Histoires Avec Ma Cousine. (1)

Je m’appelle Luc et à l'époque j'avais 19 ans. Je suis allé chez ma tante . Comme à l'habitude, la porte était ouverte et je suis rentré. Je l'ai trouvée dans la cuisine où elle faisait du rangement.
Moi : Bonjour tata, ou sont les autres ? Je ne vois personne.
Tata : Salut, Luc ! Ton oncle et ton cousin sont allés pêcher ! Par contre ta cousine fait du rangement dehors ou dans la remise !
Moi : Je m'étais arrangé avec Alain pour que nous jouions au ballon ! Tant pis ! Comme je suis ici, je vais voir si je peux donner un coup de main à Priscilla !
Je vais donc dans le jardin. J'étais un peu frustré de ne pouvoir jouer au foot avec Alain, mais le simple fait de passé du temps avec ma cousine en valait la peine.
Elle n'était pas dans le jardin. Peut-être dans la remise ce bâtiment au fond du jardin juste après la piscine.
J'ai décidé de rentrer discrètement et par jeu de la surprendre. Mais celui qui a eu un gros choc, c'est moi. Elle me tournait le dos et portait un short très court couvrant à peine ses jolies fesses. Et quelles fesses ! Elle avait un petit cul parfait. Bon sang, rien qu'en me rappelant cette scène, je bande de nouveau. A cette époque, j'étais fou de Priscilla. Je me suis branlé des dizaines de fois en pensant à elle. A cette vue, ma bite est devenue dure immédiatement. Je ne pas détacher les yeux de ce magnifique petit derrière rebondit. Je senti le besoin de caresser ma cousine. Et même si je me faisais gifler, ça en vaudrait la peine.
Je me suis approché d'elle très lentement... Je suis effrayé. Mon cœur s'emballe. J’étais sur le point de renoncer, mais mon excitation déformait déjà mon short de sport.
Cette vision me rendait fou, j'approchais le plus possible, mon sexe se glissant entre ses fesses si attirantes. Mon sexe frotte ses deux demi-lune rondes. Je suis aux anges...jusqu'à ce que...
Priscilla : L... Luc ?! Qu'est-ce que fais ? Ça suffit comme ça.
Moi : Ah, Priscilla ! Je suis fous de toi !
Bien qu'elle ait insisté pour que je m'arrête, elle n'a pas essayé de se dégager de mon emprise.

