Ma Première Sodomie

Je savais que mon cousin se donnait du plaisir le soir dans son lit : il faisait du bruit à cause des mouvements réguliers. J’aurai bien aimé le voir faire, je suis curieuse de nature : je n’avais jamais vu de bite en extension. A force de savoir qu’il se branlait, j’avais moi aussi des envies de jouir. Je précise qu’il avait 20 ans, et moi à peine 18.
Un matin il prenait sa douche: il avait oublié de fermer la porte de la salle de bain. Sans penser à mal j’entrais : il tournait le dos à la porte, je ne voyais que son dos, ses fesses et ses jambes : rien que de banal. J’entrais en l’avertissant. La surprise a fait qu’il a tourné vers moi. Cette fois je pouvais tout voir ; sa queue bien bandée, ses couilles qui me semblais énormes. Ce qui m’étonnais assez était de voir son gland brillant, seul à l’avant de sa bite.
- Qu’est-ce que tu viens faire ici ?
- Tu voir nu.
- C’est bien je suis nu, profites en et vas t’en.
Je ne voulais pas le quitter : je commençais à être drôlement humide. S’il était d’accord je me serais donnée à lui, là sous la douche. Il ne l’a compris que quand j’ai posé ma main sur la chatte en cherchant très vite mon bouton. Ma main était toute mouillée tellement j’avais envie de jouir. Je me suis appuyée les fesses sur le lavabo, les cuisses écartée, bien en vue pour qu’il me voit aussi.
Je regardais sa bite en caressant mon bijou. J’ai du lui porter un coup aux glandes, en me regardant aussi il se masturbait. Cette fois c’était la première fois que je voyais sa main autour de sa bite. Je trouvais très excitant de le voir se donner du plaisir, en sachant fort bien que je le regardais.
Je sentais le plaisir venir du fond de mon ventre vers mon vagin d’abord et mon clitoris ensuite avant de monter le long de ma colonne vertébrale. Je sentais mon ventre se creuser, comme pour retenir tout ce plaisir dans mon ventre. Je me souvins avoir poussé un petit cri à ce moment.
J’ai du jouir trop fort : il s’est arrêté aussitôt.

Je regardais son corps, malgré son jeune âge, il me semblait bien fait, bien musclé : bref il me plaisait comme homme.
Il retournait sous l’eau et m’inviter à le rejoindre. J’avais encore envie de jouir. Sans complexe, sans réfléchir plus loin poussée par le désir j’allais offrir mon jeune corps à mon propre cousin. J’allais sous l’eau, contre lui. J’étais collée à lui, mes seins contre sa poitrine, ma fourrure contre une de ses jambes. Ma tête était contre sa poitrine, j’entendais son cœur battre à l’unisson du mien.
Je sentais sa bite contre moi. Je la prenais dans une main : c’étais à la fois dur et souple, agréable en un mot. Je refaisais à mon tour les mêmes mouvements qu’il faisait lui même. Il se laissait faire quand il prenait du savon dans sa main, beaucoup trop de savon. Je ne savais pas trop ce qu’il allait en faire quand il passait sa main dans la raie des fesses pour rendre l’entrée de mon cul plus commode à transpercer :
- J’ai envie de te baiser, je ne vais pas le faire tu es trop jeune. Je vais de la mettre au cul, tu verras c’est aussi bon.
- Ne me fais pas mal.
- Tu ne sentiras presque rien et tu jouiras encore. Penches toi en avant.
Je me suis légèrement penchée en avant, comme il le voulait. Il a appuyé sur ma tête pour me faire pencher d’avantage. C’est là qu’il a mit la main au cul pour me savonner le rectum. C’était bizarre de sentir ses doigts sur mon anus. C’était agréable et en même temps étonnant : j’étais encore plus excitée.
Enfin je sentais sa bite contre l’entrée secrète du cul. Il me tardait et je redoutais la suite. J’ai senti son gland glisser dans mes chairs. C’était encore une fois bizarre et agréable. J’ai sentis quand son gland et passé en entier dans mon ventre. Il a un peu pour que je sente ses poils sur mes fesses.
- Voilà, c’est fait, tu n’es plus vierge du cul. Ca va ?
- Oui, ça va, c’est même bon.
- Branle toi en même temps tu verras c’est encore meilleur.
J’ai du trop je me suis doigté, avec trop de doigts : je n’étais plus vierge à la fin et je jouissais sans cesse.

J’ai surtout jouis quand j’ai senti son jet de semence dans mon cul. Il voulait sortir de mon corps, je ne le voulais pas. Il n’est sorti que quand il a débandé.
J’étais fière de moi ; je m’étais faite mise dans le cul. Quand sa bite était dehors, je n’ai pas pu résister à la prendre dans le bouche. Elle était encore pleine de sperme, c’était bon, et d’autres choses inconnues, peut être de la m….
J’ai tout bien nettoyé.

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