Le 14 Juillet De Nathalie Suite Et Fin

Samedi 14 Juillet.

Nathalie à reçue un sms de Pierre pour nous dire dans quel caserne de Paris se trouvait le bal des pompiers ou il serait.
Il fait beau et assez chaud, le temps est agréable, beaucoup mieux que cette après-midi.
Vers 22h30 nous quittons la maison pour aller le rejoindre.
Nathalie comme à son habitude est vêtue d’une mini-jupe moulante mais élastique pour pouvoir danser, d’un chemisier ample et légèrement transparent laissant deviner son opulente poitrine libre de tout soutien-gorge et d’une paire de haut talon.
Elle porte aussi une petite veste légère au cas où il ferait plus frais dans la soirée et afin aussi de cacher un peu le chemisier transparent et d’être habillée un peu plus soft, du moins pour l’instant.
Quand nous arrivons, Pierre, qui devait je pense surveiller l’entrée, s’est dirigé vers nous.
Nathalie nous a présenté et lui a directement roulée une pelle en guise de bonjour et de mettre tout le monde à l’aise.
Il nous invite à le suivre jusqu’à la buvette où se trouvait ses camarades.
Nous commençons à discuter de tout et de rien en buvant une bière.
Il nous parle du défilé ou ils ont essuyé une grosse averse qui les a trempés de la tête aux pieds.
Heureusement après le défilé ils ont pu retourner à leur caserne pour prendre une douche et enfiler un autre costume militaire pour le soir.
Voyant que le courant passait bien, Nathalie nous a laissé pour aller danser au milieu de la cour qui faisait office de piste de danse.
Il y avait beaucoup de monde qui dansait.
Nathalie s’étant faufilée un peu vers le centre de la piste, j’avais un peu de mal à la voir.
Je me disais que de toute façon ici elle ne risquait rien au milieu de tous ces militaires, gendarmes, gardes nationaux, pompiers et légionnaires.
Elle se déhanchait au rythme de la musique quand elle sentie soudain une main se poser d’abord sur son épaule puis sur ses fesses.


Elle se retourne alors brusquement, prête à assener une gifle au goujat, quand elle reconnait Didier, le frère de Pierre.
« Qu’est-ce que tu fais là tu t’es perdue »
« Non, Pierre m’a dit qu’il était là et je suis venue avec mon mari, ils sont là-bas et discutent ensemble »
« Heuuuu… ça craint Non ? »
« Mais non, mon mari est au courant et d’ailleurs après on ramène ton frère à la maison pour faire un trio »
« Dommage que vous fassiez ça avec Pierre sinon je me serais incrusté »
« Deux frères ensemble ça ne me gêne pas, moi »
« Moi un peu, je préfère avec un pote qu’avec mon frangin »
« Tant pis pour toi, moi dans tous les cas j’aurais au moins deux hommes pour me combler ce soir »
« Tu es toujours aussi belle, j’ai envie de toi, ça te dit de me suivre ? »
« Pourquoi pas »
Il lui prend la main et l’emmène à l’intérieur de la caserne vers une petite pièce à l’écart qui doit servir de débarras et qu’il avait certainement repéré avant, au cas où.
A peine arrivé, il ferme la porte, se retourne vers ma femme et l’embrasse aussitôt.
Ses mains vagabondes sous sa jupe pour lui caresser les fesses puis sous son chemisier qu’il ouvre complétement pour pouvoir poser sa bouche sur les tétons érigés.
Il passe de sa bouche à ses seins et inversement avec fougue.
Nathalie se laisse faire et apprécie ses caresses, elle répond à ses baisers et commence à avancer sa main vers la bosse de son uniforme.
Sa main détache son pantalon pour extraire le sexe bien raide de Didier.
Elle le masturbe un peu puis s’agenouille pour le prendre en bouche.
Elle enroule sa langue sur ce chibre qui lui a donner tant de plaisir la veille.
Puis elle le suce énergiquement en faisant coulisser sa main sur sa hampe et en jouant avec sa langue sur le gland qu’elle aspire en le recouvrant de ses lèvres pulpeuses puis le lèche en le titillant du bout de la langue.
Didier très excité par cette fellation, sort une capote de sa poche, l’enfile et relève ma femme en la faisant se tourner dos à lui les mains sur la porte et jambes écartées afin de pouvoir coulisser son sexe dans le fourreau humide de ma femme.

