Mon Rendez Vous De L'Après-Midi

Il m'avait envoyé un petit texto pour se donner rendez-vous. J'avais trouvé ça sympa et l'idée me plaisait bien.

Je fis tout de même un petit passage par la salle de bain pour faire sauter les quelques poils qui avaient poussé depuis mon dernier passage par la case épilation. Je me suis occupé dans un premier temps de mon pubis : coupé court sans tout rasé pour autant. Ensuite tout enlever au niveau des aisselles que j'ai tendance à négliger en hiver. Puis les couilles rasées complètement ainsi que ma raie mise à nue également. Afin d'avoir un prélude de plaisir et moins de mauvaises surprises par la suite, je profite de la douceur de mon petit trou retrouvée pour me faire un petit lavement. Je ne le fais pas souvent, mais quand je m'octroie ce petit plaisir, c'est toujours une sensation secrète et gourmande. Une petite douche pour terminer le tout et me voila fin prêt.

Je ne sais pas ce que nous allons faire. Comment s'habiller ? Je choisi mon jean "aménagé" : celui dont la couture arrière est défaite. Pour plus de confort je ne mets aucun sous-vêtement ce jour là, comme ça je suis prêt à toutes les éventualités. Et puis l'air frais sur mon petit trou me fera du bien. Est ce que je prends un coke ring ? Ça ferait peut être un peu beaucoup pour aujourd'hui, d'autant plus qu'il aime bien se servir de plug ou de gode sur moi. Je n'aime pas utiliser trop d'instrument en même temps. Je lui envoie un texto pour lui dire que je me suis fait tout beau. Il me dit qu'il était avec Paul tout à l'heure. Celui-ci serait bien curieux de me voir avant que j'aille le rejoindre. C'est bon, je passerai le voir rapido.

Arrivé chez Paul, celui-ci me souris de son petit air canaille. Il est craquant et j'aime bien sa petite gueule mal rasée. Il ne peut s'empêcher de me faire un câlin et de me voler un baiser. Il effleure mes fesses et caresse du bout de ses doigts ma rosette. Il me dit que je suis trop. Nous nous aimons bien, mais nous savons que nous ne coucherons pas ensemble, je ne suis pas avec lui.

Malgré cela, nous aimons ce petit flirt qui flotte entre nous. Je l'embrasse une dernière fois sur la joue en lui souhaitant une bonne journée.

J'avais rendez vous dans un haras. Il adore faire du cheval. Moi j'adore le voir en tenue d'équitation. Si sexy, si puissant, si beau et... si classique. Une des première fois que je l'avais vu, c'était là. Nous avions été particulièrement coquins cette fois là. Je lui avais rendu les honneurs que méritaient ses fesses ainsi sublimées par la toile blanche de son pantalon, mon beau cavalier. Je me souviens du touché et de l'odeur de sa veste de velours... J'accélère le pas : j'ai hâte de le voir !

J'arrive enfin. Je le retrouve à l'écurie. Quand il me voit, il me sourie. Je sens une chaleur en moi. Il m'entraine dans un coin. A cette heure-ci il n'y a plus grand monde ici. Nous nous enlaçons. Nos baisers sont brulent. Sa barbe de 3 jours brule la peau de mon visage. Nous sommes en fièvre. La sueur, la paille, le velours de ses lèvres, le velours de sa veste, l'odeur de son pantalon.

Ses mains, grandes et habiles, se glissent sous ma chemise. Mes tétons roulent douloureusement sous ses doigts de fée. Il me tient en son pouvoir. Je n'ai plus qu'un râle et une brulure au torse. Je me frotte contre lui. Il s'amuse de ma transe et bande dur. Je vois même la mouille taché son futal. Je me penche pour aspirer ces odeurs et me saouler avec. Lui continue de me faire souffrir du bout de ses doigts. Je libère sa queue du tissu et la suce goulument. Je lui sorts ses couilles. Il est là parfait : bottes, pantalon blanc moulant, veste de velours, bite et couilles à l'air. J'aspire encore et encore son chibre. Lui me caresse la raie à travers mon jeans. Il a attrapé une cravache et commence même à m'assener quelques coups. Sur mes fesses protégées pas mon jean déjà, puis sur ma raie nue ensuite. Je n'en peux plus.

Il décide de me faire une feuille de rose, quelle douceur après la violence de ses coups.
Il me doigte aussi. Un premier, puis un second. C'est bien mouillé. Il les vrille ensuite, je connais l'extase. Nous approchons du moment qui fera écho à celui où je l'avais pris en ses mêmes lieux. Je lui passe le lubrifiant pour qu'il y aille bien dans ma petite chatte glabre. Du coup il y va à 3 doigts. Je lui glisse le préso et vient m'empaler sur sa queue. Lui moulé dans ses fringues, moi de même dans mon jean et sa queue me ramonant fougueusement. Il me repince un téton, je contracte l'anus. Il m'assène un coup de cravache sur la cuisse, je ferme les yeux. Il continue toujours son rythme de fou, j'ai la tête qui tourne. Il finit par ouvrir ma braguette pour me branler en même temps. Nous sentons tout deux nos flots arrivés. Nous redoublons notre rythme et jouissons des torrents de foutre dans la pénombre de cette écurie.

Il nous a fallu un peu de temps pour nous remettre de nos émotions. Nous nous sommes allongés pour nous embrasser longuement. Et sommes restés là enlacés l'un contre l'autre.

Quand nous sommes rentrés chez lui, son pantalon était taché de mouille et moi j'avais le cul luisant de gel. Mais qu'est ce que c'était bien.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!