Tante Paulette

Je suis de la somme et j’ai un oncle et une tante dans l’Oise, ils ont la soixantaine, je suis allé passer quinze jours chez eux en avril pour mes congés. Mon oncle a du partir chez son fils le troisième jour, il y est resté huit jours pour lui installer le chauffage central alors j’ai tenus compagnie à ma tante qui est charmante. J’ai 36 ans et depuis mon jeune âge elle me fascine c’est une femme brune aux yeux verts avec quelques rondeurs qu’elle a eu depuis la ménopause mais qui lui vont à ravir. Elle travaille à la poste du village, je me souviens qu’un jour je suis venus en vacance chez eux voir mon cousin, j’avais treize ans et qu’un matin nous sommes allés jouer chez un voisin je suis revenus chercher un pull à la maison. En rentrant dans la maison j ai appelé ma tante et n’ayant pas de réponse je suis monté au premier étage, la salle de bain était ouverte mais vide en passant devant la porte de la chambre de ma tante. J’entends des bruits inhabituels, j’entrouvre la porte et découvre ma tante nue allongée sur son lit… Je n’en revenais pas, c’est la première fois que je voyais la vulve d’une femme, mon cœur battait fort et mon sexe se durcissait. Comme elle nous croyait chez le voisin et que mon oncle était absent elle se détendait pensais-je. Je ne comprenais pas pourtant, elle respirait rapidement, ma tante se servait du manche de sa brosse à cheveux, elle le rentrait délicatement dans son vagin et le tournoyait ce qui la raidissait elle se relâcha en mordant l’oreiller pour ses cris. Je restais au moins dix minutes à la regarder sans me montrer, je finis par éjaculer dans mon slip, je m’en souviens ce fut une sacrée éjaculation ! Je repartis et changea mon slip avant de rejoindre mon cousin je voyais la chatte poilue de ma tante. De ce jour là j’ai commencé à me masturber et jamais je n’aurais osé lui dire de ce que j’avais vus. Par la suite avec mes copines dans la salle de bain ou dans la chambre je leur demande de se masturber en peignoir ou en nuisette, j’adore quand elles se servent d’une brosse à cheveux j’ai une voisine de 45 ans dont ont à des relations ensemble, elle vient avec son vibro je passe de bons moments à la masturber.

Bien souvent elle vient à mon bureau sans culotte nous faisons l’amour. Pour en revenir à ma tante le deuxième soir que nous étions seuls nous avons bus l’apéro avant de manger, moi un whisky et paulette un porto, elle était habillée d’une robe à bretelles, quand elle se baissait on voyait ses seins. Durant le repas je me confie, à chacun de ses déplacements je mâtais ses fesses, on parla de coup de foudre, ma tante racontait qu’elle n’avait pas le droit d’avoir de petit copain et qu’elle s’est mariée vierge à 25 ans et que maintenant vous les jeunes il n’y a plus de barrières. Je fus surpris que ma tante soit déflorée à 25 ans :
Belle comme tu es ca ne te donnais pas envie de faire l’amour ?
Si mais pas plus, je faisais des fellations à mes copains mais je ne voulais pas coucher.
Je rougis aux propos de ma tante paulette, jamais je n’aurais pensé parler de cul avec elle. On alla prendre le dessert dans le salon, elle me raconta qu’à ses 16 ans elle était chez des nobles et que sa patronne recevait des élèves pour des cours de piano et que bien souvent elle se faisait baiser dans la salle de musique moi elle me donnait deux heures ces après midi et j’allais dans ma chambre de bonne et je m’adonnais à la masturbation tout ca sans que mon patron le sache. Un jour je me suis planquée dans la pièce à coté de la salle de piano et j’ai regardé ma patronne se faire prendre par trois beaux gaillards. Elle se faisait baiser par tous les trous, je n’ai jamais connus une salope pareille, elle avait 55 ans, blonde cendrée, toujours en porte jarretelles, elle le savait qu’elle avait du succès… Ma tante était assise à mes cotes elle suçait ses doigts qui étaient plein de chocolat car elle coupait le gâteau qui était sur la table de salon. Je lui avouai le jour où je l’ai surprise dans sa chambre avec sa brosse à cheveux. Elle resta immobile rouge et trembla de honte, je la rassurai en la remerciant de m’avoir montrée son intimité et surtout comment une femme était faite :
Ne soit pas gênée, tu vois comme avec ta patronne paulette…
Elle me dit oui mais moi je ne le faisais pas exprès, je me suis laissé mater sans le savoir.

Je stoppais la discussion en lui roulant une pelle, elle laissa tomber le couteau sur le carrelage, je passais ma main sous sa robe et lui enleva sa culotte, elle me dit en baissant ses bretelles de sa robe :
Aide-moi à me mettre à poil.
Une fois nue, elle alla fermer la porte à clef et elle revint avec un gode. Paulette me dit :
Tu comptes me faire l’amour habillé ? Allé dessape toi…
Je m’exécutais en ne quittant pas sa chatte de vue, paulette mouillait, elle me laissa faire avec son gode mais ne voulait pas que je visite son anus avec. Plus elle jouissait, plus je tournais le gode dans son vagin, elle me serrait mes poignets.
Continu je suis en transe !
A un moment je retirais le gode, elle lâcha trois jets de cyprine qui mouillèrent la nappe. Je lui fis un cunnilingus, elle eu un deuxième orgasme. Je la relevais et la portais sur le bahut de la salle. Je soulevais ses jambes et la pénétrais sans ménagement, ma tante prenait son pied, le buffet bougeait sous mes coups de reins, paulette m’embrassait et je finis par jouir. Le temps que je décharge, une assiette en porcelaine tomba et se brisa ma tante était descendue du buffet elle passa un débardeur et des talons et alla chercher un balai et une pelle pour ramasser les débris je rejoignais le canapé elle s accroupie et à la vue de son anus bien fournis je me remis à bander. Je me levais et alla me positionner derrière elle. Paulette me dit :
Attend que je termine !
Je la forçais à se mettre à quatre patte elle résista, je saisis ses hanches et la sodomisa. A l’entrée de mon gland elle cria :
Non pas là tu me fais mal…
Je me retirais et lui bouffais le cul, ma tante se laissa faire en me disant :
Jamais ton oncle ne m’a prise dans mes fesses !
Tais-toi et profite !
Je l’introduis sans ménagement et resta deux minutes immobile je la sodomisais durant plusieurs minutes, paulette japettais, elle roulait des hanches jusqu’à mon éjaculation.
Nous avons ouvert une bouteille de champagne et par la suite elle m’a fait une pipe au champagne. La nuit fut courte mais pas la semaine, on s est promis de nous voir plus souvent, elle va venir me voir une fois par mois minimum, elle adore la sodomie, depuis elle la pratique avec mon oncle et un jeune voisin qu’elle a dépucelé. Je ne reconnais plus ma tante elle est transformée !

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