La Gourgandine ( 21 )

21---- Avec le moniteur le petit manège continu. On retourne deux fois dans le petit bois, je lui taille une pipe entre 2 voitures en stationnement dans une impasse, dans ces cas là j’ai droit à une leçon gratis le lendemain matin à 8h. Je viens de prendre la 15 ème leçon, fin du contrat avec le patron de l’auto-école. Le moniteur me dit :
- Le patron veut te voir !
Au lieu de revenir directement chez moi je prends la direction de l’auto école, il me dépose, s’en va !
- Il te reconduira ! Demain soir je suis en vacances !
Il est 7 h quand j’entre dans le local, il est derrière son bureau. Ce jour là je suis en jupe et corsage léger, on voit que je ne porte pas de sous-tif !
- Asseyez-vous ! J’ai envoyé les papiers il y a plus d’un mois, je n’ai pas encore de réponse pour la date de l’examen. En attendant, il faut continuer à prendre des leçons, plus vous aurez d’expérience, plus vous aurez de chance de l’avoir du premier coup ! Je vous propose de continuer à prendre une leçon par semaine, le mercredi de 6 à 7 avec moi, votre moniteur prend ses vacances. Il faut encore compter à peu près de 12 à 15 leçons.
- Mon budget ne me le permet pas ! Je me suis déjà privé de vacances pour payer mes cours de conduite !
- Je peux vous proposer des payements échelonnés !
- Ca ne m’arrange pas, dans ce cas il faut que j’empreinte à la banque !
- Bon, alors je ne vois pas ce qu’on peut faire !
- Je dois faire mes comptes.
Je me lève, prends mon sac, commence à me diriger vers la sortie.
- Vous pouvez me raccompagner ?
- Attendez, vous n’allez pas abandonner ?
- Je ne sais pas, j’suis fauchée !
- C’est dommage, vous avez toutes vos chances !
- Je sais, j’peux pas plus, j’ai pas le budget !
- Venez, j’ai quelque chose à vous montrer !
Je vois tout de suite où il veut en venir. Passe à la casserole ma petite, sinon ton permis va te coûter la peau des fesses ! C’est un mec dans la quarantaine, grand, costaud, au jugé au moins 1,80 m dans les 80 kg, marié.

Il se lève, entre dans la pièce qui sert pour les cours de code.
- Aller, venez !
J’entre dans la pièce, il referme la porte derrière lui, allume car les rideaux sont tirés. Je connais cette pièce, j’y suis déjà venue plusieurs fois avec les autres. Il y a là : Une table le long d’un mur, un téléviseur en hauteur, un magnétoscope et tout un lot de cassettes. Et une douzaine de chaises, des rideaux opaques aux fenêtres. Je fais un tour d’horizon, dépose mon sac sur un coin de table, demande :
- Qu’est ce que vous voulez me montrer ?
- Ca !
Il ouvre sa braguette, sort l’ensemble bite et couilles du slip, tient sa queue dressée vers moi, elle est rouge et raide. J’en suis interloquée, reste figée, je ne m’attends pas à une offre aussi directe.
- Rangez ça, pour qui vous m’prenez !
Il s’approche tout près, bite à l’air, plaque ses mains sur mes fesses, les remonte le long de mon corps, elles s’arrêtent sur ma poitrine, emprisonnent mes seins. Je le repousse brutalement, me retourne, prends la poignée de la porte, m’apprête à l’ouvrir.
- Laissez moi !
Il me retient par le bras, me tire vers le centre de la pièce, je me retrouve plaquée contre lui, je sens sa bite en érection appuyer sur mon ventre.
- Tu veux que je t’aide à aller jusqu’au permis ?
Je sais que si je veux prendre encore des leçons pour passer mon permis il va falloir que j’y passe !
- Vous voulez m’baiser ?
- Oui !
- Qu’est ce que j’ai en échange ?
- Une leçon gratuite !
- C’n’est pas assez cher payé !
- Qu’est ce que tu veux de plus ?
- Des leçons gratuites jusqu’au permis.
Je le dévisage, m’éloigne de lui, me retourne et me dirige de nouveau vers la porte. Il m’arrête, se met devant moi, me tient les bras :
- Montre-moi tes seins !
- Et puis quoi encore ?
- J’ai envie de toi !
- Ca j’le sais !
Je suis seule avec lui dans cette pièce, je comprends qu’il ne m’en laissera pas sortir sans m’avoir baisée.
Autant faire ce qu’il demande. Dès le début je me doutais que ça allait se terminer comme ça. Il est là, devant moi, me regarde, d’un air résigné je déboutonne mon corsage, l’ouvre,
- T’as des jolis petits nibards !
Il les caresse, les pétrit, suce mes tétons, ma poitrine durcit, je sens qu’en moi il se passe quelque chose, ça me chatouille en bas, une envie de queue. Je réagis à ses caresses, le repousse, le tiens à distance, lui dit sèchement :
- Pas touche, j’vous ai dit c’que j’veux !
- On verra ça plus tard !
Il revient se coller contre moi, me prend la main, la met sur sa bite, je la referme, serre la tige, prends les valseuses, roule les testicules entre mes doigts.
Il bande comme un cerf, les bourses sont gonflées, velues, je les triture. Il a remonté ma jupe, mis ses mains sur mes fesses, les pétrit. J’ai toujours son attirail bien en main, presse les testicules l’un contre l’autre, il est à ma merci, il me dit sur un ton péremptoire :
- Lâche-moi la grappe, tu vas me faire mal !
- Pas tant que j’ai pas la réponse !
- Serre pas ma queue comme ça !
- C’est oui ou c’est non ?
- J’te dirais ça quand j’t’aurais baisé !
- Pas de réponse, pas de cul !
- Bon c’est oui pour la prochaine leçon.
- Non, j’en veux jusqu’au permis !
Je m’écarte un peu, j’ai lâché la queue, repris les boules, les presse doucement l’une contre l’autre. Lui s’est re-plaqué contre moi, me serre les fesses et écarte ma culotte, m’enfile un doigt, je mouille.
- Enlevez votre doigt ou je serre les boules !
- J’peux rien dire tant que j’tai pas essayée !
- J’baise pas sans contre partie !
- C’est bon, t’auras c’que tu demandes !
- Ok, dans ce cas j’accepte de me faire sauter !
- Commence par me sucer !
Je m’accroupis, prend le gland en bouche. Il est rouge violet, va exploser.
La queue est un peu moins longue et grosse que celle de mon beau-père, au jugé elle fait à peu près 4,5 x 15/16 ! Un beau morceau, mieux que celle du moniteur qui est plutôt monté en 4 x 12. Je le suce, absorbe les couilles une par une, il m’enfonce sa bite en fond de gorge, me tient la tête jusqu’à ce que j’étouffe. Je la sens grossir, se contracter, je le repousse, me relève.
- J’n’aime pas avaler le foutre !
- Présente-moi ton cul !
- J’baise pas à cru !
- J’ai pas d’capote !
Je me dirige vers la table, il se précipite sur moi :
- Hèp là, te barres pas !
- Mais non ! J’finis toujours ce que j’ai commencé !
Je le repousse, en prends une dans mon sac, la lui donne, il déchire l’étui, la déroule sur son mandrin.
- Ca te plait comme ça ?
- Maintenant vous pouvez me prendre !

À suivre 22

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!