Ballades Érotiques 2

Depuis sa première expérience de masturbation lors d'une ballade, il lui était arrivé de recommencer. C'était si bon de se branler en pleine nature. Néanmoins, ses doigts ne suffisaient plus à combler son envie au cours de ces petites séances d'onanisme bucolique. Elle voulait aller plus loin. Aussi un jour, elle décida de s'organiser avant de partir en promenade. Tout d'abord, elle enfila une tenue plus adéquate pour se livrer à ce jeu. Elle choisit une robe pull confortable sous laquelle elle mis une paire de collants épais, en apparence tout à fait convenable, mais qui avait la particularité d'être ouvert à l'entrejambe. Bien entendu, elle ne mit pas de culotte. Ensuite, elle glissa dans les poches de son manteau son petit gode noir enveloppé dans un gant de toilette et un paquet de mouchoirs en papier. Ainsi équipée, elle partit arpenter les chemins alentours. Sa tenue avait l'air bien innocente et nul ne pouvait deviner que sous son manteau et sa robe, sa petite chatte était à l'air. L'idée de ce qu'elle allait faire l'excitait déjà. Sous sa robe son sexe était humide.
Elle arriva sur le sentier qui traversait la chênaie. Dès qu'elle fût suffisamment loin de l'entrée, elle ouvrit son manteau et coinça le bas de sa robe dans la ceinture de ses collants. Son intimité ainsi complètement mise à nu, elle continua sa promenade. La sensation éprouvée était délicieuse. Son clitoris surtout appréciait la fraîcheur de l'air et se dressait de plus en plus. Elle glissa sa main entre ses cuisses pour l'enduire de sa mouille, il n'en serait que plus sensible. Elle était de plus en plus excitée et commença à se caresser le bouton tout en marchant. Elle pensait à son gode dans sa poche et avait de plus en plus envie de le sentir en elle. Elle quitta le sentier et se fraya un chemin entre la végétation pour trouver un endroit plus discret. Quand ce fût chose faite, elle s'accroupit les jambes écartées, joua encore un peu avec son clitoris qui était sorti de son capuchon.

Sentant son plaisir prêt à exploser, elle arrêta et resta ainsi, offrant à la caresse de l'air son bouton dressé. Elle ferma les yeux et imagina le regard d'un voyeur sur son sexe, ce qui finit de l'exciter. Elle commença à se doigter, histoire de patienter encore un peu. Elle fut hélas interrompue par des aboiements, il devait y avoir une chasse dans les environs. Rapidement, elle cacha ce qu'il y avait à cacher et rejoint le sentier. La frustration engendrée ne fit qu'augmenter son envie de se pénétrer. Elle continua son chemin, glissant de temps à autres, une main sur sa vulve ouverte de désir.
Elle arriva à la sortie de la chênaie. Là, elle devait emprunter une portion de route goudronnée avant de retrouver les chemins pédestres. Il n'y avait que très peu de passage, il suffisait de tendre l'oreille pour entendre une voiture arriver. Alors elle remonta à nouveau le bas de sa robe, et marcha ainsi la chatte offerte au vent. Sa cyprine enduisait entièrement son sexe et commençait à couler le long de ses cuisses. Elle était comme ivre des sensations éprouvées et de son audace. Sa main droite dans la poche de son manteau, caressait le gode à travers son étui de tissu. Elle le voulait de plus en plus en elle. Sans même réfléchir à ce qu'elle faisait, elle le sortit de sa cachette et l'enfonça entièrement dans sa chatte avide. Elle était là en train de se goder sans s'arrêter de marcher sur cette route de campagne déserte. Son geste était rapide et le jouet coulissait vivement dans son sexe juteux. Elle gémissait doucement, étonnée de ce qu'elle était en train de faire mais y prenant définitivement beaucoup de plaisir. Elle fit une pause dans sa marche, écarta bien les cuisses et continua à se labourer l'entrecuisse. Ses jambes commençaient à trembler, son orgasme était proche. Elle fût cependant une seconde fois interrompue par le bruit d'une voiture. Rapidement, elle ferma son manteau mais garda le gode planté dans sa chatte. Ainsi fourrée, elle reprit sa marche lentement, le plus normalement possible.
Chacun de ses pas augmentait les sensations procurées et des spasmes de plaisir l'envahirent quand le véhicule passa. Quand, il se fut éloigné, elle retira l'objet qui la remplissait, l'essuya et le rangea dans sa poche. Elle arrivait au chemin blanc, là il serait plus difficile d'entendre de potentiels promeneurs arriver. Son envie de jouissance était plus que jamais pressante. Son sexe semblait cogner entre ses cuisses. Dans sa poche, elle caressait avidement le gode.
Bien que petit, il avait l'avantage d'avoir l'extrémité légèrement recourbée, ce qui la massait fort agréablement quand elle s'en servait. Le chemin étant bordé de bois, elle trouva facilement un nouvel endroit pour se satisfaire. Adossée à un arbre, elle ne put s'empêcher de gémir quand le joujoux pénétra dans sa chatte gourmande. Elle l'agita furieusement entre ses lèvres. Il fallait qu'elle jouisse, elle n'en pouvait plus. Elle se sentait tellement en chaleur qu'elle aurait été prête à se faire prendre par n'importe quel chasseur passant par là. Que c'était bon de se comporter ainsi comme une salope. Son bas bas-ventre n'était plus que chaleur. La pointe du gode cognait contre son point sensible. Sa chatte se serrait de plaisir. Son clitoris se dressait insolent. Le bruit mouillé des va-et-vient ne laissait aucun doute sur son plaisir. Tout son corps se raidit soudain et une contraction de jouissance envahit son sexe, expulsant par là même, un jet de liquide qui vint arrosait les feuilles mortes qui jonchaient le sol. Elle n'arrêta pas pour autant son geste et continua à se goder énergiquement. Elle sentait qu'un deuxième orgasme allait venir. Elle était comme en transe, elle sentait sa chatte dégouliner. Elle aimait vraiment se branler comme une chienne en chaleur. Son corps et son sexe se contractèrent à nouveau et une cascade de plaisir jaillit entre ses cuisses. Elle se mordit fortement les lèvres mais ne parvint pas à son cri. Elle garda le gode planté dans sa chatte jusqu'au dernier spasme.
Un peu sonnée par la puissance de son orgasme, elle respira profondément pour reprendre ses esprits, essuya ses cuisses trempées et termina sa ballade.

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