Priscilla : Stop, Luc ! Je ne suis pas...
Je posait mes mains sur ses hanches et je continuais à frotter mon sexe bandé contre ce doux petit cul.
Moi : Priscilla ! Je te veux maintenant ! Je meurs d'envie de te baiser !
Priscilla : Non ! On ne peux pas ! Je suis ta cousine.. ! Ce serai mal...
Moi : Pourquoi ? Je rêve de ce moment depuis longtemps ! Et toi aussi, non ? Lâche-toi, vas-y !
Priscilla : Non ! Je n'ai jamais fait ça, je suis...
Je l'ai retournée et je l'ai embrassée. Elle était brûlante. Mes mains caressaient ses gros seins au bouts durci. Un vrai plaisir.
Doucement je relève son petit haut, je voulais voir ces jolis seins sur lesquels je fantasmais... Ils étaient parfaits. Je les ai regardés pendant un moment. Elle était gênée.
Priscilla : L... Luc... non ! J'ai honte...
J'ai arrêter de regarder et j'ai mis mes mains sur ces seins dénudés. Elle semblait perplexe par mon attitude, elle savait que j'ai toujours été très timide.
Moi : Ah, Priscilla ! Tes seins sont trop beaux ! Je peux les sucer ? Tu me le permet ?
Priscilla : Heu... Luc... Je...
Sans attendre la fin de la réponse, je pose ma bouche sur le mamelon rose dressé devant moi.Je sens le corps de ma cousine frémir. Et tout en continuant à sucer ses tétons, je lui caresse ses magnifiques fesses.
Elle finit par rendre les armes pour de bon. Elle m'a demandé de la sucer fort et de presser ses seins.
Priscilla : Oh, c'est bon ! Suces les plus fort... Ahhh !
Je ne pouvais plus supporter que mon sexe soit à l'étroit. Je me suis éloigné d'elle et je l'ai sorti de mon short...
Moi : Vas-y Priscilla, prends le dans ta main. Caresse le... il te veut.
Elle ne quittait pas des yeux ma queue qui palpitait si fort. C'était la première fois qu'elle en voyait une en vrai.
Priscilla : La pr... prendre... mais...
Moi : Oui, entoure la de tes doigts.
C'était si agréable de sentir sa petite main glisser sur mon membre dressé et palpitant.
Moi : Bien ! Accélère... Oui comme ça... Hum !!!
Priscilla : Bon sang, elle grossit dans ma main.
C'était trop bon de sentir une autre main que la mienne caresser mon sexe et me branler. Je lui ai demandé de le frotter sur sa chatte à travers le tissu de son short. Elle l'a fait et m'a embrassé comme pour me demander de la baiser. Moi je voulais qu'elle me suce. Mais avec toute cette excitation c'était trop risqué. Je jouirais sans aucun doute tout de suite.
Il était temps de passer à la vitesse supérieure avec ma tendre cousine. J'ai continué à lui sucer les seins. Mais ensuite j'ai fais glisser son short au sol. Sa chatte était épilée, c'était la plus belle chose que j'avais jamais vue dans ma jeune vie...
L'excitation était si grande que nous n'avons même pensé que ma tante pouvait arriver à tout moment. Je suis resté hypnotisé par le spectacle de sa chatte épilée et humide... Mais instinctivement, elle a ouvert ses jambes et j'ai promené ma langue sur son sexe. Je l'ai goûtée et j'ai senti cette odeur hypnotisante. J'ai sucé comme un fou cette chatte si douce. Ma cousine gémissait, elle suppliait et criait son plaisir. J'ai continué à lécher sa fleur pendant un long moment. Elle était trempée tant le plaisir la submergeait.
Priscilla : Mon dieu Luc ! Je te veux, je ne peux plus attendre ! Je veux ta bite en moi... maintenant ! Luc, mets la moi... s'il te plaît...
Moi aussi je voulais glisser mon sexe dans son tunnel d'amour. Je l'ai allongée sur le sol et j'ai caressé sa motte brûlante de désir...
Je voulais la rendre folle, mais elle n'en pouvait plus.
Priscilla : Prends moi vite cousin. Je veux te sentir en moi. Hummm !
Elle a écarté les cuisses et s'est préparée à être dépucelée...
Moi : Prête à devenir une femme, cousine ? Je vais te la mettre.
Priscilla : Oui ! Mets la vit, je n'en peux plus d'attendre... Hummm...
J'ai mis mon membre à l'entrée de sa chatte et j'ai commencé à la pénétrer. Une douce chaleur entourait mon sexe, c'était le pied... Je l'ai enfoncé plus profondément et elle a poussé un cri de douleur. J'ai pris peur...
Moi : Je t'ai fait mal ? Tu veux que j'arrête ? On peut en rester là. Rien ne nous oblige...
Priscilla : Arrête d'être con ! Ce n'était rien du tout ! Continue à me baiser ! Fais du bien à ta cousine...
Après cette frayeur, j'ai continué à la baiser avec encore plus de douceur. Elle a écarté les lèvres de sa chatte et puis elle l'a poussé contre ma bite la faisant entrer plus profondément... Elle m'a serré fort contre elle et m'a demandé de la lui mettre encore plus profond en une fois.
Priscilla : Fais le cousin ! Pousse fort ! Fais moi sauter l'hymen. Baise-moi à fond !!!
Ces mots ont fait bouillir mon sang et j'ai enfoncé ma queue dans sa chatte chaude et serrée. Puis ma bite a disparu dans sa grotte et elle s'est retenue de crier. Un filet de sang s'écoula de sa fente, je venais de dépuceler ma cousine.
Lorsque mes couilles entrèrent en contact avec ses fesses, elle cria de nouveau. J'attendis un instant, puis je me mis à entrer et sortir de son vagin tout en mordillant ses tétons dressés qui pointaient devant moi.
Son corps a convulsé et elle m'emprisonna avec ses jambes. Elle avait un orgasme et j'essayais de me retenir, de ne pas jouir ? Je voulais en profiter et tirer le meilleur parti de cette merveilleuse expérience. C'était une sensation indescriptible, je baisais jeune et jolie cousine. Le monde avait disparu, il ne restait que nous deux. Je me suis enfoncé de plus en plus profondément en elle et elle allait de nouveau jouir. Je savais que moi je ne pouvais tenir plus longtemps, c'était trop dur. Elle me demandait de jouir en elle.
Priscilla : Ahhh ! Jouis en moi ! Je veux sentir ton sperme me remplir ! AAHHH !
Mais avec beaucoup de regrets, j'ai retiré ma bite de sa merveilleuse chatte. Si je jouissais en elle, je risquais de la mettre enceinte.
Priscilla : Non ! Non ! Non ! Ne l'enlève pas ! Jouis en moi ! Ahhh !
Je n'ai pas tenu compte de ses supplications. J'ai retiré mon sexe et j'ai commencé à me masturber.
Priscilla : Sale bâtard ! Remets-le en place ! S'il te plaît ! Jouis en moi !
Je sentais que j'allais jouir.
Moi : Non ! Je ne dois pas, c'est trop dangereux... je vais... AHHH !
J'ai alors projeté mon sperme sur son corps. Quelle éjaculation ! Mes jets se sont calmés, j'avais répandu mon sperme sur tout son ventre.
Elle a passé sa main sur mon sperme et l'a répandu aussi sur ses seins. La fatigue s'est emparée de nos corps et à ce moment là un sentiment de culpabilité mous a traversé l'esprit.
Priscilla : Ha ! Luc ! Quelle folie avons-nous fait ?
Moi : Voyons Priscilla, nous n'avons rien fait de mal. Juste ce que nous souhaitions depuis longtemps ! Tôt ou tard cela devait finir par arriver !
Priscilla : C'est vrai ! Cela fait longtemps que je suis amoureuse de toi. Je savais que tu viendrais ici aujourd'hui, alors j'ai mis cette tenue ! Mais je n'en attendais pas tant ! Embrasse-moi !
Moi : Petite débauchée ! Viens là ! Hummm !
Soudain, mon sang s'est glacé.
Moi : Hé ! J'entends quelqu'un qui viens !
Priscilla : Oh, mon dieu ! C'est ma mère ! Dépêche-toi !
Soudain ma tante apparu à la porte. C'est passé près ? On a à peine eu le temps de se rhabiller que sa mère est arrivée. Je ne pense pas qu'elle ait remarqué quoi que ce soit.
Tata : Eh ! Mais qu'est-ce qui se passe ici ? Tout ce temps et vous n'avez pas fini ?
Priscilla : C'est que c'est très salissant. Mais nous avons presque terminé.
Tata : Allez, venez prendre un café !
C'est passé près ? On a à peine eu le temps de se rhabiller que sa mère est arrivée. Je ne pense pas qu'elle ait remarqué quoi que ce soit. Du moins nous l'espérions.
Ce jour a été inoubliable, mais maintenant je voulais baiser le cul de ma cousine... le voudrait-elle...

Je vous le raconterai une autre fois...