Train De Nuit

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je revenais d'un week-end passé avec ma belle soeur et mon neveu dans leur maison du Poitou et devait rejoindre Richard à Paris pour un dîner avec un de ses futurs clients. Richard aimant jouer de mes charmes auprès de sa clientèle, j'avais donc pour l'occasion revêtu mon tailleur Givenchy Noir. La jupe cintré (du genre actrice de Hitchcock) soutenu par une ceinture Très large ainsi que mon chemisier noir faisait grand effet. Perché sur mes escarpins j'avançais vers mon compartiment de première classe rapidement afin de trouver enfin la tranquillité. Une fois de plus l'incompétence et la paresse des contrôleurs de la SNCF m’avaient obligeait seule à porter mes valises. J'avais bien fait ressentir à ce bon à rien mon mécontentement. A plusieurs reprises j'avais remarqué au départ du train les regards d'un autre agent qui me matait tel un voyeur vicieux. Peu m’importait j’étais habitué et décidais de le toiser de manière hautaine. Une fois seule dans mon compartiment je décidais de changer mes collants que Sébastien m'avait filé en m'emmenant à la gare, avec ses mains baladeuses. N’ayant plus de collant je mis des bas noir Vova en fine résille avec un imprimé floral sur le coté extérieur de chaque jambe, sentant que quelqu'un m'observait, je tournais la tête rapidement vers l'extérieur du compartiment mais l’ombre disparu. Je continuais debout au milieu du compartiment ma jupe relevée, et ma jambe posait sur la banquette....

Je me mis à lire un magazine de mode quand le contrôleur passa pour vérifier la fermeture de la porte. Du coin de l’œil il m’observait. Ses regards m’agaçaient prodigieusement et décidais donc de lui en donner pour son argent en me plaignant de l’odeur nauséabonde du compartiment. Ne recevant qu’un grognement négatif en réponse, je croisais mes jambes plusieurs fois sentant ma jupe remonter à la limite de mes bas. Sortant ma trousse de maquillage je repassais du rouge sur mes lèvres de manière plus que suggestive.

Ses regards se prolongeaient quand quelqu’un l’appela à l’autre bout du couloir. La porte restait ouverte je l’entendit :


« Putain pas commode la bourgeoise, elle m'a fait remarquer, avec ses grands airs que le compartiment était nauséabond et qu'elle en ferait part à la direction. Je me suis excusé, mais elle m'a toisé. Putain elle se prend pour une duchesse. Je te lui ferais avaler ses conneries moi»

1 heure plus tard un second contrôleur frappa vivement à la porte

- Contrôle des billets !
- Oui 2 minutes...
- Vos billets madame !

Je laissai la porte entrouverte et fouillais dans mon sac. Je le sentais observais mes fesses bien cambré. Il rentra à son tour dans le compartiment. Je me retournai mal à l'aise le fixant droit dans les yeux afin de lui faire part de mon mécontentement. Il s’installa sur la banquette alors que j’étais toujours debout devant lui.

- Votre billet n'est pas composté Je vais être obliger de vous verbaliser.
- Mais c’est honteux, ce n’est juste qu’un oubli, vous n’ayez pas le droit et pourriez montrer un peu d’indulgence

Je m’assis en face de lui pendant qu’il me déshabiller du regard s’attardant sur mes jambes ou sur ma poitrine tendue sous mon chemisier en soir.

- Soyez clément s’il vous plait
- Je peux peut être faire une exception
- Merci beaucoup c’est si gentil de votre part

Me coupant sèchement il dit :

- Relève ta jupe
- Mais vous êtes complètement fou, « éclatant de rire », vous ne croyez quand même pas que je vais obéir.
- Relève ta jupe... ou j'appelle les flics à la prochaine gare...

Il se faisait menaçant. Mon rire l’avait vexé. Mes protestions restèrent sans succès. Il referma la porte du compartiment avec sa clé. Et s’approcha de moi, je reculais mais très vite bloqué contre lui.

- Relève ta jupe ou je te corrige. Je pourrais toujours dire que tu m’a frappé, et insulté, pimbêche comme t’es tout le monde confirmera.

- Arrêtez la plaisanterie a assez durée

Il m’attrapa violement par les cheveux, approchant mon visage du sien « obéi poufiasse ou ça va être ta fête ». J’obéis, exécutant ses ordres…Je relevais ma jupe fourreau laissant apparaître mes cuisses gainées de bas ainsi que ma culotte grise, assortie à mon bustier modèle Paris de Simone Perele, toujours camouflé sous la veste et chemisier de mon tailleur noir.


