Histoires Avec Ma Cousine. (10)

Nous voilà mercredi, mon début de semaine à été sexuellement calme. Je suis partis avec mon père et sa copine passer une journée à la mer. J'aurais bien voulu aller plus loin avec elle, mais j'ai dus me contenter de la regarder en maillot sur la plage. C'était frustrant et j'étais donc impatient de revoir Priscilla. Comme prévu, je suis venus chez elle, mais tout ne c'est pas passé exactement comme je l'avait imaginé. Quand je suis entré dans la maison je me suis annoncé comme à mon habitude.
Moi : Bonjour, il y a quelqu'un à la maison ?
Tata : Ici Luc. Dans le salon, entre.
J'ai été au salon et ma tante était au téléphone. J'ai donc attendu qu'elle ai finit.
Tata : Je suis à toi dans une minute.
"C'est Luc, il nous aide de temps en temps en ton absence. Oui, je lui dirai. Alors vous reviendrez demain ? C'est très bien. Tu me manques tellement... Je t'aime aussi... bisous !"
Moi : C'était l'oncle Robert ?
Tata : Oui. Il a enfin fini sa satanée partie pêche. Lui et ton cousin Alain seront là tôt demain !
Moi : Bon sang. C'est vrai. J'avais oublié qu'ils étaient partis à la pêche.
Tata : Pêcher dans en mer, t'as pas oublié ? Ils font ça tous les ans. Ils rassemblent un groupe d'amis et passent deux semaines à pêcher. Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle là-dedans.
En la regardant, je remarque que ma tante est quand même un peu soucieuse, et je vais vite comprendre pourquoi.
Moi : Tu dois être heureuse, non ?
Tata : Oui, bien sûr que je le suis. Bien que...Mais tu sais. Quand ils reviendront... ce que nous avons fait sera oublié.
Moi : Oui, je sais, tante. Ne t'inquiète pas, ça reste entre nous.
Tata : Tu sais, c'est honteux. Mais j'avoue que j'ai aimé ce que nous avons fait, même si on avait tort.
Voilà la raison, elle pensait encore à nos ébats et elle regrettais non pas ce que nous avions fait, mais que nous ne pourrions plus le faire quand ses hommes seront de retour.

Oubliant Priscilla et la raison de ma venue, je me suis rapproché par derrière de ma tante. La prenant dans mes bras, je posais mes mains sur ses seins et j'ai cherché sa bouche pour l'embrasser.
Tata : Non, Luc. Ce n'est pas bien. Nous ne pouvons pas être imprudents ...
Moi : Peut-être que ce sera la dernière fois, tata. Pourquoi ne pas saisir cette occasion ? Bientôt mes vacances seront terminées et je retournerai à l'université.
Tata : C'est dangereux. Priscilla... elle peut rentrer à la maison à tout moment.
Moi : Elle est chez Christelle. Elle m'a appelé quand j'arrivais. Elle ne reviens pas tout de suite.
Tata : Oh, mon Dieu, Luc. Tu me rends folle. Une dernière fois, qui sait...
Je savais que nous avions du temps devant nous et comme la dernière fois, j'avais pris mon pied en baisant ma tante, j'avais décidé de profiter de la situation. Peut-être la dernière avec elle. Et elle s'était facilement laissé convaincre. Elle se retourna vers moi et fit glisser de ses épaules les bretelles qui retenaient sa robe. Après quelques secondes, j'avais ses seins devant les yeux. Et comme à mon habitude, j'allais en profiter.
Moi : Tu me rends fou, tata. Ton corps est magnifique. Ces seins gros et fermes rendraient n'importe quel homme fou.
Tata : Alors embrasse-les. Mes mamelons sont si durs. Suce-les bien, mon beau neveu. Hmmm...
Moi : Ils sont géniaux, tata. Mmmm !
Tata : Hummm... ta langue est si bonne sur mes tétons. Ahhh...
Elle était de plus en plus excitée et les quelques hésitions du départ avaient déjà disparue. Elle se laissait aller, prête à se donner à nouveau à moi. Elle m'embrassa et m'enleva mes vêtements avant d'aller plus loin.
Tata : Viens ici. Je veux que tu sois nu.
Moi : Je suis tout à toi, ma tante ! Hummm !
Tata : A moi et à Priscilla, n'est-ce pas ?
Moi : Bien sûr !
Tata : Donne-moi ta queue si dure.Mais allons dans ma chambre, Luc.
Je suivi ma tante à l'étage. Et alors nous nous sommes couché sur son lit. Et tout en lui suçant les tétons, j'ai enlevé son string, le dernier vêtements qui nous séparait. Et ensuite elle entreprit de s'occuper de ma bite.
Tata : Oh, mon Dieu ! Quelle folie nous faisons...
Moi : Ce que je ferai avec toi ce n'est pas une "folie".
Tata : Ah oui ? Qu'est-ce que tu vas faire avec ta tante, hein ? Pervers. Je mourrais d'envie de te revoir, Luc. Je n'arrive pas à me sortir de la tête ce que nous avons fait.
Moi : Fantastique, tata. J'aime te voir si sauvage.
Tata : Tu n'as encore rien vu. Je vais rendre ce moment inoubliable.
Et ce n'était pas des mots en l'air. Elle se pencha sur ma bite et comme la dernière fois, elle la prit en bouche. Cette fellation n'avait rien de comparable avec toutes les autres. Elle y mit toute son expérience.
Tata : Je te garantis que ce jour restera gravé dans ta mémoire. Et à la fin, je voudrai encore avoir ton sperme dans ma bouche. J'ai adoré le goût de ton sperme. Argh !
Moi : Putain, tata. Quel bonheur. Tu me rends fou avec tes propos cochons. Ta bouche, c'est trop bon, tata. Ralentis, sinon, je vais jouir en un rien de temps. Ahhh...
Tata : Pas encore. Je veux profiter de ta merveilleuse bite beaucoup plus. Tu aimes mes seins ?
Moi : Ahhh ! Putain... bien sûr ! Je suis au paradis.
Tata : Et de cette façon, tu aimes ça ? Hummm...
Elle glissait maintenant ma queue entre ses seins et avec le bout de sa langue donnait de petit coups sur mon gland. Je sentais de plus en plus le plaisir monter en moi.
Tata : Qu'est-ce que tu mijotes ? Tu as une surprises pour moi, par hasard ?
Moi : Arrête, tata ! Je ne pourrai pas me retenir. Je te veux maintenant.
Tata : Oh, tu as envie de moi ? Je te veux encore plus ! Je vais te baiser à fond, mon neveu. Tu m'as provoqué et allumé une incendie en moi. Sens comme je suis mouillée !
Moi : Putain ! En plus d'être mouillée, tu es si chaude ! C'est génial !
Tata : Looch, Luc... c'est merveilleux. C'est si bon de se sentir désirée à nouveau. Si seulement ton oncle me désirait de cette façon lui aussi. Aaaaaaahh !!! Mon dieu ! C'est un orgasme aussi bon que notre dernière fois. Ohhhh !
Je venais de baiser ma tante et encore une fois elle jouissait sur ma queue. Mais ça allait être mon tour. Et elle voulais que je termine dans sa bouche.
Moi : Ahhh... tata... je... Je vais jouir... Ahhh !
Tata : Attends !!! Je le veux dans ma bouche ! Hummmm !
Moi : Ta bouche est délicieuse, tata... Je vais...
Mais au moment fatidique nous avons été interrompu par la personne qui aurait du bénéficier de ce traitement. La suite n'est pas racontable ici, mais d'autres épisodes vont suivre.