Il entame alors de grands va et vient à l’intérieur de son sexe déjà trempé par l’excitation.
Il la tient par les hanches pour bien la pilonner à fond.
Cette bite bien dure qui la défonce ne tarde pas à procurer une première jouissance à Nathalie qui se retient quand même un peu de crier pour ne pas ameuter la caserne.
Dopé par cette jouissance, Didier redouble d’ardeur et la pilonne de plus en plus fort.
Quelques minutes plus tard elle prend à nouveau son pied avec cette bite qui lui taraude la chatte.
Il sort, la retourne, la soulève pour qu’elle s’accroche avec ses jambes autour de son bassin puis la pénètre à nouveau.
Leurs bouches peuvent alors se souder et leurs langues s’entremêler dans de langoureux baisers.
Elle l’entoure de ses bras tout en subissant les assauts de ce jeune fougueux militaire qui la démonte dans le débarras d’une caserne de pompier.
Cette situation mêlée à la fougue de son jeune amant lui arrache une troisième jouissance qu’elle bâillonne en collant sa bouche contre la sienne.
« Je vais te finir avec ma bouche » lui dit-elle
Sans se faire prier, il se retire et enlève sa capote.
Ma femme s’agenouille de nouveau face à lui pour le reprendre en bouche.
Elle le lèche de la base des couilles jusqu’au gland puis enroule ce dernier avec sa langue en l’aspirant et de nouveau redescend sa langue jusqu’à lui lécher puis aspirer les boules.
Pendant plusieurs minutes elle lui prodigue une fellation dont elle a le secret, jusqu’à le sentir se raidir, lui attr la tête pour qu’elle le garde bien dans la bouche et se vider de plusieurs jets de sperme qui vont s’écraser au fond de sa gorge.
Elle avale goulument son nectar puis ressort son sexe de sa bouche pour bien le nettoyer et extraire les dernières gouttes de sperme de son gland.
Ils se rhabillent puis sortent ensemble.
Nathalie vient me rejoindre à la buvette et me roule une pelle chargée de sperme.

Je comprends alors qu’elle vient de se faire une séance de sexe et au vue de son regard enjoué, qu’elle a apprécié.
Un des militaire autour de nous lui tend une bière qu’elle accepte volontiers.

Au cours de la soirée elle navigue entre la piste de danse et le bar ou nous sommes.
Un peu plus tard, alors qu’elle était sur la piste, Sébastien s’est lui aussi rapproché d’elle.
Certainement prévenu par Didier que Nathalie était là, il l’avait enfin retrouvé.
« Didier m’a dit qu’il t’avait vu sur la piste » lui dit-il avec un sourire plein de sous-entendu.
« Quand je vois ta bouche si pulpeuse, je repense aussitôt à cette nuit que tu nous as fait passer et ça me donne des idées » renchérit-il. « J’aimerais bien la sentir une nouvelle fois »
Tout en lui parlant il s’était collé contre elle en laissant vagabonder ses mains.
Voyant qu’elle n’avait pas de réaction négative, il lui a à son tour pris la main pour l’emmener au même endroit que son pote.
Une fois la porte refermée il se sont embrassé avec passion et fougue.
Pendant ce baiser langoureux il promenait ses mains sur les fesses de ma femme.
Elle lui a détachée son pantalon puis s’est agenouillée avec la ferme intention de le sucer jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche.
Sa bite était déjà bien tendue, elle l’a avalée entièrement et a commencé à le sucer avec tout son savoir-faire.
Une petite dizaine de minutes a suffit pour en venir à bout.
Trois grosses giclées de sperme qu’elle a avalée avec gourmandise.
Me retrouvant au bar, elle m’a de nouveau gratifié d’une grosse pelle au gout de sperme.
« Tu ne chômes pas ce soir » lui dis-je doucement à l’oreille.
« Je te raconterais ça plus tard » me répondit-elle, avec toujours ce sourire enjoué.

