma pénétration.

Sa chatte grande ouverte n’attendait que la pénétration de mon membre, Yvette est tellement trempée que mon sexe rentre en elle sans difficulté, Yvette soupire et dit :
- Ohh, Leslie, depuis si longtemps que je suis sans homme, comme c’est bon d’avoir un vrai sexe en moi.
Yvette, divorcée depuis deux ans a certainement profitée de la vie, car ma queue glisse toute seule à l’intérieur de sa chatte brûlante.
- Ohh, comme c’est bon, dit Yvette.
J’accélère le mouvement, sortant mon sexe de la vulve d’Yvette pour mieux la reprendre dans la seconde suivante, elle gémit sous mes coups de reins, puis elle se fige et se cambre dans un orgasme incroyable, la bouche grande ouverte à la recherche d’un peu d’air.
Je me relève et laisse Yvette allongée nue sur son lit, la chatte remplie de ma jouissance pour aller retrouver Marie.


Je retrouve Marie nue sur le ventre et je commence à lui caresser le dos et à l’embrasser sur les fesses, sans se retourner elle écarte ses jambes et se laisse aller dans son demi-sommeil au plaisir.
Je passe ma langue sur ses lèvres humides, puis remonte dans sa raie des fesses et m’arrête au niveau de sa rondelle que j’agace du bout de la langue, Marie se cambre sous la caresse et remonte son cul comme pour aller au devant de la caresse, j’en profite pour darder ma langue et l’introduire un peu dans son anus, Marie gémit et me dit !
- Prends-moi Leslie, prends-moi.
Je me redresse et me positionne pour prendre Marie qui maintenant est en position de levrette, et alors que je frotte mon sexe sur sa vulve, Marie me prend la queue et la dirige vers son minuscule trou en disant :
- Là, prends-moi par le petit, sodomise moi ma chérie.
Je commence donc doucement à forcer cette entrée étroite.
Marie cri vraiment fort, elle est très étroite et est peut-être vierge du cul, mais son envie de sodomie est forte, Marie se détend le plus possible et mon gland force son anneau, Marie émet alors un grand :
- Ohh !
Je ne bouge plus, le gland introduit dans le cul de Marie attendant son consentement pour aller plus profond en elle. C’est Marie qui doucement s’embroche sur mon sexe en reculant en soupirant de plus belle.
- Je suis au fond du cul de Marie, qui déclare :
- Comme c’est bon d’être sodomisée, Leslie je t’offre ma virginité anale.
Elle est serrée, mais semble adorer la sodomie qu’elle découvre avec moi, alors je démarre de lents mouvements du bassin pour limer le petit cul de Marie.
Sa mère doit entendre car ses cris de Marie sont vraiment forts.
J’entre et je sors mon sexe du cul de Marie, puis le rentre à nouveau jusqu'à la garde, je lui pilonne le cul de façon rythmée, et ses cris redoublent, Marie est aux anges.
- Jouis Leslie, jouis avec moi, remplir moi le cul, me dit Marie.
M’enfonçant une dernière fois au fond d’elle, je lâche toute ma jouissance dans son étroit boyau, elle se cambre une dernière fois et s’effondre à plat ventre sur le lit.
En quittant Marie, nue, pour aller prendre une douche, je croise Yvette dans le couloir qui me fait un clin d’œil et me caressant le sexe de la main me dit :
- Tu es très belle ma chérie.
Ce n’est que le samedi matin, et le week-end ne vient seulement de commencer.

Après avoir pris une douche et m’être habillée, j’ai attendue que Marie se prépare en prenant un café, puis Marie m’emmena visiter Paris, nous avons déambulées dans les rues de la capitale comme deux vieilles amies, profitant de chaque instant pour nous embrasser à pleine bouche sous les regards interloqués des passants.
Nous avons flânées ainsi pendant plusieurs heures et ce n’est qu’a la nuit tombante que nous sommes rentrées à la maison.

