Aline Soumise

Dix heures du matin. Je me réveille, Jean-Luc et Catherine sont partis me laissant seul, toujours vêtu de mon corset et de mes bas. Je repense à cette nuit, d’abord mon « habillage » dans cette boutique puis dans la rue au bras de Jean-Luc, je me suis senti sa « femme » à ce moment là ou plutôt « sa salope » comme il dit. Je ne pensais pas prendre autant de plaisir à me promener ainsi habillé. Puis la surprise de voir Catherine dans la voiture et dernière surprise la décision de Jean-Luc de finir la soirée chez moi. J’eu beau protester, lui parler des voisins, il a seulement répondu qu’en tant que salope je devais obéissance. J’habite un immeuble de banlieue à deux étages, je suis au deuxième dans un appartement de 100 m carrés, donation de mon ex-épouse qui m’a largué il y a cinq ans car je n’étais qu’une lavette à ses yeux, si elle me voyait maintenant. Au RDC vit un jeune couple d’une vingtaine d’années et au premier une vieille dame, la propriétaire de l’immeuble, sourde comme un pot. Dans la voiture je priais que personne ne me voit. Jean-Luc fit exprès de se garer loin afin d’avoir le plaisir de me voir marcher dans la rue avec mes talons. Je commençais d’ailleurs à m’habi à leur hauteur de 8 cm, Catherine me complimenta puis elle me dit qu’ainsi vêtu j’avais l’air d’une putain, Jean-Luc acquiesça. Nous croisâmes quelques personnes que je ne connaissais pas et puis en rentrant dans l’immeuble nous nous trouvâmes nez à nez avec mes jeunes voisins. Je ne savais plus quoi faire.
-« Aline, tu ne nous présente pas ?» dit Jean-Luc.
-« Heu, oui, oui. Jean-Luc et Catherine je vous présente Jessica et Philippe, Jessica et Philippe voici Jean-Luc et Catherine. »
-« Enchanté » répondirent Jessica et Philippe, « Bonne soirée » dirent-ils en sortant de l’immeuble.
J’étais mort de honte.
-« Il faudra t’y faire Aline, lorsque nous serons ensemble tu seras toujours vêtu comme une salope ou une putain, compris ? » me dit Jean-Luc.


-« Oui maître. »
Arrivé chez-moi Jean-Luc s’assis sur le canapé. Catherine m’ordonna de lui servir à boire puis de déambuler dans le salon et d’essayer d’avoir une démarche de salope. Je dus changer de talons et mettre les 16 cm, cela fût ardu mais Jean-Luc m’encouragea. Avec ces talons je me sentis encore plus femme.
-« Bien, maintenant je vais commencer ton apprentissage » dit Catherine. « Nous allons commencer par la masturbation. Tu vas aller enlever le pantalon et le slip de Jean-Luc. »
J’obéis et je me mis à genoux devant Jean-Luc, une fois le pantalon et le slip enlevé je me suis retrouvé face à sa grosse queue, celle qui m’avait fait tant de bien dans mon cul. Elle était magnifique.
-« Prends-la en main » dit Catherine.
J’obéis, elle était dure, je la caressais doucement sur les conseils de Catherine, je touchais le gland, il était tout doux. C’était la première fois que je touchais une autre queue que la mienne et j’aimais ça. Jean-Luc aussi avait l’air d’aimer, il gémissait, me traitant de pute et de salope.
-« Bien, maintenant tu va la sucer comme tu le ferais pour une sucette » dit Catherine.
En fait cela faisait un moment que j’en avais envie et l’ordre de Catherine me fit le plus grand effet, j’approchais mes lèvres du gland de Jean-Luc et l’engloutis doucement jusqu'à ses couilles. Cela me procura une étrange sensation, ce gros membre dans ma bouche, tout dur et si doux à la fois. Je m’appliquais à bien le sucer, étant novice en la matière, Catherine me donnait des conseils. Ma bite me faisait mal tellement elle bandait et je me pris à gémir de plaisir en suçant cette belle queue.
Tout à coup Jean-Luc se crispa.
-« Ahhhh oui, salope prend ça, je jouis, ahhhhhhhh »
Je reçus une grosse giclée de sperme qui failli m’. Catherine me maintien la tête.
-« Continu, avale tout » me dit-elle. »
Je fis de mon mieux mais le flot était conséquent et il s’en écoula le long de mes lèvres.
J’en avalai quand même presque tout. C’était chaud et pas désagréable, mon ex-femme trouvait ça dégoûtant, moi je trouvais cela délicieux.
-« Tu suces bien ma salope » me dit Jean-Luc, « Pour te récompenser je vais t’enculer ».
Enfin, je n’avais cessé d’y penser depuis cette première fois dans la cuisine de Catherine. Je pris la place de Jean-Luc sur le canapé, tête dans les coussins et le cul bien relevé. Jean-Luc retroussa ma robe, ôta mon string. Catherine mit de l’huile sur mon anus et enduit le sexe de Jean-Luc puis elle le présenta à l’entrée de mon petit trou. Jean-Luc poussa un bon coup et son gland pénétra mon anus, je poussais un petit cri.
-« Ca va ? » me dit Jean-Luc.
-« Oui, continu ».
Jean-Luc me lima comme une chienne que j’étais devenu, je gémissais sous les coups de boutoirs de sa queue. Moi qui hier encore ne jurais que par les femmes me comportais aujourd’hui comme la dernière des catins, prête à tout pour une queue.
-« Catherine viens soulager Aline. »
Catherine vint alors me branler tandis que Jean-Luc continuer à m’enculer, tout d’un coup il se retira et gicla son foutre sur mon cul, à ce moment j’éjaculais dans un râle profond une tonne de foutre, je n’avais jamais autant jouis de ma vie. J’étais heureux et prêt à tout pour de nouveau connaître la volupté d’une bonne sodomie.
Avant de partir Jean-Luc m’avait laissé quelques consignes. Je devais passer le plus clair de mon temps habillés en femme avec des hauts talons pour que je m’y habitue. Catherine passerait de temps en temps pour parfaire mon éducation de salope, seule ou accompagné d’un des amis de Jean-Luc que je devrais sucer bien à fond mais il n’avait pas le droit de m’enculer, seul lui, Jean-Luc en avait le droit et aussi Catherine avec des godes. J’étais extrêmement fier que mon cul n’appartienne qu’à mon maître.
J’en étais la de mes pensées quand on sonna à la porte, c’étais la propriétaire venant chercher son loyer. Etant un peu aveugle, je décidais de la recevoir habillé en femme, je remis ma robe, mes escarpins et alla lui ouvrir.

-« Bonjour mademoiselle, Alain n’est pas là ? »
-« Non, mais entrez, je suis Aline une de ses amies, Alain m’a donné le chèque pour vous, asseyez-vous. »
-« Merci, vous êtes absolument ravissante mademoiselle, Alain à bon goût. »
Je souris en pensant à Jean-Luc, je crois qu’il serait fier de sa salope s’il me voyait.

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