Pierre et ses collègues n’avaient, comme moi, pas bougé de la buvette depuis le début de la soirée, sauf que je n’avais presque pas bu car je voulais conduire au retour.

Je voulais faire le chauffeur avec Nathalie et Pierre tous deux à l’arrière du 4X4 a se chauffer voir plus.

Un peu plus tard, Nathalie est venue nous retrouver en nous demandant si on pouvait rentrer car elle avait deux hommes à satisfaire.
Pierre nous a demandé si ça ne gênait pas si un de ses camarade venait avec nous car il avait bu plus que de raisonnable et ne voulait pas le laisser rentrer seul.
Nous nous sommes alors dirigés vers la voiture, Pierre s’est installé à l’avant, Nathalie et son collègue Antoine se sont assis à l’arrière.
Pierre avait du parler a son pote de ma femme car peu de temps après notre départ, Antoine, pas si bourré que ça, à poser sa main sur la cuisse de Nathalie.
Tout naturellement ils se sont embrassés jusqu’à ce que ma femme ouvre son pantalon pour prendre sa bite en bouche.
Le voyage du retour fut plus long que l’aller car il y avait beaucoup de monde sur la route.
Antoine s’est fait sucer jusqu’à notre arrivé à la maison. L’alcool devait faire son effet car son érection lui jouait parfois de mauvais tour.


