Ballades Érotiques 1

C'était une journée d'automne ensoleillée, l'air était frais mais le ciel était d'un bleu lumineux. Dans cette région de collines et de bois, la nature se paraît d'ocre et de roux. Le moment était idéal pour une petite ballade en solitaire.
Vêtue chaudement, elle commença à arpenter les chemins des environs. Tandis qu'elle se régalait du paysage, elle sentit la pointe de ses seins se dresser au contact de son pull qu'elle portait à même la peau. Sa poitrine libre de tout sous-vêtement, tressaillait légèrement à chacun de ses pas sur le sol escarpé, créant ainsi un délicat frottement avec le tissus. La sensation était agréable et son esprit se concentra dessus.
Elle avait ces derniers temps un peu négligé sa vie sexuelle et elle s'aperçut que cela lui manquait. La nature environnante, la légère brise, tout cela exacerbait ses sens. Son sexe se fit plus chaud. Elle aurait aimé porter un jean plus serré pour en sentir la couture contre son clitoris. Elle croisa un promeneur. Il ne pouvait évidemment pas deviner son excitation, mais se trouver dans cet état devant lui ne fit qu'augmenter son trouble. Sa chatte était trempée. L'idée de se caresser là, en pleine nature lui traversa l'esprit. Oserait-elle faire cela? Plus elle y pensait, plus elle avait envie de le faire. Elle s'assura de s'être suffisamment éloignée du promeneur et quitta le sentier pour entrer dans les bois.
Derrière un fourré où elle ne pourrait pas être surprise, elle ouvrit son manteau, baissa son pantalon et écarta sa culotte. Elle resta un instant comme ça, la chatte à l'air, goûtant à la délicieuse sensation de la fraîcheur de l'air en cet endroit. Puis, n'y tenant plus, elle vint caresser de son majeur son capuchon dressé. Il fut très vite enduit de sa mouille. Elle avait très envie de jouir. Elle s'adossa contre un arbre et se penetra vivement d'un doigt. Elle se mordit les lèvres pour un cri. Que c'était bon de se branler ainsi dans les bois! Elle écarta les cuisses pour enfoncer son majeur le plus profondément possible, le faisant rapidement coulisser dans un bruit mouillé.

La paume de sa main venait cogner son clitoris gonflé au rythme de ces furieux va-et-vient. Elle aurait aimé que le promeneur soit là pour la voir se donner ainsi du plaisir comme une grosse salope. Elle aurait aimé qu'il sorte sa bite et qu'il se branle en la regardant. Elle ne pût retenir son cri cette fois - ci. A la pensée du promeneur s'astiquant la queue, elle explosa. Ses jambes tremblaient, elle eût du mal à rester debout. Elle sentit sa cyprine couler abondamment. Des spasmes de plaisir lui parcourent tout le sexe. Sous la violence de son orgasme, ses cuisses se refermèrent. Elle resta ainsi, la main plongée dans son entrejambe, attendant la fin des secousses. Puis elle lécha ses doigts pour les nettoyer, se rhabilla et continua sa promenade comme si de rien n'était. Elle se promit de recommencer un autre jourr.