Une Soumise

J’étais allongée sur le lit. J’attendais Mon maître. Il devait rentrer du travail. J’étais en pyjama en coton de lin blanc, quasi transparent. Je dormais quand Mon maître est rentré. Il s’est déshabillé et est venu me rejoindre sous les draps. Aussitôt il glissa sa main sous mon tee-shirt et palpa mes seins. Il serra mes seins dans sa main, les faisant se rejoindre. Il m’enleva mon haut. Mes seins pendaient un peu à cause de leur poids, je rougis en me caressant le sein gauche. Mes tétons se dressèrent.
- Hum et si je mettais mes doigts dans ta chatte pour te récompenser de me sucer.
- Non, je suis fatiguée.
- Mais si mais si… Je sais que tu raffoles de mon gland ma chérie, dit Mon maître.
Il s’allongea à demi, et se mit à me caresser les cheveux pour m’inciter à obéir. Je levais mon regard vers Mon maître. Je pris timidement son sexe dans ma main et je commençais à le caresser. Je ne voulais pas trop le sucer ce soir, mais en étant sa femelle, j’étais obligée. Je le regardais à nouveau.
- Allez petite cochonne, vas y suce-moi, fais ton travail ! dit-il doucement.
Il me caressa plus fort la tête, je me dirigeais à quatre pattes vers sa bite. Elle était déjà bien dure. Je suçais d’abord le gland comme on suce une glace à l’eau. Je ne pouvais pas m’empêcher de pousser des gémissements sous l’effort de la concentration. Ma mâchoire commençait à me faire mal.
- Huum… Tu suces bien petite femelle. Tu aimes ça, hein ?
- Huum…huumm, répondis-je en aspirant toute sa bite.
Mon maître me donnait des tapes sur ma croupe. Il m’avait retiré également le pantalon, j’étais nue. J’ondulais de la croupe. Finalement, je suçais aussi ses couilles. Puis je me plaçais la chatte au-dessus de sa bite pour que son jet de sperme atteigne ma chatte. Du coup, accroupi au-dessus de lui, mes lèvres s’écartèrent et il vit mon clito gluant de mouille. Il éjacula et son sperme trempa ma chatte.
- Masturbe-toi femelle soumise !
Je restais dans cette position accroupie au-dessus de lui, délicatement avec deux doigts, je caressais vivement mon clito gonflé comme un bouton de rose.

De suite je devenais folle. J’avais honte, j’étais en chaleur. Mon maître se mit à me pincer les tétons, à les tirer.
- Arrête arrête… pitié ! Haan…huum…huum…haan…
- Petite femelle. C’est moi qui donne les ordres ! dit Mon maître en me titillant le clito. Couche toi à plat ventre !
- Oui, gémis-je.
- Et tes mains bien en évidence sur les côtés, je sais comment tu es. Tu ne peux pas t’empêcher d’essayer de te toucher… comme si je ne te voyais pas !!
Je me couchai sur le ventre et relevai ma croupe en ondulant. Mon maître se mit à me lécher le clito. Aussitôt je gémissais. C’était trop bon !
- Oh c’est bon… Oui… encore…haaan… J’aime trop ça !!
Rapidement, il me prit en levrette. Il restait immobile et je coulissais ma chatte humide sur son pénis.
- Oh tu es bonne ! Huum… Ta chatte est accueillante petite femelle ! me disait Mon maître.
Soudain il se mit à me buriner plus fort. Chaque coup me possédait. Je savais que j’étais à lui.
- C’est toi qui est bon mon amour, tu es mon maître… Haaa… oui…Huum… Oh ma petite chatte est à… toi…juste à toi !