Nous sommes montés tout les quatre dans la chambre, tout le monde s’est mis à poil, Nathalie s’est allongée au milieu du lit, Antoine s’est assis dans un fauteuil, il avait besoin de reprendre ses esprits.
Pierre et moi nous sommes installés de chaque côté de ma femme et avons commencé à la caresser et l’embrasser partout.
Nos bouches se promenaient tantôt sur son cou, tantôt sur son ventre, tantôt sur ses seins.
Elle soupirait de plaisir provoqué par ses baisers qu’elle recevait de deux hommes.
Pierre à plonger sa tête entre ses cuisses pour la lécher puis entrer sa langue à l’intérieur de son sexe, il lui titillait le clito puis revenait lécher ses lèvres intimes, replongeait sa langue plus profond encore en elle et ressortait pour rejouer avec son clito.
Ce traitement a eu raison d’elle assez vite.
Elle a explosé de plaisir dans une jouissance en criant très fort et en inondant la bouche de Pierre qui était toujours collé à son sexe.
Fier de l’avoir faite jouir ainsi, il a continué à la lécher pendant que moi je l’embrassais en lui caressant les seins.
Ma bite était tendue à son paroxysme, je pense que celle de Pierre aussi, bien que je ne la voyais pas vu qu’il était toujours allongé la tête entre les cuisses de ma femme.
J’ai approché mon sexe de la bouche de Nathalie pour qu’elle me suce, quelques gouttes de liquide séminale suintaient de mon gland tellement j’étais excité.
Elle les a léchés puis à avaler ma bite pour lui faire subir les assauts de sa langue, j’avais l’impression de la sentir partout en même temps.
J’avais beau connaitre sa bouche par cœur, je n’ai pas résisté longtemps à cette pratique buccale.
Je lui ai envoyé plusieurs rasade de sperme au fond de la gorge qu’elle a avalé avec délectation.
Pierre pendant ce temps l’a faite jouir une nouvelle fois avec sa langue.
Il s’est relevé a approché sa bite de la bouche de ma femme qui l’a aussitôt gobé.
Il m’a demandé un préservatif qu’il a enfilé en s’allongeant pour que ma femme vienne le chevaucher.
Elle s’est empalée sur ce sexe tendu à l’extrême.
Un long soupir de plaisir s’est échappé de sa bouche en sentant cette belle queue entrer en elle.
Elle était assise sur sa bite et lui la soulevait à grands coups de rein.
Ses mains lui caressaient les seins pendant qu’il la prenait.
Elle a joui très vite encore une fois.
La vue de ce couple en pleine action a redonné vigueur à mon sexe.
Antoine commençait à émerger et s’est approché de Nathalie, debout sur le lit son sexe en érection était à la hauteur de sa bouche.
Ma femme à commencé à le sucer pendant que Pierre la baiser.
La situation m’excitait beaucoup et mon sexe était de nouveau au maximum de sa forme.
Pierre s’en étant aperçu m’a proposé de prendre sa place.
Je me suis donc allongé, Nathalie est venue s’assoir sur mon sexe face à moi, elle s’est allongée sur mon torse obligeant Antoine à se contorsionner pour continuer de se faire sucer.
Cette position faisait que les fesses de ma femme devenaient vulnérables.
Pierre sautant sur l’occasion à commencé à titiller son anus comme il l’avait fait l’autre nuit dans la voiture.
Nathalie était plus décontractée cette fois, car elle savait que Pierre était attentionné avec cette pratique.
Petit à petit, un doigt, puis deux, puis Pierre vêtue d’un nouveau préservatif a enfoncé doucement sa bite dans le cul de ma femme.
Une fois entré complétement nous avons synchronisé nos mouvement pour la pénétrer et qu’elle sente bien nos deux bites aller et venir en elle.
J’avais le visage de ma femme juste au-dessus du mien, j’ai vu son plaisir monter en puissance très vite, je ne l’avais jamais vu avec autant d’expression de plaisir.
Elle avait lâché la bite d’Antoine pour se focaliser sur les deux sexe qui étaient en elle et qui lui donnaient un plaisir qu’elle n’avait jamais ressentie avant.
Elle est partie dans une jouissance aussi bruyante que longue, pendant plusieurs dizaines de secondes elle s’est retrouvée submergée par le plaisir à la limite de l’évanouissement.
Elle s’est alors complétement écroulée sur moi et a mis plusieurs minutes à retrouver ses esprits.
Nous étions toujours bien calés en elle le sexe en érection, je sentais celui de Pierre bien encré dans ses fesses qui recommençait de léger va et vient.
Voyant que ma femme reprenait ses esprits, j’ai moi aussi recommencé mes va et vient en me synchronisant de nouveau avec Pierre.
Antoine au meilleur de sa forme a repris sa place dans la bouche de ma femme juste au-dessus de moi.
Trois bites en même temps pour elle.
Elle était radieuse et heureuse.
Cette position lui a value plusieurs nouvelles jouissances successives.
La fusion de ces quatre corps était si parfaite que nous avons tous joui presque simultanément, Pierre dans ses fesses, moi dans sa chatte et Antoine sur son visage juste au-dessus du mien.
J’ai bien évidement reçu quelques éclaboussures de sperme, Nathalie en avait plein les joues, les lèvres et un peu dans les cheveux.
Elle m’a aussitôt embrassé goulument.
Quand elle a quitté ma bouche, le sperme sur ses lèvres avait disparu et moi j’en avais le gout sur ma langue.
Une petite toilette, une pause cigarette et nous avons recommencer notre nuit de folie.
Cette fois ci nous l’avons pénétré chacun notre tour pendant qu’elle branlait un et suçait l’autre.
Puis nous avons inversé les rôles, le sucé devenait le branlé, le branlé devenait le baiseur et le baiseur devenait le sucé.
Nathalie ayant la faculté de pouvoir jouir des dizaines de fois ne s’est pas privé d’en profiter.
A un moment Nathalie m’avait chevauché pendant que Pierre et Antoine de chaque côté d’elle se faisant sucer.
Je voyais bien sa bouche lécher ces deux queues, cette vision était plus qu’excitante, je sentais ma jouissance monter.
Nos deux comparses, eux aussi très excités lui ont dit qu’ils allaient jouir.
Elle a englouti leurs bites au maximum dans sa bouche pour qu’ils se déversent en elle.
J’ai vu leurs bites tressaillir lorsqu’ils se sont vidés dans sa bouche, elle a tout avalé… ou presque.
A peine sont-ils sortis de sa bouche qu’elle est venue m’embrasser la langue encore pleine de sperme mélangé des deux militaires.
Ce baiser a eu pour effet de me faire jouir instantanément.
J’ai joui en avalant la semence qu’elle m’avait donné en m’embrassant.
Nous avons vers 6h du matin déposé nos deux militaires à leur caserne et ne les avons jamais revus.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!