Folie De Baiseur

Je sais, je ne devrais pas raconter, mais c'est plus fort que moi, il faut que je confesse: je suis un baiseur impénitent. Toutes les jolies filles qui me plaisent doivent y passer et je ne sais comment je fais mais je les baise. J'y arrive soit très facilement, soit en y mettant le temps, mais j'arrive toujours à les mettre dans on lit et les faire jouir, même si c'est pour elle un dépucelage. Je me décrit en quelques mots, je suis grand: 1m90, pour 90kilos de muscles brun aux yeux bleus. Je suis très bien muni et mon sexe fait l'admiration de nombreuse filles et leur bonheur aussi: 19 cm/6 cm. La première fois que j'ai fait l'amour, j'avais à peine 14 ans et c'était avec une fille de 16 ans qui elle savait bien baiser. Voyant ma bite je me souviens qu'au moment de la prendre dans le con elle avait hésite pour finalement me dire à la fin que je l'avais bien faite jouir avec mon mandrin qui, pourtant n'était pas aussi important que maintenant. Depuis mes 14 ans, donc je cherche toujours une fille qui me donne son cul. Dans mon quartier, les filles parlant entre elles disait toutes du bien de ma bite et certaines venaient presque me prier de les baiser. Je ne résistais pas.
Plus tard j'ai quitté ma ville pour aller à Paris. J'avais alors 21 ans et mes besoins étaient toujours aussi grands. Je me souviens de la première rencontre avec une fille: Elle avait tout juste 18 ans, une poitrine qui faisait facilement su 90c et des fesses qui donnaient envie d'y mettre la main. Nous petit déjeunions au même café et les deuxième jour je me trouvais juste à coté d'elle. Je la complimentais sur sa poitrine et son allure très attirante. Elle rougissait un peu. me troisième jour je me payais de culot et l'invitais pour le soir même dans un petit restaurant du quartier. Elle était venue. J'étais en face d'elle et je lui prenait ses mains dans les :miennes et continuais à lui dire qu'elle me plaisais beaucoup. Je plaçais une jambe entre les siennes et l'invitation était assez claire.

J'avais envie d'elle. En sortant du restaurant je l'amenais chez moi, dans ma chambre et je l'embrassais sur la bouche. Nos langues se rencontraient. Je lui répétais qu'elle était très belle ( c'était vrai). Je poussais mon avantage en lui caressant un sein comme je savais le faire, c'est à dire en ne lui faisant aucun gestes désagréables. Elle acceptait mon pelotage et je osais lui mettre la main , à travers ses vêtements, sur le pubis et poussant un peu vers le con. Mon autre main, sur ses fesses les caressait aussi. Je la cernais. Nos bouchez toujours liées par notre baiser sans fin était de plus en plus profond et c'est elle qui rentrait sa langue dans ma bouche. Je commençais à bander. Elle s'apercevait rapidement de la grosseur de ma bite. Je commençais à me déshabiller pour être plus à l'aise, oh! juste la veste. Puis lentement je lui ôtais tous ses vêtements. Une fois nue, je la couchais sur mon lit. elle se lassait faire. Le ne mettais pas plus de 30 secondes pour à mon tour être nu. Je la regardais et ses yeux étaient fixés sur ma bite. Elle me disait qu'elle avait déjà vu des bites, mais jamais comme la mienne. Je la rassurais: je peux faire jouir davantage que d'autre, ce n'est pas la taille qui compte mais la façon e s'en servir et je crois savoir m'en servir. Une fois couchés, collés je continuais mes caresses Je lui mettais ma main sur le con et elle ouvrait les jambes pour me permettre de la branler. Je mettait un doigt sur le clito et les autres caressant les lèvres. Elle n'y tenait plus et se mettait à jouir. Je continuais la masturbation sans cesse. Elle prenait en main ma bite et la branlait sans aller vite. Je sentais sa main se mettre autour d'elle, descendre le prépuce lentement, découvrir mon gland, s'arrêter puis reprendre la descente jusqu'à mon bas ventre, tirant encore plus vers le bas. Elle remontait toujours lentement sa main pour la redescendre. Elle branlait très bien. Elle me disait qu'elle ne voulait pas que je ,jouisse trop vite et c'est pour ça qu'elle ralentissait ses mouvements.