- humm t'es bien gaulée salope ! Tourne toi penche toi et écarte tes fesses
- Non mais cela suffit maintenant sortez du compartiment
- Magne toi ! Putain quel cul tu as, tu dois t'en prendre des belles et des bien grosses ? Réponds moi salope ?

Il passait sa main dessus et soupesait mes globes fessiers...

- Oui mon mari aime bien me prendre
- Allons fais pas ta mijaurée, raconte moi en plus « en m’appliquant une claque sur les fesses qui me fit sursauter »
- Oui j’en prends de belles et bien grosses
- Dans ton gros cul de salope ?
- Oui dans mon gros cul de salope « Il m’appliqua 2 grosses claques ! S’exclamant de mes fesses qui rougissaient »
- Mets toi en face de moi tu va me montrer ta chatte... oui c’est ça... tend tes jambes !

Je soulevais mes jambes pointant mes talons vers le plafond. Il fixait mon sexe ouvert.

- Tu vas me masser la queue avec tes pieds gainés salope !

Je fis mine de ne pas comprendre, s’asseyant à mes cotes, il me pinça un téton à travers la soie... Il sortit son sexe long et fin, me déchaussa de mes escarpins Yoox de Claudio Merazzi en velours et enserra son membre entre ses deux pieds. « Allez branle moi ! ». Je m’appliquais, ma chatte baillant à chaque rotation. Sa main fouillait mon entre jambe malaxant au travers ma culotte. Je le masturbais pendant de longues minutes. Sa main rude me malaxait l’entre jambe. Il se redressa ouvrit ma valise et pris un bas parmi ma lingerie. Il le roula et me l’enfonça dans la bouche.


- Bien, maintenant mets toi en levrette sur le siège et remets tes mules et écoute moi bien... je vais te prendre les fesses... ce sera pour t'apprendre à te comporter dignement, plus tu seras docile plus je serais doux plus tu seras désobéissante plus je te limerais le cul avec force ! C’est compris ?

J’acquiesçais mais voulu le désarçonner. Il me tira les cheveux, et enfonça son gland. Sa queue me besognait avec force, m’obligeant à remuer mes fesses et claquant mes seins.

- Bouge ton gros cul salope. Je suis certain que tu adores cela te faire limer ton gros cul de garce et peloter tes grosses mamelle de salope. Tu dois en faire de bonne branlette.

Il me malaxait les seins avec rage, sa pine fouillant mon fondement auquel je répondais en tendant mes fesses. Je me faisais laminer, détruire, défoncer, je gémissais au travers de mon bâillon, son sexe me faisant jouir comme une folle, pendant que ses mains s’aplatissaient sur ma croupe faisant rougir mes fesses. Il se tenait à ma culotte comme un jockey se saisi des rennes de sa jument. J’avais jouie, j’allais défaillir, m’évanouir, mon corps pantelant subissait les assauts de son long sexe me fouillant les entrailles, mon corps m’abandonnait sous ses coups de reins. Il sorti son engin et me releva rapidement.

- Je vais te gicler sur ta face de cochonne. Mets tes lunettes salope.

M’enlevant mon bâillon, il joui sur ma bouche et mes lunettes à grande giclée laissant des traînées blanche de sperme dans mes cheveux, j’étais recouverte de sa semence qu’il me demandant de nettoyer. Il me fit lécher les verres de mes lunettes et se nettoya le sexe avec mon bas.

Il me remis mes lunettes et me fis asseoir. Jupe remontée, assise, en culotte et bas, il m’attacha les poignets dans le dos, et me remis le bas souillé de sperme dans la bouche. Il me fit croiser les jambes qu’il attacha aussi. J’étais une fois de plus à sa merci ne me doutant pas de qu’il me réservait.


- Bouge pas chérie je vais chercher du renfort

Il sorti du compartiment me laissant seule attachée, fermant la porte afin que personne ne rentre. Après plusieurs minutes la porte se rouvrit, il revint avec deux de ses collègues. Je reconnus un des deux pour l’avoir rudoyé au départ du train. Quelle revanche pour lui ! La porte se referma sur les trois hommes qui m’entourait alors que solidement ficelée je ne pouvais me dérober.

