La Gourgandine ( 28 )

28----- Le mercredi suivant, il vient me chercher à 7h, me donne ma leçon de conduite, ne me parle pas de la nuit qu’il a passé avec moi. Les leçons se succèdent, il ne me propose plus aucune baise en compensation. Il a peut être du remord, il a peur de m’avoir collé un polichinelle dans le tiroir. On est début octobre, mon permis c’est le 12. Ca va faire une heure que je suis au volant, il me dit :
- Tu te débrouilles vraiment bien, t’es douée, tu devrais l’avoir du premier coup !
- J’ai envie de me faire sauter !
- C’est toi qui demandes, qu’est c’qui t’arrive ? Tourne à droite !
- Où on va ?
- J’connais un endroit calme !
- On ne rentre pas au bureau ?
- T’as déjà baisé dans une voiture ?
- Non !
À 8h du soir il commence à faire très sombre, je dois rouler avec l’éclairage. Je m’engage dans une zone industrielle, tout est fermé. Ca se termine en impasse, l’endroit est absolument désert. Il me dit :
- Descends, passe à l’arrière !
Je suis en jupe, sweet, veste, parce qu’il commence à faire frais. C‘est un modèle voiture de ville, donc pas très grande ni spacieuse. Je monte à l’arrière, il s’installe à côté de moi.
- On ne peut pas faire grand chose, y a pas la place !
- Ca s’ra pas commode, mais je vais quand même te la rentrer !
Il a passé sa main sous ma jupe, l’entre dans ma culotte, un doigt titille le clito. Je retire sa main, enlève ma culotte,
- Dépêchez vous, j’ai envie !
J’ouvre sa braguette, peine à sortir son outillage tellement il est raide, je me penche, le prends en bouche. Il ouvre ma veste, relève mon sweet sur le devant, dégage mes seins, me pelote, suce mes tétons, d’une main il me pétrit les seins, de l’autre m’enfile 2 doigts dans le vagin, les fait coulisser,
- Tu mouilles ma salope !
Il est rouge de bite et de visage. Il me dit :
- Mets-moi une capote !
- Aujourd’hui on peut sans
- T’es pas en cloque au moins ?
- J’crois pas ! J’vais bientôt savoir !
- Viens t’emmancher là dessus !
Je me glisse sur ses genoux, c’est pas commode, je remonte ma jupe, me penche en avant, prends la queue, la positionne sur mon orifice vaginal.

Il me tient aux hanches, je descends doucement, ça rentre, je m’embroche, sa queue disparaît. Je commence une chevauchée, un grand galop, m’appuie sur le dossier passager, il m’aide par des coups de reins, je couine. Heureusement que les vitres sont embuées, on ne peut pas voir ce qu’il se passe à l’intérieur ! Il me bascule, me relève une jambe, je me retrouve dans une position inconfortable, la moitié du corps sur le siège avec une bite qui s’active dans mon vagin. Il n’y a vraiment pas de place, la position n’est pas terrible, il me défonce, je sens que je viens. Ca y est, je suis foutue, je réagis à chaque coup de bite, me voilà partie, mon cœur passe le 110, je transpire, pousse un cri de jouissance vite étouffé par sa main
- Whouiiiiiohooohaaaaaaaa !
En même temps il se bloque au fond de moi, han, han, soubresauts, jouit et en grognant envoie ses jets de foutre au fond de mon conduit, c’est chaud ! On reste comme ça encastrés l’un dans l’autre, lentement il ressort de moi. Je m’assieds, ma jupe est relevée, j’ai le cul nu, je sens que ça coule :
- Tâches pas le siège !
J’ouvre mon sac en vitesse, m’essuie avec un kleenex, le jette dehors, prends un tampon, l’enfile dans mon vagin, remets ma culotte.
- T’es certaine qu’aujourd’hui y a pas de risque ?
- Oui, je dois avoir mes règles à partir de demain !
- Je comprends pourquoi t’as pris des tampons !
- Simple précaution ! C’est pas à un jour près !
Il bande encore un peu, il me donne sa bite à sucer, me fait avaler une dernière giclée. Je rabats ma jupe, il s’essuie la queue, range ses bricoles. On repasse à l’avant,
- T’avais prévu de te faire tirer ?
- Non, soudain j’ai eu envie d’une bonne bite !
- Pourquoi cette soudaine envie ?
- Je ne sais pas, ça m’arrive parfois!
Je conduis de nuit, il est bientôt 9h quand je rentre à la maison. Ma mère me voit arriver, me dit :
- Qu’est c’que t’as foutu, t’as vu l’heure, on t’attend pour manger !
- Le moniteur m’a initié à la conduite de nuit, le 12 je passe mon permis.

- Et c’est la seule initiation à laquelle t’as eu droit ?
- Ben oui, pour le cul, si c’est à ça que tu penses, j’ai plus besoin d’être initiée !
- Qu’est ce que c’est que cette vulgarité !
- Tu m’poses une question, j’y réponds !
C’est le jour du permis, on y va à 2 voitures, il y a 4 candidats. Je conduis, le patron d’auto école est à côté de moi, derrière 2 candidats. Je m’arrête, je reste au volant seule avec l’examinateur. Il me fait rouler, manœuvrer, démarrer en côte, me pose des questions de code. Je le connais par cœur, je suis calme, bien reposée, pas du tout crispée. Au terme de l’examen, il me donne un petit papier rose, me dit :
- Vous méritez votre permis, vous avez fait un parcours sans faute !
Je descends, laisse la place au suivant, montre le papier au patron de l’auto-école, l’emmène un peu à l’écart, à voix basse je lui dis :
- Merci, grâce à vous je l’ai eu du premier coup. Je serais à vous quand vous voudrez !
- J’ai pas de temps libre en ce moment, je te ferais signe !
- Ne soyez pas inquiet, j’ai rien dans l’tiroir.
- Ouf, j’suis content de te l’entendre dire !
- Vous avez mon N° de portable ?
- Oui, prends la pilule, j’préfère !
- Ok, j’aime sentir votre foutre gicler au fond de moi !
- Et moi je préfère te baiser sans capote !
L’après midi je vais au bureau, annonce la bonne nouvelle à mon chef de service et à mes collègues. L’un d’eux me demande :
- T’as pris combien de leçons ?
- 20 je crois, 2 par semaine pour les 10 premières leçons, inscription, ensuite une seule par semaine, je l’ai eu en moins de 4 mois, c’est quand même long. Il faut attendre 2 mois pour avoir la date de l’examen. Ce matin, sur 4, je suis la seule à l’avoir eu du premier coup.
- Dis donc, t’es performante comme ça dans tous les domaines ?
- N’essaye pas de savoir, tu risques de ne pas n’être que déçu !

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