Il n'empêche qu'à chaque orgasme, malgré elle elle arrêtait de me branler. Mais la faire jouir c'était très bien mais je voulais davantage d'elle. Elle le savait et elle me demandait de la prendre et de la rendre encore lus heureuse avec mon engin. Elle avait les jambes déjà écartées et je n'avait plus qu'à me mettre sur elle: ma bite posée à l'entrée du con attendait que je la pousse dedans. La fille était impatiente et d'un coup de rein, elle faisait rentrer en elle ma pine. Une fois remplie, elle me disait qu'elle ne pensait pas avoir le con aussi plein. Je la limais consciencieusement jusqu'au moment où je sentais plusieurs fois jouissance les spasmes de ses jouissance avant que je jouisse aussi en elle.
Elle aussi avait pris gout à la bite. elle voulait lui faire un fellation. Je ne bandais pas encore. Elle se mis à me caresser autour de la bite, les couilles le cul et elle prenait enfin ma bite dans sa bouche, elle léchais le gland et l'enfonçais dans sa bouche. Je sentais ses lèvres autour de ma pine et sa langue qui sans cesse léchais. elle me branlais avec une main et mettait l'autre près de mon cul pour finalement y mettre deux doigts. J'en jouissait. Elle acceptait le sperme dans sa bouche, mais ne l'avalait pas. elle allait le cracher dans le lavabo. C'était dommage, j'aimais bien que les filles avalent ma semence.
Nous nous voyons souvent, presque tous les jours. Elle demandait souvent que je rentre lentement, puis après y être habituée, dans son cul. elle avait toujours mal au début, amis une fois dedans ma bite lui donnait le plaisir: elle jouissait en même temps que moi.
Par la suite elle se découvrait de plus en plus des gouts d'épicer nos relations. Un soir elle voulait que nous allions baiser dehors, sur un banc public. Pour l'occasion elle ne portait sur elle qu'un simple manteau sans dessous. Elle cherchait un banc à la vue de tous. Elle trouvait ce qu'elle cherchait et là elle ôtait son manteau et nue s'offrait à moi.
J'avoue que la tentation était telle que je n'y résistais pas. Elle se couchait sur le banc les jambes de chaque coté du banc et moi qui venais la sucer d'abord et la baiser ensuite. Sa jouissance fût énorme comme la mienne.
Une autre fois elle voulait me voir baiser une autre fille devant elle pour, disait-elle voir comment faisait ma bite en rentrant dans un con. Elle faisait tant et si bien qu'elle m'a trouvé une copine à elle qui lui a rendu ce service. Nous étions donc trois et elle ne participait en rien à l'action, sinon en se masturbant pendant la baise que le faisait avec sa copine. J'avoue que je m'était bien régaler de savoir qu'elle se masturbait pendant que je prenait un drôle de plaisir avec l'autre. Je li avouait ensuite qu'elle m'avait fait un beau cadeau parce que le con de son amie était très agréable à limer. De son coté elle me disait qu'elle s'était branler aussi avec un orgasme final presque aussi bon que quand je l'enculait, ce qui n'était pas peu dire.
Toutes choses ont une fin Je rencontrais une blonde aux yeux verts qui avait beaucoup de dispositions: elle était un peu nymphomane et avec elle faire l'amour devenait un véritable marathon. Elle se branlait au moins trois fois par jour, quand elle était seule et si j'étais avec elle les masturbations étaient beaucoup plus nombreuses. Elle aimait se branler devant moi. Ainsi, avant de faire l'amour, elle se donnait du plaisir toujours devant moi. Souvent je l'accompagnais dans ce genre d'amour solitaire que de toute façon je pratique tous les jours. elle était couchée, jambes écartées, le con à ma vue et ses doigts agiles courraient sur son sexe. Moi, j'étais à genoux comme en adoration, ma bite à la main ma masturbant en cadence pour jouir sur elle quand elle avait l'orgasme qui venait. Ensuite, elle venait me sucer pour cueillir la dernière goutte de sperme. Enfin elle prenait la bite dans sa bouche et l'y enfonçait le plus possible. Elle ne me suçait pas à fond pour se réserver pour la suite.
Elle se positionnait en levrette pour que je la baise. Cette position lui permettait de se branler en même temps. C'était rare que nous nous jouissions pas ensemble: nos spasmes étaient communs. Le temps de me remettre en forme elle le passait à se branler encore en commentant ses plaisirs. Elle me faisait bander plus vite et me demander de l'enculer: elle aimait l'avoir grosse dans son cul. Elle se branlait encore.
Ses besoins en sexe étaient tels qu'elle voulait toujours baiser dès que nous étions ensemble.
D'un coté c'était pratique, mais d'un autre coté s'était fatigant. J'ai préféré la fatigue. Nous sommes toujours ensemble et elle ne faiblit pas dans ses demandes nombreuse de jouissance.

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