- Elle est à vous qui commence ?
- Moi je l’a veut exactement comme ça la bourgeoise, elle avait la langue bien pendue sur le quai, on va voir si elle est aussi douer avec ma bitte dans la bouche.

Il sorti son gros sexe tout flasque, m’enleva mon bâillon et enfourna son membre dans ma bouche. Il m’envahissait la bouche, et je sentais son sexe se durcir. Ses mains écartèrent ma veste et mon chemisier laissant apparaître ma volumineuse poitrine.

- Regarde moi ses nichons la cochonne, une vrai laitière. Allez suce moi bien la bourgeoise.

Ses mains pétrissaient mes seins jouant avec mes tétons alors que son sexe envahissant ma bouche rentrait et sortait. Mes lèvres entouraient son membre m’appliquant à le sucer afin de l’exciter d’avantage. L’autre homme me caressait les cuisses toujours attachées, s’attardant aussi sur ma poitrine. Je pompais goulûment se membre afin d’extraite toute sa semence, qui allait me recouvrir le visage, me salir de son foutre.

- T’es une bonne lécheuse la rouquine, tu suces comme une pute on voit que t’as de l’expérience. T’as du en sucer des bittes, de toutes les tailles et de toutes les couleurs. Ah je sens que ça viens, attends tu vas me terminer entre tes deux grosses mamelles.

Il plaqua son sexe entre mes seins, qu’il compressa et se masturba longuement, me forçant à lécher son gland à chaque passage près de mon visage, il accélérait, je sentais sa jouissance proche quand de longue traînée blanche me recouvrit à nouveau le visage et les seins. Il frottait son gland contre mes tétons comme pour essayer son membre baveux sur seins lourds.

Je n’eu pas droit au moindre répit. Après m’avoir détaché les jambes, le troisième m’attrapant les cheveux me releva et me couvrit de mon imperméable. Il ouvrit la porte regarda dans le couloir, et me poussa vers les toilettes. Mains attachées, jupe relevée, dépoitraillée, il me poussait vers les toilettes du wagon. Fort heureusement nous ne croisâmes personne, qui malgré mon imper aurait pu apercevoir mes seins libérés offerts aux regards. Il me poussa dans les toilettes et entrant derrière moi. Débarrassé de mon imper il se saisit de mon corps comme un fauve sur sa proie. Il me soulevait me palpait le moindre recoin de mon corps, soupesait mes seins, suçant mes tétons. Il se déchaînait sur moi en proie à une fureur inqualifiable. Il s’assis sur les toilettes et me pris sur les genoux, ses mains ma palpaient avec vigueur, s’attardant sur ma volumineuse poitrine ou dans mon entre jambe dont il avait écarté la soie protectrice. Il sorti son pénis et le glissa sous mes bas en se masturbant, pendant que ses doigts avaient pris possession de mon intimité. Mains attachées assise sur ses genoux, j’étais entièrement défaite, j’avais déjà jouie auparavant mais cette situation m’excitait encore plus, je me sentais partir. Pour couvrir mes gémissements il m’arracha ma culotte et me la fourra dans la bouche.

- Je vais te la mettre maintenant. Je suis sur que tu la veux dans le cul salope ?
- Je gémis en signe d’approbation ses doigts s’occupant fermement de ma chatte

Il me sodomisa dans ces toilettes de train, fouillant de sa main droite mon vagin, et malaxant de la gauche mes seins ballotant sous ses coups de hanches. Bâillonnée, attachée, soumise et défaite il me pilonnait avec force. Son sexe me labourait les entrailles, et ses mots rudes et sales m’excitaient encore plus. C’était surréaliste, moi la bourgeoise bien faite, démontée par ces rustres qui jouaient de mon corps comme on s’amuse avec une poupée de chair.

- Je vais te gicler sur ta jupe noire. Avec ces traces blanches tout le monde saura que tu t’es fait baiser salope, tu veux dis moi que tu le veux mon sperme ?

Il m’enleva ma culotte de la bouche.

- Oui giclez moi dessus comme sur une pute, allez y salissez moi……

Il s’exécuta et joui sur moi, laissant ses traces comme un animal marquant son territoire ou sa proie. Nous restâmes quelques minutes sans bouger comme anéantie. Il se releva et me quitta. Je pris quelques minutes pour me refaire convenable et sorti des toilettes. Deux jeunes, attendaient à l’extérieur.

- et ben la grande ce n’est pas un bordel ici. Je partie sans répondre rejoindre mon compartiment rouge de honte de m’être fait surprendre.

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