Yvette nous attendaient, elle avait fait livrer le diner par un traiteur, le temps d’aller prendre une douche et de nous changer et nous voila installées toutes les trois pour un diner aux chandelles.
Après avoir dinées, Yvette nous propose de faire un strip-poker dans le salon, et c’est installées autour de la table basse du salon que nous avons démarrées la partie. N’étant pas très au fait des jeux de cartes et plus particulièrement du poker, je me suis vite retrouvée en string les seins nus, au plus grand plaisir de mes hôtesses, qui elles étaient juste un peu plus habillées que moi.
Lors de la partie suivante que je perdis bien évidement, j’ai enlevée mon string en guise de gage me retrouvant nue devant elles le sexe dressé, c’est le moment qu’Yvette choisit pour déclencher les hostilités, car sans se préoccuper de la présence de sa fille elle dit :
- Oh, quel beau membre tu nous offre là, Leslie.
- Dur et bien raide, prêt à servir dit Marie.
Je me sens un peu gênée entre la mère et la fille, mais Yvette me rassure en disant :
- T’inquiètes pas Leslie, avec Marie nous avons l’habitude de partager nos amants et Marie est au courant de notre aventure matinale.
S’avançant vers moi, Yvette se penche et dépose ses lèvres sur mon gland, sans se préoccuper de sa fille qui est près de nous, puis entrouvrant ses lèvres m’engloutit au fond de sa gorge, et démarre une fellation de rêve, sa bouche est chaude et coulisse doucement sur mon sexe, profitant de cet instant où nous sommes occupées avec Yvette, Marie disparaît vers sa chambre.
Je profite de l’absence de Marie pour chercher la vulve d’Yvette qui est déjà trempée et je doigte Yvette qui gémit sous la caresse en redoublant d’ardeur, avec sa bouche sur mon sexe.
Quelques instants plus tard je vois revenir Marie, nue, harnachée d’un gode-ceinture.
Elle regarde sa mère s’activer sur mon sexe et s’approchant de nous, Marie me dit :
- T’inquiètes pas Leslie, nous avons l’habitude avec ma mère de partager nos amants ou nos amantes et nous sommes très complices, d’ailleurs elle m’a racontée vos ébats de ce matin avant que tu viennes me rejoindre.
Un peu interloquée je regarde Marie qui souriante rajoute :
Et moi je lui ai racontée comment tu m’as merveilleusement enculée, ce qui fait que ma mère à envie de se faire enculée à son tour.

Marie se rapproche de nous et prend un tube de gel dans la table de nuit de sa mère, puis après avoir enduit le gode-ceinture de gel lubrifiant me tend le tube en disant :
- En levrette Leslie t’enfilera mieux.
Yvette se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit, cambrant les reins pour s’offrir en levrette.
Après m’avoir enduit le sexe, j’ai posée mon sexe sur la petite rondelle brune d’Yvette, puis j’ai d’une seule poussée j’ai investit le cul d’Yvette qui surprise sursauta en disant :
- Ohhh, c’est gros.
Je commence alors à pistonner le cul d’Yvette tandis que Marie se positionne derrière moi, Yvette crie sous mes assauts répétés, Marie me demande d’arrêter un instant, juste le temps de positionner le gode sur ma rondelle et de me le rentrer dans l’anus, je suis au fond des entrailles de la mère et enculée par sa fille Marie, Yvette soupire et dit :
- Oh oui elle est bonne ta queue, Marie avait raison.
- Et toi Leslie tu aime quand je t’encule, me demande Marie.
- Oui, c’est bon ma chérie.
Je suis défoncée par Marie qui à chaque coup de reins me propulse au plus profond des entrailles d’Yvette, à l’unissons nous accordons nos mouvements jusqu’au moment ou je sens ma jouissance montée et remplir les entrailles d’Yvette.
Nous avons tous les trois passées le dimanche dans la chambre d’Yvette, la mère et la fille ne se sont pas accouplées préférant me sodomiser à tour de rôle avec le gode-ceinture ou se laisser prendre la chatte et le cul.
Ce n’est qu’en fin d’après-midi que j’ai quittée mes deux amantes pour me rendre à la gare, heureuses de ce week-end, espérant secrètement nous revoir prochainement ensemble ou séparément.

A suivre……

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